Si Ma Grand-Mère Savait
Ma grand-mère est la personne la plus chère à mes yeux, c'est elle qui s'est occupée de moi pendant ma petite enfance puisque mes parents travaillaient tous les 2. Malheureusement, maintenant, elle n'est plus trop valide et n'ose plus se mettre seule en chemin. Chaque semaine elle va dans un club où des personnes de son âge, et plus, s'y retrouvent pour jouer aux cartes et à des jeux de société. Mon père va parfois l'y conduire et la rechercher, mais le plus souvent c'est moi car je suis plus disponible. Là, je suis aimée de tout le monde. Il faut dire que je suis quasiment la seule jeune personne qu'ils ont l'occasion de voir dans cet endroit. Incroyable comme les personnes âgées sont délaissées par leur famille ! Bref, je crois être leur rayon de soleil. Et, naturellement, ce sont les papys qui sont le plus aux petits soins pour moi en me proposant petits biscuits et boissons diverses. Bien sûr j'avais remarqué que ce n'était pas seulement mon beau sourire qui les ravissait, je voyais souvent qu'ils ne se gênaient pas pour mater dans mes décolletés ou admirer mes jambes que mes jupes courtes (mais décentes) offraient à leur vue. Les regards les plus vicieux venaient de Jeannot et Pierre, deux vieux veufs qui habitent non loin du club et dans un building social.
Vous commencez à me connaître, vous savez maintenant que j'aime les hommes âgés ainsi que de sentir les regards me déshabiller. Jeannot m'est très sympathique, Pierre un peu moins car il râle tout le temps. Et comme Jeannot s'empresse toujours pour être le premier à m'offrir une boisson, j'avais décidé de le récompenser. Ainsi donc, il y a quelques semaines et malgré le froid, je m'étais vêtue d'une robe assez courte et fendue sur le devant.
Je l'utilise fréquemment lors d'exhib' publique. Quand je suis assise il me suffit d'écarter les jambes lorsque je veux titiller un homme. Ce jour-là je portais également un collant ouvert et aucune lingerie, je voulais vraiment qu'il puisse se rincer l'oeil au maximum.
Quand nous sommes arrivées, mamy et moi, Jeannot s'est empressé de nous diriger vers une table encore inoccupée et a proposé que nous fassions une partie de 421. Il a appelé Pierre qui nous a rejoint et nous avons pris place.
Chance (?), Jeannot s'est assis à côté de moi tandis que mamy et Pierre s'asseyaient en face. J'ai tout de suite pensé que mon collant ouvert ne servirait à rien, assis à côté de moi Jeannot ne pourrait profiter de la vue que j'avais prévue pour lui. Par contre je suis restée à une légère distance de la table, ce qui allait lui permettre de bien mater mes jambes et mes cuisses. Effectivement, à chaque fois que ce n'était pas à lui de lancer les dés il ne manquait pas de laisser ses yeux se promener sur ce que je lui montrais discrètement. Je sentais une chaleur m'envahir, j'étais terriblement excitée par cette exhibition, même si elle était légère. Je vous jure que ce qui a suivi a été machinal, presque sans que je le fasse exprès. Tout à coup ma jambe s'est écartée et est allée se coller contre la jambe de Jeannot ! Il n'a rien dit mais n'a pas bougé non plus. J'ai jeté un petit coup d'oeil autour de nous et ai été rassurée de constater que personne ne faisait attention à nous. Alors je me suis un peu enhardie, je me suis mise à remuer la jambe de manière à ce qu'elle devienne caressante. Ce jeu dura bien 10 minutes, il m'excita tellement que je dû aller faire un petit pipi. A 17h00, comme d'habitude, mamy m'a demandé à ce que je la reconduise chez elle, nous nous sommes levées et, alors que nous allions sortir, Jeannot est venu près de nous et m'a demandé si je pouvais le déposer chez Auchan car il lui fallait faire quelques achats. Je devais justement y aller pour moi, j'ai accepté volontiers. Naturellement, Pierre en a profité pour s'incruster et c'est donc à 4 que nous sommes partis.
D'abord j'ai déposé mamy chez elle, je l'ai aidée à rentrer puis suis revenue à ma voiture où Jeannot en avait profité pour prendre place sur le siège convoyeur.
J'ai donc exaucé son voeu (du moins je le supposais) et n'ai pas tiré sur ma robe lorsque je me suis assise. Chez Auchan nous avons fait nos achats séparément puis nous sommes retrouvés après les caisses. Jeannot avait 3 gros sacs pleins, je me suis dit qu'il avait un fameux appétit car autant de choses pour un homme seul c'est étonnant. Pierre, quant à lui, était resté au magasin où il avait rencontré un de ses amis. Arrivé devant chez Jeannot je n'ai pu faire autrement que de lui proposé mon aide pour ses achats à remonter chez lui (2ème étage), les 3 sacs étaient beaucoup trop lourds pour lui seul. Nous sommes entrés et j'ai été stupéfaite de l'ordre et de la propreté qui y régnait, c'est rare chez un homme seul. Il m'a proposé une boisson et invitée à m'asseoir pendant qu'il rangeait ce qui se mettait au frigo. Avait-il déjà des idées derrière la tête à ce moment, je n'en sais rien. Toujours est-il que le canapé ultra confortable, mais dans lequel je m'enfonçais, fit que, même si j'avais voulu, je n'aurais su empêcher toutes vues sur mes cuisses.
Il est venu me rejoindre, sauf qu'il s'est assis dans le fauteuil faisant face. Franchement, à ce moment-là, je n'avais aucune pensée sexuelle. J'étais bien, il y avait une douce chaleur et le soir commençait à tomber. Jeannot se leva et alla allumer une petite lampe située à côté du canapé en me disant: "Ainsi on voit mieux, enfin... surtout moi". J'ai immédiatement compris où il voulait en venir, d'autant que la lumière se diffusait presque essentiellement sur moi. Je l'ai regardé en souriant, comprenant ce qu'il sous-entendait. Il continua en me disant: "Tu sais, tous les hommes du club ne jurent que par toi, ils faut dire que tes tenues courtes mettent beaucoup de bonheur chez eux". "Seulement chez eux ?" ai-je répondu d'un air mutin. "Chez tout le monde" ajouta-t-il. "Et, tu ne t'en est sûrement pas aperçue, mais aujourd'hui pendant qu'on jouait ta jambe a touché la mienne et j'en ai ressenti des frissons".
voyant ma voiture garée sur le devant il venait voir si tout allait bien. Pendant qu'il me parlait j'ai entendu du bruit dans le hall, Jeannot m'a dit que c'était toujours Pierre et qu'il ne voulait pas partir.
"On ne va pas rester comme des statues, ai-je dit, venez me rejoindre afin qu'on parle un peu". Ils se sont regardés puis Pierre est venu s'asseoir à ma droite, quelques secondes après Jeannot est venu à ma gauche. Imaginez que sur ce canapé il y avait 167 ans d'âges cumulés à nous 3 et que je n'en étais qu'une minime partie (mais bien majeure et mariée). Les secondes passèrent et, encore une fois, je dus prendre le taureau par les cornes, ou plus exactement j'ai déposé mes mains sur leur entre-jambes. Pierre fut encore le premier à se décider et me caressa, d'abord sur les seins puis sur les jambes. Jeannot, que je voyais un peu dépité (sûre qu'il aurait préféré être seul avec moi) commença alors à reprendre les caresses et les baisers qu'il me donnait avant que Pierre n'arrive. J'ai penché la tête en arrière, bien écarté les jambes et fermé les yeux, je m'offrais entièrement à mes 2 comparses. 4 mains, 2 langues qui vous parcourent, des dents qui vous mordillent les tétons, des doigts qui s'incrustent en vous, le bonheur total. Reprenant un peu mes esprits je leur ai dit que tout devait rester entre nous, que personne ne devrait jamais rien savoir. Ils me l'ont juré, ajoutant que de toute façon personne ne pourrait croire qu'une jeune femme de mon âge se soit donnée à 2 vieux comme eux. Je me suis relevée et ai demandé à Jeannot qu'il me conduise à la chambre pendant que chacun leur tour ils iraient se laver le sexe. A ce moment-là j'ai réalisé que je n'avais pas de préservatif sur moi, j'ai demandé aux papys mais ils n'en avaient pas non plus.
Heureusement ils m'ont avoué ne plus avoir eu de relations sexuelles depuis très longtemps, juste Pierre a reconnu se masturber régulièrement.
Alors le festival commença, festival du 3ème âge naturellement, avec ses avantages et ses désavantages. Jeannot m'écarta les jambes et me dévora la chatte, je ne sais pas si la langue grandit avec l'âge mais elle me pénétra bien. Pierre était presque assis sur ma poitrine et j'ai commencé à le sucer. Il bandait mi-mou mi-dur, mais j'allais vite m'apercevoir qu'il avait d'autres talents pour me rendre heureuse. Effectivement, il n'avait pas que le regard vicieux, tout chez lui est très hard, presque trop car on ressent beaucoup de bestialité dans ses gestes. Quand il vous met la fessée, c'est directement violent, quand il vous pince et étire les tétons c'est limite à les arracher, j'ai dû le calmer plusieurs fois alors que je suis adepte du sm ! Par contre, Jeannot est tout son contraire, que ce soit pour la pénétration ou le doigtage, rien n'est violent. D'ailleurs si j'ai accepté avec lui, j'ai refusé que Pierre me sodomise alors que j'adore ça. J'ai aimé les sucer tous les 2, mais encore avec une préférence pour Jeannot qui bandait bien mieux que l'autre. Au bout d'une bonne 1/2 heure, et après avoir déversé 3 gouttes dans ma bouche, Pierre s'en est allé. Le papy n'arrive plus à tenir avec une femme, peut-être qu'il se masturbe trop (lol). Je dois avouer que Jeannot n'a pas tenu beaucoup plus longtemps, après s'être vidé lors de la sodomie il est allé se laver le sexe et est revenu près de moi en s'excusant pour Pierre et pour le peu d'endurance de leur part à tous les 2.
Effectivement, même si j'avais pris beaucoup de plaisir, je n'étais pas rassasiée. Jeannot continuait à me caresser et me masturber, mais c'était insuffisant.
J'ai hésité un petit peu, ayant peur de le choquer, puis lui ai dit qu'il y avait possibilité de me satisfaire complètement. "J'ai vu que tu avais acheté des carottes, peut-être pourrais-tu aller en chercher pour accompagner les caresses que tu me fais. Il est allé en cuisine et est revenu avec le sachet en entier, arguant qu'il ne savait pas laquelle j'aimerais. J'en ai choisi 2, une énorme et une relativement grosse. "J'aimerais que tu m'introduises celle-ci entre mes fesses, bien profond. Et qu'avec la plus grosse tu me masturbes tout en m'embrassant. Mon petit trou bien humide de la récente éjaculation de Jeannot permit facilement l'introduction de ce légume bienfaiteur. Moi-même je me suis chargée de l'autre et des premiers mouvements de masturbation. Jeannot s'est allongé contre moi et m'a embrassée tout en se chargeant de faire aller et venir la carotte. A certains moments je lui demandais de délaisser la carotte vaginale pour s'occuper de l'anale. Et c'est dans un de ces moments que j'ai explosé ! C'est rare, mais dans certaines grandes occasions je deviens femme-fontaine, ce fut le cas ce jour-là. Après ça je suis allée prendre une douche, accompagnée de Jeannot qui s'est chargé de me laver entièrement, puis je suis retournée chez moi.
Il m'arrive parfois d'aller rendre visite à Jeannot, très souvent ce n'est que pour une petite fellation car il adore ça.
Si ma grand-mère le savait je crois qu'elle me giflerait, mais bon je suis jeune et j'en profite.
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