Vengeance D'Une Ex À Une Ex (Suite 4)

Veuillez m'excuser pour cette longue période d'absence, j'ai été très occupé dans ma vie mais me revoilà avec mes deux ex qui se font la guerre, j'espère que vous apprécierez la suite du spectacle;)

Petite piqûre de rappel :
Meg et Amélie sont deux de mes ex de 18 et 20 ans respectivement, l’une brune, jolie, l’air in ; l’autre blonde aux yeux bleus, magnifique.
Amélie est toujours prisonnière d'Antoine, Meg et d'un inconnu.
La fin d'après midi s'annonce lorsque commence cette partie de l'histoire.

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Amélie arriva dans le salon après une bonne douche et vit les trois tortionnaire entrain de discuter de son sort comme si elle n'était pas là :

« Alors on va faire quoi maintenant ? demanda Meg. Il nous reste toute la nuit pour nous amuser !

-Eh mais elle devait être à moi ! s'écria Antoine.

-T'inquiètes, t'auras ce que tu veux mais on veut s'amuser aussi...

-Et pourquoi pas une promenade ? intervint l'inconnu.

-Il est plus fourbe que nous, il faut l'avouer. Ça me plaît bien moi, Antoine, t'en dis quoi ?

-Mouais, ça peut se faire.

-Marché conclu. Toi ! dit Meg en se tournant vers Amélie qui attendait nue, les bras ballants au milieu du salon. Va dans le carton qu'on a livré hier et prends le collier et la laisse, on part en ballade. »

Effrayée par cette perspective, Amélie n'avait pourtant pas le choix et partit chercher ce qu'on lui demandait.
« Mais comment je vais me sortir de tout ça moi ? Et si on me reconnaissait dans la rue ? »
Une fois le matériel apporté, elle fut e de mettre son collier et d'y attacher sa laisse et ils sortirent ainsi tous quatre, dont une nue à quatre pattes tenue en laisse, pourpre de honte et luisante d'aphrodisiaque.

Le départ fut très difficile pour notre petite infortunée : les gens la regardaient avec insistance depuis l'autre trottoir et les voitures la klaxonnaient.


Cette marche, trop lente au goût d'Amélie les mena à un petit parc peu rempli à l'heure du dîner.
Les gens la voyaient de beaucoup trop près et ouvraient des yeux ronds en voyant une femme ainsi traitée.
A un moment, un passant un peu moins vertueux que les autres demanda s'il pouvait la toucher.Comme les « maîtres » de la demoiselle l'encouragèrent, il commença à lui caresser les cheveux comme on caresserait une chienne et continua, ne voyant aucune résistance ni des maîtres ni de la chienne en question.
Les trois dominateurs amenèrent la pauvre Amélie à l'abri des buissons afin de ne pas trop attirer l'attention mais choisirent quand même un site assez exposé pour que les voyeurs et profiteurs puissent les repérer et en tirer profit.

Au bout d'une dizaine de minutes, ils étaient trois à promener leurs mains sur elle, se faire sucer et l'un d'eux allait même s'introduire auprès de la jeune fille. Une quinzaine de personnes se délectait du spectacle si bien que le rassemblement commençait à attirer de plus en plus de monde.
Amélie avait donc maintenant un sexe dans la bouche, un dans son intimité et un vieil homme lui tirait sur les tétons à lui en faire mal.
Le sexe dans sa bouche l'empêchait de crier, si bien que les seuls bruits qu'on pouvait entendre étaient des gémissements étouffés et rythmés.
Lorsque les deux hommes se furent vidés dans leurs orifices attitrés, Amélie se sentait transpirante, du sperme lui coulait sur le menton vu qu'elle n'avait pu tout avaler et dégoulinait le long de ses cuisses pour goutter sur le sol.
Le vieil homme sadique allait rentrer en elle lorsque la foule se dispersa brusquement.
Deux policiers faisant leur ronde dans le parc avaient trouvé cet attroupement bizarre et s'était approchés juste à temps pour voir les deux hommes jouir en elle.
Ils avaient attendu la fin de ce spectacle et profité de la vue avant de se faire remarquer et d'interrompre le coït publique dont tout le monde s'était délecté.


« Allez, fini le spectacle, dispersez vous !

-Et vous quatre, on vous embarque, renchérit le second policier. »

Une fois au poste, Amélie toujours nue fut assise sur une serviette pour éviter de mettre de la semence plein les chaises du commissariat et les quatre jeunes durent faire face aux policiers et à la sentence qui allait tomber.
Amélie jubilait car venait enfin son heure de vengeance et de libération, elle pourrait leur expliquer, et ils la sauveraient en exigeant la destruction de toutes les images et vidéos d'elle.

Un des policiers se mit à parler, interrompant le cours de ses victorieuses pensées :

« Bon Meg, c'est un beau morceau que tu nous amènes là, tu nous expliques ?

-C'est une longue histoire mais pour faire court, elle est à ma botte et on a décidé de s'amuser un peu en la sortant. La scène de tout à l'heure n'était pas prévu mais c'était pas mal, tu trouves pas Martin ?

-Ah ouais, fit le deuxième agent, ça pour du spectacle, tu nous étonnera toujours petite. Eh, on peut la garder pour la nuit ? Ça nous fera une incarcération pour outrage à la pudeur, et nous on s'éclatera un petit coup, c'est triste la nuit ici...

-Ah bah ok, elle est à vous, je viendrai la chercher demain matin, amusez vous bien. Ne t'inquiètes pas, tu auras d'autres occasion, soupira-t-elle en se tournant vers Antoine qui était sidéré de voir sa plus belle nuit réduite à néant. »

Pendant toute cette conversation, Amélie devenait de plus en plus blême. Les sauveteurs qu'elle espérait venaient de se transformer en un nouveau cauchemar. Ils connaissaient la fille qui l'asservissait et elle sera leur prochain jouet. Elle ne pouvait imaginer tout ce qui pouvait se passer dans un commissariat presque vide durant la nuit...

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Suite au prochain épisode.
Toujours ouvert aux critiques positives et négatives pourvu qu'elles soient argumentées.

Toujours en faveur des préservatifs qui sont absents de mes histoires pour cause de facilité narrative.
En espérant que ca vous ait plu, à bientôt;)

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