Ménage À Trois

Je ne suis plus jeune et j’ai réussi ma vie de débauchée. Quand j’avais tout juste 25 ans, je tombais amoureuse de Paul, un gentil garçon avec qui je décidais de me marier. Paul était amoureux fou de moi. Nous baisions souvent pour notre plaisir, simplement, plusieurs fois par jour. Un jour il est parti pour une longue période de 3 mois en stage. Avant son départ nous avons mis les choses au point: d’avance nous nous pardonnions les coucheries que nous ne manquerions pas d’avoir. J’étais une fille qui aimait trop baiser pour me retenir pendant une si longue période: la masturbation ne me suffisait pas. Paul était ménage à trois comme moi: rester sans baiser d’avance le rebutait. Nous convenions quand même que nous ne cacherions rien à l’autre. C’est moi la première qui lui écrivait que je venais de rencontrer un garçon de son âge trop mignon pour que je n’essaye pas de l’attirer dans mon lit. Je devait lui écrire quelque chose comme ceci:
- J’ai rencontré Jules, nous nous sommes plu. J’ai eu envie de lui comme lui de moi. Nous ne pouvions plus tenir. Tu sais comme j’aime baiser. C’est moi qui lui ai demandé de venir chez moi pour faire l’amour. Nous nous sommes mis nus aussitôt. Quand j’ai vu sa bite je n’ai pu résister à lui faire une fellation jusqu’à ce qu’il jouisse dans ma bouche. Il devait y avoir longtemps qu’il n’avait pas joui: j’ai reçu plein de foutre dans la bouche. Il avait bon goût, alors je l’ai dégusté comme le tien et je l’ai tout avalé. Il ne bandait plus le pauvre, alors j’ai recommençais à le sucer. J’ai planté mon doigt dans son cul, tu sais comme je te fais quand tu es mort. J’ai réussi à le faire bander. Je me suis couché à ses cotés et nous nous sommes embrassés. Il m’a caresser les seins, moins bien que toi, mais comme j’avais envie de lui, il m’a fait du bien. Il a voulu me sucer. J’ai écarté mes jambes pour qu’il vienne passer sa langue sur mon sexe. Il a voulu commencer à sa façon: il a commencé donc par me mettre sa langue sur mon cul.

J’ai l’habitude de recevoir tes doigt là. En tout cas il m’a faite jouir. Sa langue était douce dans le cul. Ensuite il m’a mise sa langue dans mon petit con, comme toi. J’ai joui encore. Pour finir il m’a sucé le clitoris beaucoup moins bien que toi.
Il bandait fortement et voulait me baiser: je l’avais fait venir pour ça: je ne pouvais plus lui refuser d’entrer dans mon con. Il a fait comme toi, il me la mise au fond de ce trou, comme tu dis. J’ai fait les premiers aller et venue. Il a continuer jusqu’à ce que je sente son jet de liquide dans le fond de mon con. Il n’en pouvait plus. Ce n’est que le lendemain que j’ai pu l’avoir dans le cul. C’était pas mal: il a pas mal de progrès à faire. Je reste avec lui jusqu’à ton retour. Il me tarde que te vienne me la mettre comme j’aime.
Je me souvient que dans sa lettre de réponse, il me racontait ses baises avec une fille blonde , comme moi aussi chaude, il me remerciait de ne rien lui cachait. Il me décrivait également ce qu’il faisait en baissant cette fille.
Enfin il est revenu. Nous avons passé une nuit fabuleuse. J’ai eu droit à me faire mettre partout. S’il avait eu plusieurs bites ils les aurait entré à la fois.
Le seul hic était que Jules aussi était amoureux de moi. Un soir il venait à la maison, pas pour faire un scandale, simplement pour me voir. Il n’a pu s’empêcher de m’embrasser devant Paul. Il m’a mis une main aux fesses et commençait à me peloter. Jules avait simplement oublié la présence de mon futur. Sa main aux fesses devenait plus envahissante: il cherchait mon petit trou que sans m’en rendre compte je lui donnais.
Paul le laisse faire sans rien dire: il comprend que cet homme a aussi besoin de moi. Je me retrouve nue devant mon futur, dans les bras d’un autre à qui je tiens la queue et commence à la branler. Paul me laisse le déshabiller et lui-même est vite nu. Il accepte la présence de celui que je pourrai appeler mon amant. Les voyant nus, je comprend que Paul me laisse libre de me faire baiser par Jules.
Je leur demande de venir dans la chambre. Je me couche sur le dos, écarte les jambes en attendant de savoir lequel des deux va venir me sucer. C’est Paul qui vient le premier: Jules s’occupe plutôt bien de ma poitrine. Je sens que Paul veut me faire ce que Jules m’a fait: il met sa langue sur mon anus, et la fait entrer dans le cul. Il me fait un bien fou: mon petit trou est rempli. Jules m’enjambe pour me donner sa bite à sucer. C’est la première fois et j’espère pas la dernière que j’ai leur deux membres en même temps. Je peux faire comprendre à Paul que j’ai besoin de sa pine dans le con. Il me la met comme j’aime. Enfin j’ai en moi deux sexe. Je les maintiens en érections le plus possible: j’ai surtout envie de tenter de me faire mettre par les deux un dans le con et l’autre dans le cul.
A cette époque on de parlait pas de double pénétration, on le faisait c’est tout.
C’est Paul qui s’est mis sur le dos, il voulait mon con. Jules a eu droit à mon petit trou. Paul et lui se sont relayés pour bien me mouiller le cul. C’est encore Paul, donc mon futur mari qui tenait mes fesses bien ouvertes. Jules a posé sa queue sur le cul. Doucement il est entré, je le sentais surtout quand son gland a passé la barrière de l’anus. Ensuite il est entré comme dans du beurre. Je sentais avec un double bonheur ces bites dans mon ventre qui allaient en venaient. Et surtout l’entente entre ces deux hommes qui prenaient ensemble leur plaisir de mon corps. Je me souviens avoir joui longuement.
Un peu plus tard je recevais de la part de Jules un cadeau rare qu’il portait d’Allemagne: un godemichet, encore à l’époque interdit de vente en France.
Je l’ai essayé avec mes deux hommes: je me suis baisée devant eux qui nus, se branlaient en me regardant me baiser. C’était la première fois que je les voyais se branler ensemble: il faut croire qu’ils aiment bien faire ça tous les deux: c’était devenu chose courante. J’était leur femme et ils se branlaient mutuellement.
Ils ne se sont jamais enculé, ils auraient pu, je ne les aurait pas empêché.
Nous habitons une villa bien située, entourées de hautes haies: personne ne peut voir ce qui se passe chez nous. Aussi il est courant que dès que nous le pouvons, les jours de congé nous sommes trois nudités. Les hommes souvent bandent: je les contente toujours sinon ils se contentent tous les deux. J’aime bien les vois faire: j’ai mon banc j’y suis assise pendant qu’il se touchent et moi, les jambes bien écartées je me baise avec mon gode.
Nous vivons ainsi depuis plus de 35 ans

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