Tanya (Chap 1 & 2)
TANYA
Chapitre 1 : Ma rencontre avec Tanya
Javais fait la connaissance de Tanya dans des circonstances un peu particulières, un soir en rentrant du travail.
Comme il faisait déjà nuit, et quil pleuvait assez fort, je roulais prudemment. En plein virage, je vis une jeune fille presquau milieu
de la route, qui faisait du stop. Je voulais marrêter pour lhouspiller, lui dire que cétait très dangereux dêtre au milieu de la route
en pleine nuit, mais lorsque je la vis, je nen neus pas le courage. La pauvre navait même pas de veste sur elle, et, était
dégoulinante deau de la tête aux pieds. Mais surtout ce qui me frappa, cest la tristesse qui émanait de son visage. Malgré les
circonstances, je pouvais constater quelle était très charmante, et pas trop mal faite.
Je marrêtai donc, mais plus du tout avec les mêmes intentions. A peine eut-elle ouvert la porte quelle me supplia :
- Cest gentil de vous arrêter, sil vous plait, aidez-moi.
Elle avait eut une crevaison avec sa voiture, et ne savait pas réparer. Comme il pleuvait très fort, elle avait attendu plus dune demi-
heure dans sa voiture, en espérant voir une voiture. Ne voyant aucun véhicule venir, elle sétait décidée à partir à pieds chez elle.
Elle avait fait déjà plusieurs kilomètres, ce qui expliquait sa tenue si imbibée.
Je proposai de la ramener à sa voiture, et de changer sa roue.
- Je nhabite plus très loin, je préférerais que mous me conduisiez jusquà mon domicile pour que je me change, sinon je vais
attr une grippe terrible. Demain, jessaierai de trouver quelquun pour réparer. Me dit-elle.
En fait elle nhabitait pas très loin de chez moi, ce qui ne mobligeait pas à changer ma route.
Le long du chemin, nous avons échangé quelques banalités sur ce mauvais temps désespérant. Arrivés chez elle, elle minvita à
prendre un verre pour me remercier.
Lorsquelle meut servi un bourbon, elle sexcusa de me laisser seul, le temps quelle prenne une douche. Pendant quelle était
dans sa salle de bain, jeus pitié delle.
Lorsquelle revint après sêtre changée, je lui proposai alors :
- Si vous voulez, je vous reconduis à votre voiture, et je change la roue. Comme cela vous serez tranquille demain, et vous pourrez
dormir paisiblement. De plus, personne ne mattends, et jai tout mon temps.
Elle était gênée, mais comme il ny avait pas très longtemps quelle était dans la région, et quelle ne connaissait pas grand
monde, elle accepta.
Moins dune demi-heure après, elle repartait avec son véhicule, non sans mavoir demandé mon numéro de téléphone.
Quelques jours plus tard, je reçus un appel de Tanya qui minvitait à diner chez elle le soir même pour mieux me remercier.
Arrivé chez elle, elle fut embarrassée de voir que je lui avais apporté des fleurs.
- Cest à moi de vous remercier, vous naviez pas à moffrir quelque chose, ce serait plutôt le contraire.
Je lui expliquai alors, que le repas serait déjà bien assez comme remerciements. Et que pour les fleurs, jétais encore de la vieille
école qui conseillait lorsque lon était invité, et de ne pas venir les mains vides.
Cest vrai que je devais avoir une bonne dizaine dannées de plus quelle, et que ceux de son âge ne pratiquaient guère plus ce
genre de traditions.
Au cours du repas, jen appris un peu plus sur elle. Elle avait emménagé ici, chez son copain, il y avait deux mois. Celui-ci était
militaire, et en campagne en Afrique depuis presquautant, il ne devait revenir que dans quatre mois.
Elle avait 21 ans, était caissière depuis une semaine dans un supermarché non loin de là, et ne connaissait personne. Elle trouvait
ses soirées bien longues.
Avant de partir, comme elle mavait trouvé « super sympa », elle me proposa de venir boire un verre le lendemain soir.
Depuis ce jour là, cest presque tous les jours que le lui rendais visite. Nous avions vite sympathisé, et javais adopté le tutoiement
depuis longtemps. De son côté, même si elle mappelait pas mon prénom, et malgré mon insistance, elle continuait à me
vouvoyer.
Au fil des jours, nos conversations déviaient assez souvent sur la sexualité, même si cétait sur le ton de la plaisanterie.
- Vous ne mavez jamais invité chez vous. Me dit-elle.
- Tu sais, je suis un vieux loup solitaire, et les seules personnes qui sont venues, sont mes anciennes amies.
Elle sétonna de ce que je naie pas de petite amie.
- A mon âge, jai une sexualité un peu particulière. Lui répondis-je du tac au tac. Et peu de femmes napprécient mes désirs.
Javais piqué sa curiosité, et elle voulait en savoir plus. Pour lintriguer davantage, je lui dis simplement.
- En général, soit on apprécie tout de suite, ou soit on part en me traitant de malade ou de pervers. Mais si on aime, la sexualité
plus classique parait très vite bien fade.
Ne trouvant pas que jai lair dun obsédé ou dun vicieux, elle voulait tout savoir sur cette « sexualité particulière. ». De mon côté,
je trouvais quelle était encore bien jeune pour sintéresser au domaine SM. Jai trouvé une excuse bidon pour partir
immédiatement.
Le jour suivant, elle relança la conversation sur mes petites habitudes sexuelles qui pourraient choquer. Une nouvelle fois je
changeai de conversation.
Au fil de nos rencontres, plus elle voulait savoir, plus je trouvais un motif ou une excuse pour ne pas en parler. La seule chose que
jai lâchée par mégarde fut :
- Jaime que les filles fassent ce que je leur demande, sans se poser de question.
- Et cest si choquant que cela ? répliqua-t-elle. Jaimerais que vous minvitiez chez vous.
Lassée de ne pas obtenir de réponses à ses questions, et que je refuse de la faire venir chez moi, elle me lança un ultimatum :
- Si vous ne minvitez pas chez vous, je ne vous parlerai plus, et vous ne viendrez plus ici.
Jaimais bien nos rencontres, qui nous permettaient de deviser sur toute sorte de sujets, et pas uniquement de sexe. Elle me
plaisait beaucoup, mais mes anciennes partenaires étaient à peu prés de mon âge, Tanya avait presque quinze ans de moins.
Dautre part elle avait un petit ami, même si elle nen parlait jamais, je pense quelle devait laimer. De plus, il nétait pas dans mes
intentions de sortir avec elle, je la voyais plus comme une amie, que comme une amante. Mais à force dinsistance de sa part, et
voulant continuer à la voir, je finis par lui dire :
- Et bien je tattends samedi à vingt heures, mais tu ne viendras pas te plaindre. Comme tenue, je ne veux pas de celles que tu
portes habituellement (Jeans et sweat shirt), je te veux féminine en jupe et chemisier.
Chapitre 2 : Tanya découvre mon univers.
Le samedi, à vingt heures précises, la sonnette dentrée retentit dans ma maison. Je découvris alors une Tanya que je ne
connaissais pas, plus féminine que jamais.
Je la mis en garde avant quelle ne franchisse le seuil :
- Réfléchis bien, tu peux encore partir. Si tu fais un pas de plus, tu devras faire tout ce que je te demande, sans te plaindre.
Pas un mot ne sortit de sa bouche, mais elle savança jusque dans lentrée.
- Tant pis pour toi, cest ton choix.
Javais déjà préparé le premier accessoire : des lunettes de piscine. La particularité de ces lunettes était que je les avais totalement
peintes en noir, à lintérieur des verres. Tanya ne pourrait donc plus rien voir autour delle.
Javais remarqué quune fille qui avait les yeux bandés obéissait plus facilement. De plus, cétait plus pratique quun foulard qui
noccultait pas ment bien la vue, et qui risquait de se décrocher. Et pour une première rencontre, cétait moins choquant que
les accessoires spécialisés que je possédais.
Je lui donnai alors les premiers conseils habituels :
- Tu mets ces lunettes, et à partir de maintenant tu ne dis plus un mot sauf si je tinterroge. Lorsque tu tadresses à moi, tu
termines tes phrases par Monsieur. Si le jeu devient trop dur pour toi, il te suffira de retirer les lunettes, et je te laisserai tranquille.
Est-ce que tu as compris, et est-ce que tu es daccord ?
- Oui Monsieur. Me répondit-elle simplement et sans hésitations.
Sur ce, je la guidai au milieu du living, et la laissai plantée là debout sans rien lui dire. Je partis me verser un bourbon, et vint
minstaller sur un fauteuil face à elle.
Je la laissai ainsi pendant une demi-heure, sans rien dire, pour tester sa motivation. Durand tout ce temps, elle ne dit pas un mot,
et ne bougea quasiment pas. Je lui demandai alors doucement douvrir son chemisier.
Je vis ses mains se lever, et ouvrir un à un tous les boutons attachés. Lorsque ce fut fait, jeus la joie de découvrir un magnifique
soutien-gorge sexy de couleur rouge, ma couleur préférée, avec le noir. Et daprès le peu que je pouvais en voir, une non moins
magnifique poitrine.
Après une minute ou deux, je lui demandai de retirer son chemisier. Elle le fit immédiatement sans appréhension.
Je la laissai mariner quelques instants, avant de lui demander dôter sa jupe.
Une nouvelle fois sa réaction ne se fit pas attendre, la mini-jupe glissa immédiatement le long de ses cuisses pour rejoindre le sol.
Un magnifique string rouge mapparut, parfaitement assorti à son haut.
Comme je le faisais à chaque première rencontre, et profitant de ce que mes conquêtes ne pouvaient pas me voir, je les prenais
en photo. Au moins si elles ne revenaient pas, javais toujours ces souvenirs visuels pour alimenter mes phantasmes.
Je lui demandai alors de faire un tour complet sur elle-même en prenant bien son temps, ce quelle fit toujours sans un mot de
protestation.
Sa rotation prit presquune minute, au moins javais eus le temps de ladmirer, et de prendre de belles photos.
Pour la suite, je voulais quelle dégrafe son soutien-gorge. Continuant à mobéir, elle le décrocha, et commença à ôter les bretelles
sur ses épaules. Je larrêtai immédiatement, sur un ton assez dur :
- Je tai demandé simplement de le dégrafer, et pas de lenlever complètement. Contentes-toi de faire ce que je te demande, sans
prendre dinitiative. Lorsque je voudrai que tu en prennes, je te le ferai savoir.
Je vis à son visage quelle était surprise par le ton que javais employé. Jusquà ce soir, jétais toujours resté calme et tranquille lors
de nos rencontres. Elle nétait pas habituée à une intonation aussi autoritaire de ma part.
Pour la suite, je lui demandai de faire descendre son string, jusquau dessus de ses genoux.
Le message était bien passé. Elle sa contorsionna pour le faire descendre à la hauteur voulue, en faisant bien attention à ne pas
perdre son haut. Son minou était comme je les aimais, sauf quil était surmonté dune légère touffe de poil, et que je les aimais
glabres. Mais ce ne serait pas un problème longtemps, si mes petites manies lui plaisaient.
Mon appareil photo commençait à se remplir doucement.
- Cest bien. Continuai-je. Maintenant laisse tomber ton soutien-gorge tout seul.
Elle était très intelligente, et comprit immédiatement ce que je souhaitais. Au lieu de se servir de ses mains, elle tortilla son buste
et ses épaules, pour que le vêtement chute tout seul.
Jadorais cette séquence, je pouvais ainsi constater de la fermeté de la poitrine de mes conquêtes. Je ne fus pas déçu par celle de
Tanya, elle était consistante à souhait.
- Tu fais pareil pour le string à présent.
Une nouvelle fois, elle tortilla du bassin et des cuisses pour ne pas à avoir à se servir de ses mains.
Elle ne semblait pas gênée dêtre entièrement nue à présent devant moi. Par contre, ce qui me surprit de sa part, cest quelle se
prenne au jeu, et quelle nait pas encore retiré ses lunettes. Mais aussi, cest quhabituellement elle était extrêmement volubile, et
que jusquà présent elle navait toujours pas dit un mot.
- Tu mets tes mains derrière ta tête, et tu fais un tour sur toi-même comme tout à lheure.
Là encore son tour fut assez lent, jeus bien le temps dadmirer sa plastique, et de prendre de nouveaux clichés.
- Est-ce que tu nes pas trop choquée par ce que je te demande ?
- Non Monsieur. Répondit-elle.
-Est-ce que tu veux tarrêter maintenant ? Après, ce que je te demanderai sera encore plus pénible pour toi.
Sa réponse fut la même, je pouvais donc continuer sur ma lancée.
- Tu gardes tes mains derrière la tête, et tu écartes les cuisses.
Léger mouvement de ses pieds, qui étaient à présent disjoints par environ cinquante centimètres.
Je mapprochai alors delle, et commençai par caresser son visage, un léger sourire apparut. Mes mains descendirent ensuite
doucement de chaque côté de ses seins, se contentant den effleurer les bords. Sans sarrêter, lune delle continua sur son
ventre, alors que lautre se dirigea sur son dos. Celle qui était devant alla jusquau Mont de Vénus, lautre descendit jusque sur le
haut du postérieur de Tanya. De concert, elles continuèrent leurs caresses, se satisfaisant de ces zones, sans jamais aller plus
bas.
Les frissons de Tanya prouvaient quelle appréciait ces effleurements. Elle aurait peut-être souhaité que je continue, dautant que
les pointes de ses seins étaient à présent bien tendues, mais ce nétait pas le but de cette soirée.
- Allonges-toi au sol, sur le dos et cuisses davantage écartées.
Le contact du carrelage froid accentua encore plus ses frissons, mais cette fois ce nétait peut-être plus grâce aux mêmes
sensations.
Je la laissai ainsi de nombreuses minutes, le temps de plusieurs photos de son intimité.
- Très bien, à présent, je veux te voir à quatre pattes.
Puis je précisai :
- Les cuisses toujours bien écartées. Cest une habitude quil te faudra prendre avec moi, que tu sois debout, couchée assise, ou
dans nimporte quelle position.
Cest maintenant sa partie arrière qui fut fixée pour léternité par lobjectif de mon appareil.
Tanya ne montrait toujours aucun signe de velléité. Soit elle jouait le jeu par plaisir, soit elle attendait que jaie fini par fierté, et
mannoncerait cela ne lui plaisait pas. Il serait temps de voir à ce moment là.
- Tu peux te remettre sur le dos.
Elle reprit la position davant, en ayant bien suivi mes conseils pour ses cuisses.
- Maintenant que tu mas fais découvrir ton corps, cest ton âme que je veux que tu mettes à nu à présent.
Elle sembla surprise par cette phrase, se demandant ce que jattendais delle.
Ce que je voulais connaître, cétait sa sexualité : ce quelle aimait, ce quelle naimait pas, ce quelle faisait, ou refusait, ce quelle
navait jamais fait, et ne ferait jamais, si elle avait des phantasmes. Enfin tout ce qui pourrait me servir pour mon plaisir. Et mon
plaisir était dobliger mes partenaires à faire ce quelles navaient pas spécialement envie.
Elle répondit, parfois avec une certaine gêne, à toutes mes questions, noubliant pas dajouter Monsieur à ses réponses.
Je savais à présent tout ce que je lui ferais faire par la suite, si elle avait aimé cette soirée.
Vers vingt deux heures, je lui avais fait faire tout ce que javais prévu pour cette soirée dinitiation. Et elle y avait répondu
favorablement, maintenant il restait une question à laquelle je ne pouvais pas répondre : reviendrait-elle ? Je souhaitais que « Oui »
de tout mon cur. Mais serait-ce aussi son avis.
Je lui demandai alors de se rhabiller, toujours en gardant le silence. Puis je la raccompagnai jusquà la sortie, en lui disant :
- Je te laisse jusquà mercredi pour réfléchir si tu veux revenir. Envoies-moi un SMS.
A peine fut-elle sortie, que je notai tout ce quelle mavait dit sur ses orientations sexuelles, je faisais toujours cela avec mes
anciennes.
Avant de me coucher, je mis sur mon ordi les nombreux clichés que javais faits delle. Et cest en pensant à elle, que je me donnai
du plaisir plusieurs fois dans la nuit.
Si tout allait bien, ce serait la dernière fois que ma main me servirait de dérivatif.
Mesdasmes, si ce récit vous a plu, envoyez-moi un petit message: azkinato@hotmail.fr
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