Les Tribulations De Madame - Compte Rendu À Mon Employeur

Madame ayant été si gourmande hier toute la journée, et comme convenu ensemble, je l’ai donc amenée dans un cinéma pornographique de ma connaissance…

Profitant de la lubricité de madame et de sa docilité, j’avoue en avoir abusé… Tout d’abord, ce matin, je lui ai choisi sa tenue : jupe courte noire, chemisier blanc, soutient gorge et culotte assortis noirs, bas noir et chaussures à talon. La transparence très marquée du chemisier dessinait parfaitement sa poitrine et le soutient gorge la soutenant. L’effet était certes érotique mais très proche de l’indécence.

Prenant la route, madame m’interrogea sur notre destination. Je ne lui répondais que par un sourire faisant monter, m’a-t-elle dit, son excitation.

Pendant le trajet, elle ne cessait de me dire qu’elle mouillait d’avance à l’idée de ce que je lui réservais. Elle m’avoua vouloir se masturber ce que je lui interdis sur le champ.

Enfin arrivés, un éclair de compréhension suivi d’un autre plus lubrique apparu sur son visage.

Assis au milieu de la salle, le film débuta sur une scène lesbienne entre une jeune femme timide et une autre plus âgée la poussant à l’acte saphique. La jeune, bien que réticente au début, se retrouva rapidement en train de se faire lécher l’anus par cette femme vicieuse.

J’interdisais toujours à madame de se caresser, quand un homme d’âge moyen s’assit à ses côtés… N’ayant pas froid aux yeux, ce dernier sortit rapidement son sexe en érection. A la vue de son voisin se caressant, madame sauta littéralement sur cette bitte pour la sucer comme une folle. La technique de madame est telle que le bougre ne pu résister longtemps et déversa dans un râle tout son sperme dans la bouche de votre épouse.

Rassasié, il remercia madame et nous quitta.

Très vite, un autre homme, plus âgé, s’installa aux côtés de madame. Malgré un style apprêté, et une certaine classe affichée, ce dernier demanda des plus crûment une fellation à madame en ces termes : « suce salope ».

Madame, encore excitée de sa première fellation, ne dit mot mais emboucha rapidement le méat en érection. Moi-même excité par la situation et l’appétit féroce de votre épouse, je ne pus me retenir de relever sa jupe et de commencer à doigter et le vagin et l’anus de madame.

Cette dernière ne pouvant réprimer ses gémissements alerta le reste de la salle, et bien vite, une assemblée d’une vingtaine d’homme nous entoura.

Quatre doigts dans le vagin et trois dans l’anus, j’indiquais à nos mateurs les règles concernant madame : souillez la.

Ce fut alors une véritable orgie, madame suçant jusqu’à trois sexes en même temps alors qu’un homme âgé pénétrait son vagin et y jouissait, qu’un autre se répandait dans ses cheveux, s’essuyant alors le gland dans sa chevelure, mes doigts pénétrant son anus, vite remplacés par le sexe d’un jeune homme. Son chemisier ouvert, déjà taché de sperme laissait à disposition la belle poitrine de madame maculée de foutre. Ses seins ruisselaient de semence quand un autre homme sorti ses tétons pour jouir dessus.

Madame prise en sandwich, pénétrée, sodomisée, hurlait son plaisir entre deux fellations.

Son vagin, son rectum, sa bouche étaient remplis de queues, de sperme… Et madame ne cessait d’en demander plus jusqu’à ce que notre petit groupe fût totalement vidé.

Quel spectacle que madame recouverte de sperme, dégoulinante de ce jus, échevelée me remerciant de cette douce par une fellation digne des plus grandes expertes…

Ayant à mon tour jouis dans sa bouche, votre épouse se rhabilla de ses vêtements maculés de ses excès… Vous imaginez aisément que sa culotte trempée de mouille devint le dévidoir de ses orifices.

Nous rentrâmes ensuite, à cette heure, repue et fatiguée par tous ces mâles, madame dort encore.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!