Une Journée Particulière
7 h 30 : quelques bips stridents sortent William du rêve dans lequel il était plongé et l'arrachent à une plage de sable fin peuplée de créatures magnifiques lézardant au soleil.
Rassemblant ses esprits lentement, il reprend conscience de son petit deux-pièces qu'il loue près de son lieu de travail.
7h35 : Cuisine Grille-pain tartines beurrées radio Infos coup dil par la fenêtre pour connaître le temps.
7h40 : douche bien chaude lavage intensif des aisselles soin des cheveux (William a peur de les perdre) - et décision de se raser les couilles et de rectifier le buisson de poils surplombant sa queue.
7h50 : rasage des couilles et coupe des poils superflus.
8h00 : polo Lacoste survêt et Nike
8h15 Sortie du garage en sous-sol. Rencontre du gardien de l'immeuble. Grand, 1m90, moustachu, pecs bien gonflés et paquet imposant dans son bleu de travail. Érection immédiate.
8h30 : Lieu de travail - passage aux vestiaires Déshabillage et enfilage des tenues collectifs . Matage, pas seulement de la part de William. Chacun a sûrement besoin de se rassurer sur sa virilité. Qui a la plus grosse ? J'ai pas la plus petite ! Il a un beau cul.
William attend, quant à lui, l'arrivée de Gérard.
Gérard : 40 ans, marié, grande gueule. Une tête de repris de justice. Boule à zéro, traits burinés, grosses moustaches, yeux gris et un corps dessiné de muscles saillants acquis au cours des longues heures d 'entrainement de leur formation de pompier. William craque !
8h45 : « - Gérard ! Tu as le temps de prendre un pot ce soir ?
Oui, ma femme est partie chez sa sur avec les mômes. Une petite sortie entre mecs me tente bien. Eh les mecs, qui a envie de faire une virée ce soir ?
Le visage de William s'allonge de déception mais personne ne le remarque. Il aurait tellement aimé ne sortir qu'en compagnie de Gérard et non avec toute la troupe. Mais il fait contre mauvaise fortune bon cur.
La journée de travail lui semble très longue.
Vers 17h30, ils se retrouvent tous dans les vestiaires. Ils décident d'abord de se faire un resto puis de finir la soirée en discothèque.
William prend son courage à deux mains et propose à Gérard d'aller le chercher.
Pas besoin d'être deux à se priver de boisson. De plus, je n'aime pas trop boire ! dit-il.
c'est sympa mais de toute façon je n'avais aucune envie de refaire les trente km pour rentrer chez moi. Je pense que je vais rester en ville jusquà l'heure de notre rendez-vous.
En un quart de seconde, William s'entend dire :
Passe chez moi ! On prendra un pot si tu veux.
Ok! File moi ton adresse ! Je t'y rejoins
Comme sur un nuage, William regagne son domicile. Passer deux heures seul avec Gérard le comble de joie.
Il remet en place quelques petites choses qui trainent dans son appartement, s'assurant que rien ne pourrait trahir sa vie de gay. En tout cas, rien de trop évident ! Un il averti aurait immédiatement reconnu la touche gay de sa décoration. Un quart d'heure plus tard, on sonne !
William essaie de ne pas se précipiter pour ouvrir.
Voilà ! Devant lui, à la porte, se tient l'homme qui a déjà tant de fois hanté ses rêves et accompagné ses moments de plaisir solitaire. Il le fait entrer
Quelques temps plus tard, alors qu'il prépare dans la cuisine le café que Gérard a choisi de prendre, il entend :
Pas de souci si je mets un peu la télé ? Je voudrais bien connaître les résultats du match de hand !
Un vent de panique fige William. Il a réglé ses appareils multimédia dernier cri de telle sorte que la lecture des DVD soit automatique lors de la mise en marche, et il sait que dans le lecteur se trouve le DVD porno qu'il a maté en se tapant une superbe queue hier soir .
Trop tard, William entend déjà les gémissements de plaisir poussés par le jeune blondinet qui se fait bourrer le cul par un gros balèze poilu.
Il se précipite dans le salon et ne peut que constater que le scénario qui vient de lui traverser l'esprit est bien réel.
Gérard, devant la télé, ne quitte pas l'écran des yeux. Il a l'air interloqué devant les images qui défilent.
Tu es gay ? Putain! J'aurais pas cru. Tu caches bien ton jeu.
William cherche à saisir la télécommande mais Gérard dit :
Non, laisse ! Envie de voir. Faut pas mourir idiot !
William n'en croit pas ses oreilles. Gérard ne veut pas mourir idiot. Veut-il juste savoir à quoi ressemble un porno gay ou faire d'autres découvertes ?
En tout cas, il garde les yeux fixés sur l'écran. Debout devant la télé, une grosse bosse sous son pantalon trahit son excitation .
William ne peut manquer de s'en rendre compte. Un énorme barreau déforme le jeans de son collègue.
La bite de Gérard, William l'a déjà vue bien des fois mais jamais en érection. Cependant, la taille de l'engin au repos lui avait laissé supposer qu'il avait été bien gâté par la nature. Une bonne vingtaine de cm devraient se déployer son sous jeans. Gérard semble comme hypnotisé par la scène qui se déroule sur l'écran.
Les pieds bien en appui sur le sol, le jeune blond monte et descend, en un rythme effréné, sur le chibre du beau poilu.
Les couilles du blond se balancent de bas en haut venant reposer sur les burnes de son partenaire à chaque fois qu'il s'empale bien à fond sur le manche épais. De sa queue coule un jus transparent ; preuve du plaisir qu'il prend à se faire ramoner la prostate par cette grosse bite.
William ne cherche pas longtemps comment agir. Il s'approche de Gérard et lui met la main au paquet. Constatant qu'une érection très dure déforme le jeans de son collègue, et s'enhardissant, il se met à lui masser la bite fermement.
Il veut laisser à Gérard la possibilité de poursuivre ou de cesser ce qu'ils ont commencé. Le mettre devant ce choix a un côté très bandant ! Le bel hétéro va-t-il fuir ou l'excitation va telle avoir raison de son hétérosexualité ?
Mais Gérard, lui attrapant la tête , pose fermement ses lèvres sur les siennes et reprend le baiser auquel William avait mis fin.
William jubile. Son bel hétéro craque , et il sait maintenant qu'il va être son jouet sexuel au moins pour quelques heures.
Alors sans hésiter, il lui déboutonne la braguette, et brisant le jeu de leurs langues, s'agenouille devant Gérard, entrainant dans sa descente pantalon et boxer.
Un long cylindre de chair lui saute à la figure. Il s'en empare et sent sous ses doigts la pression qui gonfle toujours plus ce membre érigé. Petite victoire de mâle sur l'attraction terrestre, elle se dresse de toute sa longueur tendant à vouloir rejoindre le nombril de son propriétaire.
Le gland à moitié sorti de sa gaine de peau luit. Sur le côté, une grosse veine pulse au rythme des battements cardiaques de Gérard. William constate aussi que les couilles sont bien rasées. Deux belles grosses prunes qui pendent dans un beau sac de peau bien lisse !
D'une langue alerte, il se met à les lécher arrachant à son partenaire des gémissements, et renforçant encore la raideur de ce bâton de chair .
Il sort sa propre pine et se met à la branler au rythme de la pipe qu'il offre à Gérard.
Il lui salive sur le nud, l'avalant à fond de gorge pour mieux encore jouir de sa puissance et entendre Gérard gémir de plaisir. Hasardant une main sur les fesses de celui-ci, il se met à les lui caresser. Il sent Gérard frémir . Dans sa bouche, sa queue gonfle de plus belle.
Sa langue s'imprègne du goût de ce liquide transparent qui annonce la montée d'une sève plus épaisse. Alors, humectant son doigt il lenfonce, d' un geste ferme mais doux, dans le cul de Gérard, bien à fond. Gérard se cabre et à peine William a-t-il commencé qu'il dit en gémissant :
Putain, j'vais juter !
William sort alors la queue de sa bouche et la branle vivement tout en continuant à pilonner du doigt le trou de son partenaire. Il sait qu'il va obtenir ce qu'il préfère Gérard va lui zébrer la gueule de son foutre.
Le premier jet lui atteint le front et la joue . Les autres finissent de lui engluer la face. L'odeur du foutre qui coule sur son visage, déclenche sa jouissance et dans un dernier mouvement de branle, il se vide les couilles sur le sol et les pompes de Gérard.
Aussitôt, ce dernier remonte boxer et pantalon et quitte l'appartement de William. Sûrement trop déconcerté par ce qu'il vient de vivre, il prend la fuite.
Il n'apparait pas non plus à la soirée prévue, ayant prétexté un empêchement de dernière minute.
2 heures du matin : le portable de William sonne. L'écran affiche : GERARD.
William décroche et entend : « Tu es rentré, j'arrive ! » Il n'a même pas le temps de répondre.
3h15 : Empalé sur la queue de William, le beau Gérard se branle à toute vitesse et gicle sur le torse de son amant qui, à son tour, envoie la sauce au fond de la capote, la bite bien calée dans le cul de ce beau mec.
C'est la 2 ème rasade de foutre que Gérard envoie cette nuit. La première a été déclenchée par l'intense pilonnage qu'il a fait subir au cul de William en arrivant. Histoire sûrement de bien réaffirmer sa virilité !
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