4 - Cocu, Vous Avez Dit Cocu ...
Cocu, vous avez dit cocu ?
Puis soudain, plus un mot. J'entendis alors le bruit d'un tiroir qu'on ouvre puis qu'on referme, puis :
- Tiens, chéri, mets ça ! Je préfère que tu me baises avec une capote, on ne sait jamais.
- Ne t'inquiète pas, je suis sain, c'est sûr
- Il n'y a pas que le SIDA ou les autres maladies qui me tracassent. En fait, en ce moment je ne prends même pas la pilule.
- Quoi ? Tu veux dire que je t'ai possédée comme si tu étais ma femme, sans aucun contraceptif ?
- Absolument aucun. Mais il ne faut pas jouer avec le feu. Tu te rends compte si en plus de tromper mon mari je reviens lui annoncer que je suis enceinte de mon amant ? Par la bouche, tu peux me remplir de sperme tant que tu veux, mais par le con, il suffit d'une fois.
- Ce serait la meilleure de l'année, te faire remplir de foutre devant ton mari et tomber en cloques de mes oeuvres. Dis donc, ma belle, je me doutais que tu étais une bonne affaire, mais pas à ce point là. Tu es vraiment une sacrée garce.
Puis des bruits divers, froissements, chuintements, me parvinrent. J'imaginai Philippe entre les cuisses de ma femme qui aimait beaucoup se faire prendre dans cette position. Elle écartait et remontait ses cuisses pour ouvrir sa fente au maximum ; son con, non seulement s'offrait, mais venait au devant des coups de boutoir du mâle qui la chevauchait, en l'occurrence un autre que moi maintenant.
Elle commenta :
- C'est bon, tu sais d'avoir ta belle queue dans mon con ! Mais je la préférais tout à l'heure, sans caoutchouc. Tu baises souvent avec une capote ?
- Toujours, sauf quand je suis avec une femme comme toi et que je peux être certain qu'elle ne prend pas trop de coups de quéquettes, en dehors de ceux que lui met son mari, et moi bien sûr. Pas toi ?
- C'est la première fois. J'ai commencé à prendre la pilule avant de me marier et c'est Bernard qui m'a dépucelée. A un moment on a été un peu en froid et j'ai fait la connaissance d'un autre type avec qui j'ai couché un soir de bringue.
- Merde alors ! Tu n'as connu que trois mâles seulement ? Pour une belle femelle comme toi, c'est incroyable que tu ais eu si peu d'expériences avec le sexe. Une vraie sainte, avec le feu sacré dans la culotte !
- Je pensais même que je ne pourrais jamais avoir de plaisir avec un autre que mon mari. Je croyais quil fallait de lamour pour ressentir vraiment du plaisir.
- Et maintenant ? Quen penses-tu ?
- Quil suffit dêtre très excitée, davoir envie de faire lamour pour prendre du plaisir avoir un homme. Il faut quand même quil me plaise pour que jaille avec lui.
- Tu crois ?
- A vrai dire, je ne sais plus quoi penser, tout ça est nouveau pour moi. La seule chose que je sais, cest quaujourdhui, jai eu envie de faire lamour avec toi et que ça me plait à la folie.
- Comment fais-tu pour rester fidèle avec le tempérament de cochonne que tu as ? Tu dois avoir des envies, des fantasmes, non ?
- Bien sûr que j'en ai, comme tout le monde. Mes envies, c'est mon mari en profite, le seul jusquà aujourdhui. Il aime quand je suis excitée et que je réclame mon compte. Il assure bien, tu sais.
- Et tes fantasmes ?
- Je ne peux pas te les raconter, tu vas te moquer de moi.
- Raconte-moi, je t'en prie.
- Bon, si tu y tiens, je vais t'en raconter deux, les principaux qui reviennent souvent. Le premier, cest de faire lamour avec deux hommes, mon mari et un autre, surtout de me faire prendre devant lui et de lexciter comme un fou.
- Celui là, tu las déjà presque réalisé.
- Cest vrai, mon mari ta vu posséder mon ventre et ma bouche, mais je voudrais quil soit plus présent, plus actif. Jai adoré le regarder dans les yeux en avalant ton sperme.
- Ça a du être difficile à accepter pour lui, tu es dure.
- Je voulais quil se sente vraiment cocu, et je crois que jai réussi. Mais je voudrais prendre mon pied avec lui, mais je voudrais quil soit au lit avec nous, quil participe activement dans un trio.
- Rien dimpossible à réaliser, dès aujourdhui.
- Le deuxième fantasme est moins facile à concrétiser, je phantasme que je suis au lit avec plusieurs types. Je ne sais pas où cela se passe, ni qui ils sont, ni même combien ils sont exactement. Je sais juste que je suis nue, peut être les yeux bandés. Je fais tout ce qu'ils me demandent, et ils me baisent à chacun leur tour dans toutes les positions pendant que les autres me font sucer ou branler leur grosse queue. A la fin, je me vois allongée dans une soupe de sperme. Ils ont déchargé dans ma bouche et dans mon con d'où le foutre me coule dans la fente et sur les cuisses, et ils se sont soulagés aussi sur mon visage, mes cheveux, sur mon cul, sur mon dos et sur mes seins qui me font mal à force d'être sucés et tripotés. Et ils sen vont sans que je sache qui ils sont.
- Pas mal ce fantasme de grosse salope.
- Tu trouves ?
- Jaimerais bien taider à le réaliser, tu te vois avec combien de mecs ?
- Je ne sais pas, je ne veux pas le faire avec un bataillon de types, deux ou trois peut être, en tout cas pas plus de quatre.
- Cest déjà bien suffisant. Juste un bémol, et pour ça tu peux me faire confiance, je ne les laisserai pas décharger dans ta chatte ou dans ton cul, ils te baiseront avec des capotes.
- Ce serait plus prudent en effet. Et tu resteras mon seul vrai amant, celui qui a le droit de jouir dans mon ventre et de me remplir de sperme.
- Tu voudrais le faire avec des inconnus ou des gens que tu connais ?
- Je men fiche quils me connaissent ou pas, en fait, moi je nai pas envie de savoir avec qui je vais, je préfère même ne pas savoir. Alors sils ne me connaissent pas, ils sen vont et resteront anonymes, et sils me connaissent, je ne veux pas quils se fassent connaître, ils me font ce quils veulent, mais ne se font pas connaître.
- Tu veux le faire les yeux bandés ?
- Oui pourquoi pas, ce serait même encore plus excitant.
- Et si eux te connaissent ?
- Ça ne me gène pas non plus, à condition quils ne racontent à personne que je suis une pute et quils ne me disent jamais ce quils ont fait avec moi.
- Et si ce sont des amis de ton mari ?
- Des amis de Bernard ?
- Oui, jen connais plusieurs qui seraient ravis de te baiser, et qui sauront tenir leur langue.
- Comment tu le sais ?
- Des fois entre mecs, on parle de femmes, et on est quelques uns à te trouver à notre goût. Alors si je leur propose toute une après-midi de sexe avec toi, ils ne vont pas laisser passer loccasion de te baiser.
- Vous avez parlé de moi tes copains et toi ? De moi en rapport avec le sexe ?
- De toi entre autres, oui.
- Devant mon mari ?
- Non bien sur, on parle dune femme seulement quand son mari nest pas devant.
- Et je peux savoir ce qui se dit de moi ?
- On pense tous que tu es un bon coup.
- Merci, et toi, tu en penses quoi maintenant que tu mas eue ?
- Que tu es encore meilleure que je ne le pensais. Et cest que les autres diront quand ils auront vu de quoi tu es capable au lit.
- Je naurais jamais pensé à coucher avec plusieurs amis de mon mari. Mais ce nest quun fantasme.
- Encore une précision, tu préfères des grosses queues, non ?
- Pas ment, des grosses ou des petites, limportant cest que les mecs sachent sen servir et quils soient motivés, je pense que chacun trouvera le moyen de me faire du bien.
- Et pour ton premier de triolisme, qui t'empêche de le réaliser ? Ton mari ?
- Non, à vrai dire, cest aussi le sien de fantasme et il me pousse toujours pour qu'on le réalise. En fait, il rêve de me baiser avec un autre homme.
- Et qu'attends-tu puisqu'il est d'accord ?
- Je ne sais pas. C'est vrai que l'idée m'excite, mais jusquà présent c'était juste un fantasme.
- Lance-toi maintenant. Moi je suis d'accord, appelle ton mari pour qu'il vienne nous rejoindre et nous te baiserons tous les deux ensemble.
Je bondis en entendant ces propos. C'était le monde à l'envers. L'amant de ma femme voulait bien la partager avec moi. Et moi j'attendais avec impatience la réponse de celle-ci pour courir dans la chambre. Tant pis pour mon amour propre, j'en avais trop envie.
Mais après un instant de réflexion, elle dit :
- Non, plus tard. Je ne veux pas qu'il profite de cette situation pour le moment. Mais que fais-tu ?
- J'ai du ressortir ma queue tout de suite, sinon j'éjaculais trop tôt.
- Merci de penser un peu à moi.
- En attendant que ça passe, je vais te branler un peu la chatte.
Pendant un bon moment, je n'entendis que des bruits divers et indistincts, puis à nouveau la voix de ma femme :
- Cochon ! C'est la troisième fois que tu m'enfonces un doigt dans le cul.
- Tu aimes ?
- Ce n'est pas désagréable.
- Ton mari te prend souvent par ce trou là ?
- Je nai jamais voulu, j'ai trop peur d'avoir mal.
- Quoi ? Tu veux dire qu'une superbe femelle comme toi a son petit trou du cul toujours vierge ?
- Jusqu'ici, ce trou là ne m'a servi que pour faire caca.
- Tu es vraiment une perle rare avec ta chatte qui n'a pris que trois bites et ton cul qui n'en a pris aucune. Je voudrais bien être le premier à te casser ta petite rondelle.
- Je ne sais pas si je pourrais prendre ta grosse queue par ce trou là.
- Pourquoi ? Regarde comme tu es ouverte et bien préparée. En ce moment, tu as trois doigts entiers dans le trou du cul et tu ne les sens même pas. Une queue n'a pas besoin de plus de place pour passer.
- Tu crois que je n'aurais pas mal ?
- Mais non, tu verras, laisse-toi faire.
- Tu crois ?
- Mets-toi en position comme si tu te faisais prendre en levrette et laisse-moi travailler. Détends-toi, tu verras, je vais te faire ça en douceur.
- Promets-moi d'arrêter si je te le demande.
- D'accord, c'est promis.
- Mon mari va être encore plus jaloux de savoir que je t'ai donné mon cul.
- Sûr, il va l'avoir mauvaise quand il saura que je t'encule et pas lui.
Elle dut se placer comme il le lui demandait et se laisser faire. Je n'en revenais pas, Maria acceptait de se faire sodomiser pour me rendre encore plus jaloux. Et son amant n'allait pas laisser passer sa chance ; il allait pousser son avantage le plus profondément possible.
Au bout de quelques minutes, ma femme dit d'une voix plaintive :
- Je ne sais pas si je vais te laisser aller jusqu'au bout, tu me déchires. Je sens ta queue énorme.
- Tout doux, ma belle, le plus gros est passé. Encore quelques centimètres ! Là, tu vois, c'est fini, je te l'ai fourrée jusqu'aux couilles.
- Ne force plus, Philippe. Sors-la, tu me fais trop mal.
- Détends-toi, c'est un petit moment à passer. Je vais rester sans bouger jusqu'à ce que tu t'habitues à moi.
- Tu vas me déchirer quelque chose, sors, je ne veux plus.
- Ne bouge pas comme ça et arrête de pleurnicher. Maintenant que le passage est fait, il n'y a plus qu'à le roder.
- Tu mavais promis darrêter si je te le demandais.
- Tu vois bien, je marrête un moment. Après tu me remercieras de t'avoir enculée. Et ton mari aussi.
- Jaimerais quil voie ça.
- Cest facile, appelle le si tu veux.
- Ça ne te gêne pas ?
- Au contraire, ça me plairait bien te tenculer devant lui, rien que pour voir sa tête.
- Je lappelle alors ?
- Vas-y, dis lui de venir.
Mon cur sursauta quand elle cria mon nom, javais tout entendu, je savais quelle allait le faire, mais je nai pu mempêcher de bondir. Que faire ? Qui avait vécu une situation si scabreuse ? Ma femme était au lit avec son amant, jétais royalement cocufié, et maintenant voila quils mappelaient pour que jassiste à leurs ébats. Que faire, écouter mon amour propre et garder un semblant de fierté en ignorant linvitation, ou ravaler ma dignité et courir aux ordres de ma salope de femme. Jalousie, désir, humiliation, soumission, honte, colère, tout cela menvahissait en même temps.
Maria mappela de nouveau, et mes pas me conduisirent au pied du lit. Tout était désormais scellé, elle avait gagné la bataille, je navais plus quà me soumettre en vaincu cocu. La chienne victorieuse jubilait, toujours à quatre pattes, la queue de son amant dans son cul. Elle me fit déshabiller et samusa de ma douloureuse érection. Gardant linitiative, elle se dégagea de la queue quelle débarrassa du préservatif.
Madame ordonna :
- Maintenant Philippe, tu vas menculer devant mon mari. Prends moi doucement mais va jusquau bout. Et toi Bernard, approche, je vais te sucer pendant que Philippe mencule.
Chacun se positionna pour exécuter ses ordres, lamant la reprit par derrière tandis le mari était à lagonie avec une langue de salope qui se jouait de son désir. Je nen croyais pas mes yeux, ma Maria offrait son cul à son amant dont la queue investissait inexorablement ce petit trou si sacré. Doublement pénétrée, elle soupirait, gémissait en relâchant mon sexe quelle essayait de sucer ; la femelle me connaissait trop bien, elle avait le pouvoir de me faire jouir en deux temps trois mouvements, mais savourait la quelle minfligeait. Elle demanda bientôt :
- Bernard mon chéri, je voudrais que tu me manges le minou, tu veux bien ?
- Comme tu veux, mais je ne sais pas comment.
- Ne tinquiète pas, mets toi sur le dos et passe sous moi.
Je mexécutai et eus bientôt la langue enfouie dans une grotte ruisselante. Jessayai de coordonner mes efforts avec les secousses de lamant qui travaillait larrière-train, je trouvai la solution en laissant ma langue aller et venir selon les mouvements du bassin de notre chérie commune. Jéprouvais un plaisir masochiste en léchant le sexe ouvert, javais aussi lanus pourfendu à quelques centimètres de mon visage, je voyais la queue conquérir cet orifice tandis que les bourses venaient battre sur les fesses et sur mon visage. Tous mes sens travaillaient contre moi, le toucher de la peau des cuisses, lodeur et le goût de laccouplement annal, la vue du sexe de mon ami pourfendant les reins de ma chérie. Tandis que je lapais le jus de son plaisir à dire vrai au goût indéfinissable puisquil coulait de son sexe et de son anus, Maria frottait sa fente sur mon visage. Il métait difficile de décrire ce que je ressentais à ce moment précis, comment qualifier une extrême excitation dans ma décadence jubilatoire.
Puis les choses saccélérèrent, Philippe abandonna sa cadence de sénateur en claquant ses bourses contre les fesses offertes, la sodomie sachevait par ses grognements de jouissance. Lenculée consentit à libérer la mienne en me faisant jouir dans sa bouche, je crois quelle fut surprise par la quantité de sperme quelle avalait.
Un long moment s'écoula sans qu'aucune parole ne soit prononcée. Étendu sur le coté, vidé, jattendais de voir la tournure que prendraient les évènements. Maria semblait mavoir oublié, ce fut Philippe qui rompit le silence :
- C'était trop bon, je ne pouvais plus me retenir.
- Laissez moi me lever, vite, tout coule, je salis le lit.
- Tu as bien fait de te faire enculer sans capote. Pour la première fois, c'était dommage de ne pas tout te mettre au fond, non ? Ça ta plu ?
- Jai eu très mal, surtout au début, ce ne serait pas désagréable sans cette douleur. En fait, jai bien aimé, ça ma bien plu davoir la langue de mon mari pour mon minou et la queue de mon amant pour mon anus.
- Je suis content. La première fois, cest normal que tu aies un peu mal mais tu verras, tu adoreras vite la sodomie.
Après cette étreinte, jétais le seul à être propre, lamant et sa belle coururent effacer les traces de leur exploit, je restai seul sur le lit, encore sous le coup de ce qui venait de se passer. Lamant revint le premier, et attendit notre chérie commune sur le bord du lit. Elle tarda un peu avant de le rejoindre après avoir été faire un tour aux toilettes. Entièrement conquise et soumise, elle se blottit dans ses bras les jambes remontées sur celles de son amant. Il la caressa, flattait ses cuisses et ses fesses en les tapotant comme on le ferait avec une petite chienne en mal de caresses. Je mattendais presque à ce quelle lui lèche les mains ou se mette à ronronner. Ce fut elle qui rompit le silence :
- La sodomie, cest excitant sur le coup, mais cest moins glamour après. Pour résumer, je vous dirais que cest très laxatif.
- Cest vrai, et cest dailleurs pour cette raison que ceux qui pratiquent fréquemment se font un lavement avant les rapports. Tu as raison, ce nest pas glamour, mais cest bon pour la ligne.
- Meilleur que la fellation, oui, surtout quand on avale tout comme moi !
- Toi, tu es bonne de partout.
- Maintenant tu vas pouvoir dire à tous tes copains que tu t'es tapé la femme de ton pote et que tu as déchargé dans tous ses trous.
- J'adore ton cul.
- Ne te moque pas de moi ! Je sais très bien que mon cul est moche et gras.
- Il n'est pas moche du tout. Il est généreusement proportionné. On a tout de suite envie de s'en occuper, surtout quand tu te mets à quatre pattes. J'ai adoré te prendre par ce trou là.
- C'était si bon que ça de m'enculer ?
- Tu ne peux pas savoir ce qu'on ressent à posséder une femme comme toi par le cul. Je suis vraiment le premier ?
- Personne ne mavait jamais sodomisée, cest la première fois, je te le jure. Demande à mon mari si tu ne me crois pas.
- Jai inauguré cette voie alors ?
- Absolument, je navais jamais accueilli dhomme par là avant toi.
- Il parait quune femme noublie jamais la première queue qui la pénètre, si cest vrai tu te rappelleras de la mienne alors.
- Comment veux tu que joublie mon premier amant ! Tu es le premier avec qui jai trompé mon mari, et le premier qui ma prise par derrière. Et aussi le premier qui ma possédée par tous les orifices possibles. Et toi, Bernard, quest que tu en dis ? Tu as aimé ?
- Je nen reviens pas que tu aies fait ça avec lui.
- Si je lui ai donné mon petit trou, cétait juste pour te montrer jusquoù je pouvais aller. Mais toi, tu as aimé que je te suce pendant que tu voyais ce que me faisait Philippe ?
- Ça ma rendu fou.
- En me léchant le minou, tu étais aux premières loges, ça ta plu ?
- Trop, jai honte de lavouer, mais jai adoré que Philippe tencule sous mon nez. Et maintenant que la voie est ouverte, jespère pouvoir en profiter moi aussi.
- Ne tinquiète pas, tu en profiteras en temps voulu, je te fais cocu mais tu auras des compensations. Et toi, Philippe, tu as aimé que mon mari regarde ?
- Moi, jai adoré, je vais souvent penser à toi et à ton mari. Et aussi à ton cul.
- Moi aussi je vais penser à toi. Je sens encore le passage de ta queue entre mes fesses, comme si elle sy trouvait encore. Ça me fait leffet que je suis marquée à vie par ton sexe, un peu comme on marque les chevaux.
- Cest parce quon vient de le faire, mais cette sensation va bientôt disparaître. Mais ça me ferait plaisir de savoir que jai marqué ton cul.
- Oublie-le veux-tu ! Pense plutôt à autre chose.
- A ta chatte ?
- Oui, à ma chatte par exemple. Ou à mes nichons.
- D'accord, je vais men occuper. D'ailleurs, regarde, tes petits nichons sont moins rancuniers que toi, ils se redressent tant qu'ils peuvent pour réclamer des caresses, les mignons.
- J'aime me les faire caresser.
- Bravo, c'est mieux. Embrasse-moi pour me prouver que tu me pardonnes.
- Bon, d'accord.
- Comment pourrait-on résister à une bouche pareille ! J'adore ta petite langue de vicieuse. Et cette belle chatte ? On dirait qu'elle a envie d'un gros câlin la mignonne.
- Occupe-toi d'elle, tu l'as négligée trop longtemps !
- Écarte les cuisses, je vais commencer par te la manger.
- Hum ! Ta langue me fait du bien. Et tes doigts qui me branlent, c'est très bon aussi. Tu devrais te tourner dans l'autre sens pour que je m'occupe de toi en même temps.
- Tu ne peux plus te passer de ma queue, on dirait.
- Je savais que jaimais la queue, dailleurs je te lavais dit, mais je ne me serais crue capable de faire des cochonneries pareilles. Au fond, je dois être vraiment une salope ! Cest ça, je suis une salope et je ne le savais pas. J'aime trop ta grosse bite et tes couilles, et jaime aussi celles de mon mari. Peut-être que je les aime toutes après tout. C'est grisant de tenir un homme par les couilles. Autant la bite est dure, autant les couilles paraissent douces et fragiles. J'aime les tenir dans la main, les sentir bouger, les lécher aussi. Vous savez quoi, jai envie de vous sucer tous les deux ensemble. Bernard, viens toi aussi, je vais moccuper de toi.
Maria était aussi à laise que jétais mal à laise, accroupie devant nous, elle samusait avec nos glands, empoignait et malaxait nos bourses, pompait tour à tour nos queues renaissantes. Philippe était debout devant le lit, moi-même jétais à genoux dessus, chacun de nous jouissait à la fois du spectacle et des caresses prodiguées. Lamant maîtrisait mieux la situation que le mari, il samusait à lui promener sa queue sur le visage pendant quelle suçait la mienne, lui mettait dans les oreilles, agaçait ses narines jusquà quelle la reprenne dans sa bouche.
- Aimes-tu mes petits coups de langue ?
- C'est très bon, fais-moi ce que tu veux. Tu peux encore me sucer la queue si tu veux, ça me fera bander plus vite, tu verras.
- Je suce bien ?
- Tu es très douée. Tout à l'heure devant ton mari, tu m'as fait la meilleure pipe de ma vie, excuse moi Bernard, mais cest la vérité, ta femme est vraiment une sacrée affaire au pieu.
- C'est la vérité, il a raison. Il a suffi de gratter un peu le vernis et ta véritable nature de cochonne est remontée à la surface.
- Et vous, vous êtes deux mâles en rut ! Il suffit de vous sucer un peu pour vous faire bander comme des ânes. Regardez vos bites, elles sont déjà dures.
- Avec toi, même un mort ne débanderait pas de la journée.
- Vous savez que vos queues ont un goût différent ?
- Comme ça, tu pourras nous reconnaître rien quen nous suçant.
- Les mecs, je veux une grosse bite dans la chatte tout de suite.
- Je vois que ça ta excitée de te faire enculer.
- Bernard mon amour, ne le prends pas mal, mais cest Philippe qui va me baiser.
- Vas-y si tu préfères sa queue à la mienne.
- Non, ne sois pas vexé, cest juste que je préfère que ce soit lui, aujourdhui. Je suis ta femme et je taime, mais aujourdhui je veux que ce soit Philippe, je suis plus la maîtresse de mon amant que la femme de mon mari.
- Sa pute oui !
- Sa pute si tu veux. Ce mâtin jétais ta femme, cet après-midi je suis une pute et jadore ça, je suis une pute heureuse de me faire foutre.
- Par Philippe !
- Bien sur, je suis la pute de Philippe, jai envie quil me baise tant quil en a envie, jai envie quil soit sur les rotules en partant, jai envie quil puisse dire à tous vos copains que je suis une des plus grosses salopes quil connaisse.
- Tu crois que nous avons besoin de ça ? Une réputation de pute pour toi et de cocu pour moi ? Philippe sait que tu es une salope, ment puisque tu lui as vidé les couilles tout laprès-midi, mais je nai pas besoin que tout le monde le sache, ça non merci.
- Pas tout le monde, juste Philippe, toi et moi. Jai envie de lui donner tout ce quil veut, et tant quil veut.
- Il en a déjà eu beaucoup.
- Tu dis ça parce que je lui ai donné mon petit trou ? Cest tout ce quil a eu de plus que toi.
- Il ta baisée par la bouche, par le cul et par le con, quest ce quil peut te faire de plus ?
- Ce quil veut, je suis sa pute, il dispose de moi comme il veut.
- Ça veut dire que sil toffrait à ses potes, tu les laisserais te passer dessus sans rechigner ?
- Pourquoi pas ? Sauf quune vraie pute se ferait payer tandis que moi je le ferais gratis. Mais la question ne se pose pas puisquil ny a personne dautre. Heureusement, sans quoi je te promets que je le faisais ! Demain je ne sais pas mais aujourdhui, je suis prête à tout.
- Alors, il ny en a que pour lui ?
- Ne pleure pas, je vais moccuper de toi pendant quil me baise et tu vas encore pouvoir faire le voyeur. Viens, Philippe, mets vite une capote et prends moi.
- Et si on faisait ça comme tout à lheure, sans capote pour commencer ? Après j'en mettrai une si tu y tiens.
- Tu sais que j'aime la queue nature et tu en profites, hein ! Bon moi je veux bien, mais il faut demander à mon mari, il est concerné aussi. Bernard, tu es daccord ?
- Cest toi qui décides.
- Alors puisque mon mari nous donne la permission, cest d'accord. Mais je compte sur toi, tu n'oublieras pas d'en mettre une plus tard avant de jouir.
- Tu es vraiment un des meilleurs coups que je connaisse, tu sais, une vraie chaudière.
- Jai trop envie. Et pourtant mon mari me baise très souvent, il m'a prise ce matin même. Je ne sais pas si c'est très normal d'aimer la bite à ce point.
Tout en devisant comme si de rien nétait, tout le monde sétait mis en place pour une nouvelle cavalcade. Maria sétait allongée en dégageant le haut de son corps, Philippe, en appui sur ses genoux, avait pénétré sans plus tarder le ventre brûlant et pilonnait consciencieusement le fourreau trempé ; moi, jétais à genoux devant le visage de ma femme qui jouait avec mes bourses et mon sexe, elle avait commencé par me lécher et me sucer. Mes yeux étaient rivés sur lentrecuisse de ma chérie, la verge allait et venait, le gland apparaissait parfois avant de senfoncer au plus profond du vagin, ma propre queue me faisait mal tellement ce spectacle me fascinait et mexcitait, jétais tellement concentré que je ne comprenais rien à ce que Maria voulait, je la laissais me prendre la main et la poser sur mon sexe, elle commença à me branler avec ma propre main. Finalement je compris ce quelle voulait et ce quelle attendait de moi, elle délaissait mon érection douloureuse et se réservait toute entière à son amant, sa bouche avait abandonné mon membre et avait trouvé dautres lèvres que les miennes, je navais plus droit quà une main qui me serrait les bourses, un doigt qui fouillait mon anus en profondeur, elle voulait que je me masturbe pendant que Philippe la baisait sous mes yeux. Quil en soit ainsi, ce quelle le voulait, je le voulais aussi. À ce moment précis, jétais excité, javais mal à mon sexe et à mes bourses, javais besoin de soulager cette douloureuse et incontrôlable érection, et jallais le faire coûte que coûte. Je me délectais de mon humiliation, ma femme me faisait cocu avec mon ami, ça se passait là, devant moi, non seulement je lacceptais, non seulement je tenais la chandelle, mais en plus je prouvais à quel point cette situation mexcitait en me masturbant, jétais devenu un mari cocu et soumis mais je men foutais comme de ma première chemise. Les amants me regardaient faire, Maria offrait son ventre à son amant en poussant de petits cris, elle caressait mes bourses, me mettait plusieurs doigts dans lanus, Philippe savourait ma femme en me regardant avec amusement, il la possédait à grands coups, arrêtait ses allers et venues enfoncé en elle jusquaux couilles et recommençait, il me semblait quil me prenait moi-même, il me semblait ressentir physiquement son sexe en moi, comme sil me sodomisait par lentremise des doigts qui me possédaient, il avait soumis la femme et le mari, il parlait en maître incontestable :
- Pardonne moi de dire ça, Bernard, mais ta femme avait besoin de ma queue, tu nassurais pas assez avec elle. Sa chatte me rend dingue.
- Je ne sais pas pourquoi mais c'est vrai que je me comporte comme une pute aujourd'hui. Regarde mon mari, regarde le, mon gentil cocu, tu vois comment il se branle en voyant comment tu me baises bien.
Ma femme chérie me sourit tandis quelle offrait son ventre et sa bouche à son amant. La belle tendit sa main vers mon bas-ventre, se saisit de mes bourses et me tira vers elle. Elle cessa un moment dembrasser son partenaire, et prit ma queue dans sa bouche. Je me délectai de cette caresse, et mabandonnai à tant de douceur inespérée en fermant les yeux. La bouche avalait mon sexe, jouait avec mon gland, labandonnait, puis le reprenait en pompant plus fort, cétait délicieux et jen oubliais que ma femme me faisait cocu en même temps. A dire vrai, jétais bien et je men fichais. En rouvrant les yeux, jeus lénorme surprise de voir mon sexe dans la bouche de Philippe, il avait remplacé Maria, et je dois avouer quil me suçait aussi bien quelle. Puis les deux amants mabandonnèrent une nouvelle fois, ils reprirent leur coït effréné, moi ma masturbation devant le spectacle. Philippe le Conquistador affirma :
- Ton mari a raison, tu as un con de reine, tous les mecs qui te passeront dessus te le diront. Et en plus maintenant on dirait que ça m'aspire. Comme si tu voulais me traire !
- Je ne le fais pas exprès. Mon vagin est comme une ventouse quand je suis très excitée. Il est temps de mettre le préservatif, non ?
- Non, attends encore un peu, je vais te baiser à ma manière, à nu et à vif jusqu'au dernier moment. En cas, je sortirais pour jouir dehors.
- Je te fais confiance, j'espère que tu sais ce que tu fais. Alors, prends moi en sortant toute ta bite et en l'enfonçant d'un seul coup, j'adore ça.
- Comme ça ?
- Oh oui, comme ça, mon chéri, bourre-moi bien fort.
- Je ne te fais pas mal ?
- Au contraire, jaime être violentée, mon con est fait pour ça.
- Ça te plait on dirait.
- Continue, cest trop bon.
- Je ne vais pas tenir longtemps comme ça, tu veux toujours que je mette une capote ?
- Non, maintenant tu continues comme ça, je m'en fiche de ta capote !
- Jai bien fait dattendre, je commence à te connaître maintenant.
- Tu es un gros salaud, tu sais.
- Je suis peut-être un salaud mais quest ce que je vais te mettre ! Et toi, le mari, tu es daccord ?
- Fais ce quelle te demande, vas-y, baise la, démonte lui la chatte et remplis la de foutre puisque cest ce quelle veut.
- Et si je lengrosse ?
- Remplis la, on verra bien, de toutes façons, ma femme est une chienne en chaleur, pas une lapine.
- Merci mon vieux, merci de partager ta femme avec moi, je suis content de la baiser devant toi, comme ça, pas de cachotterie entre nous, tu sais que je la baise, je sais que tu es daccord et que tu veux que je la prenne sans capote. On dirait même que ça te plait bien.
- En fait, je nai pas le choix. Tu la baises parce que je nai pas pu len empêcher, et tu vas jouir en elle aussi parce que cest ce quelle veut.
- Oui cest ce que je veux, fais le, je tappartiens, jouis en moi, tu as gagné.
- Je le savais, mon petit doigt me disait que tu allais encore te faire tapisser la chatte de foutre.
- Salaud, tu vas encore vider tes couilles dans mon ventre. Ne t'arrête plus, continue à me baiser, le plus fort possible.
- Comme ça ? Je ne te défonce pas trop ?
- Non, vas-y, défonce-moi au contraire, j'aime être traitée comme cela.
- Comme une vraie putain que tu es ! Une putain que j'ai enculée et que je baise tant que je veux !
- C'est vrai, je suis ta putain maintenant, tu peux menculer et me baiser tant quil te plaira, baise moi comme je le mérite.
- Tu as pris mon foutre dans la bouche et dans le cul, et je vais encore décharger dans ta chatte, pouffiasse !
- Oh ! Oui ! Vide-moi encore tes couilles ! J'en veux plein le con, de ton foutre ! A raz bord !
- Salope, tu vas l'avoir, ta récompense ! Je vais te remplir le ventre, petite putain !
Maria avait parlé de plus en plus fort, jamais je ne lavais entendue crier ainsi, elle jouissait bruyamment certes, mais avec moi elle navait jamais ni crier comme maintenant, ni proférer des grossièretés ; cela en disait long sur lemprise de Philippe et leur nouvelle relation de domination et soumission, de maître à esclave. Elle qui était si à cheval sur le respect à légard des femmes était méconnaissable, elle se réduisait elle même à létat de putain lubrique et réclamait quon la traite comme telle. Elle me prit les couilles et les serra fortement tandis que son amant la chevauchait en poussant des « han ! » de bûcheron à chaque fois qu'il la clouait. Bientôt, elle hurla littéralement :
- Oui ! Baise-moi ! Baise-moi !
Son amant gueula aussi :
- Ça y est, salope ! Je décharge ! Prends tout ! Connasse ! Je te baise ! Grosse pute !
Moi aussi je me mis à crier :
- Tu cachais bien ton jeu, salope
- Cest Philippe, jen suis folle !
- Tu parles, tu ne demandais quà te faire mettre et à te faire casser le cul.
- Je ne voulais pas tout à lheure.
- Maintenant en tout cas, tu en crèves tellement tu as envie. Vas-y, Philippe, baise-la, cette putain, défonce lui la chatte, remplis la de foutre.
- Oui, baise moi !
- Salope ! Putain !
Jencourageai mon ami et notre femelle commune à senvoyer en lair. Je nen pouvais plus, les testicules serrés dans la main de ma chérie, je me branlais comme jamais je ne lavais fait, jusquà ma libération et à une éjaculation énorme. Ma semence se perdit sur la bête à deux dos, les jets puissants atterrirent sur les seins et le visage de Maria. Et tandis que lautre mâle lui inondait le ventre, elle hurla sa jouissance :
- Ton sperme ! Je le veux ! Tout ! Oui, tout ! Oui ! Oui !
Pendant un long moment, leur respiration tout comme la mienne resta haletante, puis se calma peu à peu. Ils vivaient la « petite mort » après la violence de leur orgasme. Maria reprit ses esprits la première et dit :
- Tu m'as baisée magnifiquement, tu sais. J'ai joui comme une folle. Je viens de connaître lorgasme le plus violent de toute ma vie ! Je narrive pas à croire que jai réalisé mon fantasme avec toi et avec mon mari.
- Moi aussi j'ai pris un pied pas possible avec toi.
- Oui mais tu nes pas gentil, tu as éjaculé au fond de mon sexe encore une fois, tu fais comme si tu voulais me mettre enceinte.
- Ce n'est pas grave, je tai baisée maritalement puisque ton mari est consentant. Si tu te retrouves grosse de mes uvres, il sera papa par délégation.
- Ne plaisante pas avec ça, je t'en prie, même si tu mas baisée devant mon mari. Il a du aimé parce que je ne lavais jamais vu se branler comme ça. Je vais me laver, jai du sperme partout, pas que dans ma chatte, jen ai plein sur moi aussi. Oui, le tien dans mon ventre, et celui de mon mari sur mes seins et mon visage, une vraie douche !
Ils se séparèrent, se levèrent, et allèrent ensemble à la salle de bains laver leur jouissance et la mienne. Philippe revint assez vite, seul et toujours nu. Cétait la première fois que je me retrouvais nu au lit avec un homme, et qui plus est avec lequel je venais de partager la femme de ma vie. Face à lui, je mefforçais de trouver une contenance, lamant semblait plus à laise. Je me surpris à contempler sa queue, je comprenais que ma femme la désire. Philippe bandait mollement, il engagea la conversation :
- On dirait que cest mon jour de chance, je suis tombé au bon moment.
- On dirait. Tant mieux pour toi, tant pis pour moi.
- Jespère que tu ne men veux pas de baiser ta femme.
- Dordinaire je ne la partage pas.
- Tu sais, javais envie de la baiser, cest vrai, et depuis longtemps, mais elle aussi en avait envie, en fait bien plus envie que moi.
- Tu las dit toi-même, tu es tombé au bon moment.
- Je narrive toujours pas à croire que cest arrivé.
- Et pourtant
- Si tu savais, je peux te le dire maintenant, javais envie delle depuis votre mariage.
- Pourquoi ?
- Elle était particulièrement belle ce jour là, et si tu veux tout savoir, je nétais pas le seul à fantasmer sur elle. Après vous aviez fait une jarretière, et jen ai profité pour mater sous sa robe de mariée et lui peloter un peu les cuisses.
- Et tu dis que vous êtes plusieurs vicelards à vouloir vous taper ma femme ?
- Tu sais ce que cest, on discute entre mecs, on fait des commentaires, et parfois ça dé sur la femme du copain.
- Ils vont être verts quand tu leur diras que tu as réussi à la sauter.
- Je ne suis pas obligé de tout raconter en détail.
- Personnellement, je préfèrerais que le moins de gens possible sachent que je suis cocu.
- Et moi quon soit le moins possible à la baiser.
- Très drôle ! Jespère que ça ne se reproduira plus.
- Moi jespère le contraire, de toute façon, cest ta femme qui décide, je ne vais pas être hypocrite, si elle veut que je la baise, je la baise, elle na pas besoin de me supplier.
- Jespère quelle va comprendre quelle a fait une grosse boulette.
- Cest juste un petit coup de canif dans le contrat de mariage, ce nest pas bien grave. Tu nes pas le seul mari cocu de la ville, en fait la majorité des maris le sont.
- Ça ne me console pas.
- Je comprends que tu sois à cran.
- Il y a de quoi.
- Sans doute, mais comprends moi aussi, je ne pouvais pas laisser passer une occasion pareille.
- Jai vu comment tu as sauté dessus dès que jai eu le dos tourné.
- Je te signale que je naurais rien tenté si elle ne mavait pas allumé. Je navais aucune arrière-pensée en venant vous voir, jétais juste content de venir passer un moment avec vous. Mais tu as entendu ta femme à table, dabord elle annonce quelle veut te faire cocu, après elle me déclare les yeux dans les yeux que je lui plait bien et quelle ferait bien ça avec moi, elle avoue quelle est vaginale, que non seulement elle suce mais aussi quelle avale, et elle mexplique comment il faut la baiser pour la faire jouir. Et même quelle pourrait me laisser lui prendre son cul. Avoue, il y a de quoi penser que la dame ma fait de sérieuses avances.
- Jadmets que tu nas pas tort, moi non plus je nen croyais pas mes oreilles.
- Et moi donc, elle ma mis en rut. Je ne te dis pas comment je bandais quand elle ma invité à danser. Et comme fait exprès, tu disparais en me laissant avec ta femme dans mes bras à se trémousser en frottant son ventre sur ma trique, jai même cru que tu me laissais le champ libre, et que tu étais daccord pour quelle prenne du bon temps avec moi .
- Je peux tassurer que si javais su, je ne serais pas descendu. Elle ta provoqué, cest vrai, mais je ne sais pas si elle voulait aller jusquau bout.
- Jassume ce que jai fait, mais tout le monde est responsable de ce qui sest passé.
- En résumé, tu dis je suis cocu parce que ma femme la voulu et que moi-même jai tout fait pour.
- Demande toi pourquoi je me la suis faite si facilement et tu auras ta réponse. Elle était saoule, cest vrai, mais elle mourrait denvie de baiser avec moi.
- Cest toi qui le dis.
- Je le confirme même. Au début, on a flirté gentiment, on sest embrassé, je lai caressée, je lui ai sucé les tétons, elle ne résistait pas mais se contentait de se laisser faire. Cest quand jai mis la main dans sa culotte que les choses ont changé. On aurait dit que javais touché un bouton magique quand jai enfoncé les doigts dans sa fente, elle est passée de passive à active en un éclair. Jai baissé sa culotte à mi-cuisse pour mieux la doigter mais cest elle qui sen est débarrassée. Elle ma aidé à ouvrir ma braguette, elle sest elle-même mise en position quand jai sorti ma queue, elle a poussé son ventre en avant pour que je lui fourre. Et ce nétait rien comparé à ce qui sest passé quand elle la eue au fond. Elle a commencé à se tortiller dans tous les sens, tellement fort que ma queue est sortie plein de fois. Et à chaque fois, cest elle qui la remettait en place. Après, elle a changé de position, elle a appuyé les fesses sur le dossier dun fauteuil, a enroulé ses bras autour de ma nuque et ses jambes autour des miennes et a commencé à faire des petits bonds sur ma queue. Tu vois, en réalité cest elle qui ma baisé. À ce petit jeu je ne pouvais pas résisté bien longtemps, jai balancé la purée au bout de quelques minutes. On a tiré un premier coup comme des lapins, en tout je ne sais pas si ça a duré trois minutes.
- Sans capote bien sur !
- Figure toi que je navais pas prévu de baiser ta femme aujourdhui et je navais pas de capote sur moi, mais de toute façon ça sest passé tellement vite que je naurais pas eu le temps de la mettre. Je continue. Donc, jai déchargé mais je nai pas débandé. Et elle, elle était encore plus excitée quau début, elle ma demandé de la porter jusquau canapé, elle avait le ventre en feu, je lai baisée une deuxième fois et on a joui tous les deux, la suite tu la connais.
- Donc, jétais deux fois cocu avant de passer la porte.
- Deux fois, oui, ta femme voulait son compte. Je me doutais quelle était chaude, mais pas à ce point, cest une vraie chaudière.
- Et cest pour ça que tu las baisée sans capote.
- Ne tinquiète pas, je suis sain, tu nas rien à craindre.
- Tu crois que ça suffit comme excuse pour la remplir de foutre ?
- Encore une fois, il ny a pas que moi en cause. Je ne suis pas marié et je nai pas souvent loccasion de baiser sans capote. Là, javais une femme mariée et sérieuse, jai trempé ma queue avec délice dans sa chatte et je nai pas hésité une seconde à tout lui mettre au fond. Cest une grande fille et elle aime ça le foutre, elle na pas protesté quand jai déchargé au fond de sa chatte, elle peut te dire elle-même quelle préfère se faire prendre sans capote quavec.
- Tu sais quelle ne prend pas la pilule ?
- Alors cest vrai, elle peut tomber enceinte ?
- Ça te fait marrer ?
- Un peu oui, cest cocasse comme situation, tu me regardes la prendre et lengrosser.
- Tu es vraiment trop con.
- Ne le prend pas comme ça, cétait une blague. Oh ! Mais tu es jaloux on dirait ! Tinquiète pas, je plaisantais, jai envie de la baiser, pas de la mettre enceinte
- Alors laisse la tranquille !
- Tu es jaloux, tu veux la garder pour toi tout seul ! Mais tu as tort de ne voir quavec des illères.
- Tu voudrais me faire croire que jy trouve mon compte ?
- On y trouve notre compte tous les trois. On a tous réalisé notre fantasme, ta femme voulait senvoyer en lair comme une pute et elle sest régalée, moi jaurais donné cher pour sauter ta femme et je me la suis faite au-delà de mes espérances. Quant à toi, tu te plains dêtre cocu, cest vrai que tu peux considérer que tu les, mais ta femme ma dit que tu fantasmais sur un trio. Jai vu comment tu te branlais en regardant, je nai pas rêver, tu mas encouragé à lui défoncer la chatte, alors tu as eu aussi ce que tu voulais.
- Je reconnais que la situation était tellement excitante que jai perdu la tête.
- On est pratiquement des frères, vu quon baise la même femme maintenant.
- Nexagérons rien, je continue à dire que la seule chose que jai gagnée dans cette histoire, cest une belle paire de cornes.
- Jai baisé ta femme, mais elle ne ta pas trompé puisquelle a tout fait devant toi.
- Évidemment, cest un point de vue.
- Tu ferais mieux daccepter la situation, parce quà mon avis, ça va se reproduire.
- Tu veux remettre ça ?
- Moi je te lai déjà dit, ta femme na quà claquer les doigts et je sonne à la porte la bite à la main. Mais il ne sagit pas que de moi, il sagit delle surtout, elle connaissait le plaisir sexuel avec son homme, aujourdhui elle a découvert ladultère et le plaisir avec un autre homme, elle ne tardera pas à recommencer, avec moi ou avec un autre, crois-moi, si elle en a envie, elle peut se taper nimporte qui quand elle veut et où elle veut.
- Elle a couché avec toi parce quelle voulait se venger de moi, ça nen fait pas une pute.
- Minute, je nai jamais dit que cétait une pute. Mais tu as vu comment elle a joui avec moi ? Tu verras comme jai raison, je nai jamais baisé une chaudière pareille, elle aime trop la queue pour se contenter de la tienne et maintenant quelle a goûté à ce plaisir là, elle ne va pas sen priver, elle fera tout ce quil faudra. Noublie pas quelle fantasme de se conduire comme une pute.
- Elle la dit mais elle nen fera rien.
- Tu en es sur ? Pas moi, je suis même certain du contraire. Elle est chaude et elle a très envie de le faire, crois-moi.
- Et tu vas te faire un plaisir de la chaperonner ?
- Évidemment. Mais toi, tu as le choix, on peut faire ça avec ou sans toi.
- Pardon ?
- Cest simple, aujourdhui, on a fait un trio, demain on peut le refaire à trois, ta femme, toi et moi, on peut aussi inviter dautres partenaires, des mecs et des femmes. Tu peux te taper une jolie fille pendant quon soccupe de ta chérie. Je connais plein de monde, et les possibilités sont presque infinies, et il ny a pas de raison de se limiter à des rapports hétérosexuels, on peut aussi avoir des rapports toi et moi, je ne vois aucun inconvénient à être votre amant à tous les deux.
- Tu es sérieux ?
- Bien sur, il ny a pas de mal à se faire du bien, tout à lheure, je tai sucé, jaurais pu continuer pour que tu jouisses dans ma bouche et tout avaler. Une autre fois, on peut aller plus loin, tout est possible, je suis bisexuel actif et passif.
- Excuse-moi, moi je ne suis pas encore prêt à avoir des relations homosexuelles.
- Rien nest obligatoire, tout est possible. Mais cest surtout ta femme qui orientera les ébats, cest la reine du bal maintenant quelle sest rendue compte quelle avait un sérieux penchant pour le libertinage.
- En somme, tu me proposes de participer au dévergondage de ma propre femme.
- Elle ne demande que ça, ta chérie, quon la dévergonde. Ça se fera, avec ou sans toi, à toi de voir.
- Ça ne ta pas suffi de la baiser, tu veux aussi la refiler à un autre ?
- Si elle en a envie, il vaut mieux que ce soit des mecs que je connais et triés sur le volet qui se la fassent sous mon contrôle plutôt que dautres qui lui feront bien pire. Avec moi, tu la retrouveras toujours en rentrant à la maison, saine et sauve, tu auras une femme épanouie et bien dans sa peau.
- Tu préfères que tes potes la baisent plutôt que de te la faire tout seul ?
- Pas mes potes, les tiens aussi, et dautres qui plairont à ta femme. Tu sais, je ne suis pas jaloux, et jaime bien lidée déduquer ta femme, de voir la parfaite épouse se transformer en grosse cochonne.
- Je ne peux pas croire quelle puisse laisser tes potes lui passer dessus simplement parce que tu lui demandes.
- Quest ce que tu paries ? Je crois que tu nas pas bien compris, ce nest pas moi qui suis demandeur, cest elle qui a envie de pluralité masculine ; je te joue ce que tu veux que dici peu, jinvite un ou deux mecs et quon se la fait à deux ou à trois.
- Tu as vraiment lintention de lui faire ça ?
- Comme elle ne demande que ça, elle y aura droit à la première occasion, je ne vais pas men priver.
- Tes un vrai salaud.
- Pourquoi un salaud ? Un opportuniste si tu veux. Ta femme est une sacrée baiseuse et jen profite, je ny peux rien, et toi non plus. Dailleurs tu ferais la même chose si tu étais à ma place.
Il navait pas tort, mais je narrivais pas à lui donner raison. La conversation me déplaisait, ma chérie, notre chérie devrais je dire, tardait un peu, alors je mhabillai pour lattendre sur mon fauteuil. Je ressassais les paroles de Philippe, je devais reconnaître que Maria navait jamais joui aussi fort, et cela me dérangeait beaucoup, car au fond de moi, je savais quelle en redemanderait dici peu. Elle revint enfin dans le salon en ne portant que son chemisier à peine reboutonné. Le vêtement arrivait à peine à couvrir le haut des fesses nues. Elle alla s'installer sur le canapé en face de moi ; la position qu'elle adopta, une jambe pliée devant elle et assise sur l'autre, ne permettait pas à son unique vêtement de cacher quoique ce soit de son intimité féminine. Mon regard se fixa sur sa vulve dont les lèvres ouvertes laissaient voir l'entrée béante de son orifice vaginal. Elle gardait encore l'empreinte du mâle qui venait de la posséder.
Elle jubilait :
- Je ne sais pas si je suis saoule dalcool ou de sexe. Cest fou ce quon peut faire quand on a bu !
- Tu es contente de toi, je suppose ?
- Très ! J'ai eu ce que je voulais. J'ai fait tout ce qu'il fallait pour que tu sois cocu, et bien cocu. Bienvenue au club ! Ton ami m'a très bien baisée. Pour une première, cest tellement une réussite que je nai quune envie, cest de recommencer à la première occasion. Mais pour aujourdhui, ta petite femme a eu son compte. Quest ce que jai pris ! Même au-delà de ce que je voulais. Mais tu le sais déjà puisque tu as tenu la chandelle en te branlant sur nous.
- Tu avais tout prévu ?
- Non, je navais rien prémédité, jai laissé faire les choses du début jusquà la fin et lidée de te faire voir et participer mest venue en parlant au lit avec Philippe. Il fallait que tu tiennes la chandelle, cest ce que tu voulais, non ?
Philippe entra à ce moment dans la pièce, adopta un air gêné qui transpirait l'hypocrisie et dit :
- Je vais partir maintenant, c'est mieux.
Il remit sa parka, me salua en me remerciant vaguement pour notre hospitalité et sortit de la pièce, raccompagné jusqu'à la porte d'entrée par la maîtresse de maison toujours dans la même tenue.
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