Je Pense Au Studio De La Fille De Mon Amie, À Mon Mari Et....Au Routier
Me revoilà ! Jai déjà écrit ici pour la toute première fois. Vous lavez peut-être déjà lue mon histoire, non ? Bref, cest toujours moi, Alizée. Je prends un peu de temps pour écrire. Mon mari et mes s sont absents. Je vais vous raconter une histoire qui mest vraiment arrivée. Cest moins difficile de le faire par écrit car cest anonyme et ici, tout le monde partage des histoires, quelles soient réelles ou non.
Il y a quelques jours, jai aidé la gamine dune amie à emménager dans son studio. Bientôt la rentrée ! Eh oui, déjà ! Jy ai passé une bonne partie de la journée. Jétais partie avec ma voiture car mon amie restait chez sa fille une nuit. Je reviens donc seule et marrête sur une petite aire de repos. Quelques tables pour pique-niquer, des toilettes... Il ny avait quune autre voiture et quelques camions. Je coupe le moteur et recule mon siège pour étirer un peu mes jambes. Je bois un peu deau et regarde ce qui se passe autour de moi. Les passagers de lautre voiture viennent de finir de manger et remontent dans celle-ci avant de démarrer. Je les regarde séloigner. Je regarde les camions et les compte : il y en a 5 en tout. Jai toujours pensé quêtre routier était un métier difficile. Passer sa vie sur les routes, seul dans sa cabine, sans famille autour de soi. Je vois passer un homme de 25 ans (je ne suis pas douée pour donner un âge approximatif) qui se dirige vers les toilettes. Il est habillé en pantalon de jogging, un t-shirt, des sandales aux pieds. Il a les cheveux courts. Il parle au téléphone. Je le fixe car je le trouve jeune pour être routier. Jai lhabitude den voir des plus âgés. Il ma donné une idée, celle daller aux W.C. Depuis mon départ, je ne me suis pas arrêtée et lenvie se fait sentir. Jarrive devant le « bloc » sanitaire et marrête. Je cherche les toilettes pour femmes. Jentends « Cest par là ! ». Je regarde vers la voix et voit le jeune routier aux urinoirs qui me sourit en pointant la direction.
- Vous venez doù ?
- De Bordeaux.
- Une bonne route, non ?
- Ca va, ca va. Jai lhabitude et il faut bien travailler.
- Eh oui.
Il a un beau visage et un beau sourire. On parle, on parle. Il me dit quil na pas de vraie petite-amie car « cest difficile dentretenir quelque chose quand on est loin lun de lautre ». Et là, je ne sais pas ce qui ma pris, je pose ma main sur son biceps. Je sens son muscle se raidir. Il continue de parler, je bois ses paroles. Je me nourris de son sourire. Et là, ça ne me prend pas souvent, je lui dis :
- Moi aussi, je mennuies. Toute seule sur cette route depuis plusieurs heures. On va marcher ?
- Oui, oui. Si vous...
- Allez, dis-moi « tu ».
On séloigne vers un petit coin de pelouse. Je lui dis quil a lair musclé. En plaisantant, il soulève son t-shirt et me montre un ventre plat, avec quelques abdos qui pointent. Ce nest pas non plus un mannequin mais je trouve ça joli et prise dans le même délire, je les lui touche. On se regarde, il mattire vers lui et membrasse. Entraînée dans un tourbillon dexcitation, de désir, dinterdit, je magenouille devant lui et lui baisse lentement son pantalon. Je tombe sur un boxer à fines rayures qui laisse entrevoir un sexe excité. Je le baisse et son sexe jaillit. Il na quun léger duvet de poils blonds qui surmontent son sexe non circoncis. Je mactive à lui faire une fellation. Après quelques minutes, je le sens venir, je me retire donc et le laisse jouir sur lherbe. Nous nous quittons en silence. Il partit avant moi puis je rejoignis ma voiture.
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