Ma Banquière
Ma banquière
Je la connais depuis plusieurs années, cinq à vrai dire, jour de son arrivée dans lagence ; pas très grande, potelée mais bien roulée, elle attire les regards avec ses yeux bleu acier, un sourire et surtout peut-être une jolie poitrine, toujours avantageusement cachée par des corsages, sagement décotés, mais malgré tout suggestifs. Très enjouée, elle est toujours présente lors de nos sorties, par contre, légèrement allumeuse, mais toujours à la limite ; elle sait y faire. Collègue de travail de ma femme cest, d'un commun accord entre nous, un terrain de chasse interdit même si plusieurs fois parait-il, elle avait laissé entendre que nous formions un beau couple , et surtout très sexy ; cela fait toujours plaisir.
Cest les vacances et à mon retour, il mest nécessaire de me rendre à lagence ; comme prévu, peu de clients et ne sont présents que le caissier et Maryse, la conseillère en question. Apres la bise conventionnelle, nous réglons les petites questions en cours mais jai du mal à poser mon regard en dehors de son décolleté ; en effet simplement vêtue dune robe en tissu léger, il mest facile de voir quelle ne porte pas de soutien gorge et de plus léchancrure de la robe laisse apparaitre une partie de lauréole de ses seins, difficile de résister et ma queue commence à être à létroit dans mon short ; il ne lui faut pas longtemps pour sapercevoir de mes regards appuyés ; tout en continuant la conversation, elle recule son siège et découvre alors ses cuisses, largement découvertes en raison de la jupe ultra courte ; le tableau est dautant plus bandant que négligeamant, elle écarte régulièrement ses genoux, découvrant ainsi petit à petit le liseré de son slip ; il me devient de plus en plus dur de cacher mon attirance et voulant garder les distances avec elle, je me lève pour partir.
« Tu es pressé ? Pour moi pas de problème, je me suis mis en rendez-vous pour une demi-heure ; nous ne serons pas dérangés.
Linvite est on ne peut plus claire mais je fais celui qui na pas compris et mapprete à partir.
« Pourtant ton désir est évident si je regarde la bosse de ton short ; je sais que je te plais et jai envie de toi depuis longtemps » ce faisant elle écarte un peu plus les cuisses, laissant apparaitre un slip blanc tendu sur un Minou ; à travers le tissu les deux lèvres sont visibles.
« Rassure toi ta femme nen saura rien » sa main se porte sur son sexe et un doigt disparait sous le tissu :
« allez vient tu ne vas pas me laisser comme cela ; jai envie de tes lèvres sur ma chatte » elle écarte alors son slip et apparait deux lèvres roses, gonflées par le désir, surmontées dune fine toison taillée ; en découvrant sa chatte, elle a tourné son buste et une pointe de sein déborde de la robe, saillante , attirante ; je ne peux résister plus longtemps et contournant le bureau, je me mets à genoux devant son ventre et ma langue vient titiller le bourgeon offert , puis doucement descend entre les lèvres quelle écarte aux maximum. Sur ma langue , un gout de cyprine, elle mouille déjà abondamment et quand je la pénètre avec la pointe, elle se cabre ; il me faut pas longtemps pour la faire jouir et den recevoir le témoignage ; elle me colle la bouche sur sa fente et avec délice je lui nettoie la chatte, lapant la mouille qui sécoule ; les lèvres pincées pour ne pas crier que sa jouissance est entière ; son corps est parcouru de soubresauts et elle sagrippe à ma tète, jusquà son relâchement complet.
« Viens à ma place, je vais te sucer ; la fermeture éclair est vite ouverte et elle fait jaillir mon zob, fière de sa superbe ; ses doigts jouent doucement avec la hampe dressée, descendant jusquaux boules quelle triture avec délice ; elle me branle vigoureusement , puis remplace sa main par une bouche avide ; elle me gobe la totalité de ma queue, pourtant de belle facture, mon gland frappant par le fond de son palais ; sa baise buccale est profonde, à la fois douce et rugueuse, alternant ses gestes, pour mieux mavaler ensuite ; dans mon ventre ma jouissance monte et sous leffet de sa sucette magistrale je ne vais pas pouvoir me retenir longtemps et je lui dit pour quelle se retire : bien au contraire, me regardant dans les yeux, elle me pompe, mempêchant de sortir de sa bouche et quand jéjacule, les jets doivent lui frapper le palais ; cest un vrai plaisir de la voir avaler et quant elle se redresse, un filet de jute sécoule de ses lèvres.
« Il est plaisant de travailler pour toi, reviens quant tu veux ! »
Si parfois la banque me coute cher, je dois reconnaitre quaujourdhui, les intérêts ont été en ma faveur.
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