Marie! Oh Marie

Ceci est une histoire vraie. Bien sur, j’ai du changer les noms, les lieux… mais … Elle se reconnaitra !
N’est ce pas Marie ?
Marie, c’est une petite brune. Pas vraiment petite, 163 centimètres. Mais piquante, vive, un peu autoritaire (elle est assistante de direction, et se sent souvent investie de devoir donner les consignes à la place de dieu le père qu’elle assiste !!!). De jolis seins en poire, je dirais du 90, bon, légèrement lourds mais mmm… j’en ferais bien mes dimanches… ! Un joli cul, bien rond. Pas de ces fesses en goutte d’eau qui me dépriment. Non, un joli cul qui attire le regard, même si Marie est une femme sérieuse, mariée et pas du tout aguicheuse.
Dans l’entreprise, elle est connu à peu près partout, redoutée un peu, et surtout, elle alimente les conversations entre mecs qui fantasment sur tout ce qui porte un jupon (ou un jean, oui, je sais, merci).
Dans son quartier aussi, elle attire les regards des gars qui sont charmés par cette belle femme, mure mais qui a un cachet particulier. Une classe certaine.
Jamais impolie, elle n’attire pas non plus les conversations. Et ce soir là, elle croise trois voisins, les bras chargés de sacs contenant visiblement de quoi faire une petite fête ! Il doit être 17h30-18h et ils la saluent gentiment. Elle leur demande ce qu’ils font près de son entreprise et lui annoncent qu’ils vont faire un pot en l’honneur du départ de Momo (Mohamed) le marocain. Rudy l’antillais lui propose de se joindre à eux et Julien, le plus proche voisin abonde en ce sens…
Elle se dit que sa présence quelques minutes à ce pot sera surement apprécié du quartier et ma foi… pourquoi pas.. !
- Ok, mais je ne resterai pas longtemps !! j’appelle mon mari !
Donc, allo-je-serai-en-retard-bla-bla-bla et la voila qui suit les 3 loustics.
Dans la petite salle, quelques convives, de la musique, des verres de gin orange. Elle adore danser et ne se fait pas trop prier pour se laisser entrainer avec les autres.

Les éclats de rire fusent, l’ambiance s’échauffe au fur et à mesure des gin-orange que les trois zozos s’appliquent à lui faire boire !
Les danses se suivent, quelques unes laissent l’occasion à des mains de devenir plus indiscrètes. Elle repousse gentiment, elle est pompette la Marie…Vite pipi !!!
A la sortie des toilettes, Rudy est là.
-viens je vais te montrer quelque chose de rare !
Elle le suit, la tête tourne. Dans le bureau, il la prend dans ses bras, sa taille est enserrée, la bouche sur sa bouche veut forcer le passage. Elle se défend vaguement. Elle ne veut pas. Enfin… pourquoi sa bouche s’ouvre alors ? pourquoi elle soupire ? pourquoi ses jambes laissent la jambe de Rudy s’insinuer entre elles ???
Elle défaille, les mains de l’antillais sont partout, son soutien-gorge est prestement débouclé, ses seins jaillissent, il tête l’un puis l’autre, la tête de Marie est renversée… D’autres mains sont là qui la fouillent, la caressent. Momo et Julien sont là, ils la pelotent relèvent sa jupe, ses collants la protègent, même si elle ne porte pas de culotte dessous, mais pour combien de temps ???
Un doigt a franchi le rempart, déchirant le mince tissu et la chatte trempée de Marie accueille l’intrus avec avidité. Comme c’est bon de sentir ce doigt sur son clitoris, de le sentir s’introduire, de le sentir bouger, tourner, posséder son minou…Et la bouche du grand Antillais continue de lécher , sucer…
Marie se sent soulevée , posée sur le bureau, les jambes sont écartées et relevées, le trou du collant est agrandi et une bite, celle de Rudy, s’introduit dans la chatte si sage et propriété exclusive jusqu’alors du malheureux mari de Marie…
Elle peut jouir à son aise en accueillant les coups de cette belle queue ! Et elle ne manque pas de prendre son pied. L’alcool lui enlève tout inhibition, elle se fait prendre et adore ça. Elle ouvre la bouche pour happer la bite de Momo, le pompe généreusement, il lui caresse la tête, la félicite, l’encourage… Julien, passé sous les fesses de Marie parvient à enfiler son majeur dans la pastille de la si sévère assistante de direction… Elle s’affole, les orgasmes s’empilent… Les hommes échangent les positions, elle tête des bites différentes, se sent envahie dans sa foufoune, dans son petit trou qu’elle n’a jamais laissé son mari utiliser… Et elle aime ça…Elle adore ça !!!
Ce n’est que quand ces trois voisins ( du pole emploi !!! ) ont bien vidé leurs couilles que Marie peut se ressaisir, constater l’état de collant, les taches d’amour sur son corsage, sa jupe froissée et la nuit tombée…
-Salauds ! vous avez vu l’heure !! Qu’est ce que je vais dire ???
-Ben Marie , dis lui qu’on a aimé !!! s’exclame Julien
-c’est ça. Je vais lui dire que 3 mecs m’ont défoncée pendant 3 heures et que je me suis pas rendu compte…
Après quelques minutes aux toilettes, l’Assistante de direction reprend le chemin du domicile conjugal. Bon, c’est vrai qu’il y a peu de chance que son mari lui demande l’exécution du devoir conjugal, c’est pas un violent de ce côté-là … ouf… Elle adore le froid qui entre par le trou de son collant largement ouvert entre les cuisses… Ca rafraichit la chair meurtrie par les puissants coups de queue de ses amants d’un soir.
Finalement, une parenthèse qui ne lui laissera pas un si mauvais souvenir se dit-elle…De là à recommencer…oh ! faut voir…
Oh Marie si tu voulais…
en tous cas, Marie, n’hésite pas à m’écrire. Je suis prêt à t’offrir une autre parenthèse…