Jean-Philippe Objet De Mes Rêves
Bonjour,
Faire connaissance via Internet peut comporter des risques. Notamment le risque de parler avec quelqu'un qui pourrait être banal et qui dans votre imagination fait naître des fantasmes non maîtrisables. Voici ce qui m'est arrivé récemment. Ci-dessous vous trouverez mon mail à cet homme, objet de mes fantasmes, pour l'instant toujours inconnu.
"" Jai hésité à tadresser ce message, en labsence de ta réponse à ma missive dhier
Je ne veux en rien timportuner, gêner ta quête dune femme qui serait digne de toi, mon bel Ange. Mais le trouble du rêve que jai fait cette nuit est si fort que je veux ici partager mon fantasme avec toi.
Alors que tu ne dors pas encore, jécris ce récit comme jai pris lhabitude de le faire depuis le début de mon analyse. Cette nuit, jai pu dormir paisiblement, peut-être parce que tu nas pas donné de tes nouvelles hier soir, je me suis dit que tu avais du trouver mieux et quune expérience avec une autre femme tapporterait la paix que tu cherches.
Dans mon songe, je me retrouvais inopinément de nuit dans un commissariat, mais je ne saurais dire lequel. Les locaux étaient glauques, la peinture écaillée à plusieurs endroits. Derrière un long comptoir dont le revêtement était en zinc salignaient des agents de police. Je les dévisageais, à la quête dune physionomie qui soit la tienne : visage très beau, des yeux sombres dune douceur incroyable, une légère tristesse, mais une virilité phénoménale qui ne demande quà exploser.
Enfin tu es là. Mais tu ne portes pas duniforme, ta tenue est étrange, un costume cintré qui ressemble à une combinaison de surf. Ton visage tout dabord impénétrable, sorne très vite dun sourire ravageur dès que jarrête sur toi mon regard vaporeux. Je ne crois pas que ce soit toi
Puis, par une étrange péripétie, nous nous retrouvons tous les deux dans une voiture qui nest pas la mienne une 308 « cabriolet ».
Puis tu arrêtes ton engin que tu gares dans une descente cest le seul véhicule dans la rue. Nous sommes téléportés instantanément dans un ascenseur. Tu appuies sur le bouton 3 et nous commençons notre ascension vers le septième ciel.
Lappartement est lumineux comme si nous étions passés de la nuit au jour. Peu de meubles encombrent la pièce principale : un canapé écru, une table en verre, une chaise. Bizarrement tu portes maintenant un jean taille basse qui te sied à merveille, mettant en valeur ton petit cul rebondi, une chemise blanche dont tu as relevé les manches jusquà tes biceps le tissu bouchonné met en valeur tes muscles gonflés par leffort quotidien. Les trois premiers boutons sont ouverts, ce qui permet doffrir à qui ose regarder une vue remarquable sur tes pectoraux dorés par un soleil estival intense.
Tu me proposes un verre je nose demander un whisky. Un gin tonic, dis-je timidement. Ton physique mimpressionne, ton assurance me déconcerte. Tu te verses un grand verre de whisky et tu moffres le gin avec aux lèvres ce sourire dévastateur que tu arborais au commissariat. Tu bois de grandes rasades, alors que moi je trempe à peine mes lèvres dans le liquide sirupeux. Ton regard est interrogatif. Je me dis alors que par respect tu noses prendre les devants. Tu es assis face à moi sur la chaise. Je me lève et me dirige vers toi. Je me penche en appuyant ma main droite sur ta cuisse et je positionne mes lèvres sur les tiennes. Ta langue vient alors caresser mes lèvres par de petits coups secs. Puis tu forces le passage de mes dents pour inonder ma bouche de ton appendice buccal. Ta langue tourne autour de la mienne, des bruits sourds de succion se dégagent de ce baiser fougueux. Mes mains libres en profitent pour dérouler tes manches et finir de déboutonner ta chemise à moitié fermée.
Je te libère de ce vêtement superflu et caresse du dos de mes mains, ton buste, ton dos, tes bras et ton ventre. Ta peau est douce et incroyablement chaude. Cette chaleur contraste avec la froideur de mes mains, mais tu sembles taccommoder de cette disparité de température. Tes mains saventurent alors sur mes jambes, je sens leur chaleur, tes attouchements, les frôlements de ta chair provoquent chez moi des frissons qui se transmettent de mes jambes à mon bas-ventre, à ma poitrine pour atteindre mon cerveau en une effervescence lascive.
Tes doigts agrippent soudain le nylon de mes collants et tirent imperturbablement le tissu vers le bas avec une rapidité étonnante. Les bas se retrouvent en trois secondes sur mes chaussures. Le feu de tes mains brûlantes effleure alors la fraîcheur de mes jambes et remontent le chemin sans obstacle qui les mène vers mes cuisses. Tes doigts glissent vers lintérieur et forcent un passage vers mon entrecuisse dont je mefforce, par jeu, de tinterdire laccès. Mais ta ténacité ne me permet pas de résister à ta force virile.
Je massieds alors à tes côtés, nos langues toujours en action, la tienne plus active et dominatrice. Tu dégrafes alors la boucle de mon haut en satin, libérant ainsi ma poitrine turgescente. Les doigts de ta main gauche, plus habile que la droite (serais-tu gaucher ?), titille mes mamelons avec une douceur incroyable. Ta langue abandonne ma bouche pour se diriger inexorablement vers ma poitrine. Tes mâchoires viennent alors gober mon sein gauche, ta langue se chargeant de le caresser ardemment. Le câlin est si fougueux que je suis contrainte de pousser un gémissement, qui ne fait quattiser ton désir.
Ta main gauche, toujours habile, déboutonne ma jupe et, tout comme je soulève mon bassin, tu fais glisser ce bout de tissu ridicule qui vient rejoindre le collant. Je fais leffort de défaire mes spartiates, me débarrasse de ces textiles gênants. Ta flamme est difficile à contrôler, ta bouche se déplace de ma gorge à ma poitrine, de mes seins à mes aisselles que tu suces et lèches goulûment.
La vue du renflement grossi de ta virilité provoque chez moi une excitation qui provoque lémission immédiate du liquide vaginal, rendant mon sexe réceptif à lobjet unique de ma convoitise. Je me sens alors transportée : ta main gauche me soulève en saisissant mes fesses. Nous nous retrouvons sur un lit blanc, positionné au milieu de la pièce. Tu as quitté ton jeans, mais gardé ton caleçon. La proéminence de ton appareil génital est visible et augure de lexaltation qui tanime.
Docilement, je mallonge sur le dos, soumise - obéissante jécarte mes jambes afin que tu puisses y plonger ton visage angélique. Mon sexe imberbe tinspire ta langue sanime fougueusement sur mes lèvres, se fait un chemin vers ma vulve. Lodeur musquée de mon entrecuisse tenivre et tincite à chercher à la pénétrer de ton appendice buccal. Ta langue durcie sactive et provoque chez moi un plaisir indicible qui moblige à pousser de nouveaux gémissements dextase. Ton pouce gauche est lui occupé à frotter frénétiquement mon clitoris. Soudain, je ressens une fièvre incroyable, comme une extase inattendue, pour tinviter à me rejoindre à faire de nos deux corps un seul.
Tu te libères de la seule étoffe qui couvre ton corps et tu couvres de ton corps musclé le mien chétif et soumis. La chaleur de ton phallus envahi alors mon sexe. Jai soudain envahi de retarder cette communion charnelle, afin den goûter le plaisir inespéré. Ta fougue mâle te commande daller de lavant à la quête du bonheur que tu veux me donner. Je contracte du mieux que je peux mon muscle vaginal pour tinterdire momentanément laccès à mon corps, mais dun coup de rein athlétique, ton pénis pénètre hâtivement mes entrailles.
Commence alors un va-et-vient infernal. Ton bassin se projette virilement vers moi, tout dabord avec une douceur incroyable pour exciter la partie inférieure de ma vulve. Tu quittes parfois mon corps, comme pour aiguiser mon désir. Mes ongles viennent alors senfoncer dans tes fesses, comme pour te commander de poursuivre, de menvahir, de ravager mon bas-ventre, afin den faire exploser le plaisir si longtemps attendu.
Jessaie de suivre tes mouvements qui se font plus rapides, haletants. Tu projettes ton pénis en moi, ton cheminement se faisant plus insistant. Ton bassin décrit régulièrement des oscillations attisant en moi la sensualité de notre copulation. Ton bouillonnement viril dure un long moment et je ressens à chaque projection de ton outil mâle, un plaisir incroyable, comme si cette douce violence que tu me communiques favorisait lunisson de nos corps respectifs.
Puis une douleur agréable envahit soudain mon bas-ventre, se communique à mon sexe, mes membres inférieurs, avant de se transformer en un frisson gigantesque qui, se déplaçant de ma colonne vertébrale à mon cerveau, finit en un orgasme explosif. La volupté extraordinaire que je ressens se transmet alors à ton corps couvert de sueur. Les soubresauts que tu décris viennent taider à libérer ta liqueur séminale, emprisonnée dans un étui de latex que la raison ta obligé à revêtir. Ton bassin continue son action et lintensité de ma jouissance augmente, sintensifie et me force à rouler ma tête sur loreiller, à agiter mes bras et à projeter mon bassin contre le tien comme pour souder nos deux corps dans une communion érotique.
Ton extase est plus discrète, ton râle plus sourd que le cri que je suis contrainte de pousser lorsque la volupté atteint son paroxysme. Tes lèvres viennent alors envahir mon visage de baiser doux et brûlants : ta bouche, humide et tuméfiée du travail intense auquel elle a été soumise, couvre mes yeux, mon front, mes oreilles, mes lèvres, ma gorge de câlins électriques, note finale du bonheur phénoménal que tu viens de me donner.
Tu reposes un long moment sur mon corps. Ton poids mest agréable, tout comme ton ithypalle que je retiens en moi. Mes jambes, enroulées autour de ta taille, tinterdisent tout mouvement. Ta verge gonflée, mais légèrement flasque, épouse mon vagin et linonde dune chaleur bienfaitrice. Nous restons ainsi de longues minutes encore. Puis tu mabandonnes. Tu as quitté la pièce et aucun bruit dans lappartement nest perceptible. Des larmes envahissent mes yeux avant de rouler sur mon visage. Le murmure dun ruissellement se fait entendre et me rassure.
Je ferme les yeux et suis prise dune somnolence que la fraîcheur de ton corps humide vient délicieusement troubler. Je narrive pas à ouvrir les yeux. Tu me susurres des mots doux : - Doucha, Douchka, Douniacha, Douniachka, Douniachetchka, Doussia, Doussetchka. Les diminutifs de mon prénom sur tes lèvres me surprennent et je suis sûr que ce nest plus toi. Puis je peux enfin ouvrir les yeux. Cest bien toi, le visage rayonnant, la bouche rougie par lexercice sur ma vulve, les joues écarlates de leffort mâle accompli avec tant dardeur.
Mon regard est admiratif. Tes épaules parfaites ravissent mes yeux et mobligent à y déposer des dizaines de baisers sensuels. Ma langue vient chatouilles tes aisselles velues et rejoindre les mamelons de ton buste glacé. Soudain, je suis prise dun sentiment de frustration colossal. Le plaisir ma été donné par un membre viril que je nai pas encore vu ! Tu es là, allongé à côté de moi sur le ventre, le buste relevé pour me permettre dhonorer de mes câlins tes muscles pectoraux et je ne peux poser mon regard sur cet objet de mon désir unique
Ma tête se déplace alors vers ton ventre, mais tu exerces une résistance qui me perturbe et mintime une privation indicible.
Mes mains sappliquent alors à faire pivoter ton buste pour tobliger à tallonger sur le dos. Tu comprends la manuvre et tu tabandonnes à ma pression pour découvrir la partie avant de ton corps que je ne connais pas encore entièrement. La petite forêt de poils pubiens est parsemée de gouttelettes deau. Sous cette forêt, un membre, flasque mais tuméfié, se place à lhorizontal vers ta hanche gauche. Deux superbes bourses agrémentent ton outil mâle que je nose dans un premier temps toucher. Jadmire et je suis prise dune gourmandise puérile.
Comme tous les gourmands, je me régale dabord des yeux. Le gland est recouvert de son prépuce disgracieux, mais pourtant si fascinant. La base de ton pénis est plus large que son extrémité. Janalyse la longueur de lobjet comme tout à fait satisfaisante et digne du plus grand intérêt. Je me décide enfin. Ma main saisit lobjet de mon désir frénétique. Sous la pression de ma paume, le sang vient combler les corps caverneux de ton phallus qui se dresse soudainement, majestueusement sur ton bas-ventre. Le volume est superbe, lapex atteint ton nombril. Je suis comblée. Ma main tire sur la peau fine et douce pour libérer le gland emprisonné. Le sang qui y afflue la fait tripler de volume. Il est violacé, harassé de leffort que tu viens de lui faire subir.
Je décide alors de remédier à cette tuméfaction. Mes lèvres humides viennent y déposer de tendres baisers, pousser encore le prépuce dissimulateur. Ma langue flatte le frein et descend patiemment jusquà la base de ton superbe ithyphalle. Ma bouche aspire alors goulûment ton testicule droit, dont le volume vient combler ma gourmandise. Mon appendice buccal le caresse, tout comme je viens exercer une pression, comme pour le cueillir. Je recommence le même manège avec le gauche, plus volumineux encore tout aussi délicieux.
Je retourne ensuite vers le gland qui se sent abandonner. La turgescence de ton outil mâle est maximale. Ma main sen saisit et vient le frapper contre mon visage, mes yeux, mon nez, ma bouche. Mes lèvres viennent entourer lapex de ta verge et avec retenue, je le fais glisser dans ma bouche, avant de labandonner. Puis à nouveau la douceur de ta chair virile envahit ma bouche, comble ma frustration de tout à lheure. Je suis prise dune frénésie extraordinaire, voulant mapproprier ce sexe qui ne sera jamais mien totalement.
Il pénètre ma bouche comme à linstant mon sexe. Je le fais voyager en moi, le cajole de la langue, le séduit de mes lèvres, prenant soin dappréhender chaque pli de ce gland parfait. Du bout de mon appendice buccal, je tente de pénétrer le méat doù ta semence voudrait encore une fois séchapper. Des soupirs sont audibles et minvitent à explorer encore lattribut viril que tu me prêtes.
Mes mâchoires sont écartées au maximum pour favoriser lintroduction de lobjet de mon plaisir. Javance ma tête vers toi et me contorsionne pour que ton sexe puisse atteindre ma gorge. Ton gland a passé ma glotte pour atteindre le fond de ma gorge. Je poursuis mes convulsions, tout comme des mouvements de ton bassin favorise la pénétration profonde. Mon effort dure quelques minutes avant que le signal de ton extase prochaine me soit transmis. Je saisis alors tes bourses que je tire au maximum vers le bas pour interdire léjaculation précipitée.
Ton gland réchauffe ma gorge et comble mon avidité compulsive pour ton sexe. Il passe de ma cavité buccale à ma gorge, reproduisant les mouvements copulatoires quil vient de réaliser dans mon corps. Jaugmente la vitesse, relâche tes testicules et provoque ainsi lorgasme, donc la libération de ta liqueur séminale, dont la saveur douce amère vient gratifier mes papilles.
Jexerce des pressions sur ton sexe pour libérer sur ton ventre lexcès de sperme qui na pas pu sextraire et de ma langue jen lèche les gouttes qui sont venues maculer quelques poils sous ton nombril. Je repose alors ma tête sur ton abdomen, sans pour autant lâcher ton superbe membre, dont je ne saurais si rapidement me séparer.
Mon bassin est relevé vers ton torse, si bien que tu jouis dune vue imprenable sur mon sexe. Ta bouche sy aventure et reprend les cajoleries érotiques, qui ajoutent au plaisir immense que je viens de ressentir.
Début dun rêve perturbateur, puis fantasme imaginé dans une somnolence qui sest achevée par un plaisir solitaire bien mérité. 6h30 lheure de se lever, avec la douceur de ce coït presque vécu avec toi. Lhomme nu qui était à mes côtés nétait pas toi et le désir pour lui était nul.
Je ne veux pas que tu souffres, mon bel Ange inconnu. Tu mérites le bonheur et je suis sûre que tu le connaîtras un jour prochain, que tu pourras construire un foyer avec quelquun qui taimera.
Mille bisous là où tu veux maintenant tu dois savoir où je veux les envoyer
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