Piégée Par Deux Petits Vieux. Joachim ?
Chantal et les deux vieux militaires
Nous devions recevoir un candidat pour visiter notre petit pavillon que nous mettons en location. Il est situé dans un petit lotissement, pas très loin de chez nous, où les maisons sont presque à touche-touche. Comme notre locataire sur le départ est absent, je me retrouve à attendre son éventuel remplaçant devant la maison sur un tout petit terreplein de gazon. Le gars tarde. Le voisin den face, un ancien de lIndochine, près de 70 ans, sort de chez lui et engage la conversation.
- « Je suis lil de Moscou ici. Je vois tout, jentends tout et on me raconte tout, me dit-il. Je mappelle Fred »
- « Moi cest Chantal ».
- « Oh, je vous connais bien. Vous habitez près de lhôpital, dans la zone boisée, avec un grand jardin ».
- « Oui, cest ça »
Il est presque chauve, en maillot « marcel » aux couleurs douteuses. Il sent la transpiration et des poils blancs dépassent de son tricot.
Il fait chaud, une canicule. Il minvite à venir me rafraîchir chez lui. Jhésite, il insiste. Je le suis. Derrière la maison, un jardin, minuscule carré de gazon entouré dune épaisse haie qui le cache et lisole des voisins. Il me propose de masseoir autour dune petite table de jardin. Pas un seul coin qui ne soit en plein soleil ! Il me demande dattendre, quil va chercher de quoi nous rafraîchir. Il semble tout excité à lidée de mavoir ici chez lui et il multiplie les politesses et amabilités. La situation mamuse, ce petit vieux est attendrissant et je me dis, bien inoffensif.
Il revient avec un plateau de boissons fraiches.
- « Jai installé un brumisateur sur mon tuyau darrosage. Vous allez voir, cela fait beaucoup de bien ».
Et avant même que jai pu dire un mot, il ouvre le robinet !
Une bruine fine tombe du ciel, froide, délicieuse. Je me lève et me glisse sous la fine pluie et bien sûr très vite, ce à quoi je navais pas pensé, ma robe de lin blanche devient transparente.
Comme il faisait très chaud en ce début daout, javais mis un soutien gorge et une culotte de coton très fin et léger. Très vite tout est devenu transparent et je me suis vite retrouvée comme nue dans ce petit jardin avec le mec qui ne se gênait pas pour regarder. Il restait là immobile, face à moi, couillon à savoir si il devait regarder ou pas. Moi javais oublié toute pudeur et je me sentais même troublée, mais en même temps humiliée car ce vieux bonhomme était amené à me revoir.
- « Arrêtez de me regarder comme cela, amenez moi de quoi me sécher ! ». Le ton nétait pas des plus chaleureux, ce qui ébranla un peu le vieil homme.
Il entra chez lui fermant la porte derrière lui, me laissant sous la fine pluie. Il ne revenait pas et dun coup je me suis sentie piégée et jeus peur. Javais remarqué en arrivant dans le lotissement que beaucoup de pavillons étaient fermés ce mois daoût.
Il est revenu plusieurs minutes après, jétais trempée. Mes vêtements étaient collés sur moi comme une seconde peau et dessinaient les formes de mon corps. On voyait nettement mes pointes de seins, érigées évidemment, et les poils de mon pubis. Soudain, je remarque quil jette un regard par dessus mon épaule vers la haie très dense qui borde son petit jardin. Je me retourne et je vois nettement quune personne nous épie et mate vers moi. Jaurais dû être folle de rage maintenant et prête à lui sauter dessus. La surprise passée, au contraire, je me sentis excitée et fière dêtre regardée aussi intensément. Pure folie dinconscience ! Jusquoù iraient-ils ?
Mon baroudeur sapproche avec une très grande serviette de plage, après avoir fermé le brumisateur. Il me la jette sur mes épaules, me couvrant tout le haut du corps et même la tête. Je suis carrément aveugle.
Rapidement, je nai pas le temps de réagir, il me prend les mains et les passe dans mon dos. Il est fort et je ne peux pas me dégager. Je ne vois rien avec la serviette sur la tête mais je me rends compte que ce sont des mains qui parcourent maintenant mon corps sous prétexte de me sécher. Je fais mine de me débattre mollement. Il me colle, me maintient fortement contre lui, je sens son sexe encore mou contre mes mon ventre et mes cuisses.
- « Calmez-vous ma ptite dame, dit la voix que je reconnais bien et qui se veut rassurante, on veut seulement bien vous sécher pour ne pas que vous attrapiez le rhume »
En fait, je sens bien que ses mains me pelotent carrément. Elles me frottent les seins, les fesses, les cuisses, le ventre. Et que signifie ce « on » ?
Mais, petit à petit, je me détends, trouvant le jeu plutôt amusant. Je me surprends même à garder mes mains dans mon dos quand elles ne sont plus maintenues. Est-ce ce relâchement qui est pris pour une invite ? En tous cas, les mains qui me parcourent se font de plus en plus indiscrètes. Je ferme les yeux pour goûter pleinement ce moment. Il a sa tête logée dans mon cou et je sens son souffle chaud contre ma peau.
Mon violeur me fait tourner sur moi-même et derrière moi, me plaque et me maintient contre lui. Il me caresse dune main les seins, tandis que lautre passe sur le ventre, descend entre mes cuisses, les force à souvrir, soulève ma robe et sempare de ma chatte que je sens toute humide. Il écarte les lèvres gluantes et introduit son majeur dedans bien profondément en signe de possession. Son doigt sattarde quelques instants puis progresse plus haut à la recherche de mon petit bouton.
Lautre, le mateur est venu devant je le sens. Il sapplique, la serviette jetée au loin, à déboutonner ma robe blanche.
- « Elle est toute mouillée, il faut vous sécher et vous changer » dit une voix très aigüe.
Jouvre les yeux et me trouve devant un autre vieux bonhomme, mal rasé. Celui là non plus na pas de cheveux. Il a un ventre énorme qui dépasse du bas entre son teeshirt et un bermuda douteux. De fines moustaches soulignent un visage buriné pas la boisson avec un nez de la couleur dune betterave. Il me sourit et veut semparer de ma bouche. Je refuse dabord, détourne la tête pour fuir. Mais le salaud me choppe au menton et mattire à lui. Il plaque ses lèvres contre les miennes, puis sa langue force le passage, mais très vite, comme jen ai envie, ma résistance faiblit et une langue monstrueusement grosse et râpeuse sempare de ma bouche et commence à la fouiller roulant autour de la mienne. Son haleine sent le vin de mauvaise qualité.
Ma robe mest enlevée. Je laisse faire. Derrière on me dégrafe le soutien gorge puis cest au tour de la culotte dêtre descendue sur mes cuisses puis enlevée. Je lève les pieds pour laisser faire. Je suis folle !
Je suis à poil, avec simplement mes chaussures, dans ce jardinet entre les mains de deux vieux vicelards qui nont pas hésité à me foutre à poil.
- « Elle est toute excitée, Fred, cest une vrai chienne cette femelle ! ».
- « Oui, cest vrai. Je ne voulais pas le croire ».
- « Tu vois bien ! Il nous lavait bien dit ton portugais. Elle rechigne mais elle est chaude la chienne !
A ces mots, mon sang se glace. Portugais ? Ils connaissent Joachim ? Cest lui qui leur a raconté ? Jaurais dû me révolter, foutre le camp ! Et non, au contraire, être prise pour une pute a fini de mexciter. Maintenant, je maccroche au cou de mon violeur et je lui rends son baiser à langue râpeuse. Puis il laisse ma bouche pour me sucer les seins. Là, je sais que je vais perdre la tête encore plus, cest mon point sensible, surtout que je sens que ma liqueur commence à couler le long de mes cuisses. Ils ne sont pas longs à sen rendre compte et aussitôt les mots arrivent, crus, violents, insultants mais si excitants :
- « Regarde un peu comme elle mouille cette salope. Et dire quelle ne voulait pas
Cest une vraie fontaine, vas-y met ton doigt dans sa chatte pour sentir ! »
Je sens immédiatement une autre main fouiller mon intimité et je pressens que je vais jouir. Jai les mains encore dans mon dos quand je sens un membre se glisser entre mes fesses. Il ne bande pas beaucoup, aussi je men saisis entre mes doigts et le branle pour lui donner une forme. Je me dis quils ne vont pas me baiser quand même ! Je me trompe. Devant moi il a aussi sorti son sexe et le frotte contre mon pubis.
- « Elle a des poils à la chatte comme jaime », me crie le gros aux oreilles.
- « Tu vas nous faire bander hein ? Tu vas nous sucer pour quon puisse tenfiler comme come tu en as envie, cochonne ».
On me prends la tête et me force à me baisser. Une bite se frotte contre mes lèvres. Je nhésite pas et dun seul coup je lavale carrément. Il ne faut que quelques coups de langues pour la sentir prendre du volume et de la dureté. Jaspire, je suce, je titille le gland. La queue sallonge et jai de plus en plus de mal à la maintenir en bouche. Derrière je sens un gland tout mou qui essaie de me sodomiser. Je passe une main entre mes cuisses, men saisit et commence à lentement le branler. Lui aussi prend vie très vite, et je le dirige vers mon minou qui réclame quon le frictionne. Le vieux nattends pas et dun coup de rein il senfonce jusquaux couilles dans mon ventre en feu. Je sursaute et au même moment, je sens les giclées de foutre envahir ma bouche. Le vieux me maintint la tête contre son ventre mobligeant à avaler sa semence. Je vais , je vais jouir. Je nen peux plus, la bite qui me ramone la chatte accélère ses va et viens dans mon ventre et soudain jentends le type râler en me remplissant mon antre intime. Il décharge, jute, se vide. Celui de devant me maintient bien la tête baissée pour aider son complice dans sa tâche. Je jouis soudain, très fort, sans me rendre compte que je suis dans une résidence et quon peut mentendre. Tant pis, ces deux vieillards aux couilles pendantes et la situation me procurent un orgasme immense, rare, exceptionnel.
A peine repus, ils débandent immédiatement et redeviennent prévenants, attentionnés. Jai les jambes en coton. Je tremble car à la vérité jai encore envie, envie dêtre prise là comme la salope quils ont dévoilée. Mais à leur âge
Ils me sourient, me remercient, moffrent à boire. Ils continuent tout de même à me toucher partout. Comme ils voient que je suis en manque, je les entends dire :
- « Elle en redemande la salope. Attends un peu on va encore ten donner. Tu vas prendre. On massoit sur la table, on mallonge sur le dos. Le gros me prend les chevilles, soulève les jambes et les écarte. Son complice revient, il a une bouteille de coca dans la main. Il présente le goulot à lentrée de ma chatte et lentement entreprends de la faire pénétrer. Lentement plus profond. Jouvre mes cuisses, on arrive au bout du goulot étroit. La bouteille avance encore et écartèle mes chairs. Je lui crie de pousser, de me déchirer. Jai mal mais je nen peux plus de jouir. Le plaisir mélangé à la honte est trop fort et soudain jexplose alors que le milieu de la bouteille franchit lentrée de mon ventre. Écartelée, déchirée je jouis comme jamais et jentends les quolibets et insultes quils me crient aux oreilles.
- « Tu aimes cela petite cochonne, tu mouilles, tes vraiment une pute
» Et tous ces mots au lieu de me blesser, mexcitent et me poussent dans une jouissance encore plus forte. Enfin, petit à petit, la tension retombe, on mextrait la bouteille. Je me relève, épuisée, les jambes en coton. Ils me regardent en souriant. Jai honte.
Jenroule la grande serviette autour de moi pour regagner la voiture et rentrer chez moi. Heureusement, le candidat à la location nest pas venu !
En conduisant je ne peux mempêcher de chercher à deviner qui était ce portugais qui les avait renseignés. A chaque fois le nom de Joachim simposait à moi. Et dun seul coup ma mémoire mest revenue : cétait bien mon jardinier qui mavait passé le message du rendez-vous du candidat à la location fantôme pour ce dimanche !
Je navais pas fini dêtre le jouet de ce pervers.
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