Carine
Jai eu une enfance merveilleuse avec des parents aimants, trop sans doute: ils me passaient tout mes désirs: une belle poupée, je lavais avant Noël. Je voulais une belle toilette, pareil.
Jai grandis dans une ambiance de légèreté.
Jétais au collège en 4° précisément quand avec une copine nous avons eu un conversation sérieuse: il sagissait de jouissance obtenues en se touchant entre jambes. Je venais de me caresser pour la première fois sans rien dire à quiconque: je savais quun halo cachait ce genre dagissement. Avec ma copine depuis longtemps, Carine, nous nous disputions pour savoir si nous devions ou non en parler. Jétais pour garder le silence, elle au contraire voulait en parler à sa mère.
Pendant que nous parlions, Carine passait une main sous sa robe:
- Excuses moi, jai envie.
- De quoi ?
- De me faire du bien, tu nen as pas envie ?
- Maintenant que tu le dis, oui.
A mon tour jallais caresser mon clitoris. Pour être plus à laise, jenlevais ma robe pour rester en soutien gorge, la culotte était déjà partie. Sans pudeur, je caressais et montrais ma chatte à une étrangère qui du coup faisait comme moi. Carine agissait comme moi: nous nous regardions les chattes et surtout les mouvements des mains. Nos jouissances étaient plus forte certainement parce que nous le faisions à deux.
Ce nest que le mercredi après midi suivant, nous étions seules chez moi que nous avons recommencé. Cette fois nous étions nues: nous avons recommencé plusieurs fois à nous faire mousser la chatte. Je trouvais Carine particulièrement bien faite avec des seins un peu plus gros que les miens. Je les enviais à tel point que javais envie de les caresser. Je passais derrière elle pour les prendre dans mes mains. Je caressais le bas, en servant de soutien gorge, je montais jusquà ses mamelons. Elle posait sa tête sur mon épaule:
- Tu me fais du bien, narrête pas;
- Tu me le rendras ?
- Bien sur.
En me tournant mes lèvres ont effleuré les siennes. Elle ma attrapée au passage pour notre premier baiser. Nous sommes tombées sur le lit. Jétais sous elle, je servais de fille et elle sur moi était le garçon. Nos langues pour la première fois se caressaient dans le bouche de lautre.
Je mouillais plus que les autres fois.
Carine descendais sa bouche sur mes tétons. Je les sentais durcir. Elle allait à entrer sa mangue dans le nombril, pour mettre sa main sur ma chatte. Je la laissait faire, surtout quelle me caressait le clitoris. Il me semble encore sentir cette première masturbation: un déluge de sensations.
Je voulais rendre ce don: quand elle est revenue contre moi, je décidais daller plus fort quelle. Je lembrasais encore sur la bouche, je prenais ses seins et après son nombril ma bouche allais SUR sa chatte. Jétais étonnée de son odeur. Cétait à la fois agréable et excitant. Je voulais gouter sa moule. Le gout, pratiquement le même que le mien mexcitait encore le petit plus qui fait faire nimporte quoi : ma langue senroulait autour du clitoris qui bandait un peu. Josais entrer deux doigt dans son vagin. Le vas et vient faisait quelle suivait le même mouvement. Je la baisais simplement.
La fois suivante, nous sommes allées au bouts de nos envies, nous avons fini par un 69, que nous connaissions par oui dire. Nous avons essayé même de nous mettre les clitoris lun contre lautre. Pour nous lexpérience nétait pas concluante. Nos 69 étaient complétés par des « sodomies » avec nos doigts.
Maintenant à 16 ans nous voulions devenir de vrai femmes. Il nous fallait un initiateur. Il était tout trouvé: un copain du lycée. Les on-dit prétendait quil était un très bon amant;
Nous nétions pas spécialement lesbiennes, nos choix sexuels nétaient pas définitifs.
Il est tomba dans un traquenard quand, chez moi, toujours un mercredi, nous lavons presque violé. Dans le séjour, pour regarder une émissions de télé, il était assis entre nous deux, sur le divan.
Il débandait. Carine le reprenait dans la bouche, je mattelais à lui mettre deux doigts dans lanus: il bandait encore plus fort.
Nous sommes allés dans ma chambre, le lieux de nos turpitudes. Nous lavions même déshabillé. Nous le trouvions beau nu avec sa bite bien droite. Nous savions bien où nous voulions quelle aille. Je me suis proposée la première, javais les jambes trop ouverte; il me semblais quil fallait que je le fasse. Quand il venait sur moi, je prenais cette belle queue pour la poser sur la chambre damour. Il était très attentif et prudent: il entrait dans mon ventre doucement, pendant que sa langue venait dans ma bouche. Je le sentais entrer lentement, cétait plus agréable que ce que me faisait Carine. Soudain jai poussé un cri quand il ma fait sauter la pastille. Il allait encore plus loin. Je le sentais tout au fond de mon ventre. Javais mal tout le temps
A coté de nous Carine nen perdait pas une miette: elle se branlait en nous regardant.
Jai sentie le jet de sperme au fond de moi: il se retirait enfin. Je nétais plus vierge, mon seul souvenir est que javais eu mal.
Un peu plus tard, Carine se faisait mettre elle aussi. A la différence de moi, elle jouissait à la fin.
Depuis nous continuons quelques fois avec Carine qui est maintenant une bi sexuelle convaincue alors que je reste obstinément lesbienne/
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