Train De Nuit
Mon ami et moi-même sommes à la gare en direction de la Bretagne, il est 23h00, nous prenons un train de nuit avec couchettes, nous arriverons demain matin à 7h00 à Brest.
Il a fait bon aujourdhui, je suis habillée en tenue légère, petite jupe blanche évasée, débardeur noir, petite veste en jean, petits nu-pieds, mais aucuns tissus ne recouvre mon puits damour. Mon chéri lui nen sait rien, surprise, surprise
Il est habillé simplement aussi, tee-shirt, bermuda, en tenue estivale.
Nous serons normalement seuls dans la cabine, nous avons pris un voyage en première, pour être tranquilles.
Le train sengage dans la gare, nous cherchons notre voiture et montons. Cest la première fois que je pars en voyage de nuit, je suis curieuse de tout. Mon chéri me guide vers ce qui semble être notre cabine. Lespace est très bien pensé, étant en 1ere classe, le lit est assez grand, nous décidons de nous mettre dans le même lit.
Nous nous mettons en cuillères, lui derrière moi, mes fesses contre son sexe.
Le train vient de partir et je suis maintenant prête à montrer à mon homme que je veux encore de lui
Nous sommes un couple très complice, nous aimons beaucoup faire lamour, nous sommes en totale harmonie sexuelle.
Je commence par bouger mon bassin contre son sexe et il ne met pas longtemps à comprendre mon petit jeu
Il glisse sa main sous ma jupe, me caressant les fesses, il membrasse dans le cou, moi, je me dandine toujours contre lui, glissant ma main sur son sexe. Il remarque en sengageant vers ma chatte, que celle-ci nest couverte par aucun tissus.
Il sort un - « Humm
».
Il minstalle sur le dos, relève ma jupe, me lance un regard dexcitation et plonge sa tête entre mes cuisses et lèche avec intensité mon clitoris qui devient de plus en plus gros et dur. Il suce, lèche, tourne autour de mon bouton damour, entre sa langue dans lantre de ma chatte, glisse un puis deux doigts, faisant des vas et viens permanents et puissants.
Je suis déjà tout en émoi, jai quune envie avoir sa queue dans ma bouche.
Nous entendons des gens passer et repasser, nous ne prenons même pas la peine de sarrêter au cas ou quun contrôleur fasse sa tournée. On sen fiche, nous profitons du moment présent. Ladrénaline que nous dégageons par la peur de se faire surprendre se transforme en forte excitation.
Je tire mon homme vers moi, le fait se lever, je défais les boutons de son bermuda et là
Surprise, il est lui aussi sans sous-vêtements, nous sommes de vrais coquins
La vue de son sexe en érection décuple mon envie de le sucer.
Il nhésite pas à me prendre la tête et mengouffrer sa queue dans la bouche tout en me disant.
- « Suce moi, ma puce, jai envie de ta bouche ! » (Son excitation est surement aussi grande que la mienne.)
Il na pas eu le temps de finir sa phrase, que jétais déjà en action à astiquer sa queue gonflée à bloc.
Mes lèvres serrent sa bite, ma langue glisse jusquau fond, je le suce avec force et véracité, mes vas et viens vont crescendo, il mencourage, me complimente, son souffle devient de plus en plus fort, il gémit de plaisir.
Il défait mon soutien-gorge, sort mes seins de mon débardeur pour me les caresser. Ma main est en action sur mon clitoris. Je sors sa bite de ma bouche, lèche son gland, le suce et reprend ma succion à gorge profonde, il pousse un petit cri de surprise et de plaisir. Jadore.
Mon autre main le branle, suivant laction de ma bouche, je sais quil adore. Ma succion, dure encore une bonne dizaine de minutes quand il me pousse en arrière et se jette sur ma chatte pour me faire jouir. Il ne lui a fallut que quelques minutes pour me donner ce plaisir, que jaime tant. Jai eu juste le temps de prendre le coussin, de le mettre sur ma bouche pour jouir.
Mes jambes trembles, je reprends un peu mes esprits et le voilà quil plante son bâton de chair à lentrée de mon puits damour. Il joue un peu avec son gland sur mon clitoris, me faisant pousser des petits cris.
- « Prends moi ! Mon cur baise moi, jen peux plus !!! »
Il ma prise, oui et férocement, comme jaime, il me besogne je narrive pas à retenir mes cris de plaisirs. Seul le coussin arrive à peine à les . Sa bite est serrée dans ma chatte, je la sens bien, que cest bon. Je contracte mon vagin pour quil prenne lui aussi beaucoup de plaisir. Cela sentend à ses gémissements, il aime. Je bouge moi aussi aux rythmes de ses coups de reins, nous sommes en symbiose. Au bout de 5 bonnes minutes, il me retourne, me prend en levrette et nous repartons pour une belle chevauchée.
Je me rends compte, que depuis tout ce temps, que nous avons complètement oublié que nous pourrions nous faire surprendre. Cette pensée nest pas restée bien longtemps quand je sentis mon homme, donner en coup de rein, plus fort et plus profond. Je ne pu me retenir de crier.
De temps en temps mon chéri me claque les fesses, me traitant, de cochonne, de chienne
Ca à le don de mexciter au plus haut point. Je mavance le faisant sortir de moi, me retourne et ré engouffre sa bite dans ma bouche. Jaime le goût de ma cyprine sur sa queue.
Je linstalle sur le lit, me positionne sur lui, lembrasse, le caresse et place sa bite à lentrée de ma chatte. Je menfonce doucement en lui, prenant du plaisir à chaque centimètres qui entre en moi. Il membrasse, me dis des mots doux, me caresse les fesses, les hanches , le dos. Je prends appuis sur mes genoux, et je fais des vas et viens avec mon postérieur de plus en plus vite. Il aime beaucoup cette position, jaime à lui donner du plaisir. Les quelques mouvements du train accentue un peu plus mes coups de fesses. Il me maintien les fesses, fermement, suivant mes mouvements, je sens que mon point G est au point déjaculer. Je me relève, lui dis de me prendre, debout contre la vitre.
Ni une ni deux, je suis collée à la vitre, sa queue en moi, nos mains sont entrelacées et plaquées sur la vitre, il me besogne de plus en plus fort et vite.
- « Je vous souhaite un bon voyage, en espérant que les autres arriverons à dormir
»
Ah ah ah ah ! Nous nous sommes esclaffés de rire et nous nous sommes recouchés nus. Nous navons pas beaucoup dormis, nos sens étaient tellement en éveil que nous avons refait lamour deux fois cette nuit là, sans jamais être dérangés.
Quand nous sommes arrivés en Bretagne, nous ne pensions qua une chose, le retour en train de nuit aussi.
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