Relation Homo Au Bureau

Elle m’a laissé tombé, la garce. J’aimais bien baiser avec elle, surtout dans le cul. Elle me disait qu’elle aimait bien se faire sodomiser; Nous baisions comme tout le monde, souvent elle sur moi: elle s’enfilait toute seule pour jouir. J’aimais bien sentir ses spasmes autour de ma queue. Elle a préféré un autre type que moi.
Je reste seul comme un con. Je suis obligé de me branler comme tout le monde, Mes fantasmes me font toujours penser à sa chatte. Le temps passe, j’arrive à l’oublier un peu.
Aujourd’hui je suis au bureau pour avancer les dossiers en retard: j’en ai un pile qui augmente tous les jours. En plus ma secrétaire est malade pour encore 15 jours si j’en crois les certificats médicaux. J’ai pu la remplacer par Yvan, un nouvel employé de la boite, un peu l’homme à tout faire. C’est un homme balaise, gentil comme tout. Il fait tout ce qu’il peut pour avancer avec moi.
Cet après midi il vient pour me faire une proposition. Je me méfie toujours des propositions faites par un homme. Qui sait où il veut m’emmener. Au fond je n’en sait rien.
Il entre dans le bureau juste après 15 heures, quand les employés sortent. Vêtu d’un simple jean et d’un polo, il me semble particulièrement en forme. Je lui demande de s’assoir: j’ai horreur de parler à des gens debout quand je suis assis. Il s’installe près de moi. Sans que je m’en rende compte rapidement, il pose une main sur mon genoux.
Il monte sa main entre mes cuisses vers ma queue, le salaud. Je ne sais pourquoi je le laisse faire. Sans doute le manque de baise. En plus je sens u désir monter dans ma bite: je commence à bander.
Ce n’est pas raisonnable de me laisser troubler ainsi.
En souriant il ouvre ma braguette pour sortir ma bite. J’espère qu’il va me branler. Il prend la queue dans sa main droite, fait descendre lentement le prépuce: ça y est il me branle.
Ce n’est que le début, il approche sa bouche et prend mon sexe dedans.

Sa langue commence à s’enrouler autour du gland. Il connait son affaire. Tout en suçant il ôte son jean sous lequel il ne porte rien. Je vois sa queue: un bel engin que je ne vais pas tarder à branler sans doute.
Il arrive à me mettre nu sans problème. Je me laisse sucer simplement, retenu à sa bouche par le plaisir qu’elle me donne.
Ce qui m’étonne est qu’il me laisse tomber pour se mettre nu lui aussi. Il me force à me coucher sur le dos. J’ai ma queue bien dressée, il se penche pour me sucer encore: il va me faire jouir dans sa bouche.
Il abandonne alors que je n’étais pas loin de l’orgasme: il se relève pour venir sur moi. Il m’enjambe pour que ma pine soit juste sur son cul. Je voit sa bite également bien dressée qui semble narguer la mienne.
Elles ne sont pas loin l’une de l’autre. Il se laisse aller complètement; j’entre dans son cul. Il me fait entrer complètement. Je ne sais ce qu’il peut ressentir: il profite de ma pine pour se masser la prostate, c’est ce que je pense.
Sa main qui me branlait change de camp: elle est maintenant sur sa queue: il se branle remarquablement bien. Il arrête souvent tous mouvements pour que nous résistions au grand plaisir qui s’annonce.
Je vois le jet de sperme qui gicle de sa pine: je sens son cul de refermer et s’ouvrir. La moitie de sa semence vient sur mon ventre.
Je ne peux plus tenir: j’éjacule dans son cul en long jet.
Je ne pesais jamais jouir dans un homme.
Je reconnais que le sodomiser est agréable.
Il en veut encore, il se penche sur la queue, pour la sucer et la branler à la fois. L’effet est remarquable, je bande aussi vite qu’avec mon ex. Il se couche sur le dos et me demande de me laisser faire pour qu’il m’encule à son tour.
Je refuse cette chose abominable: enculer un type. Il me branle un peu, me donne envie de jouir encore.
Je n’ai pus droit à sa main, ni à la mienne. Mon seul secours devient mon cul. Je dois monter sur lui, bien viser pour qu’il entre facilement en moi.
Il me fait un mal de chien en pénétrant. Quand il me la mise au fond du cul, il prend ma bite: avec son habileté, il me masturbe. Je ressens le plaisir venir et dans ma bite et dans mon rectum. Il me fait jouir encore: ma jouissance entraine la sienne: il envahi tout mon cul. Content de lui il se rhabille et s’en va. Depuis je ne lai revu que deux fois: je voulais recommencer, il a toujours refusé. Dommage.

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