Paule Et Son Mari
Je suis Bette, une ménagère, autrement dit une femme au foyer. Jai deux s entre 4 et 10 ans.
Mon mari moublie depuis longtemps.
Voici mon histoire:
Délaissée donc par mon époux je me suis inscrite à un club de gymnastique et remise en forme. Cest
là que jai connu mes nouveaux amis. Après les exercices je vais prendre une douche dès la fin des
cours. Les douches ont ce caractère spartiate dêtre communes. Seuls les cabines pour se changer
sont privées. Heureusement que je ne suis pas un exemple pour la pudeur. Je règle le volume et la
température de leau quand arrive une femme de couleur, comme on dit, pour ne pas dire noire. Une
réelle beauté. Un corps délié, musclé, avec des seins qui montent jusquau plafond, un sexe rasé, et
ce qui métonne des cheveux longs qui tombent jusquà sa taille. Même son visage est fin.
- Ca ne te dérange pas que je me douche près de toi ? Dit-elle en me tutoyant.
- Pas du tout, fait comme tu veux, après tout nous sommes chez nous.
- Tu sais que tu es sacrément bien faite ?
- On le dit, toit aussi tu est bien faite, si jétais un homme je te conterai fleurette à ma façon.
- Quelle serait ta façon ?
- Je te provoquerai pour savoir si jai des chance de
.
- De quoi ,
- Je nose pas te le dire.
- Je vais le dire: de me baiser.
- Oui.
- Alors là, belle comme tu es je ne refuserai pas.
Elle commence à exagérer, elle va me faire mouiller, moi une mère de famille de 30 ans. Elle
sapproche de moi pour partager le douche alors quelle a son jet.
- Je vais daider à te laver. Joubliais, je mappelle Paule
Elle prend ma savonnette, la passe sur tout le haut du corps, dabord le haut, les épaules pour
venir sur le dos, presque jusquaux fesses. Elle passe devant, encore les épaules puis elle descend
vers mes seins. Elle nhésite pas. Jai droit à une caresse légèrement savonneuse, ses mains
glissent sur les tétons qui du coup prennent de lampleur.
main descend toujours. Je la sens sur le pubis.
Jusquoù va-t-elle aller ?
Je crains et espère le pire qui arrive quand elle passe un doigt dans entre les lèvres intimes. Elle
est si douce que je la laisse faire. Elle sattarde sur le clitoris avant de me doigter
profondément. Je sens ses deux doigts me faire un bien. Je reste toujours passive, je ne fais que
profiter ce ses doigts. Je perçois une grande secousse quand je sens un orgasme que jespérais
depuis un moment. Ma première fille, ma première amante ?
Jétais prête à lui rendre ce genre de caresses quand entre une autre femme de mon âge. Une fille
grande, blonde aux yeux verts, poitrine pas très développée, le reste aussi bien faite de la Vénus
de Milo. Paule en la voyant venir me dit:
- Ne ten fais pas, cest une copine nous prenons souvent les douches ensemble. Elle aime comme toi
que je la caresse.
- Et si un homme nous voit ?
- Que veux-tu que nous fasse un homme, nous mettre sa bite, et alors, cest bon non. Moi je ne
refuserai pas une bonne baise.
La blonde est sur nous;
- Bonjour, toi, dit-elle à Paule,
Elle lembrasse sur la bouche comme une chose naturelle. Elle ne me connais pas, jai droit moi
aussi à un baiser sur la bouche. Sans réfléchir jouvre la bouche pour recevoir sa langue.
- Tu ne veux pas baiser aujourdhui ?
- Moi, dit Paule, si bien sur.
- Tu branlais ta nouvelle amie et moi alors;
- On va te branler toutes les deux.
Elle savance un peu: je nai jamais masturber de femme. Nous sortons des douches, nous allons dans
une cabine pour ne pas risquer de nous faire surprendre. Comme promis par Paule, elle commence à lui
mettre la main sur la chatte. Je vois quelle caresse le clitoris avant de descendre encore sa main
dans le vagin. Je mouille tellement je voudrai quelle me le fasse encore: je dois participer, alors
je pose ma main sur une fesse, je la caresse, je met surtout un doigt dans la raie pour aller sur
son anus.
Jentre le doigts directement le plus loin possible. Jai ma récompense: elle passe une main
derrière elle pour à tâtons fouiller mon paradis. Je sens monter le plaisir dans mon ventre. Elle
doit sentir que je suis proche de lorgasme: elle sarrête un tout petit moment pour reprendre
aussitôt. Elle na fait que retarder léchéance. Javance mon bas ventre vers sa main au moment de
jouir. Je ne sais pas si je vais rester avec ses filles. Jai envie de recommencer. Pourtant je suis
lucide, je sors de la cabine pour aller mhabiller. Elles me suivent juste pour membrasser avant
mon départ:
Nous allons encore tirer un coup avant de partir. A la semaine prochaine. Pense à nous.
Je passe une semaine affreuse à penser à elles ou à leurs caresses. Mon mari moubli toujours, je me
soulage le matin en prenant la douche, jai encore dans lesprit les caresses de Paul, ma belle
noire. Le soir je peux me branler encore rapidement avec un gode. Je pense toujours à mes camarades.
Enfin arrive le mardi après midi. « Joublie de mettre des sous vêtements, je suis plus à laise
ainsi. Je sens le vent sur mon sexe, jen mouille davance.
Je passe dabord dans la cabine pour me changer en passant mon jogging. Labsence de culotte ne me
gêne pas, au contraire, je sens que je mouille toujours. Ou elles viennent ou je vais me branler.
Paule enfin arrive. Elle nest pas seule, un homme grand et costaud est avec elle. Elle vient me
faire la bise pour me présenter son mari:
- Tu sais il aime ce que je fais dans les douches. Alors aujourdhui il va nous la mettre à toutes
les trois, si tu veux bien sur.
Elle mabandonne pour aller sur un vélo. Je reste sans rien faire: je suis déçue je voulais baiser
avec elle et la blonde entre filles. Elle amène son mari.
Pour une fois Paule a vite fait: elle va se doucher suivie de son époux.
sont vite nus. Jhésite à me mettre à poil. Pour le moment ils semblent se désintéresser de moi.
Elle est contre lui sous la douche, elle le fait bander. Quelle bite il a, dabord longue de je ne
sais combien, je nen avais jamais vu une pareille et grosse. Elle doit bien remplis un orifice
féminin.
Tant pis je me jette dans la fournaise. Je vais aussi prendre une douche. Paule maccueille par un
long baiser sur la bouche en mettant directement sa main dans ma foufoune. Je reste ainsi longtemps
avec sa main qui me branle et sa bouche sur la mienne quand je sens dautres mains venir sur moi.
Cest son mari qui se décide à venir me caresser les seins. Je sens sa bite contre mes fesses et sur
ma raie.
Cest tellement bon que je jouis en gémissant. Ce nest pas fini, nous allons dans une cabine nous
amuser un peu. Les rôles sont bien définis: je mériterai la bite dans mon ventre quand jaurai
satisfait certaines demandes. Paule est assise sur la banquette, les jambes ouvertes: la main de son
mari dans la chatte: je ne dois faire quune toute petite chose: passer ma langue dans la fente.
Pour moi, cest ma première fois. Je ne refuse pas, je suis septique quand au résultat. Je suis
accroupie, j écarte les lèvres délaissées par le mari, je plonge ma langue dans une fournaise: je
ne pensais pas quun sexe de femme soit si chaud. Cest agréable, ainsi que le gout ambré de sa
cyprine. Je cherche juste un peu lendroit voulu. Jatt le clitoris que je ne connaissais pas
encore. Je le lèche un moment jusquà ce quelle me tienne le tête pour que je ne parte pas.
Je vois du coin de lil la main de son mari qui entoure sa bite dans sa main: il nous regarde en se
branlant. Mon Dieu faite quil ne jouisse pas ainsi: je le veux dans mon ventre, même sil peut dans
mon cul.
Paule me lâche quand elle jouit. Elle demande à son mari de me baiser.
lamour à une autre. Elle reste assise sur la banc, pour nou regarder et se branler.
Je me donne à lui en lembrassant: nos langues font connaissance en se bagarrant dans les bouches;
Je me colle à lui, je sens sa grosse bite contre mon ventre. Il me tient pas les fesses, il y passe
un doigt comme sil venait en reconnaissance vers mon cul. Je bouge mon ventre contre le sien, je
branle un peu la queue monumentale.
Je fais sans doute une grosse bêtise en lui demande de me la mettre au cul. Cétait son intention,
Paule lui demande de faire attention. Et à mon adresse:
- Ne ten fais pas, elle est grosse, mais quand elle sera entrée elle te fera jouir, comme ça me
fait à chaque fois.
Il me fait mettre penchée en avant, je sens une main venir sur mon sexe récolter de la cyprine. Il
doit en prendre un sacré paquet puisquil me semble que je suis moins mouillée. Il entre deux doigts
dans lanus, puis il en met un autre. Il écarte le sphincter pour, enfin, poser sa pine sur mon cul.
Je sens quil entre très lentement, je sens mes chairs sécarter sans dommage. Je me demande
pourquoi je nai pas mal. Je ne sens presque rien jusquau moment où il est tout au fond de mon
ventre. Je commence à sentir quand il entame ses vas et vient. Je sens le plaisir spécial de la
sodomie envahir tout mon ventre. Il monte lentement vers ma tête, mes seins, mes fesses, mes reins,
mon con, partout je ressent lorgasme retentit en moi plusieurs fois pendant quil me la met. Il est
très long à jouir, jen profite sans doute plus de ¾ dheure. Quand il sort de moi, je me sens
pantelante. Je ne sais plus où je suis, sinon encore dans un rêve.
En rentrant chez moi, je vais me coucher, rompue par cet énorme plaisir que jai eu. Mon mari vient
me voir:
- Tu as lair fatiguée.
Sil savait que par sa faute je me suis faite mettre par une énorme bite et dans le cul en plus, il
en attrai un coup de sang, lui qui est persuadé que je naime pas baiser.
Jespère que la semaine prochaine ils seront là. Mais où est la blonde, jaurai aimé la sucer aussi.
Sans doute la semaine prochaine, avec la mari de Paule: une petite partouze avec trois filles et un
homme. Pourquoi pas, il est costaud.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!