Un Massage Particulier
Pour mon anniversaire, ma moitié ma offert une séance de massage et malgré mes demandes, impossible de lui faire donner des précisions ; simplement un belle enveloppe , avec un gros baiser de rouge à lèvre dessus et une adresse , une date et une heure ; que cela ne tienne, il ne me reste plus quà être à lheure.
Jai du mal à trouver ladresse, car il sagit dune simple porte avec linscription « institut ». Dans le hall un fauteuil et rien dautre ; je suis un peu intrigué quand une porte souvre et une grande et belle fille, le sourire aux lèvres, vient maccueillir. Les cheveux noirs et courts, finement maquillée, simplement vêtue dune jupette tendue sur un fessier de belle facture et dun corsage blanc transparent laissant découvrir deux seins de taille moyenne (85 sans doute) avec deux tétons assez gros ; manifestement cest une métisse. Dun geste de la main elle me montre lentrée de la pièce et me demande de me déshabiller en attendant son retour ; sa voix est chaude et pendant que je me dessape, ma queue a déjà pris une bonne rigidité ; la pièce est doucement éclairée et une douce musique diffuse un air latino ,une table est revêtue dune serviette moelleuse ; elle revient peu de temps après et en me voyant en slip, elle a un grand sourire et elle minvite à le quitter et à mallonger à plat ventre sur la serviette.
Quelques gouttes dune huile parfumée et ses mains se posent sur mes jambes ; elles sont douces et le massage est des plus agréable ; elles glissent de mes orteils à mon cou et il me faut peu de temps pour me laisser aller à la caresse ; je ferme les yeux et plus rien ne compte ; pourtant rapidement le massage prend une autre tournure ; mécartant les jambes , ses mains saventurent de plus en plus sur mon fessier et mon entrejambe ; des doigts viennent senvelopper autour de mes boules , puis se faufilent sous mon ventre pour agacer ma queue qui peu à peu reprend vigueur ; une main branlant ma verge, lautre sur ma raie et souvent sur mon anneau, elle me fait rapidement prendre mon pied et je gémis doucement , complètement à sa merci ; un gel vient glisser sur mon anneau et un doigt , puis rapidement deux viennent le dilater.
« je vois que tu aimes te faire défoncer ; ta femme mavait prévenu que tu aimes les grosses bites, tu vas être servi » sa voix est devenue plus dure ; je comprends que la séance va être plus hard ; me tirant par les hanches, elle me mets en bout de table les pieds aux sols ; ainsi positionné, je sais que mon cul doit être saillant, offert et je ne demande que cela ; les yeux clos je nattends par longtemps mais en même temps, une grosse surprise ; cest maintenant une vraie bite qui se frotte sur lanneau et qui dune poussée me transperce ; je ne peux retenir un cri de douleur et me retournant je découvre que ma masseuse sest dévêtue et quelle me baise réellement : cest un trans et vu ce que jai dans le cul, il doit être bien monté ! Il senfonce profondément en moi et jai limpression quil va me perforer tellement il est long . Se retirant, il me retourne et mettant mes jambes sur ses épaules, il me défonce à nouveau la rondelle , agrippé à mes hanches ; dabord surpris par les événements , je me reprends vite ; je me branle et en même temps je lui pince les mamelons en érection ; il se déchaine , me pilonne , minvective ; plus il est puissant plus mon plaisir monte : le mélange de son membre qui me fouille et de la pensée que je me fais baiser par un trans fait monter mes envies et je me branle de plus en plus fort.
« Vas-y prouve moi que ta bite peut faire jouir un mec, défonce moi, fais moi mal, remplis moi de ta jute » je pense que jai touché juste car il devient vraiment violant ; ses couilles, cest vrai je les avais oubliées, frappent mes fesses et il bute furieusement son pubis contre le mien, la bite profondément rentrée entre mes fesses.
« Je sens ta queue au fond de mon trou
.. Vas-y, jaime les grosses bites, tu peux me défoncer, lâche toi, jaime avoir mal
.. »
Il a quitté mes hanches et pris mes épaules ; je suis arque bouté sur son bassin et ses coups de bites me défoncent, me perforent violement ; une main vient me torde durement un téton et sous la douleur je pousse un cri de douleur ; il nen tient pas compte et continue à me le triturer déclenchant une violente jouissance ; mes cris sont maintenant des cris de bonheur «oui, continue, baise moi,
.. Je suis à toi, remplis moi, oh oui
» Ses jets frappent mes entrailles, chauds, puissants, nombreux et cest deux jouissances simultanées qui retentissent dans le salon.
Le temps que je récupère, elle est redevenue la jeune femme, le sourire aux lèvres
« tu as une femme super et jespère que pour toi, le cadeau a été agréable ? »
Ressorti, jai encore la sensation de son sexe en moi ; je décroche mon téléphone et jappelle ma douce « merci pour ton cadeau, mais prépare toi, jarrive
. »
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