Il Me Regarde Et Comprend

C’est encore moi. Je n’ai pas eu le temps de vous raconter de nouvelles histoires...car je n’en ai pas vécues après celle du routier qui m’a laissé un goût amer. En effet, je suis une épouse fidèle et succomber à mes désirs les plus profonds m’a fait en même temps du bien mais m’a tourmentée. Alors, pour combler cela, j’ai décidé d’aller voir mon mari à son bureau durant sa pause déjeuner. Je voulais lui donner du plaisir comme j’en avais donné au routier inconnu.

J’arrive à la réception et demande à voir mon mari. La secrétaire m’informe qu’il n’est ni sorti ni en réunion et qu’il peut donc me recevoir. Elle doit penser que je viens lui parler des s, des dernières dépenses sur un site internet de shopping etc. Et bien non, je suis ici pour lui montrer à quel point je tiens à lui et que même après 40 ans, on peut être en pleine forme. Je prends l’ascenseur. Le bureau de mon mari se trouve au 6ème étage. La cabine stoppe au 3ème et monte un bel homme en costume gris et chaussures vernies. Un beau mec, quoi ! Il me salue, je fais de même. Il se tient devant moi et j’en profite pour le regarder. Il est assez grand, bien bâti sans pour autant être le sosie d’un body-builder, des fesses plutôt fermes moulées par son pantalon. L’ascenseur s’arrête, il me laisse sortir en me jetant un petit coup d’oeil. Je frappe à la porte de mon mari et pénètre dans son bureau.

Il m’embrasse et me demande la raison de ma présence. Je lui dis qu’il ne va pas manger avec ses collègues, que je vais lui tenir compagnie (intérieurement, je pense plutôt que c’est lui qui va me tenir). Il sourit et me propose une chaise. Je vois passer ses collègues qui vont déjeuner à l’extérieur. Il leur explique que je lui ai fait une surprise. Il baisse les stores et quand il passe à côté de moi, je lui pose une main sur son sexe. Il me regarde et comprend alors que son repas, c’est moi.

Je m’agenouille et défait sa braguette. Il quitte sa veste et retire quelques boutons de sa chemise.

Je baisse son boxer et m’empare de son sexe. Il est encore un peu mou, j’en profite pour me donner quelques claques sur les joues mais aussi sur la langue. Je le décalotte et donner quelques petits baisers sur son gland. Il prend son sexe en main et le dirige dans ma bouche. Je commence donc à le sucer. Il gémit un peu. Il se contrôle pour éviter que quelqu’un ne l’entende. Je m’amuse à lui planter mes dents dans sa chair pour qu’il crie plus fort. Il commencer des va-et-vient dans ma bouche en me tenant par les cheveux. Il aime cette position, il me domine. J’avoue que cette position ne me déplaît pas. Je suis une femme insoumise dans ma vie quotidienne mais dans le sexe, tout est différent. Quelques gouttes de liquide séminal coulent sur mon menton. J’entoure de ma langue son gland qui grossit encore. Il se retire de ma gorge et va s’installer dans le fauteuil derrière son bureau. Il défait sa ceinture, baisse son pantalon jusqu’aux pieds et me place face à son sexe. Je m’occupe de ses testicules, je les fais rouler dans mes mains, sous ma langue. Je croque gentimment dedans. Il se soulève du siège. Cette situation l’excite, mon jeu, mes caresses l’envahissent de plaisir. Je pousse le plus loin possible son sexe dans ma gorge. Mon nez rencontre ses poils, son odeur. Il me relève, m’embrasse et me caresse. Il sort mes seins, les touche, les mordille. Il me retourne et me pénètre violemment. Je sais qu’il est à fond, qu’il a envie de ce moment bestial. Je ne peux empêcher mes cris de retentir. Il se vide en moi et m’aplatit sous lui sur le coin de son bureau. Quelques minutes plus tard, il part aux toilettes pour se redonner de la tenue. J’entends des petits coups à la porte, je vais ouvrir et tombe nez à nez avec le beau gosse de l’ascenseur. Il dépose en silence un dossier sur le bureau de mon mari puis sort en me jetant un sourire. Je suis redevenue une femme respectable, recoiffée, remaquillée, essuyée de la semence de mon époux... Il n’a rien pu percevoir de notre moment de folie. Je me jette sur le dossier pour tenter d’y déceler le nom de cet inconnu. Je le trouve et me réjouit. Un jour, peut-être, je l’inviterais à un dîner...