Vacances À La Campagne (Suite De La Ballade À Vélo)
Bonjour,
suite aux commentaires et aux demandes recues après la publication de mon histoire précédente "ballade a vélo", je me décide à vous raconter une des autres aventures qui me sont arrivées ce fameux été ou je venais d'avoir mes 18 ans, mais pas encore mon indépendance financière pour pouvoir partir en vacances autrement qu'avec mes parents. Ceux ci avaient décidé de louer une maison à la campagne, non loin de l'endroit où ils possédaient il n'y a encore pas si longtemps une résidence secondaire ou nous venions en vacances tous les ans, avant que mon père ne la vende pour cause de mutation à l'autre bout de la france. Je connaissais donc pas mal la région, et je ne comprenais pas pourquoi ils avaient décidé de revenir passer les vacances dans ce coin pourri encore une fois.
Après cette fameuse ballade à velo ou j'avais rencontré les 4 cyclistes qui s'étaient si bien occupés de me désennuyer (!!), j'avais pris l'habitude d'aller me promener très souvent l'après midi sur les petites routes et les chemins des alentours, en espérant à chaque fois faire des rencontres intéressantes, mais sans beaucoup de succès...
Cet après midi là était plutot mal engagé, j'étais partie déja depuis une heure et demie, la chaleur était devenue étouffante quand je m'apperçus que le pneu arrière de mon vélo était a plat. Je m'arrêtai un instant pour le regonfler à bloc et je pris le chemin du retour en me promettant bien de me caresser sous une bonne douche en arrivant à la maison.
Mais ce n'était vraiment pas mon jour, et quelques kilometres plus loin, mon pneu était à nouveau dégonflé. Crevée si loin de la maison, c'était la cata, et je tentai de regonfler à nouveau pour rentrer plus vite. Malheureusement, le pneu se dégonfla à nouveau et quelques kilometres plus loin, j'étais à nouveau a plat. Je m'apprétais à regonfler à nouveau quand l'orage éclata et je me précipitai sous l'abri précaire d'un chêne débordant sur la route. Quelques instant de répit, mais c'était un de ces orages d'été ou le ciel semble ouvrir d'un coup les vannes pour laisser tomber toute l'eau qu'il retenait depuis des semaines, et bien entendu, je fus rapidement trempée jusqu'aux os.
C'est à ce moment que j'entendis le bruit d'un véhicule s'approchant sur la petite route, et je pensais demander de l'aide quand je me rendis compte de l'état dans lequel j'étais : mon tee shirt blanc orné d'un grand coeur rouge, trempé, me collait à la peau, moulant parfaitement mes formes et dessinant ma poitrine comme si j'étais nue, et mon short gris en tissu était aussi indécent et me faisait comme une seconde peau plaquée sur mes fesses et dessinant ma vulve. Je restai donc sous mon arbre, renonçant au projet de demander de l'aide. Mais c'était un tracteur qui approchait, et sa remorque bien chargée de cailloux ne lui permettait pas de rouler très vite ; je reconnus le tracteur que j'avais souvent vu passer devant la maison, c'était sans doute un agriculteur dont la ferme ne devait pas se trouver très loin de chez nous. Lui aussi m'avait vue, et j'étais en train de supplier le ciel pour qu'il continue son chemin quand bien évidemment, il s'arreta à ma hauteur.
- "des ennuis, ma petite demoiselle ? Montez vous mettre à l'abri dans la cabine, je vous ramène chez vous ; ne vous inquiétez pas, je sais ou c'est"
et il descendit de son tracteur, empoigna mon vélo et le monta d'autorité sur sa remorque. Que pouvais-je faire d'autre maintenant ? Je montai à mon tour dans la cabine, en essayant de dissimuler au mieux en me repliant sur moi même, mais la place était comptée, et j'étais obligée de rester debout à sa gauche, seulement à moitié courbée pour ne pas cogner ma tête dans le plafond, et les cahots de la route me projetaient régulièrement contre son épaule et contre la paroi de la cabine. Bien qu'il ne disait rien, j'étais sure qu'il n'avait rien perdu de mon anatomie. Pendant qu'il conduisait, j'en profitais pour l'observer aussi : grand, cheveux bruns, yeux noisette, bien musclé (normal avec son métier), environ 35 ans, il ne semblait pas si mal fait de sa personne ; une longue cicatrice visible par l'échancrure de son tee shirt sans manche, courait sur son épaule gauche.
-" Les orages arrivent brusquement en cette saison"
Sa voix était un peu rauque, mais il avait dit cette phrase banale d'un ton si gentil que j'acceptais la conversation et que je lui racontai mes mésaventures de l'après midi. La glace était rompue, et si je n'avais pas été ballotée de façon aussi inconfortable, j'aurai trouvé la situation agréable. L'a-t-il senti, sans doute car il me dit soudain :
-" Désolé, ce n'est pas très confortable, mais le tracteur n'est pas prévu pour plusieurs ; normalement, quand on est deux, le mieux est de s'asseoir sur les genoux du conducteur"
J'hésitai un instant, puis je me dis qu'après tout, quoi qu'il arrive, ça ne pouvait pas être plus désagréable que de se cogner à chaque cahot ; je m'installai donc à califourchon sur sa cuisse gauche, et maintenant, à chaque cahot, au lieu d'être heurtée par la paroi de la cabine, j'avais la cuisse de Jean-Louis (j'avais appris son nom il y a quelques minutes), qui se frottait agréablement sur mon minou... Magré le froid de mes vetements trempés qui faisait dresser la pointe de mes seins moulés par mon tee shirt, ce qui n'avait pas échappé à mon chauffeur, je commençais à sentir une douce chaleur que je connaissais bien m'envahir. Je me laissais aller un peu contre Jean-Louis, et je sentais une bosse durcir derrière ma fesse droite... Au tournant suivant, sous prétexte de manoeuvrer le volant à deux mains, il passa son bras autour de ma taille pour tourner, mais son bras resta en place après le virage ; sa main "tomba" ensuite du volant et atterrit sur mon genou gauche par un curieux hasard. Voyant que je ne le repoussais pas, il commença à me caresser doucement le genou et je le laissai faire. S'enhardissant, sa main remontait maintenant de plus en plus haut, et au fur et a mesure de sa progression, je me laissais aller contre son torse, lui indiquant par là que j'acceptais ses caresses. Sa main remonta sur ma hanche, et s'engagea alors sous mon tee shirt, entrainant au passage le tissu qui remonta jusqu'à ce que sa main atteigne son objectif, mon sein gauche qu'il saisit à pleine main.
Pendant que je le branlais, Jean-Louis manoeuvra pour rentrer dans un petit chemin ou il voulait décharger sa cargaison de cailloux pour boucher les trous, mais avant, j'avais bien l'intention de le faire décharger autre chose ; maintenant que nous étions arrétés bien à l'abri dans ce petit chemin, il avait les deux mains libres et ne perdait pas son temps : mon tee shirt était passé par dessus ma tête et avait atterri sur le volant, sa main droite jouait maintenant avec mes seins, tandis que sa main gauche s'aventurait le long de mon ventre, sous mon short, puis sous mon string, vers mon petit bouton avec lequel il se mit à jouer pour mon plus grand plaisir. Je ne restais pas inactive, et je continuais de le branler dans mon dos avec ma main droite, jouant aussi avec ses grosses couilles poilues. Quand ses doigts pénétrèrent ma chatte déja toute trempée, mon corps se raidit tout entier dans un premier orgasme.
Pour le remercier, je me mis à genoux sur le plancher du tracteur et je le pris en bouche pour le sucer. Je l'ai pompé avidement pendant une dizaine de minutes, lui plongeant parfois la langue dans le petit trou qui terminait le bout de son gland, ce qui semblait lui procurer le plus grand plaisir, tout en caressant ses bourses d'une main et ma chatte de l'autre (charité bien ordonnée ...)
N'y tenant plus, il me releva d'autorité, fit glisser mon short sur mes chevilles, me retourna dos à lui, et en écartant la ficelle de mon string, me fit m'asseoir sur sa verge gonflée ou je m'empalais d'un coup.
J'étais sur un petit nuage quand il déversa le contenu de sa remorque dans le chemin qu'il voulait empierrer et qu'il étala les cailloux avec le godet de la fourche du tracteur. Il me ramena ensuite chez moi, me déposa devant la maison, en me proposant de garder le vélo pour réparer le pneu, me disant que je vienne le chercher lors d'une de mes prochaines ballades ; sa ferme n'était qu'à 10 minutes de marche, j'acceptais avec entousiasme pour deux raisons : d'une part, mon père n'était jamais pressé de réparer mon vélo quand j'avais un problème, et d'autre part, j'aurais une bonne excuse pour le revoir à nouveau, et peut-être ... surement ... J'en étais déja toute excitée, et le soir dans mon lit, je ne pus m'empècher de me caresser en repensant à cette journée et à ce qui allait se passer quand je le reverrai. Mais je ne me doutais pas de ce qui m'attendait !!!!!!!!!!
Le lendemain, je ne pus me rendre à sa ferme, car le temps était toujours à l'orage et mes parents avaient décidé d'aller faire les courses à la ville et m'avaient demandé de venir avec eux. Même majeure, on ne fait pas ce qu'on veut avec ses parents ! Je dus attendre le surlendemain pour aller rendre visite à Jean-Louis dans sa ferme ; Je partis juste après le déjeuner, car il m'avait dit que c'était en tout début d'après midi que j'avais des chances de le trouver à la ferme : il partait ensuite dans ses champs pour faire son travail. J'arrivai devant la ferme, traversai la cour et frappai à la porte de la maison ; quelques instants après, Jean-Louis vint m'ouvrir et m'embrassa à pleine bouche en guise de bienvenue ! Ca commençait bien !
- "entre un moment" me dit-il, "le café est en train de chauffer"
Je le suivis à la salle à manger dans laquelle une femme que je ne connaissais pas m'accueillit avec un large sourire :
- " Bonjour, vous devez être Sandrine, n'est-ce pas ?"
J'étais abasourdie, comment cette femme que je n'avais jamais vue connaissait-elle mon nom ?
Je surpris le regard malicieux de Jean-Louis qui tenta de me rassurer :
- " Sandrine, je te présente ma femme Catherine, et rassure toi, elle est au courant de tout ce qui c'est passé avant hier et elle a beaucoup aimé quand je lui ai raconté notre aventure ".
Je ne crois pas que son discours m'ait beaucoup rassuré, au contraire, et je ne savais pas du tout quelle attitude adopter dans cette situation. C'est Catherine qui sauva la situation : en se levant difficilement de sa chaise, elle s'approcha de moi, et me prenant doucement par les épaules, elle me fit asseoir sur la chaise la plus proche en me disant :
- " Ne t'inquiètes pas, ce n'est pas la première ni la dernière fois que Jean-Louis me ramène une femme à la maison, mais je dois dire que c'est la première fois qu'il en ramène une aussi jolie "
J'étais flattée par le compliment, mais je ne comprenais toujours pas, et elle continua :
- " comme tu as sans doute pu le constater, la vie à la campagne n'est pas toujours très amusante, et vu mon physique, les plaisirs ne se bousculent pas à la porte ; alors quand un peu d'imprévu survient, je ne vais quand même pas refuser !"
Je la regardais un peu plus attentivement : certes, son visage encore jeune (elle ne devait pas avoir plus d'une trentaine d'années) était agréable à regarder, il aurait même été joli s'il n'avait pas été déformé, comme le reste de son corps par un surpoids assez conséquent : elle devait peser au moins dans les 90 kilos, et malgré son sourire qui témoignait d'une grande douceur, je comprenais facilement que les hommes ne devaient pas se retourner souvent sur elle, sauf pour se moquer, bien sur. Elle continua :
- " Avec Jean-Louis, ça a tout de suite été le coup de foudre, et je sais qu'il m'aime profondément, autant que moi je l'aime, mais je ne veux pas l'obliger à ne se coltiner qu'une grosse femme toute sa vie ! alors, je ne lui en veux pas si de temps en temps, il a des aventures avec d'autres femmes, et il ne me trompe même pas puisqu'il me raconte tout à chaque fois ; en plus ça m'excite quand il me raconte, et après je lui fais des trucs bien comme il les aime ..."
Jean-Louis renchérit :
- " c'est vrai que ça t'excite, mais à t'entendre, on dirait que je saute sur tout ce qui bouge" et s'adressant à moi cette fois : "si on a fait ça avant hier, c'est parceque tu me plais vraiment ; ce n'est pas la première fois que je te vois, je suis passé devant chez toi plusieurs fois depuis le début de vos vancances, et je t'avais déja remarqué, mais sans jamais espérer quoi que ce soit" ; et en disant cela, il m'entoure la taille de ses bras et me dépose un tendre baiser dans le cou, devant sa femme. Je suis sidérée et ne réagis pas, je me laisse faire, incapable de vraiment bien comprendre ce qui se passe, je sens la situation m'échapper complètement : j'étais venu pour prendre du plaisir avec un bel homme, et me voila avec lui devant sa femme et maintenant il a passé sa main sous mon Tshirt et me caresse doucement la pointe d'un sein...
Je gémis sous la caresse et me renverse en arrière pour profiter au mieux de la caresse, et en rouvrant les yeux, je vois le visage de Catherine au dessus du mien qui me sourit et qui me dit : " il avait raison quand il m'a dit que tu aimais vraiment ça !
Jean-Louis m'embrassait maintenant les tétons à pleine bouche, remontant ma jupe de sa main droite, tandis que la gauche était en train de caresser les énormes mamelles de Catherine qui avait défait complètement son corsage et qui était en train de s'attaquer au pantalon de son mari. Quand les doigts de Jean-Louis me pénetrèrent, Catherine était en train de le sucer en même temps qu'elle me caressait un sein de sa main restée libre et j'eus un premier orgasme à ce moment là : c'était la première fois qu'une femme me touchait, et je dois dire que l'expérience n'était pas désagréable du tout ! Je dégoulinais litéralement, et les doigts que Jean-Louis entrait et sortaient de ma chatte faisait des floc floc et m'arachaient des gémissements de bonheur ; inondée comme j'étais, il n'eut aucun mal à glisser un doigt enduit de ma mouille dans mon anus, et il continua ainsi à me branler par les deux orifices pour mon plus grand plaisir ; je criai mon bonheur une deuxième fois. Catherine continuait de sucer son mari de plus belle, tout en me caressant les seins, jusqu'à ce que Jean-Louis me transporte jusqu'au canapé au bord duquel il s'assit, et comme avant hier, il m'empala sur lui alors que je lui tournais le dos, mais cette fois ci, profitant de mon anus dilaté par ses caresses, il forca sans grand mal mon petit trou ; j'avais déja été enculée plusieurs fois, mais jamais par une bite aussi grosse, il dut bien sentir la résistance et il ne commenca pas à bouger tout de suite, laissant mon trou du cul s'habi à cette pénétration inhabituelle. Catherine avait bien senti que ce n'était pas facile pour moi, et pour adoucir le traitement, elle s'agenouilla devant moi et entrepris de lécher mon bouton, ce qui eut le don de me faire jouir à nouveau quasiment instantanément ; le plaisir était maintenant plus fort que la douleur, et Jean-Louis commença à s'activer dans mon cul, tandis que Catherine continuait de me sucer de façon experte ; jamais je n'aurais pensé qu'une femme puisse me donner autant de plaisir : elle introduisit, sans cesser de me lécher, trois doigts à plat dans mon vagin et se mit à branler son mari à travers les fines parois qui séparaient les deux conduits et un orgasme gigantesque m'envahit, un orgasme qui durait, semblait s'apaiser pour repartir de plus belle et qui ne s'arreta que quand je sentis les jets de sperme chaud envahir mes intestins. Je restai un bon moment inerte, la queue de Jean-Louis toujours au fond de mon cul, ses mains et celles de Catherine caressant doucement toutes les parties de mon corps.
Bien longtemps après, je récupérai mon vélo réparé et je rentrais sagement à la maison.
J'eus d'autres aventures cette année là avec plusieurs autres hommes, mais je garde un souvenir ébloui et magnifique de cette femme qui toucha mon corps pour la première fois et qui, avec son mari me donna autant de plaisir. Je ne suis jamais retournée dans cette région après ces vacances, mais même après toutes ces années, quand il m'arrive de repenser à cette après midi, j'ai encore la chaleur qui monte dans mon corps et je ressens le besoin physique de ces caresses.
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