Exhibitions Dans Un Parc

Depuis longtemps je suis excité quand je peux me faire plaisir dans des conditions particulières: j’aime le risque d’être surpris par d’autre. Une fois c’est arrivé: je me branlais en espérant que un homme ou de préférence une femme me voit. Rien que d’y penser, je bandais plus fort. J’étais appuyé contre un arbre, dans un jardin public: des promeneurs passaient, sans cesse. Ma main va et vient sur ma tige: personne ne semble me voir. Si à un moment donné, je vois une personne d’une quarantaine d’année qui s’arrête, me regarde et fait come moi: il sort sa bite, belle bite au demeurant, et en me fixant, il commence lui aussi à se masturber. Si je suis visible, lui l’est beaucoup moins. Peut m’importe, il se branle en me regardant c’est le principal. Je ne sais s’il se rend compte de l’effet qu’il fait sur moi;: je ralenti ma masturbation, comme lui, Je crois que s’il m’avait demandé d‘aller le sucer je l’aurai fait. Soudain je vois le jet de sperme qui sort avec violence de sa bite. Je me finis, pour jouir à mon tour.
Je suis content, enfin quelqu’un m’a vu, a vu ma bite en érection et vu surtout comment je me masturbais.
Je vais essayer de trouver une femme à mon goût pour faire pareil devant elle dès demain.
Enfin, nous sommes au mois de juin et le jours sont longs, je suis toujours dans le même jardin cette fois à presque 20 heures 30. Il fait encore jour pour me faire remarquer. Une femme de mon âge est assise sur un banc. Tant mieux, je connais juste en face du banc un endroit stratégique qui me permet de me mettre presque nu, surtout sans pantalon ni slip. J’ai remonté mon polo pour paraitre nu. Je la regarde qui rêvasse seule sur le banc: j’ai le temps de bien bander en ayant des fantasmes. Je la verrai bien dans mon lit, sue, se masturbant devant moi et sans difficulté se donner à moi. J’écarte les dernières branche pour me montrer la queue bien bandée, le corps presque nu. J’ai ma bite en main et me caresse devant elle.

Je craignais qu’elle se sauve: elle me regarde intéressée, elle écarte ses jambes et comme moi se donne du plaisir. Elle relève sa jupe pour que moi aussi je puisse voir son minou. Je regarde comment elle se masturbe: j’ai rarement vu des femmes se masturber. Elle écarte ses lèvres pour faire ressortir son clitoris et avec l’autre main, elle le caresse en cadence avec moi.
J’arrête de me branler pour mieux la voir. Au bout d’un petit moment la nuit tombe: elle me demande de venir près d’elle pour que nous échangions nos caresses. Je ne regarde ni à droite ni à gauche: je ramasse mes affaires et tout nu, je traverse l’allée. Je bande toujours. Elle m’invite à m’assoir à ses cotés. Si quelqu’un nous voyez, quel spectacle: un jardin public, un banc, un couple presque nu, lui avec la queue bien raide et elle avec une main sur son sexe.
Je ne sais trop comment faire. Elle oui, elle enlève et sa jupe et son t-shirt sous lesquels elle ne porte rien. Je me hasarde à chercher à caresser un sein. Elle se laisse faire jusqu’au moment où ses lèvres viennent sur les miennes. Nous échangeons un baiser alors que nous ne nous connaissons pas, sauf que nous voyons le corps nu de l’autre. Elle continue à se branler devant moi; je ne connais aucune femme capable de continuer à se donner du plaisir en embrassant un garçon comme moi, nu et bandant.
Nous n’avons pas échangé un seul mot. C’est elle qui commence en jouissant;
- C’est bon de faire comme nous faisons; j’en suis encore toute excitée.
- C’est vrai j’aime me branler devant les autres même sans les toucher. Je vais te baiser et si tu veux je pourrai te la mettre au cul.
- Voyons, nous ne nous connaissons pas qu’il veux déjà me la mettre au cul. Et pourquoi pas dans la bouche.
- Tu la veux pour sucette: prends là.
- Non, pas maintenant, je préfère l’avoir dans le con.
- On le fait sur le banc, ici ,
- Bien sur sinon on ne risque pas de nous faire surprendre: c’est plus excitant non ?
Je ne l’écoute plus, je la renverse sur le banc, ses jambes tombent sur les cotés.
Elles les arrange pour que ses talons tiennent sur le bord du banc. Je me met entre ses cuisses pour la sucer avant d’aller plus loin. Son sexe ouvert est pour moi. Je passe ma langue tout le long de ses lèvres. Elle pose une main sur ma tête, sans doute pour que je ne la quitte pas. Je rentre ma langue dans son puits. Je la fais aller et venir. Elle commence à gémir. Elle gémit encore plus quand j’attaque son anus. J’entre la moitié de la langue dans son cul. Cette fois elle appuie sur ma tête pour que je reste. Quand elle jouit brusquement je peux me retirer. Je vais l’embrasser avec le goût de son cul sur la langue. Je remonte sur son corps, je tombe presque sur ses seins qui durcissent un peu. Ma main tient ma pine pour la lui mettre. Son con est humide et chaud. Ma queue y est comme chez elle. Je commence les allers et venues qu’elle accompagne. Je la lime un bon moment: elle gémit toujours. Quand je suis sur le point de jouir, je la sens se crisper: elle aussi va jouir: du coup je jouis en elle pendant qu’elle jouit autour de ma queue. Je me relève, elle m’embrase la queue sans doute pour la remercier et récupérer du sperme.
Je ne bande plus, ça ne lui va pas: elle prend ma bite dans sa main, me branle, sans résultat, elle me suce avec là un peu début timide d’érection. Elle me garde dans sa bouche, continue à me sucer, comme un veau le fait à sa mère et petit à petit je rend forme, sans doute plus qu’avant. Satisfaite, elle me rappelle que je lui avais parlé de sodomie.
C’est vrai et en plus j’aime bien entrer dans un cul, qu’il soit masculin ou féminin, de préférence dans celui d’une femme. Elle vient toujours nue dans la nuit qui tombe s’assoit sur mes cuisses et se tortille piur se mettre en place. J’aurai préféré qu’elle se mette de l’autre coté pour sentir encore ses seins contre moi. Elle me fait avancer au bord du banc, arrive à entre ma pine au cul. Cette position est pour elle la meilleurs façon de recevoir ma queue. Je ne sais comment elle fait, je me trouve dans son cul sans avoir senti de résistance: elle dit en avoir sacrément l’habitude.
Elle mène la danse. Sa main droite est sur son clitoris. Elle semble aimer se faire jouir des deux endroits à la fois, comme pas mal de femmes. Elle est appuyée à moi. Je sens son souffle s’accélérer quand elle approche d’un orgasme. Elle peut faire de moi ce qu’elle veut: j’ai encore le temps de jouir. Elle se fait limer un bon moment: la position est fatigante, elle jouit une dernière fois avec son cul.
Elle revient à mes cotés. Je ne sais ce qu’elle a inventé comme position. Facile, elle se penche vers ma bite pour la reprendre encore dans sa bouche. Cette fois elle me lèche le gland et branle le reste de la queue. L’autre main me caresse superficiellement les couilles. Je lui dit que je vais jouir: elle me garde dans sa bouche: elle sait que j’ai peu de sperme, elle avale le peu qui me reste.
Nous avons fini de baiser. Nous nous rhabillons, nous faisons un dernier baiser. Nous nous séparons sans dire un mot, ah, si un: c’est dommage que personne ne nous ait vu.
Pour ma part je ne l’ai plus jamais croisée; Elle a du aller se faire mettre ailleurs sur un autre banc sans doute. Moi, je me porte bien: je n’ai plus jamais cherché à me montrer en me branlant, si à ma compagne actuelle à qui je n‘ai jamais parlé de ce vieux vice.

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