Soumise Pour Un Prêt 5

Marc savait que je serais du diner. Nous nous connaissons assez bien, surtout depuis que sa sœur ait été ma soumise. Nous nous saluâmes et >Fanny proposa un apéro. Comme je ne bois jamais d’alcool, ils en restèrent aux jus de fruits et nous bavardâmes de choses et d’autres. Marc remarqua, visiblement, que Fanny était nue sous sa robe. Mais il ne fit aucune remarque. Vers 19h, nous passâmes à table et Fanny nous servi le repas froid que j’avais concocté. Alors qu’elle commençait à débarrasser, je dis à Marc :
« Sais-tu comment ta femme a obtenu votre prêt ? »
« Ben elle a négocié et elle a du accepter un job complémentaire. »
« Oui, ce prétendu job de serveuse ! En fait, elle sert beaucoup, mais pas des plats !!! Fanny, met nous le DVD, veux tu ? »
Elle mit le lecteur et la télé en marche, puis sur mon invitation, nous nous assîmes sur le canapé, face à l’écran. Dés les premières images, ou Fanny était fessée par Clothilde, il comprit ce qui ce passait lors de ces samedis. Stupéfait, il était aussi captivé par les images. Lorsque la première queue entra dans le cul de Fanny, je fis arrêter le DVD.
« Il y en a plus de 2h30 et la soirée a durer le double !!! Ta femme était exténuée, mais autant par les orgasmes que par le rythme. Elle m’a demandé de l’aider à renégocier le contrat. Comme toute chose à un prix, j’ai posé mes conditions, qu’elle accepte. Il me faut, maintenant, obtenir ton aide. Fanny, ôte ta robe, pour montrer à Marc que tu as accepté. »
Elle se leva et se mit nue. Son collier montrait sa soumission. Marc semblait au bord d’un ravin. Il tremblait et nul doute qu’il bandait à mort.
« Ce soir, elle va devenir ma chose de manière irréversible. Pour obtenir gain de cause au près de Nathalie, j’ai besoin que tu accepte le même sort. Aussi, je veux que tu te mette à poil immédiatement. »
Il resta figé un long moment, puis, lourdement, il se leva et ôta ses vêtements. Il a une queue assez ordinaire.

14 à 15 cm de long et un bon diamètre. Fanny le regardait avec une forme de respect étonnante. Plus tard, elle reconnu que ce geste de soumission l’étonnait mais que cela avait augmenté son estime pour Marc.
« Bien, maintenant, je vais donner une leçon à ta femme. Cela scellera notre contrat et demain, je l’emmènerais chez une amie qui lui percer les tétons et le clitoris, avant de la tatouer comme toutes mes femelles l’on été. Fanny, va chercher mon sac. »
Elle me le ramena et me le remit sans un mot. Je sorti le bâillon constitué d’une balle de mousse qu’on introduit dans la bouche, maintenue par un harnais. Je le lui fixais derrière la tête. Puis je sortis la cravache.
« Fanny, tu vas te mettre dans la même position que samedi, ta table de salon sera parfaite. Toi, Marc, tu vas lui attacher les poignets avec les menottes que voici. »
Dociles, ils exécutèrent mes ordres. Marc bandait beaucoup. Cela lui plaisait sans nul doute.
Tranquillement, je me dirigeais vers Fanny et après une petite claque sur son cul superbe, je lui donnais un premier coup. Je gradue toujours mes coups et les 5 premiers la marquèrent à peine. D’ailleurs, elle ne grogna pas trop. Les 5 suivants furent nettement plus forts et sa peau se zébra avant de se perler de sang. Elle hurlait et le bâillon ne faisait qu’intensifier l’effet de ses grognements. Marc semblait partagé entre l’envie de voir les coups cesser et celle de la voir plus châtiée. J’ajoutais 5 coups moyens sur le dos de ma nouvelle esclave.
« Voilà, elle se souviendra de cette première. Marc, tu vas lui préparer le cul avec ta langue. Il est temps que je lui éclate la rondelle avec ma bite. »
Il s’agenouilla derrière sa femme et commença une préparation très appliquée. Fanny se remettait assez vite de son cravachage et les caresses de son mari lui plaisaient. Je me mis nu et Marc paru fasciné par ma queue. Plus longue que la sienne (18cm) et beaucoup plus grosse. Fanny m’assure que je suis plus membré que David.
J’écartas Marc et je mis mon gland sur la rondelle de cette chienne. Elle n’avait pas vu ma bite, mais elle se rendit vite compte que c’était un morceau d’importance. Je choisis de ne rien brusquer. Lentement, centimètres par centimètres, je fis passer mon gland puis l’intégralité de mon sexe. Une fois bien au fond, je la laissais se dilater en duceur. Peu à peu, je me mis en mouvement, accélérant très progressivement. Quand je sentis que sa rondelle était parfaitement souple, je demandais à Marc de lui ôter son bâillon. Les râles de Fanny révélaient le plaisir qu’elle prenait à se faire défoncer le cul.
« Mets lui ta bite dans la bouche et lime la ! »
Il exécuta mon ordre et obligea sa femme à sucer son sexe. J’accélérais encore mon va et vient et bientôt, elle eut un orgasme violent.
« Détache-lui les poignets. Elle va me préparer ta rondelle. Tu penses bien que je veux ton cul aussi ! »
Il retira sa queue de la bouche de Fanny et lui délia les mains. Puis, docilement, il offrit son cul à sa femme et sans hésiter, elle entama une préparation méticuleuse. Pendant ce temps, je me faisais sucer par Marc, qui semblait adorer ma queue souillée par la rondelle de sa femme. Quand Fanny s’écarta, je vins me positionner et c’est elle qui mis ma pine bien en face de l’anus de son mari. Elle dirigea, timidement, l’introduction. Marc hurla de douleur quand je fus entré. Il se plaignait que c’était trop gros. Fanny lui dit :
« Tu vas pas faire ta chochotte ! ça te gênais pas quand il m’a éclater le fion. Alors assume ton statut de deuxième esclave et tais toi !!! »
Je forçais encore et ma pine fut bientôt entièrement dans son cul serré. Fanny se glissa sous lui et elle le suça, jusqu’à ce qu’il jouisse dans sa bouche. Quelques secondes plus tard, je me vidais les couilles dans ce cul bien défoncé.
« Venez nettoyer ma bite mes salopes ! »
Ils s’exécutèrent consciencieusement. Je ne mis pas longtemps à rebander.
« Maintenant, il est temps que Marc soit cravaché.
Installe le comme toi ma petite chienne. »
Fanny entraina son mari vers la table ou elle lui attacha les poignets puis elle le bâillonna.
« Je vais te confier la cravache. Si tu ne frappe pas convenablement, tu seras de nouveau fouettée. Tu commence sous les omoplates et tu descend jusque sous les fesses. 15 coups bien secs. Si tu me donne satisfaction, je te réserve une belle récompense. »
Bravement, avec un petit sourire cruel, elle prit la cravache et commença à donner les coups. Parfaitement en rythme, avec juste ce qu’il fallait de sévérité. Marc grognait fort et son cul se couvrit de traces sanguinolentes. Après le dernier coup, elle laissa tomber la cravache, les yeux exorbités, elle semblait vidée et heureuse.
« Est-ce que cela vous convient Maître ? »
« Très bien ma chérie. Tu es douée et cela me plait. Ôte-lui son bâillon. »
Je sortis un très beau god à ceinture de mon sac. En le voyant, les yeux de Fanny se mirent à briller intensément.
« Tu vas l’enculer toi-même. Je vois que cela te plait. Mais pendant que tu lui démonte le cul, je m’occuperais du tiens ! »
« Merci Maître A ! »
Elle se plaça derrière son mari après avoir enfilé le god. Sans ménagement, elle le lui planta dans le fion. L’engin était à peine moins gros que ma bite, mais plus long. Marc gueula pas mal et la supplia d’être moins dure. Je la bloquais au fond du cul de son mari et lui écartant les fesses, je lui mettais ma queue dans son si joli cul. Elle apprécia et le fit savoir :
« Ho oui, vas y , encule moi comme une chienne, c’est bon défonce moi comme je le défonce… »
Nous ne miment pas longtemps à caler nos rythmes. Cela décupla le plaisir de Fanny et finalement, Marc se mit au diapason. Il jouit, puis elle hurla son orgasme. Je sortis de son cul et je l’entrainais sur la table de salle à manger. Couchée sur le dos, les jambes relevées et bien écartées, elle reçu mon sexe dans sa chatte détrempée et je la bourrai jusqu’à la faire pâmer de plaisir.
Je me vidais rapidement dans sa moule béante.
Nous allâmes prendre une douche. Il était déjà tard et nous devions penser à dormir pour ne pas être trop nases au boulot.
« Je suis content de vous deux. Ce week-end, nous allons aller encore plus loin. Fanny m(a dit que les s ne reviennent pas avant le 15 Août. Ça va nous permettre de bien préparer le samedi 6, jour de la prochaine sauterie de Nathalie. Samedi matin, on va la voir et je vais lui imposer les nouvelles données. J’ai tous les atouts en mains, grâce au DVD. J’ai reconnu trois des participants ! Enfin, je dois vous imposer une règle primordiale. Marc ne doit plus jamais baiser ou enculer Fanny sans mon autorisation explicite. Tu peux le sucer et il peut te lécher autant que vous le voulez, mais pas plus. J’autorise aussi Fanny à t’enculer au god. Jusqu’au retour des s, je vais passer le plus clair du temps avec vous. Mais, même si je ne suis pas là, cette règle vaut définitivement. D’accord ? »
Tous deux acquiescèrent. Cela convenait parfaitement à Fanny et Marc n’en demandait pas plus.
« Je dois aussi vous avertir que demain soir nous aurons une invitée. Avant cela, je ferais percer et tatouer Fanny par un ami. Marc, tu porteras le même collier et tu seras aussi percé aux tétons mais seulement Samedi. Notre invitée de demain, vous la connaissez, sera Delphine. Elle me l’a expressément demandé et je lui dois bien ça. Pas d’objections ? »
Ils n’en avaient pas. Marc me demanda :
« ton ami qui va tatouer et percer Fanny, il va la sauter ? »
« Certainement et même l’enculer. Ce sera son salaire ! Toi, il te demandera de la sucer mais il enculera sûrement volontiers Fanny après que tu l’ai fait bander. Il n’encule pas les mecs !!! »
Sur ce programme, nous allâmes nous coucher. Marc fut installer au pied du lit conjugal et Fanny fuit très heureuse de partager celui-ci avec moi.


A suivre

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