Ma Belle Soeur, La Pauvre !
Suite de mon récit sur les activités extra conjugales de ma belle sur Clarisse.
Après cet épisode foudroyant auquel javais été aux premières loges, je ne savais plus comment réagir face à ma belle sur. Aussi je lévitais au maximum.
Cétait un moment difficile pour moi comme pour elle. Javais limpression quelle avait deviné que jétais présent ce jour là. Jen faisais une psychose. Dès quelle me parlait, javais limpression que le sujet ne pouvait être que porté sur cette escapade.
Il fallait que je me ressaisisse. Je regardais souvent le petit film qui relatai ses exploits et franchement, javais la sensation de regarder un porno tellement les acteurs présents sur ce film me paraissaient professionnels.
Un beau jour, mon frère me téléphona pour me demander daller dépanner ma belle sur Clarisse. Sa voiture ne voulait plus démarrer. Je ne pouvais pas refuser et me rendit à ladresse indiquée.
Ce jour là, le temps était magnifique et la chaleur omniprésente.
Arrivé sur place, je trouvais donc Clarisse près de sa voiture, assise en position semi allongée comme pour prendre un peu de soleil. Elle portait une belle jupe rose qui lui arrivait juste au dessus du genou. Elle portait un petit haut blanc assez moulant et de par sa position, sa poitrine paraissait encore plus volumineuse.
Depuis que jai eu loccasion dadmirer ses seins, je ne pense quà eux. Je rêve de les toucher, caresser, malaxer, embrasser au moins une fois dans ma vie. Mais la réalité revient très vite, elle est ma belle sur et donc pas touche.
Je me garait donc et alla voir ce qui pouvait arriver à sa voiture. Ny connaissant pas grand-chose en mécanique, jabandonnais très vite lespoir de réparer. Nous dûmes appeler une dépanneuse. Celle-ci ne devait venir quune bonne paire dheure plus tard. Je proposais donc à ma belle sur den profiter pour se promener dans le parc qui se trouvait non loin de là afin de le temps.
Nous nous baladions donc tranquillement et nous finîmes par nous assoir sous un arbre. Nous parlâmes de tout et de rien. Moi jétais quand même très gêné et elle sen rendit compte. Elle voulut absolument savoir ce qui me gênait autant, et moi, pour toute réponse je lui présentais une photo delle semi nue que javais pris avec mon portable. Le choc fut assez violent pour elle. Elle resta un bon moment sans bouger ni réagir. Puis elle sadressa à moi comme si elle avait affaire à un maître chanteur. Elle me demanda ce que je voulais contre cette photo. Jétais relativement perplexe et déçu de sa réaction. Je mattendais plus à une explication de sa part mais elle me répondit quelle navait pas à mexpliquer les faits.
Elle me redemanda ce que je voulais pour éviter de son couple. Elle me dit quelle ferait tout ce que je voudrais. Josais lui répondre enfin. Je lui dis que si elle voulait que je garde le silence elle avait deux choses à faire. Primo, me promettre et me jurer de ne jamais recommencer. Elle répondit immédiatement oui. Me le jura sous toutes formes. Elle avait lair sincère. Je lui dis quen deuxième condition, je voulais avoir le privilège de caresser cette magnifique poitrine. Elle fut encore plus choquée. Javais limpression que ses yeux étaient sortis de leurs orbites. Avant quelle me repose la question, je lui dis quelle avait très bien entendue. Après tout, je ne demandais pas limpossible non plus. Elle sétait bien offerte à un autre. Elle me traita de pervers mais elle finit par accepter. Jen salivais davance. Javais une érection énorme. Comme nous étions dans un parc naturel, je lentrainais dans un petit sous bois. Dans un geste de dégoût, elle commença à vouloir se déshabiller mais je len empêchais. Je voulais le faire moi-même. Je commençais à remonter son haut et maperçut quelle avait fermé les yeux (certainement pour ne me voir et être encore plus dégouté). Je voyais ses magnifiques seins compressés dans un soutien-gorge en dentelle rose.
Jétais excité comme un fou, et je lui racontais ce que javais vu. Je voulais le même traitement. Elle essaya de protester mais dû très vite se résigner. Je la baissais donc sur ses genoux, elle avait toujours les yeux fermés. Je baissais mon jogging ainsi que mon caleçon et lui présentait mon sexe sur ses lèvres. Je fus surpris quelle ouvrit la bouche sans que je lui demande. Elle fut également surprise de lengin et elle ouvrit les yeux pour la première fois pour vérifier si ce nétait pas un rêve. Jai été gâté par dame nature et je peux dire que je ne dois pas être loin, si ce nest autant, de Rocco siffredi. Elle me prodigua alors une fellation du tonnerre. Elle savait vraiment y faire, jamais je nai ressenti une telle excitation. Elle me happait, mengloutissait le maximum quelle put. Elle prenait même la liberté de me branler en même temps. Je continuais à lui caresser les seins en même temps. Je sentais que je ne tiendrais pas longtemps alors je la relevais pour lui bouffer un peu ses seins le temps que je me calme un peu. Elle reprenait ensuite sa pipe que je voulais faire durer des heures. Ensuite, je me suis retiré de sa bouche et me suis placé entre ses seins. Quelle branlette ! Je jouis dune telle force quelle en reçu dans sa bouche. Elle en avait partout. Jétais aux anges.
Je la laissais se nettoyer et jen profitais pour caresser sa poitrine encore.
Elle se rhabilla et me demanda deffacer la photo. Je lui dis que non, que cétait une garantie pour éviter quelle recommence.
Je nen avait pas encore fini avec elle car il me restait encore à gouter sa fente épilée, mais ça, elle ne sen doutait pas encore.
Jattends vos commentaires. Merci
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