Oui Maître.

15 h 30, la place Flagey est baignée par les rayons de ce beau soleil de septembre.
Assise a une terrasse je savoure un Grand Marnier.
Sur la table mon portable vibre, tiens un texto de celui que je souhaite avoir pour Maître.

"Sois dans 30min sur le palier de ton appartement.
Porte jarrettelle, bas et talons uniquement.
Un foulard sur les yeux.
Tu voulais un Maître, tu es ma chienne."

Oh mon dieu la pression monte, je pars en courant heureusement que je n'habite pas loin.
Douche et séchage de cheveux à la n'importe comment maquillage léger et une touche de parfum au creux de mes seins.
J'enfile mes bas je choisi les noirs avec la large bande de dentelle et la couture qui longe l'arriere de ma jambe.
Les talons en velours qu'Il m'a offert la semaine passée et un foulard noir.
Je referme la porte devant moi et m'agenouille face à elle en bandant mes yeux.
Quelques instants plu-tard j'entends la porte d'entrée du hall s'ouvrir. J'entends ses pas, mon coeur s'emballe.
Il monte les marches lentement et je tremble comme une feuille.
Je sais qu'il est près de moi j'entends sa respiration et son odeur s'approche de moi.
Il m'embrasse sur le front et me caresse les cheveux.

"Tu es une bonne bête."

Je l'entends ouvrir la porte. Il me dis d'entrer a quattre pattes et me guide en me tenant par les cheveux.
Il passe une main entre mes cuisses et instantanément je suis trempée.
Il me remet a genoux et pose son sexe contre mes lèvres.
Je le fais entrer lentement, fesant le tour de Son gland avec ma langue. Il est doux, chaud.. Sa main se remet sur ma tête et Il me force à gobé Son engin entièrement.
C'est brutal, j'ai du mal mais j'aime ca !

"Plus vite salope ! Tu vas me forcer à te punir"

J'ai envie de Le sucer, de Lui faire connaitre un plaisir qu'aucune autre n'aurait pu Lui procurer.

Mais je veux Sa punition, alors je m'applique moins.
La réaction ne tarde pas.

"Tu veux faire la maligne, tu vas voir ! Debout !"

Et joignant le geste a la parole, Il me relève par les cheveux et me jette face au lit.
Il m'écarte les jambes et les bras.

"Ne bouge pas !"

Je L'entends fouiller dans les tiroirs.
Il revient vers moi, il a trouvé mes foulards et m'attaches à chaque extremités du lit.
Le fouet s'est abattu sur les fesses nues aussi vite qu'un éclair et une larme coule dans le foulard qui me masque les yeux.
Deux
Trois
Quatre
Cinq
Il caresse ma peau toute boursouflée du bout des doigts.
Puis tendrement pose un baisé sur chaque fesse.
Il détache le bandeau, me regarde en prenant mon visage dans ses mains et me dis.
Tu es mienne et je t'aime.

J'ouvre les yeux, il fait noir. Le reveil indique 04:01
Je réalise que l'Homme que je souhaite voir devenir mon Maître dors à mes cotés et que tout ça n'etait qu'un rêve.