Dans Le Cul De Ma Bru...

Belle-fille, si belle fille (4)

Je me réveille et c’est la précision de mes souvenirs qui me confirment que je n’ai pas rêvé !
Décidément cette fille est une goulue.
Et je me décide à deux choses… La première c’est d’essayer, pas plus tard que dans l’heure qui vient, de gouter à son trou du cul avec autre chose que mon doigt… La seconde, beaucoup moins évidente, serait de trouver le moyen de la faire disparaître de la vie de mon fils. Un reste de scrupule… ?
La première partie de ce programme réclame juste que je quitte la maison, me gare pas trop loin et surveille les départs…
La voie est libre. Retour au bercail. Je frappe à la porte et entre… Malgré une vive réaction, j’ai eu le temps de voir que la belle se masturbait avec délectation, jambes largement écartées et les deux mains plongées entre ses jambes…
Elle me voit arriver avec un large sourire, me tends les bras, ouvre les jambes… cette fille est une créature venue ici-bas pour baiser et être baisée…
Ma bouche, comme par miracle se retrouve l’instant d’après collée à un sexe brulant et débordant de cyprine. Je me régale une nouvelle fois de cette jeunesse et de cet amour du sexe que je partage avec la Belle. Elle se donne totalement, aucune retenue, aucun tabou, aucune frustration. Je profite de tout. Sa bouche me suce, ses mains me caressent, je la bois, tête ses seins, la malaxe…
Finalement, je la retourne et remonte son cul, reprenant la position de cette nuit. Mais cette fois, si ma langue commence la visite avec une myriade de variations qui font trémousser, onduler ce cul somptueux, mon doigt puis deux doigts apprivoisent l’orifice et assouplissent l’entrée interdite…Tant et si bien que Nathalie se crispe dans un orgasme qui laisse bien augurer de ma chevauchée fantastique !
Et le moment tant espéré arrive, ma bite, tendue comme un arc se pointe contre la pastille…j’appuie, Nathalie m’aide en poussant, et après quelques secondes d’angoisse relative, je franchis le seuil du fourreau étroit!!!
Ah le pied ! La lente pénétration est jouissive, jusqu’à ce moment toujours incroyable ou je sens que je suis entièrement au fond de la femme qui m’accueille, que je sens mes couilles reposer contre la chatte, entre les jambes écartées… Et puis le pistonnage, toujours plus fort, toujours plus rapide.

Et puis ces pauses qui me permettent de me reprendre, de redescendre d’un cran pour pouvoir durer et enculer plus fort, plus longtemps…
Je l’insulte, la noie de paroles crues, la sodomise aussi longtemps que je le peux, ma main caresse son clito jusqu’à la faire jouir . La petite est comme folle. Cette fois, elle a sa dose, je crois. Mais je m’arrête pas, on change de position, elle est sur moi, ma queue n’a pas quitté l’écrin de son cul. Et c’est reparti. Jamais je n’ai autant balancé de coups de bite en une seule sodomie que cette fois !
« -Nathalie je vais décharger dans ton cul, ma petite chienne!!!!! »
-oui, mais attends, ta bite dans mon cul, c’est trop bon, j’en ai rêvé si souvent en me touchant tu sais…
Oh, ça je me doute…
Et j’accélère encore, frénétiquement. Et la chérie se tord de bonheur en jouissant encore. Et on varie les positions, moi au fond de son cul, elle a quatre pattes, le nez dans l’oreiller ou la tête tirée en arrière par ses cheveux que je tiens comme le cavalier qui monte à cru. Oh ma belle, que c’est bon. Qu’il va être bon le moment de la délivrance quand je vais lâcher les freins…
C’est bien sur elle à quatre pattes, les reins cambrés et mes mains enfoncées dans la chair de sa taille que je vais me laisser partir. Mes coups de bite sont aussi nombreux et profonds que rapides. Et Natahalie secoue la tête de gauche à droite, mélant douleur et plaisir dans des orgasmes successifs. Après une interminable séance dans son cul, je sens venir la libération et je m’échappe en elle, profitant de son anus si serré pour jouir au paroxysme….Je suis haletant. Elle est ma petite salope, comme je le lui ai crié tout à l’heure…
Elle ne me murmure rien d’autres que cette appartenance. J’en profite pour lui dire que je ne veux plus la partager. Elle me jure fidélité, qu’elle ne se donnera que sur mon ordre, que je suis son maitre. Finalement, je ne sais plus ce que je dois faire. Me priver de cette gamine qui me donne tout et veut tout de moi ? Vous êtes drôles… je voudrais vous y voir… Non, on verra quand le feu qui embrase nos culs aura baissé d’intensité.
Là, il faut bien qu’une bite occupe les orifices prévus à cet effet. Faute de bite sous le même toit, je ne doute pas que la salope en chercherait ailleurs. Tiens, ça me donne une idée…

Et vous ? car j’ai besoin de votre aval pour continuer mes confidences…

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