Une Autre Petite Peste...(Suite)

Lorsque Sabine a du repartir l’autre après-midi, plus ou moins chassée par sa copine Marisha, elle est allée dans un coin retiré pour… fantasmer, pas seulement intellectuellement, sur ce que nous étions en train de faire…ses petits doigts ont su offrir à son minou le soulagement qu’il attendait !
Alors, elle a d’abord essayé d’obtenir des détails de sa copine. Mais a priori, pas question de partager les faveurs et la jouissance donnée par son vieil Ami…Un œil allumé par le souvenir donne à penser à Sabine qu’il faut qu’elle goute à ce fruit là.
Elle a donc du guetter l’occasion de s’approcher seule et que je sois seul aussi en ces lieux…
Pas simple ! La Marisha tient un véritable siège pour profiter de l’aubaine et pour ne pas laisser l’opportunité à d’autres rivales de bénéficier du traitement hautement apaisant que je lui avais administré.
Tout ça je l’ai su par la suite de la bouche de Sabine !
C’est donc un matin, alors que j’étais en pyjama, que j’ai vu débarquer ma jolie nineteen, fraiche, amenant deux croissants pour un petit-déjeuner prémédité. Deux jambes fines, deux cuisses à peine plus grosses que mes bras. Une mini-jupe hallucinante. Un tshirt moulant deux seins en pommes sans soutif. Un sourire à damner un saint.
La vue de la jolie gazelle me fait un effet immédiat ! Et mon pyjama suit le mouvement d’un pénis qui prend ses aises.
Je suis assis à ma table de cuisine, le bol de café fume…et mon cerveau suit le pas ! le café, ma bite et mon cerveau sont en ébullition !
-ferme la porte, les gens pourraient jaser. Commencè-je prudemment !
Aussitôt dit …!
-approche avec tes croissants !
La jeune femme est là, à portée de main. Je me doute de son accord mais j’ai besoin de l’entendre et le constater !!! Je jouais encore au tarot avec son père hier soir. S’il me voyait sauter sa fille, mon vieil ami …ferait le coup de poing… Alors au moins qu’elle montre qu’elle est venue pour ça !!!!
Je tends la main et elle passe d’un geste vif les croissants derrière elle.

J’encercle sa taille, l’étreint gentiment et la rapproche de moi. J’ai déjà oublié les croissants, elle a plaqué son ventre contre ma poitrine, elle est là, debout, si belle, si jeune, si désirable !
-je dois les mériter, c’est ça ?
-oui, mérite les !!
Je ne sais pas pour vous, mais j’ai pris ça pour un accord ! Ma main gauche gardant la belle Sabine contre moi, ma main droite part saisir ce sein qui me nargue depuis tout à l’heure !! Incroyable. Son volume correspond à ma paume… !!! doucement gentiment, je caresse l’oiseau, je soupèse ce globe en le soulevant légèrement, j’appréhende sa chaleur. Elle me regarde, les yeux sont déjà un peu flottants. Je parie qu’elle mouille ma petite chérie !
Bien sur que je glisse ma main le long de son ventre, rencontrant la peau lisse de son ventre plat sous le tshirt ultracourt. Bien sur que je passe sous le tissu et que le mamelon se retrouve bientôt emprisonné dans ma main fièvreuse. Caresses, saisie du téton entre deux doigts connaisseurs … Le voila qui durcit et roule entre mes doigts. Et Sabine soupire d’aise de plus en plus fort !
Ma bouche va vers ce ventre libre et à portée de mes désirs. Mes baisers sont variés et chauds, ma langue vient même chercher le gout de cette peau que je veux abandonnée à mes caprices. Ma main gauche quitte la taille et vient épouser le galbe d’une fesse minuscule.
- Tu es belle, je te veux !
- Oui, vite ! tout ce que tu veux ! je veux tout te donner ! Prend !
- Quel beau cadeau que tu me fais Sabine ! Ton copain, pas jaloux ?
- Il saura pas ! et puis il s’y prend mal. On a fait ça (!!!) trois fois !

Ma bouche qui embrasse son ventre, ma main qui pelote ses fesses, mon autre main qui malaxe ses seins… Ma Sabine commence à vraiment apprécier le traitement. Ses deux mains sont sur ma tête et ma nuque, m’encourageant à poursuivre le traitement.
Je glisse sous la minijupe et le contact de cette fesse me stimule ! Ma queue raide et apoplexique tressaute dans le pyjama !!
Que de bonheur à, lentement, au fil de caresses savantes, approcher ce sillon humide.
Et ce doigt qui s’introduit dans une moule trempée…Et cette lèvre qu’on mord là-haut avec des yeux qui se ferment…
Je pousse le bol de café au loin et j’installe ma petite puce sur la table, les jambes de part et d’autres , le spectacle est merveilleux. Deux jambes si graciles, et cette petite culotte de coton qui laisse percevoir une tache humide … et toujours sa main qui m’attire vers elle.
Miam…. Je vais me régaler… la petite culotte est poussée sur le côté, la chatte luisante a-t-elle connu la langue du male ? pas si sur ! l’adolescent qui a étrenné les lieux ne doit pas savoir ou oser profiter de ce plaisir si subtil.
On dirait bien car ma langue à peine en contact avec le clitoris et les lèvres humides Sabine rugit de plaisir !
-oh p… ! c’est bon ! (et oui les jeunes maintenant, quel vocabulaire, je vous jure !)
Je lui joue ma meilleure partition, ma langue alterne les balades au creux de ce sillon si prolifique en nectar avec les agaceries autour d’un clitoris durcit et surtout … volumineux !!
Sabine ondule, se soulève, geint, et s’éclate dans un orgasme bien supérieur à ce que sa menotte a pu lui donner avant !!!
Moi, je me gave de sa cyprine matinale… rien ne m’échappe ! Et son téton doit commencer à la faire souffrir à force de rotations, pincements ! je la pousse sur la table pour la coucher en travers, relève les deux jambes, les écarte… et me repais de ce nectar. Un doigt qui pistonne la petite chatte, la langue qui s’affole… la deuxième salve explose dans le petit minou…
Je fais le tour de la table, tout en caressant ce corps si merveilleusement proportionné. Mon pyjama descend et l’oiseau qui approche de la bouche de Sabine quémande des douceurs buccales ! Sabine ouvre sa jolie bouche et commence à téter ma queue. Ses mains viennent saisir mes bourses, je voudrais que cet instant soit éternel !
Elle se tourne pour être plus libre de ses mouvements et sa bouche avance et recule, me pompant si adroitement ! Si le jeunot a eu droit à ce traitement, il a du lâcher bien vite… Moi déjà je suis debout sur les freins …
J’en profite pour peloter ces deux nibards vraiment splendide.
Je le lui dis
- Dis moi, ces deux jolis seins, tu me les avais cachés… suce, arrête pas surtout. Oui, ma belle , la langue …voila… tes mains, oui, comme ça…
Le besoin de posséder cette charmante jeune femme me taraude. Je songe déjà à cette chatte qui va me serrer… à ma bite qui va coulisser lentement dans ce fourreau, un petit peu aussi à ce plaisir que je compte lui donner. Et déjà, je sais c’est pas bien, à cette petite rondelle qui va bientôt m’obséder.
Ma main a plongé sur ce ventre brulant, est descendu se perdre dans cette toison légère et trempée, deux doigts sont entrés dans cette grotte frémissante. Le ventre ondule autour de ma main, elle va jouir, bientôt, elle jouit, là….
Sans retirer mes doigts, j’abandonne la chaleur de sa bouche et refait le tour de la table…les jambes s’ouvrent et se lèvent, ma queue se pointe devant le minou et je ne fais que passer ma queue le long de son sillon…en bas… en haut… en bas…
-tu veux que je te prenne Sabine ?
-ouuuuiiiiiiiii
-j’arrive…
Et la tête de ma pine, gentiment pousse pour se frayer un passage dans cette chatte juvénile. Et je pousse, et je goute chaque millimètre supplémentaires en elle…je dois l’empêcher de jeter son ventre a la rencontre de ma bite…Ca y est je bute contre son périnée…
Quelques mouvements de bassin et Sabine crie son orgasme ! Vite une main sur sa bouche ! Mais surtout ne pas s’arrêter. Non, c’est trop bon, elle mord ma main pendant que je pistonne sa chatte, allegro, allegro ma non tropo… Que la vie est belle… J’adore ces bruits de l’amour dans une pièce silencieuse… et ce clapotis retentit longtemps dans ma cuisine, longtemps…Sabine en redemande, Sabine se laisse aller plusieurs fois…
-ma chérie, quel bonheur de te prendre, quel bonheur de cueillir tes vingt ans…
-dix-neuf ! viens, viens, je veux que tu viennes en moi, viens, je suis à toi pour toujours, viens…
Sans doute excessif… Mais si doux à entendre… Alors j’imprime un rythme effréné, ses seins tournent en rond , et c’est magnifique a voir …je suis cramponné à ses hanches et je la bourre, un déluge…
Et nous partons dans une myriade d’étoiles dans un bonheur pas croyable.
Essoufflé, il me faut quelques minutes pour revenir sur cette planète, et sur cette table de cuisine ou règne une splendide jeune créature…
-c’était si bon… répète-t-elle…
-oui, tu es divine… tu reviendras, dis ?
-on mange les croissants ?

Eclats de rire…. Et douche…

Vous en pensez quoi ? elle doit revenir… ?

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