Le Boléro De Ravel
Enfin un nouveau commerce dans le quartier. Ici les grandes surfaces nont pas de clientèle. Nous préférons les véritables contacts humains. Le nouveau venu est apprécié : un primeur qui manquait. La commerçante, une jeune femme de mon âge, soit 30 ans, ouvre le matin très tôt pour fermer vers 13 heures, ouvre à nouveau à 17 heures pour fermer vers 20 heures. En plus elle livre en cas de besoin. Dès le premier jour elle ne doit pas regretter davoir ouvert sa boutique, ça ne désempli jamais.
Quand je vais faire mes courses, je vais toujours chez elle : souriante, avenante, commerçante quoi. Plus je la regarde plus je la trouve jolie, non pas jolie, belle. Elle est bavarde ce qui ne gâte rien à son charme.
Quand jouvre le matin les fenêtres de ma chambre je peux la voir sinstaller, ma journée commence bien. Il marrive de plus en plus de me masturber en fantasmant sur elle. Oui, je suis une femme qui aime les femmes.
Je la vois couchée sur le lit, les jambes ouvertes quand elle me donne son sexe à sucer pendant que mes mains caressent ses seins. Quand je mhabille, elle est de lautre coté de la rue et il me semble quelle me voit.
Je ne sais quune seule chose sur elle, son nom : Odile. Comme elle est toujours seule je conclue bien vite quelle est célibataire sans ami ou amant, encore moins sans copine comme moi.
Odile, donc est serviable et si on oublie son panier, ce nest pas grave, elle livre à domicile.
Elle me plait tellement que je vais un jour dans sa boutique sans mon couffin. Jétais habillée très court en ayant même omis de mettre une culotte. Je me suis regardée dans la glace du salon, en me penchant en avant toute ma chatte était visible : cétait le but.
Je fais mes courses, comme jai oublié le panier, elle me livrera vers 13 heures. En plus elle sait où jhabite.
En rentrant je me fait un cinéma pas possible : elle est nue dans la chambre, elle me caresse le clitoris, me fait jouir plusieurs fois avant de me sucer longuement.
Je reste habillée comme je suis, elle a du me voir parce qua un moment en se retournant après mêtre baissée, elle a piqué un fard.
Je suis comme une gamine qui attend que le père Noël passe pour sa poupée.
Jai beau passer un de mes disques préféré, le Boléro de Ravel, rien ny fait sinon que mexciter davantage (essayez le boléro de Ravel en faisant lamour, le rythme est parfait, la durée également).
Enfin elle sonne, jouvre, elle est là pimpante, souriante :
- Je porte vos achats, jy ai rajouté un petit sachet de cerises, vous men direz des nouvelles. Je le pose où ?
- Par ici, dans la cuisine.
Je la fais assoir sur un fauteuil dans le salon (il faut que je dise que jai hérité dune belle fortune qui me permet de vivre plus quà laise) Je lui offre un verre, elle choisi un petit verre dapéritif. Je la suis dans son choix.
Nous ne sommes pas des femmes pour rien, nous papotons. Elle a confiance en moi puisquelle mexplique quelle a rompu avec son ami pour cause de nonchalance.
- Attendez, il ne vous satisfaisait pas ?
- Pas du tout nous ne faisions lamour quune fois par semaine et en encore.
- En effet cest peu.
-Et vous ?
- Moi je suis célibataire, je me contente toute seule sinon avec une amie quand jen trouve une qui me plait, comme vous par exemple.
- Vous aimez les filles ?
- Oui, surtout quand elles sont jolies et sexy, comme vous quoi. Même puisque vous en êtes à vous masturber, je peux vous aider à passer le cap pour trouver quelquun.
Elle ne répond pas et rougi comme ce matin. Je pense quelle est sur la pente qui conduit dans mon lit.
Je la fais venir près de moi, sur le divan, elle est assise à me toucher. Je sens la chaleur de sa cuisse contre la mienne. Cette fois cest moi qui ai une envie folle de jouir. Je ny tiens plus, je me penche vers elle pour lembrasser. Son premier réflexe est le recul.
Elle se laisse faire, sans doute en réaction aux manques quelle a. Je pose une main sur le premier sein, je le caresse délicatement, elle se tend vers ma main. Je ne force pas du tout quand je passe une main vers larrière de son soutien gorge. Cest plus agréable et pour elle et pour moi.
Au fond que veut elle ? être branlée... Si jy ajoute des bricoles en plus qui lui fassent du bien, elle acceptera certainement. Jenlève son t-shirt et son soutien gorge, jai la liberté de la caresser et lembrasser. Je ne mattendais pas à une si belle poitrine : les seins durs, les tétons durcis par ma bouche et sensibles aux caresses. Je la tète longuement tout en poursuivant mon travail de fouilles : je défait la ceinture de son jean, y passe le main. Elle me laisse faire encore, jusquau moment où je touche sa chatte. Elle me fait retirer la main.
Tant pis, je descend son pantalon et son slip dans le même mouvement. Elle est nue maintenant : elle ne peut plus rien me refuser. Joublie lusage des mains pour ne me servir que de ma bouche. Elle est surprise quand ma langue passe sur son bouton. Je ne dois pas être la première à la lécher à cet endroit.
- Oui, suces moi, cest bon. Narrête surtout pas comme mon type.
Bingo, jai gagné je continue jusquau moment où tendue comme une arbalète elle pousse un petit cri de jouissance.
- Merci, cest la première fois que je jouis comme ça. Si tu veux je te le fais aussi.
- Bien sur que je veux, nous le ferons même ensemble. Tu vois comment ? en 69.
Je n'ai plus grand-chose à enlever pour être nue. Elle aussi me regarde en détail puisqu'aussi bien je suis la première fille quelle voit nue. Je suis tout près delle, elle me serre dans ses bras en me tenant par la taille. Je sens ses cheveux contre ma poitrine.
Je suis penchée sur elle, elle membrasse sans que je le lui demande.
Japproche ma chatte de sa bouche, elle sort la langue, me goute un peu avant de me lécher complètement. Je la sens partout, sauf sur lanus. Je le lui apprendrai après.
Quand je jouis, je reviens près delle, je la caresse partout où cest possible. Elle voudrais déjà exploiter un 69. Je la mets en position je viens sur elle. Je sens sa langue venir sur ma chatte. A mon tour de chercher dans sa fourrure les endroits que je ne connais pas encore. Jenfonce ma langue dans le vagin : elle jouit presque de suite. Je nen ai pas fini, je pose ma langue sur son rectum. Elle nen est pas tellement surprise. Elle accepte la feuille de rose. Elle va plus loin en essayant et réussissant à men faire autant. Nos langues sont à laise dans nos culs. Je la sens jouir encore. Je la suis.
Nous nous mettons dans une position plus académique.
- Que cétait bon. Que tu sais faire jouir les filles. Jai aimé. Je pourrai recommencer avec toi ?
- Quand tu voudras mon cur.
Tu sais nous avons oublié une chose.
Elle se pose des questions, je la fait assoir sur le divan, je massoit en face delle, jécarte mes jambes pour quelle fasse comme moi. Nous nous avançons : nos clitoris sont presque en contact. Je commence à frôler le sien avec le mien. Le contact nest pas toujours assuré. Nous pouvons nous embrasser et nous caresser les seins. Lensemble inventé par je ne sais quelle fille nous fait jouir.
Depuis cette première nous en sommes à baiser plusieurs fois pas jour. Elle y a gagné un beau gode, des boules de geisha et moi les mêmes choses en plus de légumes de forme phalloïde !
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