Outre-Mer (2)

Le lendemain matin, je me réveille passé 6hrs. J’ai bien dormi, mais si je ne fais pas vite, il m’en cuira d’avoir bien dormi, je crois. Donc je m’habille à la hâte et je descends prendre un rapide petit-déjeuner. Je vais ensuite me présenter à la porte de la chambre de Monsieur. Il m’attend et me fait entrer. Il remarque immédiatement que je n’ai pas pensé lui amener son petit déjeuner.

- « En plus de ne pas m’apporter à manger ce matin, tu vas m’obliger de te punir alors que je suis encore au lit. Tu vas t’en souvenir. Je ne permets pas ça. Viens ici. Tu auras droit à 10 claques. Maintenant, couche-toi sur mes genoux et lève ta robe pour me laisser voir tes fesses. Pendant que tu y es, écarte bien les fesses que je vois cet anus de plus près. »

Ouff, dans quoi me suis-je aventuré en venant ici? Je ne veux pas trop me poser de question pour ne pas reculer, alors j’obéi.

- « Peux-tu me dire pourquoi tu as plein de poils autour du trou de cul? Tu le fais exprès ou quoi? Je te veux toujours propre et prête pour moi, est-ce clair? « Oui Monsieur ». théo, va chercher bonny et dis lui d’amener le laser. Dis lui aussi de ne pas apporter la crème anesthésiante, elle va apprendre à être présentable cette trainée. Toi, tu vas aller me chercher mon déjeuner et tu es mieux d’être revenue avant bonny. »

Je pars presque à la course pour chercher son déjeuner car je ne veux pas revenir la dernière. Je reviens avant bonny et je dépose le plateau à coté de Monsieur Jérôme.

- Bon, annabelle, bonny va t’épiler le cul au laser, tu n’auras pas droit à la crème qui atténuerait le choc. Aussi je t’avertie que je ne veux pas entendre un son pendant que je mange mon déjeuner sinon gare à tes fesses.

Je vais me placer au pied du lit, le visage tourné vers Monsieur et les fesses vers bonny. Elle me demande d’ouvrir les fesses et commence à brûler mes poils. AIE, non mais j’ai l’impression qu’une aiguille chauffée à blanc entre dans ma peau.

Je fais quelques sons et je gigote un peu. Puis, je regarde Monsieur Jérôme et je me calme instantanément. Ses yeux ne me disent rien qui vaille. Je dois me calmer sinon ce sera pire. Il n’y a quand même pas tant de poil autour d’un anus, du moins, je le souhaite vivement. Puis, bonny me dit que c’est terminé. Je me relève et retourne près de vous à votre signe de la main.

- Tu es enfin plus présentable. Maintenant que j’ai fini mon déjeuner. Tu vas te coucher sur mes genoux et relever ta robe à nouveau. Tu es prête pour ta punition.
- Pardon Monsieur, mais je crois que je l’ai eu avec le laser.
- Tu oses me contredire. Il y a quelque chose que tu n’as pas compris ici la. Mais je crois que tu vas finir pas comprendre assez vite. Donc, ce sera finalement 10 sur chaque fesse. Tu vas voir qu’ici tu ne décide plus rien. Alors dépêche-toi de venir te placer sinon j’en rajoute encore.

J’appréhende le moment, mais je ne suis quand même pas stupide, donc je me dépêche de m’installer sur ses genoux. Et j’attends la première claque. Elle vient rapidement, et plus fort que je ne m’y attendais. Non mais, la dernière fois que j’ai reçu ce genre de claque je devais avoir 5 ans. Je ne suis pas une spécialiste de la fessée.

- Tu n’as pas compté alors on recommence. Je vois que je devrai tout te montrer. Tu es mieux d’apprendre vite, je ne suis pas toujours patient. Compte chaque coup à voix haute et tu me remercieras à la fin. Si tu oublie, on recommence.

Je passe ces quelques minutes à me rebeller contre l’idée de me faire punir comme une . J’ai les fesses en feu. J’ai hâte que ça se termine. Après avoir fini de subir cette punition, je sens un doigt entrer en moi.

- Tu es toute trempée petite salope. Tu vois que tu es faite pour ce rôle. Tu vas mouiller comme jamais ici.

Quoi? Je suis mouillée. C’est ça la soumission? Ne plus avoir de contrôle sur rien. Même pas sur mon propre corps. Mon seul allié me trahi.


- Bon, c’est bien beau tout ça, mais tu dois commencer ton travail. Le matin j’aime être sucé doucement mais, dans la journée je préfère plus vite et plus dur. Peu importe le moment de la journée, j’aime sentir ma queue entrer profondément dans une gorge. (Je vais vraiment devenir une pute à ce rythme là. Bonne qu’à n’être nue et à sucer des queues. Où est passé celle qui peut aider à gérer un domaine : elle est à genou devant un homme).Donc vient ici, et suce-moi.
- Monsieur, je n’ai jamais poussé une queue vraiment loin dans ma gorge.
- Tu vas apprendre, tu n’as pas vraiment le choix. Je vais te montrer dès ce matin. Approche.
Je prends sa queue entre mes mains et je la lèche doucement, puis je la prend en bouche et fais de petits va-et-vient. Je sens qu’il prend ma tête et enfonce sa queue dans ma gorge.
- J’ai dit doucement le matin, je n’ai pas dit que je voulais me rendormir à me faire sucer. Tu vas aussi loin, mais juste moins vite le matin. Messemble que ce n’est pas difficile à comprendre ça. Bon là, tu te calme, même si ça va loin. Plus tu vas stresser et plus tu manqueras d’air. Je vais pousser ta tête pour que ma queue s’enfonce plus loin. Tu n’as qu’à te calmer. Si tu te débats, je te maintiens.

Il sort sa queue de ma bouche pour me laisser respirer et prendre de bonnes inspirations. Puis, il s’enfonce à nouveau dans ma bouche. Je me débats un peu, alors il me laisse la. Je cherche mon air, je me débats de plus en plus. Il se retire et recommence après 2 inspirations. Je recommence à me débattre quand je sens que j’ai moins d’air. Je reçois une gifle en plein visage.

- Je ne vais pas passer mon temps à te retenir là. Je t’ai dit de te calmer. Si tu ne veux pas plus de claques, tu sais quoi faire.

Il recommence et tient toujours ma tête. Chaque fois que je me calme un peu, il enfonce sa queue un peu plus loin. Puis, il me laisse respirer et avaler toute la bave qui se crée dans ma bouche et il recommence encore en poussant plus loin.
Mes yeux et mon nez commencent à couler. Il pousse une dernière fois pour que ma tête soit collée à son torse. Il m’y laisse quelques secondes et me laisse enfin respirer.

- Maintenant que tu as été jusqu’au bout, je ne veux plus t’entendre dire que tu n’es pas capable, sinon la prochaine fois je te laisse ma queue dans la gorge encore plus longtemps, est-ce clair?
- Oui Monsieur
- Bon, maintenant, fini la job. Et tu avales tout, toujours. À moins que je ne te dise autre chose. Montre-moi que tu as compris à quel point j’aime ça loin.

Je reprends le membre de Monsieur et je vais toujours plus loin. Je le lèche, je le suce, je le pousse au fond, jusqu’à ce que je sente son plaisir arriver. Puis, j’avale toute sa semence.

- Va me faire couler un bain, puis viens m’avertir quand ce sera prêt.

J’y vais, puis je reviens le chercher. Il entre dans le bain et me demande de le laver. Je fais de mon mieux pour le détendre et bien le laver. Puis, je le sèche avec une grosse serviette. Et pendant qu’il sort de la salle de bain, j’en profite pour prendre une débarbouillette et me laver l’entrejambe tout humide. Je reçois un coup derrière les jambes et je tombe à genou au sol et me fait plaquer la tête dans le fond du bain encore plein. Je me débats, mais on me maintient toujours dans l’eau. Puis je comprends que je dois arrêter de me débattre si je ne veux pas finir noyer. À ce moment là, on me sort la tête de l’eau.

- Est-ce que j’ai dit que tu pouvais te laver? Je ne crois pas. Donc tu te laveras quand je te le dirai, est-ce clair?
- Oui Monsieur
- Pendant que bonny m’habillera, tu iras porter mon assiette à la cuisine et tu m’attendras dans mon bureau. On a du travail.
- Bien Monsieur

Je quitte la salle de bain et je ramène son assiette à la cuisine. Je vais ensuite à son bureau et j’attends devant la porte, puisqu’elle est fermée. Il me rejoint quelques minutes plus tard.

- Ton travail pour le moment sera d’ouvrir toutes les enveloppes reçues et les classer par thèmes pour que je puisse mieux m’en occuper par la suite.
Il y en a beaucoup, car j’organise une soirée prochainement et la fille qui était à ta place est partie depuis plusieurs jours. Elle ne faisait pas l’affaire.
- Bien Monsieur
- Avant de commencer ton travail, je veux que tu insère ce gode dans ton cul. Il faut te préparer à pouvoir tout recevoir désormais. Donc, vas y. Amuse toi si ça peut t’aider, mais dépêche toi sinon c’est moi qui l’insère, et je ne crois pas que tu aimeras.
- Ici? Devant vous?
- Crois-tu vraiment que tu auras de petit moment d’intimité parce que tu es gênée. C’est fini ces moments là. Tu feras tout à l’endroit que je désigne, alors dépêche toi avant que je m’impatiente.
- Bien Monsieur

Je m’installe par terre et je commence à le pousser, après l’avoir enduit de lubrifiant, puis je joue avec mon clitoris. Disons qu’il n’est pas petit et qu’il faut du temps pour le rentrer. Je dois me calmer et c’est difficile en ce moment. Je fini par l’insérer au complet après quelques minutes et je commence mon travail avec les enveloppes.

Vous avez un long téléphone à faire alors vous vous installez confortablement dans une causeuse et bonny vient prendre place à 4 pattes à vos pieds. Je ne comprends pas pourquoi, jusqu’à ce que je vous vois mettre vos pieds sur son dos. Elle vous sert de pouf. Une personne qui sert de meuble, je n’en reviens pas. Il y a des gens qui font ça? Je suis vraiment loin de chez moi. Après plusieurs minutes, elle me fait signe de venir la rejoindre. Je ne sais pas si je peux, mais elle insiste avec des signes des doigts et de la main. Alors j’y vais. En chuchotant, elle me dit :

- Je dois aller chercher son thé, alors prends ma place. Ses pieds ne doivent pas toucher par terre pendant qu’on change de place, alors essaie de passer derrière moi et puis avance doucement pendant que je le fais aussi. S’il n’a pas fini son téléphone quand je reviendrai, je reprendrai ma place et tu pourras retourner à ta tâche. Peu importe ce qui arrive, ne fais pas de bruit. Il déteste le bruit lorsqu’il est au téléphone. Merci, je reviens bientôt.

Nous changeons de place avec difficulté, mais on y arrive : difficile de passer derrière quand on est plus grande. Puis, elle quitte la pièce et je me retrouve à faire le pouf. Après seulement quelques secondes, je le sens bouger. Il place un pied sur mes fesses, et pousse sur le gode avec son talon. Je me concentre pour ne pas faire de bruit, mais le gode bouge en moi. Il appuie de plus en plus vite et de plus en plus fort sur le gode. J’essaie de ne pas bouger, ni de faire de bruit. Je sais que je ne devrais pas dire ça, mais j’aime le feeling que ça procure en moi. J’aime les sensations, j’aime le fait d’être là, même si c’est juste comme pouf. Je commence à me sentir à ma place, un peu comme bonny. Elle ne se pose plus de question. Elle agi et réponds aux demandes. Je veux devenir comme elle. Pas de tracas, juste une envie de plaire.

Parlant d’elle, elle revient avec le thé qu’elle dépose à côté de Monsieur, puis elle revient prendre sa place, me dit merci et me laisse retourner à mes enveloppes. Je l’aime bien bonny. J’espère que c’est réciproque. Ici, je crois que je vais avoir besoin de soutien, de complicité. De toute façon, c’est toujours mieux de travailler avec des gens avec qui il est agréable de travailler ou dans ce cas-ci : servir.

Tout en continuant mon travail de triage, je me mets à penser à la vie dans ce domaine. Je vois maintenant les domestiques d’un œil différent. Je me promets de les observer encore plus, de remarquer leurs façon de faire et leur façon de réagir à toute demande. Si je dois faire partie du groupe, je veux me sentir à ma place. Je fantasmais sur le fait d’être un jour soumise, je le suis maintenant, alors aussi bien remplir ce rôle de la meilleure façon possible.

- Bon c’est l’heure du diner. Tu iras manger à la cuisine, bonny m’apportera le repas à la salle à manger. Tu as 15 min pour aller te sustenter et un autre 15 min pour aller te nettoyer le cul. Si tu ne sais pas comment, demande à un domestique, il t’expliquera. Dans 30 min, je te veux à mes pieds. Allez!

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!