Notre Première Rencontre

Je n’avais jamais réellement osé me lancer dans le jeu de la soumission avec mes partenaires. Mais depuis quelques temps, je parle sur le net avec un homme, du moins, il m’affirme être un homme & au fond de moi, je l’espère vraiment. Nous avons commencé par des conversations banales puis inconsciemment, nous nous sommes mis à parler de sujets un peu plus excitants. C’est arrivé en faisant des parties de poker, sur le net. Celui qui perdait devait un gage à l’autre. J’ai été heureuse de gagner quelques fois, mais bien sur, pas autant que je l’aurai voulu. En même temps, je ne savais jamais vraiment quel gage sympa lui donner. Je lui en ai donné des assez mignons, que je trouvais marrant sur le moment & que je m’amusais à photographier avec la touche impecr syst ! Je me rappelle lui avoir demandé de se raser le torse complètement, c’est ainsi que j’ai découvert que cet homme était vraiment très bien foutu ! & puisque j’ai regagné la partie suivante, je lui ai demandé de se tartiner le corps de chantilly & de la manger langoureusement avec ses doigts, malheureusement pour lui, il n’en avait pas, il a fini avec du nutella sur le torse, j’avoue que je me suis mise à m’imaginer à lui retirer, en faisant glisser ma langue sur son corps. Il a joué le jeu à fond, glissais ses doigts dans la texture chocolatée & il les glissait sensuellement dans sa bouche. Tout cela me donnait des idées ! Ensuite, le moment fatidique est arrivé, évidemment, & j’ai perdu de nombreuses fois.
La première chose qu’il m’a demandé de faire m’a étonnée & prise au dépourvue. Il m’a demandé d’aller chercher ma brosse à cheveux. Je ne savais pas vraiment ce qu’il allait me demander mais j’appréhendais beaucoup. Mais bon, j’ai joué, j’ai perdu alors je me suis résolue à exécuter ce qu’il me demandait comme lui l’avait fait, sans rechigner. Je me suis poster devant la cam, il avait un sourire pervers pendu sur les lèvres. Il m’a demandé de retirer ma nuisette, ce que j’ai mis du temps à exécuter.

Je l’admets, j’étais intimidée & je suis quelqu’un d’assez pudique. Je l’ai fait sans regarder la cam, puisqu’en quelque sorte, j’avais l’impression de ne pas le voir m’observer, ce qui me gênait moins. Je l’ai fait & j’ai joué à exciter mes tétons, je les caressais rapidement pour qu’ils pointent, ce qu’ils n’ont pas tardé de faire. Je m’étonnais moi-même mais ce petit jeu m’excitait beaucoup. Il m’a demandé de positionner la cam de sorte à ce qu’il puisse voir le sol de ma chambre, ce que je me suis empressée de faire. Ensuite, j’ai reçu l’ordre de rester debout, de me retourner, de sorte qu’il avait une vie panoramique de mon petit cul rebondi, mais de me pencher afin que ma main gauche touche le sol. Je me sentais offerte à cet inconnu, ce qui ne faisait qu’augmenter la chaleur que je ressentais au creux des jambes. Il m’a wizzé afin que je comprenne qu’il fallait que j’attende ses explications. Ce qui m’a demandé ensuite m’a légèrement choquée. Il a voulu que je m’administre moi-même des coups de brosses sur les fesses, afin qu’elles rougissent. & uniquement lorsqu’il me wizzerait, je pourrais me relever, ce qui signifierait que mes fesses sont assez rouges à son goût. J’ai eu du mal à me lancer, les premiers coups étaient surtout pour lui faire plaisir mais je ne tapais pas très fort. J’avais beau me taper, je ne l’entendais pas wizzer. Pendant un moment, j’ai eu peur qu’il y ait plusieurs spectateurs devant ce spectacle. Je me suis relevée pour vérifier & il m’a dit qu’il ne voyait toujours pas de rougeur. J’ai été un peu rassurée de ne voir que son visage même si je ne pouvais réellement être certaine du contraire. J’ai ensuite pris mon courage à deux mains & je me suis administrée plus de 30 coups, je sentais que mes fesses chauffaient, une brûlure insoutenable, je commençais à me lasser de son jeu mais je n’ai pas lâché. Après avoir dépassé les 40 coups, il m’a enfin wizzé. C’est à partir de ce moment là que nos jeux sont devenus beaucoup plus coquins & je m’en réjouis aujourd’hui, puisqu’il met du piment à ma vie ! Mais ça, c’est pour une autre histoire !
Nous nous sommes donc décidés de nous donner rendez-vous.
J’étais très excitée à l’idée de cette rencontre mais aussi très stressée. J’ai donc prévenue ma meilleure amie de l’endroit où je me rendais, au cas où ! Notre cyber relation s’est basée, depuis le coup de la brosse, sur la soumission & la domination & je suppose que je n’ai pas besoin de vous expliquer qui de nous deux se plie aux règles de soumissions. 
J’avais toujours voulu essayer mais n’avais jamais osé sauter le pas. Cette fois-ci, j’étais plus que lancée. J’avais reçu pour ordre de me rendre dans une rue de ma ville, à 22h, en jupe noir serrée, très courte & chemisier blanc, sans dessous bien sur, avec de hauts escarpins noirs. Je n’avais tout de même pas osé sortir juste vêtue ainsi alors, j’ai enfilé un gilet noir. Je devais l’attendre face à une boutique de bijoux fantaisies. Je trouvais cela parfait, en pensant pouvoir le voir arriver derrière moi par la vitrine du magasin, cela, c’était avant que je le vois. Malheureusement pour moi, il n’avait aucune vitrine, mais une grille grise descendue au sol. J’attendais depuis une bonne demi-heure, toujours pas de Loïc ; je commençais à me demander si ce n’étais pas une farce. Lorsqu’il décida enfin d’arriver.
Il m’a tout de suite demandé de me taire, de ne rien dire s’il ne m’autorisait pas à le faire. J’avais peur de cet inconnu, peur que ce ne soit pas lui, ou peur qu’il ne soit pas seul mais en un sens, la situation m’excitait légèrement. Il s’est collé à moi, m’a remonté ma jupe, mes joues rougissais, mais il ne pouvait pas le voir & m’a fessé une dizaine de fois. Je n’ai pas pu m’empêcher de parler & lui ai demandé d’arrêter. Ce qu’il n’a évidemment pas fait. J’ai essayé de me retourner mais il m’a retenue, je n’ai rien pu faire. J’en avais les larmes aux yeux, je pensais que notre première rencontre allait être moins violente pour un début. Il a tout de suite soulevé mon désappointement :
- « Je t’avais demandé de ne venir habiller que d’une jupe & d’un chemisier & aussi, de te taire.
Tu devrais être heureuse, puisque je n’ai pas trop sur la fessée. Mais ne t’avise pas de recommencer, sinon, je vais prendre un malin plaisir à faire rougir ton petit cul ! »
Pour me réconforter, il me fit sentir son souffle chaud au creux de mon oreille, me goba le lobe, me lécha le coup, ce qui eu pour effet immédiat de me faire mouiller. Il me léchait les oreilles & le cou & avec ce traitement, j’en avais presque oublié la fessée. Il me posa devant les yeux une écharpe noire, si foncée, que je n’apercevais plus rien alentour.
- « je veux ton autorisation avant de faire quoique ce soit. Es-tu consentante pour ce qui va suivre ? Je jure de ne te faire aucun mal & dès que tu me demanderas d’arrêter, je m’exécuterai. »
J’avais un peu peur mais j’étais tellement excitée par ce qui s’était passée dans cette rue que je ne voulais pas m’arrêter là, j’aurais même voulu qu’il me prenne là, tout de suite. Je lui répondis un oui presque inaudible. Il me répondit :
- « je savais que tu étais courageuse. Je t’emmène dans mon appartement, où il t’attend de merveilleuses surprises. Je suis sur que tu vas aimer ça. Attend moi là. »
Je le sens s’éloigné puis j’entends qu’il revient :
- « J’allais presque oublier – il remonte ma jupe au-dessus de mes fesses, me les claque gentiment, je sens ses lèvres les frôler d’un baiser – reste comme ça, écarte les jambes, voilà, comme ça, parfait ! Je vais chercher la voiture ! »
J’ai l’impression que les minutes sont des heures. J’ai honte d’être ainsi exposée en pleine rue. J’espère en silence que personne ne passera. J’entends une voiture démarrée, j’ai l’impression qu’elle n’est qu’à quelques mètres seulement de moi. J’ai le cœur qui s’accélère. Quelqu’un ouvre une portière, je retire immédiatement l’écharpe de mes yeux, & je le vois. Je suis tout de suite rassurée. Il est resplendissant, en costume noir & chemise blanche mais son regard se durci. Il n’est pas content. Il m’att par les cheveux, heureusement que je ne crains pas, sinon, je crois qu’il m’aurait fait crier.

- « je t’avais dit de ne pas bouger, décidément, tu aimes être punie. – il me remet mon écharpe sur les yeux & me pousse dans la voiture & referme la porte – (je l’entends rentrer) il va falloir que tu te fasses pardonner pour cette faute ! – me dit il en rigolant »
Je n’ose rien dire. Il me met ma ceinture & je crois entendre qu’il met la sienne également. Il démarre. Je sens à la vitesse que nous sommes toujours en ville. Il retire ma ceinture, mon cœur s’accélère. Il m’ordonne de lui dégrafer sa braguette. Ce que je fais sans broncher & il m’att par les cheveux, pour me guider vers sa bite déjà bien dure. Je suis un peu réticente, je sais qu’il va falloir que j’avale, puisque je suppose qu’il ne va pas aimer tâcher sa voiture. Je n’ai jamais aimé avaler & ça ne me dit vraiment rien. Il sent que je veux m’éloigner :
- « Ecoute moi bien, petit salope, tu n’as pas exécuté mes ordres & maintenant tu fais la fine bouche devant ma belle bite. Alors nous allons faire un marché, soit tu me suces jusqu’à ce que j’éjacule au fond de gorge de salope, soit arrivé chez moi, je t’attache toute la nuit & te fouette les fesses à volonté & tu me supplieras d’arrêter. A toi de choisir ! »
Je l’écoute attentivement & me résous à le prendre en bouche. Une pipe ne m’a jamais gêné, j’ai toujours aimé ça, ressentir le plaisir de mon partenaire monter en pression mais avaler, tout de même … Mais entre les fessées & le sperme, je crois que je préfère de loin son jus. Je commence à lui suçoter le gland, je salive beaucoup pour faciliter ma progression sur son sexe. Il a l’air d’aimer, je sens sa bite se durcir encore un peu plus. Il s’arrête. Je me pose encore des questions sur mon sort, mais je préfère rouler plutôt que d’être à l’arrêt, sait-on jamais que quelqu’un me voit. Apparemment, nous ne sommes pas encore arrivés. C’était seulement pour faire descendre son boxer & son pantalon, pour laisser vraiment libre son sexe & ses boules. La voiture repart. Tu appuies sur ma tête pour que je gobe ta bite entièrement. Je veux me retirer parce que je sens qu’elle bute au fond de ma gorge mais tu me retiens fermement. J’ai des hauts le cœur, tu m’administre une petite frappe sur la tête. Je comprends qu’il faut que je te prenne en gorge profonde. Je fais de lents vas et viens autour de ton sexe, il me parait si gros, que je bave énormément. J’entreprends de te masser les couilles, tu relâches la pression sur ma tête, je te les gobe une par une, puis les gobe toutes les deux à la fois. Tu me ratts par les cheveux & me dirige sur ta bite. Je te pompe le sexe un peu plus rapidement, tu appuies sur ma tête pour me donner la cadence. Je sens que tu souffles de plaisir & au bout d’un petit moment, je sens ton sexe vibrer, je sais que ça va venir. J’aimerai me retirer mais j’ai peur des fessées, alors je reste, tu appuies encore plus sur ma tête pour que ta bite soit bien au fond de ma gorge. Tu me pinces le nez pour que j’avale bien toute ta semence. Je sens ton sperme chaud, envahir par longues saccades ma gorge. J’avale tout pour que tu sois heureux. Tu me relâche enfin. Je suis assez fière de moi. Je ne m’étais d’ailleurs même pas rendue compte que nous étions arrêtés.

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