Vacances-Découverte
Depuis cette expérience, je retournais régulièrement au cinéma. Le schéma était toujours le même et il marrivait de faire jouir dans ma bouche jusquà 3 ou 4 inconnus dans laprès-midi. Je crois que seul larrivée de crampes mobligeait à quitter la salle. Je commençais à avoir quelques habitués; certains me proposaient de venir chez eux, dautres voulaient mattirer aux toilettes, mais je refusais à chaque fois. Il y avait bien sûr le fait que je me doutais quils ne se contenteraient pas dune simple fellation mais surtout jaimais lambiance de la salle obscure. Le coté direct, linconnu, mon rôle de suceur et rien dautre.
Et puis les vacances arrivèrent.
Apres un petit boulot en juillet, je décidais de partir vers de nouvelles expériences. Un spécial vacances lu dans un magasine « érotique » guidait mes pas : une plage naturiste tout public qui, si lon prenait la peine de marcher un peu, se transformait en lieu de rencontre essentiellement fréquenté par des hommes.
Un sac contenant quelques affaires et une tente canadienne sur le dos je me retrouvais donc un beau matin, le pouce levé, au péage de lautoroute.
Beaucoup dhistoires courraient sur les risques de lautostop, sur les « mauvaises rencontres » quun jeune mec pouvait faire. Et alors que je montais dans cette première voiture, une bouffée de chaleur menvahit. Le conducteur était seul, la cinquantaine, costume cravate, légèrement bedonnant. Tout dans lallure de cet homme me faisait penser à ces fameuses rencontres qui alimentaient de temps à autre nos conversations entre potes de classe.
Nous roulons depuis quelques kilomètres lorsque lhomme décide de sarrêter sur une aire dautoroute. Je pense à un arrêt pour faire de lessence mais non. Il contourne la station service et continu plus loin jusqu'à simmobilisé au fond du parking. Il ouvre brusquement sa braguette, en sort un sexe de belle taille et me dit de le sucer.
Il me transporte gratuitement, ne me demande aucune contrepartie financière.
Je me penche donc, gobe sa queue et entame ma gâterie avec tout le savoir faire accumulé lors de mes après-midi cinéma. Lhomme grogne, me lance quelques mots bien salaces et finit par jouir dans ma bouche. Il mordonne davaler, javale.
Il redémarre mais ne mautorise pas à me redresser. Je dois continuer à le sucer. Si je stoppe il me débarque. Le voyage se poursuit ainsi sans que je puisse profiter du paysage. Les seules haltes sont imposées par la montée de sève. Il se gare, jouit, et nous repartons.
Malheureusement tout ceci restera dans mon imaginaire. Mon conducteur est un commercial plutôt jovial, il fait la conversation pour deux et ne semble pas le moins du monde intéressé par ma bouche. Dommage mais bon ; grâce à lui, jeffectue presque la totalité de mon parcours et je nai besoin que de deux autres bons samaritains pour arriver à destination.
A savoir un camping recommandé par ma revue car étant situé à quelques minutes de marche de la plage de tous mes désirs.
Tant et si bien quil est à peine 16 heures lorsque, tente rapidement montée, je me dirige serviette sur lépaule en direction de ce lieu ou tout semble permis.
Je commence à maudire le journaliste qui a osé écrire « quelques minutes de marche » lorsque enfin japerçois les premiers adeptes du bronzage intégral. Des couples mixtes, quelques familles, je continue. La plage devient tout doucement moins peuplée et très vite la proportion dhommes seuls se fait visible. Je remarque également deux hommes, lun suivant lautre à faible distance, qui empruntent un petit sentier se perdant dans les dunes.
Je fais quelques pas encore puis décide de poser ma serviette en haut de plage, un peu à lécart. On a beau avoir des envies, du courage, jai quand même une petite boule au ventre.
Nayant pas osé le faire lorsque je marchais, je me déshabille enfin et entièrement nu cours prendre mon premier bain de lannée.
Je sors de leau, minstalle sur ma serviette et commence enfin à profiter de mes vacances et du soleil qui me réchauffe doucement la peau.
- Bonjour.
Je sursaute. Etendu sur le dos, les yeux fermés et légèrement assoupi, je ne lai pas entendu venir. Lhomme qui vient de mapostropher doit avoir quarante cinquante ans (48 en réalité). Un très bel homme, bronzé de la tête aux pieds, grand et plutôt carré. Pas le genre de type bodybuildé, non. Le mec bien bâtit qui sentretien, sans plus. Il se tient là debout devant moi et dans ma position mon regard ne peut que se porter sur son entrejambe. Un sexe plutôt long, entièrement déployé mais au repos, complété par un magnifique gland décalotté, très bien dessiné et légèrement plus gros que la hampe.
- Tu permets que je minstalle à coté de toi.
Sans attendre ma réponse, il étend sa serviette et sassied.
Il entame la conversation sur des banalités. Il sappelle Gérald, vient en vacances ici tout les ans car il y possède un pied à terre, il aime le naturisme et tout ce qui va avec, bref je lécoute et lui répond timidement. En fait, malgré son air très rassurant, je crois que jai un peu la trouille. Pourtant je ne peux mempêcher de jeter le plus discrètement possible des regards furtifs sur son merveilleux sexe qui repose maintenant négligemment sur sa cuisse.
Evidement se qui devait arriver arriva. Une chaleur dans le bas ventre et un début dérection. Je me tourne rapidement sur le ventre et continue la conversation, tentant de garder mon naturel malgré mon émoi qui je le crains na pas échappé à Gérald.
- Tu sais ce nest pas parce que nous sommes en fin daprès-midi quil ne faut pas te protéger du soleil. Ses rayons font encore mal et avec les fesses blanches que tu as, tu aurais tout intérêt à te mettre de la crème solaire.
- Oui je sais mais je viens darriver et je nai pas pris le temps den acheter.
- Tinquiètes pas jai ce quil faut, laisse moi faire.
Il sortit un pot de son sac, se mit à genou à mes coté et commença à étaler la crème. Les épaules tout dabord puis le dos. Ses mains étaient très douces et son action ressemblait beaucoup plus à un massage quà une simple application anodine.
Je laissais reposer ma tête sur la serviette, fermais les yeux et le laissais faire.
La manière dont ses mains glissaient sur ma peau était merveilleuse. Elles glissaient tellement bien quelles finirent par atterrir sur mes fesses. Je nosais pas bouger.
Jai deux petites fesses bien rondes et la patience quil prenait à les protéger montrait combien elles ne le laissaient pas insensible.
Puis, tout naturellement, une main vint entreprendre le sillon de mes fesses. Alors que de son autre main il me caressait le haut de la cuisse, minvitant tout doucement à mouvrir un peu plus, je sentis un de ses doigts sattarder sur ma rosette. Il ne lenfonça pas à lintérieur mais se contenta de masser délicatement lentrée de mon anus.
Cétait tout simplement délicieux.
Il sallongea alors près de moi et me déposa un baiser sur les lèvres. Un deuxième suivit avant que le troisième ne reste collé et minvite à entrouvrir la bouche. Sa langue vint rejoindre la mienne et le petit smack de départ se transforma rapidement en baiser torride.
Je laissais glisser à mon tour ma main sur son corps.
Pas vers ses fesses, non. Plutôt vers ma nouvelle passion.
Je rencontrais un sexe maintenant en pleine forme, tellement dur quil me semblait sentir le sang battre dans ses veines. Jabandonnais brusquement sa bouche et me coulais rapidement vers cette queue qui désormais mobsédait. Je lengloutis sans aucun préambule. Gerald tenta de men empêcher. « Pas ici, nous sommes sur la plage. Ca ne se fait pas ».
Je ne lécoutais déjà plus.
Javalais, léchais, tétais avec frénésie menivrant de son goût et de son odeur.
Gerald finit par sallonger. Il abdiquait se qui eu pour effet de me calmer un peu. Je suçotais maintenant ses belles bourses, les reniflais, puis laissais remonter ma langue le long de sa tige afin de gober à nouveau son gland maculé de ce merveilleux liquide pré séminal qui rend la fellation si savoureuse. Je prenais bien le temps daspirer puis engloutissais à nouveau son sexe cherchant toujours à aller le plus profondément possible. Je désirais plus que tout enfouir mon nez dans les poils de son pubis mais la grosseur du gland de mon homme men empêchait. Javais déjà réussi à avaler entièrement un sexe, mais il était beaucoup plus fin. Et là en loccurrence, cela bloquait au fond de ma gorge.
Je finis donc par me concentrer sur lessentiel (un bon ¾) et suçais avec toute la gourmandise possible guettant maintenant avec de plus en plus dimpatience larrivée de sa jouissance.
Lorsque Gerald se redressa brusquement et pris ma tête entre ses mains me demandant grâce, je sus que ma récompense approchait. Je levais alors les yeux vers lui :
- Tu naimes pas, je te fais mal ?
- Non au contraire. Mais si tu continu comme ça je ne réponds plus de rien
- Tant mieux, cest le but. Laisse moi faire et prends du plaisir dans ma bouche. Jadore ça tu sais
Sans le laisser réagir, je replongeais vers son intimité pour lengloutir à nouveau. Je le suçais maintenant avec une voracité et une soif incontrôlable. Mon abnégation eut enfin raison de lui. Les premiers jets sécrasèrent avec force sur mon palais. Je serrais au mieux mes lèvres autour de sa tige afin de ne rien perdre. Je voulais tout garder en bouche pour ensuite continuer à le sucer tendrement, sa queue noyée dans ma bouche pleine de son jus, avant de tout avaler. Mais labondance de semence mobligea à déglutir une première fois puis une deuxième.
Du sperme sécoulait bien malgré moi de ma bouche et je ny pouvais rien. Je crus quil ne sarrêterait jamais. Une telle explosion ne métait encore jamais arrivée et cest dans un état complètement second que javalais ma dernière ration de sève de mâle. Je continuais un petit moment à le sucer amoureusement, pris soin de bien le nettoyer avant de me laisser emporter par ses bras qui mattiraient vers lui pour un baiser à la fois brûlant et humide.
Quelques voyeurs avaient rapproché leur serviette pour mieux apprécier le spectacle. Se qui sembla rassurer Gerald. Il ne put malgré tout sempêcher de me faire la morale. Faire ça sur la plage était complètement interdit. Le nudisme était juste toléré alors les ébats sexuels
Non, cétait un coup à passer la nuit en prison. Je me fis tout petit puis filais piquer une tête. A mon retour, Gerald me dit de prendre ma serviette. La journée se terminait. Une bonne douche et un petit apéro bien frais nous attendaient chez lui. En matière dinvitation il ne sembarrassait pas. Tu me suis ou tu me suis. Je le suivis.
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