Jules : Leçon De Soumission Pour Manon. Épisode 16/18.
En revenant de chez Bénédicte, Jules était bien décidé de dire à Manon ses quatre vérités, il navait pas lintention de la brusquer mais de lui faire dire toute la vérité au sujet de l quelle portait et si jamais elle lui avait menti, il la quitterait sur le champ. Si au contraire elle était vraiment enceinte, tout en la ménageant, il lui ferait comprendre quelle devait faire un choix. Ou elle restait avec lui en arrêtant de voir Guillaume, ou elle partait vivre avec leurasien. À cette heure-là, il était certain de la trouver en arrivant chez lui, mais ce ne fut pas le cas. Manon nétait ni chez Karine, ni dans son appartement. En entrant au salon, il aperçut bien en évidence sur la table basse, une lettre quil lit attentivement :
« Jules ! Malgré tout lamour que jai pour toi, ne mattends pas ce soir. Te sentant incapable de me donner tout ce dont jai besoin, jai fait le choix de vivre avec Guillaume. Ma décision davorter est prise, il memmène dès aujourdhui dans un établissement privé pour me pratiquer lIVG. Je te quitte la mort dans lâme, je ne te mérite pas mais sache que je te souhaite tout le bonheur du monde dans les bras de Tamara. Je pense que cest une femme bien, elle est faite pour toi. Adieu mon amour. »
Jules pleurait lorsquil avait fini de lire cette missive, une dernière déclaration damour quelque peu orthodoxe certes, mais il était certain que Manon était sincère. Ce quil regrettait le plus, ce nétait pas quelle le quitte, lui-même était prêt à rompre, ni même la trahison de son ami Guillaume, cétait la perte de son . La pilule avait du mal de passer, il savait quil ne lui pardonnerait jamais cet avortement. Il avait ouvert une bouteille de vin blanc, son Tariquet quil appréciait tant quil but en moins dheure. Il sétait affalé sur le canapé où il sendormit en oubliant dappeler Tamara.
Karine nayant pas eu de nouvelles de Manon depuis plus dune semaine, sinquiétait énormément, elle nétait plus la même et au travail, cela se ressentait à tel point que son chef de service lavait convoquée pour lui faire quelques remontrances désobligeantes.
Je me doutais bien que ce Jules sortait avec ta fille, mais je nen étais pas certain et Manon est majeure à prêt tout.
Mais chéri ! Tu aurais pu au moins me dire ce que tu pensais, jaurais mis un terme à cette liaison en lobligeant à venir habiter ici. Comment Jules a-t-il pu me faire ça.
Furax, Karine voulait une explication et surtout désirait savoir si Manon était avec lui ou pas. Elle lappela sur son portable, elle navait obtenu aucune réponse, elle essaya sur le fixe en vain. Pensant quils étaient partis ensemble, elle voulut sen assurer. Ni une ni deux, elle demanda à Richard de prendre sa voiture et de lemmener chez lui. Comme à son habitude, Jules avait laissé sa porte ouverte. Lorsquelle le vit affalé dans le canapé et avec la bouteille de vin vide à ses pieds, elle comprit que quelque chose ne tournait pas rond. Pourquoi nétait-il pas avec Manon ? Pourquoi sétait-il saoulé ? Et pourquoi Manon nétait-elle pas là ? Toutes ces questions tournaient dans sa tête, pendant quelle essayait de remuer Jules afin quil ouvre les yeux.
Enfin, après plusieurs minutes à être secoué comme un cocotier, Jules ouvrit enfin un il et aperçut Karine avec un regard qui en disait long sur son mécontentement et sa colère. Il fallait bien sy attendre un jour ou lautre, sétait-il dit. Il se mit assis comme il pouvait avant de se lever pour aller prendre un café :
Quas-tu fait à ma fille ?
Si tu permets Karine, je vais tout texpliquer mais là
Il faut que je me remettre un peu.
Parti dans ses explications, Karine le regardait comme deux ronds de flan, tout ce quil disait de Manon était à ses yeux improbable et à la limite du supportable. En effet, lorsquil lui dit que sa fille était une bombe de sexe qui en voulait toujours plus et lui raconta comment elle avait voulu quil la dépucelle, elle tombait des nues en disant quelle ne pouvait le croire. Il rajouta que Manon était capable de tout pour obtenir ce quelle voulait, elle avait même avoué lors dune dispute que cétait elle qui avait déposé le string de sa mère dans la salle de bain afin que Tamara sen aperçoive et quelle le quitte :
Tu vois Karine, javais lintention de la quitter car cest Tamara que jaime et je vais le lui dire, elle mattend et nous reprendrons notre histoire comme avant. Tu ne me crois pas, cest ça ?
Ma Manon ne ferait jamais une chose pareille, cest impensable.
Demande à Richard, comment elle la dragué lors de votre visite, tout ça devant tes yeux et tu nas rien vu.
Elle se tourna vers son compagnon et en le voyant hocher la tête de bas en haut en clignant les yeux, elle sut quil disait la vérité. Jules nen avait pas fini, il lui avoua quelle portait son mais que depuis quelle avait rencontré un sale type, celui-ci lui avait mis la tête à lenvers et lavait convaincu davorter. Jules se leva et lui tendit le petit mot quelle avait écrit avant de le quitter :
Cest tout bonnement monstrueux et tu me dis quelle veut devenir sa soumise ? Il faut arrêter tout ça, je vais aller signaler sa disparition à la police.
La police ? Dit ironiquement Jules. Elle est majeure et même si les flics enquêtent, avec ce mot ils verront quelle est partie de son plein gré.
Karine ne décolérait pas, elle en voulait énormément à Jules mais il fallait à tout prix quelle retrouve Manon avant quelle ne sombre dans la perversité de la soumission.
Jules nen était plus à ça près, plus le temps passait, plus il recevait des coups : « Quest-ce que jai fait au bon Dieu pour que je subisse tout ça ? » pensait-il. Après le départ de Karine et Richard, il nétait pas au mieux, le vin blanc lui donnait des maux de tête et il navait plus les idées claires. Dans cet état et vu lheure tardive, il ne pouvait plus appeler Tamara, il prit donc la décision de se mettre au lit et remit au lendemain son appel téléphonique. Le matin au réveil, il avait encore la gueule de bois, machinalement pendant quil prenait son café, il regarda ses mails. Tout heureux de sapercevoir que Tamara lui avait laisser un message : « Jules mon amour ! » Jattendais de tes nouvelles mais je maperçois que comme moi, tu ne veux pas prendre tes responsabilités. Comme je nai pas le courage de te le dire en face, je técris ce mail car je te dois la vérité.
Lors de mon séjour en Martinique, jai retrouvé un ami denfance et jai couché avec lui. Quune seule fois certes, mais une fois de trop car aujourdhui je suis enceinte. Je ne savais plus quoi faire car cest toi que jaime. Grégoire ma demandé de le rejoindre à Fort de France pour nous marier, comme je ne veux pas laisser mon sans un père, je vais certainement accepter. Sache que cest avec une très grande tristesse que je vais quitter la France et ne plus te revoir. Je taime mon amour. Tamara. »
Cétait le quatrième coup de massue quil prenait sur le crâne depuis 48 heures, il se sentait maudit. « Comment pouvait-elle lui faire ça ? Était-elle certaine que ce Grégoire soit le père ? » Il regrettait maintenant de ne pas avoir voulu aller avec elle en Martinique lorsquelle lui avait proposé.
Se rappelant les mots de sa belle-sur, rien nétait insurmontable, Jules avait de la suite dans les idées, il devait se ressaisir et prendre ses responsabilités. Il se prépara et alla directement chez Tamara afin de la convaincre de ne pas partir. Il fut agréablement surpris de voir la porte souvrir aussi facilement, il en était tout heureux puisquil avait pensé un moment trouver porte de bois. Si lui était tout sourire, sa princesse était sublime mais son regard était grave lorsquelle linvita à sassoir. Elle était froide et bien décidée de lui dire ses quatre vérités et ce fut sur un ton très déterminé quelle prit la parole :
Tu sais Jules, après le mail que je tai envoyé, jattendais que tu viennes pour me convaincre de rester et je laurais fait, jétais prête à tout pour te garder, même davorter. Mais après ce que je viens dapprendre hier soir, ma décision est prise, je repars en Martinique pour me marier à Grégoire.
Non ! Tamara, si je suis là, cest pour toi, je suis prêt à reconnaitre ton même sil nest pas de moi, je taime plus que tout. Quà tu appris au juste ?
Je ne vais pas te faire un dessin Jules, tu sais très bien de qui je parle. « Manon » ça te dis quelque chose ? Cest pour elle que tu as refusé de maccompagner. Tu las baisée pendant deux mois, tu las mise enceinte et maintenant quelle ta quitté, tu viens me rechercher, non ce nest pas comme ça que je conçois lamour.
Tamara, laisse-moi texpliquer
Non Jules cest trop tard, ma décision est ferme et définitive, je pars à la fin du mois. Maintenant, va-ten et laisse-moi.
La veille, lorsque Manon était allée rejoindre Guillaume, ce nétait pas pour avorter, elle nétait pas enceinte. Mais pour aller chez André un grand Maître reconnu dans toute la région comme le meilleur formateur de soumises, avec lequel ils avaient rendez-vous pour sa première séance de soumission. Guillaume lui avait expliqué ce que cette jeune salope était déjà capable de faire, ce fut la raison pour laquelle, il avait prévu de la tester lors une séance spéciale devant plusieurs personnes principalement des clients.
Sur la scène, larrivée de Manon entièrement nue fut acclamée comme il se doit par les spectateurs. Puis Maitre André se présenta à lassemblée, sous les applaudissements, il était cagoulé, vêtu dun pantalon de cuir moulant et torse nu. Ses muscles enduit dhuile brillaient sous les projecteurs. Il plaça la soumise assise face à la salle, sur un énorme gode michet fixé au sol. Cet appareil génital en silicone mesurait 28 cm de long et 8 cm de diamètre était à peine rentré dans son sexe encore étroit.
Maitre André se trouvait debout derrière elle et lui triturait les tétons de ses seins entre les doigts. Manon gémissait, le but de cette séance, était que les soumises trouvent du plaisir dans la douleur. Elle devait monter et descendre sur lengin de qui la pénétrait de plus en plus. Il passa le doigt sur son vagin afin de contrôler si elle mouillait et cétait bien le cas. Il ressortit ses doigts et lui fit lécher sa cyprine quelle avait lair dapprécier. Pas besoin davoir une excellente vue pour sapercevoir que le bourreau bandait comme un âne, lénorme bosse sous le pantalon de cuir moulant laissait entrevoir son érection.
Maitre André sortit son sexe sous les applaudissements, il était raide et droit, sa bite bandait au maximum. Manon remontait un peu avant de descendre de quelques centimètres sur ce sexe factice qui la pénétrait toujours un peu plus. Le Grand Maitre passa son membre sous le nez de la jeune élève qui le regardait avec envie. Il le frotta contre ses lèvres, elle ouvrit grand la bouche afin davaler son pénis, il recula d'un pas et lui donna une violente claque sur la joue.
Cest moi qui décide quand tu dois sucer. Excuse-toi, salope.
Excusez-moi mon Maître.
Cest mieux ainsi. Tu peux maintenant et fais ça bien.
Guillaume sétait levé et applaudissait en criant : « Bravo »
La bouche de Manon se déformait par la grosseur du sexe quelle avait avalé. Elle lécha, suça, aspira tout en malaxant et massant ses testicules gonflés à bloc. Maitre André lui ordonna de senfoncer entièrement sur le godemichet quelle avait entre les jambes mais elle ny parvenait pas, cétait bien trop gros. Elle reçut une deuxième gifle tout en gardant son sexe dans la bouche. Il prit ses deux mains, les posa sur les épaules de la frêle jeune fille et appuya de toutes ses forces. Elle grimaçait sans se plaindre et senfonça jusquà la garde dans un cri qui devint vite un gémissement de plaisir. Elle jouissait lorsquune spectatrice, une femme dune cinquantaine dannées dit à haute voix :
Elle sent bien la salope, celle-là !
Empalée sur lénorme engin fiché dans sa petite chatte, Manon reprit la fellation, la queue de Maitre André au fond de sa gorge. Il lui cramponnait la tête et faisait des vas et viens brutaux dans sa bouche, elle manquait dair, elle étouffait, des larmes lui coulaient sur ses joues. Puis lui envoya de longs jets de sperme au fond de son gosier. Elle tenta de le repousser mais reçut une violente gifle qui lui fit comprendre quelle navait rien à dire :
C'est moi qui décide si je dois me retirer salope tu as compris !
Il retira son gros sexe gluant de la bouche débordante de sperme.
Avale tout maintenant !
Ce quelle fit sans discuter, elle en avait pris lhabitude avec Jules et aimait cela. Il lui tordit violemment les tétons, elle poussa un cri strident de douleur. Dans un bruit de succion, il la délivra de son engin, en la soulevant sous les aisselles. Puis la menotta sur la croix de Saint André où elle était écartelée, les fesses bien en évidence vers la salle. Il passa sa tête entre ses jambes et lui lécha son vagin encore tout endolori. Elle était déjà toute mouillée et après quelques aspirations de son bouton damour et les caresses internes de deux doigts, Manon gémissait et remuait son bassin, elle savait quil ne fallait pas jouir sans lautorisation de Maître André, elle lui demanda :
Je vais jouir Maître !
Tu as bien travaillé, laisse-toi aller au plaisir.
Il continuait à la fouiller et à lécher sa chatte, elle se cambra et envoya plusieurs jets de jouissance qui lui arrosa les cuisses, en poussant un cri de plaisir. La séance nétait pas terminée pour autant, il fallait quil la travaille dans son petit trou. Son érection nétant pas revenue, il présenta un phallus un peu moins gros que le précédent, toutefois de très belle taille, frotta ce jouet contre son vagin pour le lubrifier et après avoir détendu lentrée de deux doigts, il la sodomisa dun seul coup sous un cri aigu que les spectateurs navaient à peine entendu tellement, ils criaient leur joie. Ce beau phallus en silicone toujours fiché dans son cul, il la flagella quelques minutes avant de choisir trois hommes, trois volontaires dans lassistance afin de les inviter à monter sur scène :
Maintenant Messieurs vous pouvez étendre votre sperme sur cette petite salope, elle la bien mérité.
Les trois individus sortirent leurs bites en érection, se branlèrent et éjaculèrent lun après lautre sur le visage de Manon leur disant « Merci. » Après cette première séance dessai, Manon avait passé le test avec succès. André appela Guillaume à part, fit mettre Manon à genoux à ses pieds en baissant la tête et dit à leurasien :
Cest ok ! Cette petite pute a du potentiel, elle semble être prête à tout. Je te la rends dans un mois, elle te mangera dans la main.
Oh Merci Maitre André. Dit Manon en lui léchant ses chaussures.
Lorsque Jules quitta Tamara, il était désemparé et navait pas trop envie de se retrouver seul dans son appartement, sachant quil ne supportait pas trop lalcool, il ne voulait pas se saouler mais il avait besoin dun petit remontant. Il ne fumait que rarement mais aujourdhui, il avait besoin dun joint. Sachant où en trouver, il appela Lydia qui avait accepté de le recevoir pour lui offrir ce dont il avait besoin.
Nous verrons la suite dans un prochain récit.
Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si vous aussi, vous avez envie de raconter vos histoires damour ou de sexe, contactez-moi par e-mail, avec votre aide, jécrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr
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