Maitresse Du Jeu
- Dis moi Pascal
essayer avec un homme
ca ne tas jamais traversé lesprit ?
Nous venons de finir de faire lamour.
Pascal fume une cigarette au lit, exceptionnellement. Moi, je me suis calée au creux de son épaule et joue négligemment avec les poils de son torse.
- Tas de drôles de questions, toi !
- Tu ne mas pas répondu. Moi, jai eu une belle expérience avec Camille, mais toi, de ton coté, ca ne tas jamais effleuré lesprit de tenter un truc avec un mec ?
- Tes folle !
- Allez ! Avoue ! Pourquoi tu rougis ?
- Mais non, Eliane, je ne rougis pas ! Cest toi, là ! Avec tes questions à la con !
- Tu nas toujours pas répondu ! Mais peut être as-tu déjà essayé ?
Un silence lourd sinstalle. Pascal écrase nerveusement son mégot dans le cendrier.
Pour le taquiner, je tapote mon index sur son plexus.
- Tas essayé ?
- Oui, bon ! Jai essayé ! Mais y a si longtemps ! Jétais ado ! Voilà ! Là ! Tes contente ?
- Hihi ! Ne te fâche pas ! Ce nest pas grave ! Hihi ! Tu me raconte ?
- Certainement pas !
- Alleeez ! Regarde, jéteins la lumière, comme ca même si tu es gêné, je ne le verrais pas. Ok ?
Il me sait têtue et que je ne lâcherais pas laffaire, alors, il passe aux aveux.
- Je venais davoir dix neufs ans. Cétait les vacances. Avec des potes, nous avions invité des nanas quon avait dragué dans laprès midi. Nous avions organisé un pique nique de nuit sur une plage. On avait fait un grand feu et on sest bien marrés. On a bien bu aussi, je dois le reconnaitre. Puis, plus les heures passaient et moins il y avait de monde. Les couples sétaient formés et ils partaient sisoler dans les dunes, pour baiser tranquille.
Si bien que
vers deux heures du matin, je me suis retrouvé seul
avec un mec.
- Hihi ! Cool ! Il était homo ? Hihi !
- Arrête de rire ou je me tais ! Nous étions assis lun près de lautre, et là, il ma posé la même question que toi.
Je me blottis contre lui et lenlace tendrement. Mais ma curiosité lemporte, et au bout de cinq minutes
- Et
ca tas plu ? Tu naurais pas envi de retenter un truc ?
- Eliane ! Merde ! Tas pas bientôt fini tes conneries ?
Là, je lai bien cherché, il est vraiment en colère.
Une semaine se passe et cette petite discussion est oubliée. Du moins pour lui, car moi, je ne pense quà ca.
Jattends mon heure, le bon moment, pour remettre ca sur le tapis.
Et je crois que se fameux moment est arrivé.
Nous faisons lamour depuis plus dune heure. Nous aimons prendre notre temps, pratiquer dinterminables préliminaires, multiplier les caresses et les baisers.
Il est allongé sur le dos et je le suce avec avidité depuis plusieurs minutes. Il a posé une main sur ma tête et donne le rythme de ma succion.
Je parviens tout de même à libérer ma bouche juste un instant, pour lui susurrer
- Imagine que cest un mec qui te pompe !
Je mattends à une réaction virulente de sa part. Mais rien.
Au contraire. Il enlève sa main de mon crane pour sagripper aux barreaux de la tête du lit.
Il pousse des râles et donne de petits coups de reins pour senfoncer plus profond dans ma gorge.
Je suis sur que ma petite phrase a eu un impact et quil fantasme comme un malade.
Je veux en avoir le cur net.
Délicatement, doucement, jintroduis mon index dans son anus. Je le sais friand de cette pratique. Puis, je cesse ma fellation et le masturbe doucement.
Il est à point. Je prends ma voix la plus suave, la plus sexy.
- Tu sens sa queue dans ton cul ? Tu veux quil te suce encore ?
- Ho ouiii ! Hummmm !
Encouragée, je reprends ma caresse buccale quelques secondes, puis
- Et toi ? Tu veux le sucer, toi ?
Je nattends pas sa réponse et pose mon pouce sur ses lèvres.
Cest drôle, mais je ne suis pas étonnée de le sentir senfoncer entre celles-ci.
Japplique un mouvement de va et vient à ma main et il suce mon pouce comme il le ferait à une queue.
- Cest comme si deux types soccupaient de ton cas, mon amour.
- Hummmm !
Il est mûr.
Jaccélère mon mouvement dans son anus. Le salop mouille du cul. Ca lui plait, cest sur.
Ce petit jeu commence également à mexciter.
- Lui, va jouir dans ton cul et lautre dans ta bouche, mon amour ! Hummm !
- Hummmm !
- Et toi ? Tu veux jouir ou ? Dans ma bouche ?
- Mouiiii ! Hummm !
Et cest ainsi que ce soir il prend son pied. Il déverse sa semence chaude en longues et puissantes saccades au fond de ma gorge, tout en suçant mon pouce et en se faisant touiller le cul.
Le lendemain, je ne lui parle pas de cet événement.
Je laisse passer encore quelques jours avant de revenir à lattaque.
En fait, jai un plan, un projet et je suis bien décidée à tout mettre en uvre pour arriver à mes fins.
Ce sera le soir de mon anniversaire.
Alors, un soir, au moment de faire un gros câlin
- Pascal, jai envie dun truc !
- Houlà ! Je naime pas ca ! Tes tellement bizarre en ce moment.
- Non, je tassure, ce nest pas bien méchant.
- Bon, ok ! Quest ce que tu veux encore ?
- Ben
Jvoudrais tattacher ! Je peux, dis ? Je peux ?
- Pfff ! Tes complètement cinglée !
- Oui, mais cest aussi pour ca que tu maime, non ?
Je ne lui laisse pas le temps de réfléchir et je sors dun tiroir, des liens que javais préparé.
Je le fait mettre à quatre pattes sur le lit et je lattache à la barre du pied du lit.
- Heuuu ! Pourquoi, le pied du lit ?
- Parce que comme ca, tu me vois dans le miroir de larmoire.
- Humm ! Petite perverse ! Je vois que tu as pensé à tout !
- Tu ne crois pas si bien dire, chéri !
Et il sen aperçoit rapidement, lorsque je sors un gode ceinture de ma table de nuit.
- Hé ! Ou tas eu ca, toi ?
- Ben tu sais, maintenant, avec internet !
- Tas quand même pas lintention de lutiliser ?
- Jvais gêner ! Mais ne tinquiète pas, regarde. Jai également commandé un tube de vaseline !
- Bon, allez ! On a suffisamment ris, là ! Détache-moi.
- Ha ben non ! Je nai pas acheté tout ca pour rien !
Il commence à se fâcher. Dhabitude, je redoute un peu ses colères, mais là
je men fou !
- Bon ! ca suffit ! Cest cette pute de Camille qui tas rendu cinglée ou quoi ?
- Jnaime pas trop quon dise du mal de mes amies, chéri !
- Une amie ? Une salope ! Une putain, oui !
- Une putain que tu as bien aimé sauter, non ?
- Bon ! Détache-moi, maintenant.
Mais je nen fais rien. Je mallonge sur le dos et glisse ma tête entre ses cuisses ouvertes.
Jignore sil a la trouille, mais en tout cas il bande comme un cerf. Je nai même pas besoin de lever la tête pour prendre son gland entre mes lèvres.
Je le détends doucement, en le suçant avec application. Je caresse ses cuisses, ses fesses. Progressivement, je me dirige vers sa pastille brune et y introduit mon majeur.
- Hummm ! Ma chérie ! Humm ! Cest Boon !
- Je sais ce que tu aime mon amour ! Ce qui est bon pour toi ! Tu veux plus profond ?
- Ho ouiii ! Enfonce ton doigt plus loin, plus fort !
Je ne peux pas imaginer quil ait déjà oublié le gode ceinture. Je veux en avoir le cur net !
Je me dégage, me lève et le passe face à lui.
- Arrête avec ca ! ca ne mamuse pas du tout ! Détache-moi !
Mais comme seule réponse, je me place face à lui et pose le bout du gland de plastique sur ses lèvres.
- Suce-moi, chéri ! Fais ca pour moi ! Suce-moi !
Il fait la grimace et ouvre la bouche. Jy vais doucement, lui en donnant quelques millimètres de plus à chaque fois.
Je suis surprise. Il joue le jeu. Je ne laurais jamais cru.
Je latt par les cheveux et baise sa bouche, excitée.
Il en veut ? Je vais lui en donner.
Je quitte sa bouche et remonte sur le lit.
- Déconne pas Eliane ! Ne déconne pas !
Je ne réponds rien et asperge son cul de vaseline. A laide de mes doigts, jen fais pénétrer dans son anus autant que je peux.
- Arrête ! Tu vas me faire mal ! Bordel !
- Alors ! Je texplique ! Quand tu veux menculer, moi, pour ne pas avoir mal, jai trois ou quatre ptits trucs.
- Putain ! Détache-moi !
- Dabord, jessais de me détendre. Puis, je creuse mes reins, je me cambre. Je cherche à respirer profondément, mais doucement.
- Eliane ! Je ten supplie.
Je me place à genoux derrière lui et pose le bout du gode sur son trou.
- Ensuite, il y a deux écoles. Celles qui toussent et celles qui poussent. Moi, personnellement, jessaie de faire les deux en même temps. Et toi, tu choisis quoi ?
- Elia
..
Je crois quil pousse.
La vaseline est vraiment un produit merveilleux. En trois ou quatre poussées, je suis quasiment entière dans le fondement si fragile de mon petit homme chéri.
Il vocifère de moins en moins fort, puis ses injures se transforment en « Hummm ! », en « Ouiii ! ».
Jai gagné !
Je laisse ce petit jeu prendre place dans nos ébats amoureux. Aussi, le jour de mon anniversaire, il ne trouve pas à redire, lorsque je le ligote au pied du lit, face au grand miroir.
Puis, je le laisse et me rends dans la salle de bain.
- Quest ce que tu fabrique, chérie ! Viens vite ! Inutile de te nettoyer ! Je ne suis pas contre un peu dodeur.Ca met du piquant ! Grrrr ! Rhooaaaa ! Je vais te dévorer !
Je le laisse mariner encore un peu et reviens dans un accoutrement quil ne connait pas.
Jai passé une longue robe noire qui tombe jusquaux chevilles. Son décolleté descend jusquau nombril, dos nu et fendue jusquaux hauts des cuisses, laissant découvrir le haut de mes bas.
- Houchhhhh ! Ca, cest un beau cadeau danniversaire que tu tes fais là! Tu es
. Splendide !
- Je te remercie. Mais ca,
ce nest que le début.
Soudain, la sonnette de la porte retentie.
- Merde ! Jamais tranquille ! Détache-moi, vite !
- Détends-toi, mon amour ! Ce doit être la suite de mon cadeau.
- Hummm ! Une belle blonde lesbienne, jespère !
Pour cacher ma honte naissante, jai passé un loup noir en dentelle, qui masque mes yeux. De plus, je trouve quil va à merveille avec ma robe.
Je reviens dans la chambre en tenant par la main
un charmant jeune homme.
Mon mari le reconnait de suite et blêmit dun coup.
- Raphaël ? Mais
quest ce que
? Eliane ! Détache-moi ! Jexige que tu me détache immédiatement !
Il connait bien Raphaël. Et pour cause. Cest lhomme à tout faire de notre résidence, et il est de notoriété publique quil est homosexuel.
- Tu ne crois pas que tu nes pas en situation dexiger quoi que ce soit ? Calme-toi mon amour. Si tu hurle de trop, je me verrais dans lobligation de te bâillonner. Ce serrait dommage que je ne puisse apprécier mon cadeau, à sa juste valeur. Nest ce pas Raphaël ?
Raphaël est un jeune homme de vingt trois ans. Été comme hiver, musclé à souhait, il se promène dans un marcel blanc et un jeans moulant.
Jai remarqué depuis longtemps limposante déformation de son pantalon, à hauteur de son entre jambe.
Je le tire par la main jusque devant le visage de mon homme.
Je magenouille, défais sa ceinture et ouvre son jeans, libérant une bête de chair magnifique.
- Eliane ! Arrête tes conneries ! Renvois le et nous nen parlerons plus ! Cest promit !
Je le regarde, souris et fais glisser le sexe de Raphi entre mes lèvres, tout en lui ôtant le pantalon.
Très vite, le membre imposant prend du volume, jusquà devenir un pieu magnifique.
Jen profite quelques minutes, puis je me relève et fais glisser le marcel par-dessus la tête du futur amant de mon mari.
Je passe mes bras autour de son cou et lui donne un tendre et fougueux baiser.
Pour un homosexuel, je le trouve bien à laise avec moi. Il serait bi, je comprendrais mieux.
Pascal ne dit plus rien. Il semble résigné. Je vais en avoir le cur net.
Je prends le membre humide de Raphi dans ma main, et le positionne sur les lèvres de Pascal. Il a fermé les yeux et ne bouge pas.
Je frotte la queue, la ballade sur son visage, frappe ses joues avec.
Et soudain
sa bouche sentrouvre.
Raphael, pose ses mains sur la tête de mon mari et les referme dans ses cheveux.
Un coup de rein et Pascal goutte une bite pour la première fois.
Je lobserve et je suis ravie de constater quil est en érection. La chose lui plait et il y met de plus en plus de bonne volonté.
Je monte sur le lit et joue un peu avec son anus dilaté, lorsque la sonnette retentit une fois de plus.
Je sens Pascal paniquer de nouveau. Cest Raphaël qui le rassure.
- Ce nest rien, monsieur Pascal ! Ce nest rien, je vous assure ! Hummm ! Vous sucez bien ! Cest bon comme ca ! Ouiii ! Continuez ! Hummm !
Je vais ouvrir et je reviens avec un homme dune cinquantaine dannées. Grand, un peu gras, mais bel homme. Il porte un costume, chemise blanche.
- Je te présente Lucien, recruté sur internet. Il va compléter mon cadeau.
Le regard oblique, mon homme semble ne pas trop apprécier et affiche de nouveau une mine inquiète. Mais difficile de contester la bouche pleine.
Je moccupe du nouvel arrivant. A son tour, il a droit à un baiser passionné. Puis, je lui retire sa veste et sa chemise, et, tout comme pour Raphi, à genoux, je le dégage de son pantalon et lui offre une fellation de bienvenue.
Deux minutes plus tard
- Attends ma chérie ! Ne me fais surtout pas jouir ! Le petit cul de ton mari, me plait beaucoup ! Hummm !
Je le libère et il grimpe sur le lit pour se placer derrière Pascal.
- Vavlevlive ! Hooon ! Vavlevlive ! Vavlevlive !
Bien difficile de se faire comprendre la bouche pleine. Toutefois, je comprends quil réclame la vaseline.
- Pas besoin, mon amour ! Tu mouille comme une jeune femelle ! Hihi ! Nest ce pas Lucien ?
- Plutôt, oui ! Il est luisant denvie ! Je vais me régaler !
Il pose son énorme gland sur la pastille brune, puis agrippe les hanches de Pascal.
Je comprends à son visage quil est concentré. Il tient compte de mes conseils et je le vois cambrer les reins.
- Rhunnnnn ! Hurgggg ! Rhinnnnng !
Mon pauvre petit chéri, prit comme un agneau à la broche, commente comme il peut, sa
colère ?... Douleur ?... Jouissance ? Finalement, je ne sais pas trop, et peut être vaut il mieux que je ne le sache pas.
Lucien semble au ange denculer son nouvel amant et lexprime haut et fort.
- Hummm ! Il est bon ton ptit cul mon joli. Humm ! Tu la sens bien, ma queue ? Hein ? Tu la sens dans ton fion ? Hummm ! Ptite pute !
Je retire ma robe, et juste en bas résilles, appuyée contre le mur, je me masturbe frénétiquement en contemplant le tableau que moffrent les trois hommes.
Est-ce du à la fellation ou à ma vue dénudée, Raphaël montre les prémices de sa jouissance toute proche.
- Hargg ! Ouiii ! Ho, cest bonnnn ! Oui, suce-moi vite, comme caaa ! Hummm ! Vous êtes belle, madame ! Hummm ! Haaa ! Je
je viens ! Ouiiiiii ! Hargggggg !
Le jeune homme mexcite et je jouis en même temps que lui.
Le pauvre Pascal a toutes les peines à assumer une salve de foutre conséquente. Il manque de s et deux longs filets de sperme, séchappent de la commissure de ses lèvres.
Il peine à avaler et fait la grimace, mais la quantité étant très importante, il na pas trop le choix.
Hummm ! Dimaginer le foutre chaud couler dans sa gorge, me déclenche un orgasme extraordinaire. Je fléchie les jambes. Mon dos glisse le long du mur. Jy pose ma tête, légèrement en arrière et je me laisse emporter par mon plaisir, quatre doigts dune main enfoncés en moi, et deux de lautre, qui frottent comme des hystériques, un clito gonflé, prêt à exploser.
Raphi libère la bouche de mon mari et vient se mettre à genoux devant moi, pour aspirer ma jouissance.
Pascal, secoué par les assauts de Lucien, entre deux « Humm ! » et deux « Haaa ! », me jette des yeux remplis de jalousie. Je le sais, me voir avec un autre homme est une réelle épreuve pour lui. Et ca
ca mexcite comme une folle.
Je monte et descends sur la bouche de Raphaël, mes mains plongées dans sa chevelure.
Puis doucement il se relève, embrassant chaque parcelle de mon corps.
Nous nous enlaçons et nous nous embrassons fougueusement.
- Haaa ! Hummm ! Elianeee ! Salopeeee ! Hummm ! Arrête caaa ! Haa ! Tout de suitee ! Putainnn ! Salopeeee !
Cest Lucien qui lui répond.
- Tais-toi, chéri ! On va sen occuper de ta salope ! Et toi, tu va nous regarder. Mais pour linstant, tu vas être un brave
garçon et
hummm ! Me laisser hachhhhh ! Te remplir ton cul de cocu ! Hargggggg ! Tiens, prends ca, salopeeee ! Hummmm !
Je vois Pascal fermer les yeux, bouche ouverte. Pour la première fois de la soirée, il semble prendre du plaisir. Sans doute de sentir le jus de Lucien, envahir son intestin.
Lhomme se retire et laisse ma moitié en sueur, tenter de récupérer un semblant de souffle.
Nous le laissons ainsi, et nous quittons la chambre pour aller prendre une coupe de champagne.
Jimagine aisément ce quil doit endurer. Se demander si je ne suis pas en train de me faire sauter par les deux hommes, sur le canapé ou bien le plan de travail de la cuisine. Mille choses douloureuses doivent traverser son esprit et le r.
Lorsque nous revenons, mon pauvre amour se tord dans tout les sens pour essayer de se détacher. En vain.
- Eliane, détache moi, sil te plait et vire moi ces mecs ! Tout de suite !
- Pas tant quils ne mauront pas prise, chéri. La soirée commence à peine !
- Putain ! Salope ! Arrête ca, merde !
Sa jalousie mexcite. Jaime le voir se tordre de dépit.
Lucien sapproche face à lui.
- Tiens, bouffe ca ! Ca tévitera de gueuler autant ! Et tavise pas de mordre, il pourrait ten couter, petite putain !
Il lui a planté son dard au fond de la gorge et lui baise la bouche.
Je magenouille et suce Raphaël pour lui redonner de la vigueur, puis, je monte sur le lit et me place en travers, en levrette.
Lucien délaisse mon mari et vient se placer derrière moi, tandis que Raphi reprend possession de ma bouche.
Lucien me pénètre sans effort. Il faut dire que ma chatte est détrempée denvie et de plaisirs.
Pascal a cessé dhurler et nous regarde grâce au miroir de la glace. Il regarde son épouse se faire besogner sans honte par deux inconnus
ou presque.
- Tiens prends ca, sale chienne ! Tu la sens bien ma queue ? Hein ? Taime ca, toi, te faire sauter ! Hein, putain ? Elle te pompe bien, Raphaël ?
- Humm ! Ho oui ! Elle a une bouche de rêve ! Elle est trop bonne, la morue. On ne lui ferait pas une double pénétration ?
- Putain ! Ca, cest une idée ! Je te laisse son cul, je le prendrais tout à lheure.
Lucien se retire de ma cavité brulante et sallonge sur le dos.
- Eliane ! Ne fais pas ca, chéri ! Ne fais pas ca !
- Non seulement, je vais le faire, mais tu vas me regarder jouir mon amour. Ca mexcite tant de me faire prendre devant toi. Cest mon anniversaire ! Laurais tu oublié ? Tu ne peux rien me refuser, non ?
- Salope !
- Oui, mon chéri. Je suis ta salope, ta putain, ta catin.
Dans le reflet du miroir, il me regarde enfourcher Lucien. Il me voit passer ma main entre nos cuisses, pour guider la bite en moi.
Je me fais plaisir en baisant une petite minute, le temps que Raphaël sinstalle confortablement derrière moi.
Pascal, rouge de colère, ne quitte pas le miroir des yeux.
Je minstalle à mon tour. Je me replie sur Lucien, offrant ma rondelle à lhomme dentretien.
Il mencule doucement, avec beaucoup de douceur et mon plaisir grimpe en flèche.
Je sens les queues coulisser en moi de façon aléatoire et dans un rythme différent.
Je ne touche plus terre.
- Ho ouiii ! Hummm ! Cest bonnnn ! Oui, baisez-moi biennn ! Ho ouiii ! Hoooo ! Cest bonnnn !
- Eliane, tes folle ! Tes quune pute, bonne à faire le trottoir ! Tu me dégoute ! Trainée !
- Ho oui, mon coeuuuur ! Je ferais la pute pour toi ! Mon Pascal, damourrr ! Hummmm !
Lucien jouit le premier. Son foutre se jette contre mon utérus avec force, me provoquant un orgasme de grande magnitude.
Grand seigneur, il ne bouge plus, laissant Raphaël finir de me travailler lanus, avant de jouir à son tour.
Toute la nuit, ils me prendront à tour de rôle, sollicitant parfois Pascal, pour les faire rebander, grâce à sa bouche.
Au petit matin, dégoulinante de sueur et de foutre, je raccompagne Raphaël jusquà la porte.
- Vous croyez que ca va aller ? Il navait pas lair très content, quand même.
- Ne ten fais pas Raphi ! Je le connais bien et je suis sur quon se reverra, bien avant mon prochain anniversaire.
Je lembrasse tendrement sur le bas de la porte et il disparait dans lescalier.
- Oui ! Ouiii ! Hummm ! Cest bonnnn ! Ouiii ! Hoooo ! Vas y fort ! Hummmmm !
Je marrête et reste discrète dans langle de la porte de notre chambre.
- Oui, vas-y ! Défonce-moi ! Ouiii ! Hummm ! Hoooo !
Je passe la tête dans le chambranle et quelle nest pas ma surprise de voir mon homme, jouissif, réclamant de la bite, en poussant des cris dextases.
Lucien lui pilonne le cul avec rudesse et sans douceur. Il maperçoit et me fait un clin dil.
Je mapproche interloquée de mon mâle. Je suis tellement heureuse de le voir ainsi, que je lembrasse de longues minutes, de façon primitive. Puis
mon envie de le rabaisser reprend le dessus.
- Tu mas bien dis que tu nétais pas contre un peu dodeur ? Tiens ! Bouffe !
Je me dresse sur la pointe des pieds. Je latt par les cheveux et lui plonge le visage dans mon vagin souillé et odorant.
Je le fais me sucer pendant quelques minutes. Le salop semble apprécier.
Lucien se dégage de lanus de mon mari.
- Allez, viens là, putain ! Cest ton tour ! Mais détache ton mec, avant.
Pascal est ravi de se retrouver enfin libre.
Cest lui-même qui minvite à retrouver Lucien sur le lit.
- Viens chérie ! Là ! Fous-toi en levrette ! Donne-lui ton cul de pouffiasse de merde !
Je minstalle et il écarte mes deux hémisphères à mon amant du moment.
- Vas-y Lucien ! Défonce ma morue ! Fais lui regretter ce que je viens de subir. Explose-lui le cul à cette salope !
Et cest ce quil fait. Il me pénètre avec force et dun coup. Mais dommage pour mon amour, mon cul bien préparé ne se fera pas exploser.
Il me pilonne comme un malade.
Pascal, ivre de liberté et emplit de rancur, plante sa queue au fond de ma gorge.
- Tiens salope ! Voilà des heures que jattends ce moment. Tu vas vomir mon foutre, je te le jure.
Il semble en effet décidé à se venger. Il viole ma bouche, et y plonge à en boucher ma trachée. A plusieurs reprises, il me semble . Mais le plus dur est de sentir son estomac remonter.
Mais je ne vomirais pas.
Lucien explose ses couilles sur mon vagin, à chaque pénétration.
Il semble transporté par le spectacle de la bite de mon homme qui disparait intégralement dans ma bouche.
- Hummm ! Putain ! Quelle suceuse ! Un vrai garage à bite, ta pouliche ! Hummmm ! Merde ! Elle mexcite trooop ! Haaa ! Hooorrrr ! Merde ! Je jouiiiiiis ! Hargggggg ! Hummmm !
Je sens sa semence sinsinuer dans mes intestins, en plusieurs giclées chaudes.
- Putain ! Moi aussiii ! Je vais la faire boire jusquà la dernière goutte ! Tient ! Bois ca chériiiie ! Hummmmm !
Son jus est expulsé directement dans mon sophage. Enfin, il se retire avant que je ne meurs étouffée.
Je me couche sur le flan pour récupérer.
Jentends Pascal raccompagner Lucien et revenir dans la chambre.
- Petite salope ! Tu vas me payer tout ca !
- Rien du tout mon ptit chéri. Cest mon anniversaire, je fais ce que je désire ! Et désormais, ce sera ainsi tout les ans ! Alors, tu te tais et tu tallonge immédiatement ! Je nen ai pas fini avec toi ! Compris ?
Je nai jamais levé le ton contre lui. il me regarde, interloqué, puis un peu perdu sans doute, il sallonge sans broncher.
Je monte à mon tour sur le lit et lenfourche.
Je pose directement mon cul sur sa bouche.
-Si tu veux une coupe de champagne pour fêter dignement mon anniversaire, il va te falloir me nettoyer de fond en comble, mon gentil chéri ! Hihihi !
Il tire la langue et entame la récupération du foutre qui mencombre.
Je crois que notre couple sengage dans une nouvelle direction.
Ce qui est certain, cest que désormais, une fois par an, je serrais reine.
Maitresse du jeu.
Pour Eliane
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