Le Facteur

-- La journée s'annonçait plutôt bien. Il était 10h et j'avais déjà distribué les trois quarts de mon courrier. Encore un pâté de maison et j'allais pouvoir profiter de ce bel après-midi de juillet. Cependant je ne me doutais pas de ce qu'il allait m'arriver en sonnant à la porte de ce joli pavillon de banlieue. Une boite entièrement noire finalement pas très encombrante et plutôt légère. Une jolie demoiselle m'ouvrit la porte. Je ne lui donnais pas plus de 19 ans. Après un échange très bref de courtoisie je lui demandai gentiment d'apposer sa signature en échange de son colis. Elle me proposa de patienter un instant dans le hall qui somme toute était lumineux et offrait de bons volumes.

** Je revins avec un stylo afin de récupérer ma commande. Le temps pour signer le registre du facteur fut assez bref et pourtant je sentais qu'il était très proche de moi. Et alors qu'il me montrait le rectangle qui devait accueillir ma signature j'ai cru sentir sa main s'approcher de ma cuisse. Je n'ai pas pu me rendre compte s'il m’avait touché ou pas mais ce qui était sur c'est que je ressentis une chaleur à cet endroit qui se propagea rapidement à tout mon corps. Je ne sais plus si je le saluai lorsqu'il s'éloigna mais je ne pus m'empêcher de le regarder et je le trouvais plutôt mignon... d'autant plus que ce mec de ma promo qui venait de me lâcher et que je souhaitais rapidement oublier!

-- Cet épisode me faisait beaucoup cogiter en montant dans ma voiture pour continuer ma tournée. Il y en avait de jolie femme qui m'ouvrait la porte mais là ce n'était pas pareil. Ce n'était pas que sa silhouette qui me mettait dans cet état mais ses vêtements, sa voix, son attitude... bref je savais que l'effet qu'elle m'avait fait allait perturber le reste de ma journée. C'était sûr demain je lui apporterais son courrier en personne.

** Je me réveillai ce matin avec encore de nombreuses interrogations sur ce que j'avais vécu hier.

Je ne savais pas dire si je souhaitais le revoir ou pas mais quand on sonna à la porte je savais que c'était lui et je n'avais plus d'autre choix que d'ouvrir. Il n'avait pas de colis mais je trouvais la démarche originale. Il avait l'air fatigué et après quelques banalités sur la météo je l'invitais à prendre un verre au salon. Je lui expliquai que j'étais en vacances et que mes parents travaillaient jusqu'à des heures irraisonnables et qu'ainsi j'avais beaucoup de mal à occuper mes journées. Il me dit qu'il avait terminé sa tournée et qu'il avait le temps. Nous nous asseyons côte à côte sur le canapé et trinquons à l'été.

-- Il ne me fallut pas très longtemps pour voir qu'elle ne portait pas de soutien-gorge sous sa robe estivale. Mais impossible de trouver une solution pour ne pas prendre un râteau. Mais elle arriva quelques verres lorsqu'elle renversa quelques gouttes de vodka. Je me permis d'éponger le liquide avec un mouchoir. Je m'appliquais afin ce que cela sèche le plus rapidement possible. Mais la demoiselle était plus entreprenante que moi puisqu'elle souleva sa robe pour montrer ses genoux. Je n'ai pas pu résister à la tentation et commençai à lui caresser les jambes en remontant lentement vers son entre-jambe. Ne pouvant plus m'arrêter je sentais qu'elle se détendait. Moi j'étais aux paradis lorsque je m’aperçus qu'elle ne portait rien sous sa robe. Elle écartait les jambes pour me faciliter la tâche, et me murmura d'être prudent. Cette jolie demoiselle est encore vierge.

** Pour cette première fois je m'étais toujours promise que je me serais laissé faire. Maintenant qu'il connaissait la vérité je n'avais plus qu'à lui faire confiance. Et il commençait plutôt bien. Il me lèche le clitoris ce qui me donne immédiatement des sensations encore inconnus. Je sentais cette fougue monter en moi. Ma chatte était trempée et il en profita pour jouer avec mes lèvres. Il appliqua une délicate pression à l'entrée de mon vagin. Une légère douleur me fit sursauter mais son petit mouvement régulier me donnait énormément de plaisir. Il inséra un deuxième doigt dans mon vagin tout en continuant son cunnilingus. Je ne pouvais plus me retenir... Et je jouis comme jamais auparavant. Ni une ni deux je me mis à genou face à lui. Après lui avoir dégagé son engin de sa prison de tissus je commençai à le lécher. Je le pris en bouche et m'appliquai pour lui offrir la meilleur des fellations.

-- Cette petite est incroyable. Je ne sais pas où elle a appris mais il m'était impossible de me retenir d'avantage. Je me déversai dans sa bouche. Elle prit soin qu'il n'en reste plus une goutte. Une question me turlupinait depuis quelques minutes. "Qu'avait-il dans ton coli?"

"Suis moi... je vais te montrer!"

Elle m'emmena dans sa chambre, s'assis au bord du lit et me montra l'accessoire en question. C'était bien un sextoy de la forme d'un pénis. Je lui proposai de stimuler son clitoris avec. Je me remis à la lécher en insérant l'appareil qui se mit à vibrer dans son vagin. Elle avait l'air d'apprécier. Son soufflet et ses cris devenaient de plus en plus fort jusqu'à ce qu'elle atteigne l'orgasme lorsque je lui appliquai l'accessoire sur son clitoris. Le moment était venu pour lui offrir mon pénis. Je m'allongeai sur elle et m'appliquai pour ne pas lui faire mal.

** Ca y'est je venais de perdre ma virginité mais cette nouvelle sensation me comblait de bonheur. Je lui demandai qu'il fasse jouir. Ses allers-retours étaient de plus en plus rapides et de plus en plus profond. Il se retira au moment où j'allais exploser et me demanda de me mettre à quatre pattes. Je m'exécutai sans me poser de questions. Son sexe remplit à nouveau mon vagin et ses vas et viens me rendaient folle. Ses bourses frappant mon clitoris me firent jouir comme jamais et je sentis les giclé de sperme chaud en moi. J'étais dans un état second et mon partenaire le savait bien. Je n'avais pas envie que ça s'arrête. Je lui fis remarquer que j'étais encore pucelle d'un trou plus étroit.

-- Ce qu'elle ignorait c'est que je n'avais non plus jamais pratiqué de sodomie mis à part dans mes rêves les plus pervers. Je profitai du foutre qui coulait de sa chatte pour lubrifier la petite entrée. La pression pour entrer mon sexe était beaucoup plus important. Je lui pris les seins à pleines mains en commençant des allers retours parfois rapides et d'autres fois lents. La douleur laissait place au plaisir. Ses cris résonnaient dans la pièce et bientôt je sentais que je ne résisterais pas très longtemps au flux qui montait. Je décidai de me retirer et lui demandai une dernière gâterie. Elle s'exécuta et rapidement je me mis à jouir. Je lui arrosai la figure des derniers millilitres de sperme qu'il me restait.

** Je lui proposai de rester déjeuner à la maison mais il m'avoua que sa femme l'attendait. Depuis il m'arrive parfois de recevoir des colis que je n'avais même pas commandé ou ne serait-ce qu'un prétexte pour passer un agréable moment à deux?