Manque De Pot...
Mon prénom est Isabelle et je vais vous raconter une aventure qui mest arrivée récemment. Depuis trois ans, jétais
à lUniversité de Rennes. Même si quelques fois ce nétait pas facile de suivre des cours et gagner de largent en
même temps, je men tirais plutôt bien. La preuve, je suis maintenant en thèse ! A lépoque, je travaillais dans un bar
littéraire tous les soirs. Cette activité me permettais de me loger en colloque avec deux autres collègues et davoir
une voiture, vieille guimbarde usée jusquà los mais roulant tout de même. Cette voiture me permettait de rentrer à
Vannes de temps à autre, avec des copines pour minimiser les frais dessence, et aller à la plage à Dinard, Saint-Cast
ou encore Saint-Jacut quand le temps le permettait et suivant lhumeur (baignade ou pêche à pied). En bref, cette
voiture était indispensable ! Arriva alors la tuile : le pot déchappement me lâcha. Jallais alors de garagiste en
garagiste pour le faire changer, mais les prix proposés était toujours trop élevés pour ma bourse. Je fini tout de
même, après de fastidieuses recherche, par trouver un garage dans lequel le patron, un homme dans la
cinquantaine, chenu sale, accepta de me réparer mon véhicule pour un prix presque raisonnable avec des pièces de
récupération. Je laissais donc ma voiture et partais le coeur léger. Le lendemain, je me présentais au garage pour
récupérer mon véhicule. Il était tard, 18 heure, et le soir commençait à tomber. A moitié rassurée, je me diriger vers
le bureau éclairé du patron. Celui était derrière son bureau, une clope au bec, en train de feuilleter un magazine quil
sempressa de ranger en mentendant arriver. Il maccueilli avec dans loeil une pointe de lubricité et une haleine
bien anisée. Un peu mal à laise, je tirais un peu mon pull sur mes fesses moulées dans mon jean et lui demandais si
tout sétait bien passé.
alors :
- non, les pièces ne convenaient pas. Jai du mettre du neuf. Cest 427 euros.
- quoi ! Mécriais-je, mais cest impossible, vous maviez annoncé 200 euros tout au plus et de toute façon je ne
peux pas payer cette somme.
- Ecoutez mademoiselle, je vous ai rendu service en trouvant quelques pièces doccasion. De toute façon, à votre
demande, jai fait tout cela au black. Si vous ne pouvez pas payer, je reprend les pièces que jai posées.
Les larmes commençaient à me monter aux yeux, javais été trop bonne poire et navais pas vu venir le coup. Il me
faudrait demander de largent à ma mère, mais je connaissais déjà la réponse. Je senti alors lhomme sapprocher de
moi et il me glissa tout doucement :
mais nous pouvons nous arranger ma belle...
Inutile de lui demander des précisions sur la nature de larrangement. Il me proposait simplement de payer en nature
le surplus de la facture. cette idée me fit sursauter, mais je me sentais prise au piège. Je baissais la tête sans rien
dire. Il ajouta :
- si tu es très gentille, jefface lardoise...
La tentation était grande et javais absolument besoin de ma vieille voiture pour ne pas craquer, pour résister au
rythme que je mimposais. Je faisait donc «oui» de la tête. Lhomme retourna alors sassoir sur son fauteuil tournant
et jentendis la fermeture de son pantalon descendre après quil eut défait sa ceinture. Il me fit signe de faire le tour
du bureau. La je découvrais quil avait baissé son pantalon à mi-cuisses. Son sexe était détendu. Il était à limage de
lhomme, chenu et noueux comme un vieux chêne. Parcouru de grosses veine bleues, surmontant des bourses
épaisses, il se terminé par un gland énorme et bien plus épais que la hampe.
- Suce,
mintima-t-il sèchement. Je maccroupi alors doucement et fût assaillie par lodeur de sueur et de crasse mêlée à
celle du cambouis que dégageait lhomme.
application, mais lordre claqua de nouveau :
- suce jai dit ! Tu la veux ta bagnole ?!!
Je me penchais alors, retenant une envie de vomir et enfournait le gland dans ma bouche. La mâchoires distendues,
je le fit aller et venir dans ma bouche. Son goût commençais à satténuer sous leffet de ma salive. Lhomme grognait
daise. Après quelques aller et retour, je sentis se répandre sur ma langue un goût salé... il souleva alors ma tête et
me dis :
- maintenant, à poil.
Jhésitais un peu et regardais vers la porte avec anxiété,
- tinquiète, nous ne serons pas dérangés.
Jenlevais donc mon pull, ma tee-shirt et mon soutien gorge. Lhomme émis un sifflement admiratif et me fis signe
dapprocher. Il sempara de mes seins et commença à les pétrir sans ménagement, douloureusement. Avant que je
nai pu dire quoique ce soit, il passa une main dans le creux de mes hanches et mattira vers lui. Il ouvrit sa bouche,
dévoilant ses dents gâtées par le tabac, et commença à me lécher doucement le bout dun sein quil tenait
légèrement serré dans sa main. Ce traitement commença bien malgré moi à mexciter. Dans un premier temps, je
résistais à la montée du plaisir, puis décidais de me laisser aller : il ny avait pas de raison quil soit le seul à en
profiter ! Pendant quil faisait passer sa langue dun sein à lautre, les tenant et massant dans ses mains, je retirais
mes chaussures dun coup de talon, défaisait ma ceinture et ouvrais mon jean. Je le descendais dune vingtaine de
centimètre, entraînant ma culotte dans le même mouvement et dévoilant ainsi mon sexe. Alors, sans hésitation, je
commençais à me caresser doucement le sexe, sentant sur mes doigts le début dune humidification. Lhomme,
sapercevant de cela, souri et arrêta de soccuper de mes seins pour passer finir de retirer mon pantalon.
retrouvais alors nue devant lui. Il me retourna, mattrapa dune main une hanche et poussa doucement sur le haut de
mon dos. Je me penchais donc en avant, jambes tendues et légèrement écartées, jusquà poser mes mains sur le mur
en face de moi. Ainsi penchée à quarante cinq degrés, je senti son visage se coller sur mes fesses et il commença à
me lécher le sexe, provoquant une montée de chaleur dans mon ventre. Ses main sur mes fesses, il les écarta, et je
senti sa langue plonger sur mon anus. La sensation était terriblement agréable, je sentais même sa langue se glisser
dans loeillet, y provoquant de petit spasme. Après ce traitement, il se recala dans le fauteuil, les mains toujours sur
mes hanches, ce qui mentraîna brusquement vers lui. Il attira mes fesses vers son sexe et je senti son large gland se
poser sur mon anus ! Je craignais quil ne me fasse très mal et tentais de me relever, mais il balaya mes pieds vers
lavant et je tombais directement sur lui, mempalant directement sur son sexe qui pénétra jusquà la garde dans
mes entrailles. Je laissais échapper un cri de douleur, mais déjà il me ramonait sauvagement, me portant
littéralement. Javais limpression que mon sphincter allait exploser, mais le plaisir commença à monter et je fini,
dans mon excitation, à accompagner le mouvement et allais même jusquà me caresser le sexe et y entrer deux
doigts pour le branler en cadence. Rapidement, il se crispa et se leva dun bon, me plaquant sur le mur. Je senti sa
bitte se contracter spasmodiquement en moi et il relâcha dans mes entrailles de long jets de sperme chaud. Après
quelques secondes dimmobilité, il se retira avec un bruit de succion et je senti, de mon anus béant, sécouler des
filets de semence. Après mêtre nettoyée tant bien que mal, je mhabillais et lhomme me donna les clefs de la
voiture. Il me regarda dans les yeux et dit :
- à bientôt ma belle, car vu létat de ta voiture, tu risque de revenir vite.
- On verra, lui répondis-je alors, on verra...
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