Ma Belle Soeur Attrapée!

Suite de ma rencontre avec Clarisse. (Voir épisodes précédents).

Voyant que je restais bloqué, elle me demanda qi tout allait bien, elle vint vers moi et me fixa. Dans ma tête, je revoyais tous les petits films. Elle me demanda ce que j’avais et je finis par lui répondre que j’étais mal à l’aise. Dans ma tête les idées n’étaient pas très claires. Ce que je faisais me donnait honte mais il y avait aussi mon excitation. Que faire ? Continuer ce jeu ? Tout arrêter ?
Elle m’invita à prendre un café pour en parler. Elle me dit que mon frère ne rentrera pas ce soir car il est en déplacement. J’acceptais son invitation. J’attendais sagement dans le salon pendant qu’elle était partie se changer. Elle avait laissé son portable sur le buffet. Immédiatement je le saisis et fouillais le contenu. Je consultais ses sms et constatais qu’elle échangeait des messages louches avec une certaine Stéphanie. Son dernier message disait : mon mari va finir par me pincer, vaudrait mieux qu’on arrête. Dans la boite de réception le dernier sms reçu disait, une dernière fois pour se dire adieu et ok. Je passerai ce soir.

Je remis immédiatement le téléphone à sa place avant qu’elle ne revienne. Elle me servi un café et commença à me dire qu’on devrait tout oublier et reprendre le cours normal de la vie comme si de rien n’était. J’étais sceptique après les messages que je venais de voir. J’osais lui demander si elle avait malgré tout pris du plaisir. Sa réponse allait dans mon sens. Elle acquiesça de la tête en rougissant, un peu honteuse j’imagine. Je n’étais pas très fier non plus je dois l’admettre.

Je finis mon café et lui dis que j’y réfléchirai sérieusement. Elle me rattrapa et me dit que ce n’est pas la réponse qu’elle espérait entendre. Elle me dit alors : « que veux-tu de plus ? Tu ne vas pas me dire que cette situation te convient ? T’as pas honte ? Ca suffit comme ça tu crois pas ? » Evidemment dans le fond elle avait raison, mais dans la forme, c’est une autre histoire.

Je lui répondis franchement le fond de ma pensée : « t’as sans doute raison mais je n’arrive pas oublier ces petites escapades. Comment oublier ? Tu sais t’y prendre comme une pro. J’aimerai tellement pouvoir revivre ça encore et encore ». Elle me répondit qu’elle ne voulait plus revivre ça, ne serait-ce qu’une fois. Même en rêve rajoute-elle. Cette phrase m’a terriblement vexé. Je l’avais mauvaise. Elle m’attirait grave, elle suçait divinement bien, j’étais excité comme un chameau, et elle me rejette. Vexé est encore faible. J’en voulais encore, je ne savais pas comment m’y prendre pour la convaincre.
Je l’ai supplié, menacé, rien, pas moyen de la faire changer d’avis. Elle me demanda ensuite de la laisser et me conseilla d’y réfléchir de mon côté. Tu parles, A cet instant précis, mon cerveau avait déjà laissé sa place à mes couilles. Alors elle me guida gentiment vers la porte de sortie. J’avançais malgré moi, je voulais la toucher, la caresser mais bizarrement je n’osais pas. Je l’avais pourtant déjà fais mais là, blocage total. Je dus partir malgré moi, malgré mon envie de la satisfaire, de me satisfaire. Je m’éloignais peu à peu de chez elle quand me revint en tête les messages. Je fis demi-tour et je décidais d’épier les mouvements près de chez eux. Je me suis tapi dans un coin d’ombre et j’attendais là tel un pervers attendant sa proie. Au bout d’une bonne heure, une voiture se gara devant chez elle et un homme en descendit, puis il sonna à sa porte. Elle l’invita à l’intérieure et referma la porte. Je m’étais approché doucement. Je regardais discrètement par la fenêtre et je les voyais prendre un verre comme 2 amis. Le temps s’écoulait, les minutes passaient, et ils continuaient de boire. Puis, Clarisse fit un signe à son « amant » et se dirigea dans la chambre. Le mec attendit un peu puis se leva et se dirigea vers la chambre également. Je rageais ; je ne voyais rien de ce qui s’y passait. Je fis le tour mais les volets étaient fermés. Je voulais voir, entendre, mais je n’y arrivais pas.


Aussi, je décidais de rentrer dans la demeure à l’aide de mon trousseau de clefs. J’essayais alors de faire le moins de bruit possible en espérant que ça ne s’entendrait pas. Je faisais tourner la clé millimètre par millimètre. Au bout d’un bon quart d’heure dirais-je, j’avais réussi. J’ouvrais la porte avec la plus grande discrétion possible. Le plus dur était maintenant de la refermer. Je ne vous raconte pas ces interminables minutes pour moi. Un véritable calvaire. J’étais excité au plus haut point que je ne pouvais l’être. Je finis par rentrer dans la demeure et je me dirigeais vers la chambre.

Je n’étais pas déçu du spectacle, elle le chevauchait magistralement en lui donnant des coups de reins très puissants. J’avais une vue imprenable sur ses fesses, son dos. Je n’avais qu’une envie, c’était de me précipiter pour la coucher sur ce mec et l’enfiler directement dans l’anus. Je profitais du spectacle qui m’était offert. Ils changèrent alors de position pour la levrette. La vue me plaisait moins du coup, je voyais les fesses du mec. Ce qui m’étonna quand même, c’est que je n’entendais pas beaucoup de cris de jouissance de Clarisse. La séance continuait ainsi jusqu’à ce que le mec se retire pour jouir sur les fesses rebondies de ma chère belle sœur. Il s’allongea à côté d’elle afin de reprendre son souffle.

Ensuite ils levèrent et se rhabillèrent. Ils se dirigeaient vers moi, j’allais être pris si je restais là. Je me cachais à toute vitesse dans le salon derrière le canapé. Je les entendais discuter. Il et elle se disait mutuellement que cette histoire était arrivé à sa fin. On sentait chez lui des remords et chez elle un soulagement. Il lui dit merci pour ce cadeau d’adieu et dirigeait vers la sortie. Elle lui répétait alors que tout était finit définitivement et qu’il ne devrait plus la contacter. Il lui répondit : « oui, j’ai compris, on a fait un écart tous les deux mais il est d’arrêter nos conneries ». Elle lui répondit merci et referma la porte à clé derrière lui.
J’entendais le bruit de la voiture s’éloigner et d’un coup je me révélais. Elle me regarda choquée, comme si elle venait de voir un fantôme. Elle me demandait ce que je faisais là. Je lui dis que j’avais assisté à toute la scène. J’étais en pétard mais excité comme un malade. Elle l’avait sentie et me dit de partir immédiatement. Et puis quoi encore lui répondais-je ? « Tu t’envoi encore en l’air avec mec et je ne devrais rien dire ? Tu rigoles j’espère ? Tu sais ce qui t’attend maintenant ? Tu vas gentiment exécuter mes ordres. Commence par enlever tout ce que tu portes sur toi. » Elle ne bougeait pas. Alors je la pris par la main et l’emmenait dans la salle de bain. Elle se laissait faire. Je la déshabillais d’une manière un peu rustre. J’ouvrais l’eau de la douche et je l’y mettais. Voyant qu’elle ne faisait toujours rien, j’y rentrais à mon tour et je commençais à la laver tout en lui disant que c’était pour nettoyer toute trace de ses ébats avec son amant. Je la lavais donc minutieusement mais je ne me rendais pas compte que j’y allais un peu fort dans mes propos et mes gestes surtout. Je m’arrêtais quand elle me dit que je lui faisais mal. Je lui dis alors que maintenant qu’elle est propre, elle pouvait s’occuper de mon malaise qui se trouvait plus bas. Tel un robot, elle se mit à genoux et me branla très vite. Il ne me fallut pas longtemps pour éjaculer. Je la laissais alors sortir et enfiler un peignoir. Une fois sorti, je lui dis : « A partir de maintenant tu devras m’obéir. Dès que j’aurai envie de toi, de tes charmes, tu devras me satisfaire. C’est bien compris ? Sache que j’ai gardé une copie de la vidéo de la dernière fois, tu croyais que je l’avais effacé mais non. Interdiction formelle de revoir ce pauvre type. C’est clair hurlais-je ? (Elle était tétanisée) Je te dirai ensuite la suite des évènements. » Elle fit un timide oui puis alla s’assoir sur son lit. Elle attendait certainement que je parte pour respirer. Je la rejoignis dans sa chambre, j’ouvrais son peignoir et je lui caressais ses deux seins si fermes, si bon.
Il était tard et je devais rentrer mais je voulais en profiter encore un peu. Je baissais alors mon pantalon et lui présentait mon sexe devant son visage. Elle me regarda, m’implora du regard mais je ne bougeais pas. Alors elle fit ce que j’attendais d’elle. Elle me prodigua une fois encore une fellation digne d’elle. Elle m’excita tellement que j’éjaculais encore assez rapidement sur ses deux obus. Elle ne semblait pas avoir pris du plaisir mais je m’en fichais complètement. Je me rhabillais et lui dis que je partais. Je ne savais pas dans quelle situation je m’étais mis à l’époque. En fait, ça ne faisait que commencer, la suite pour bientôt si vos commentaires m’encouragent à continuer. En vous racontant mon histoire, je revis ces magnifiques scènes torrides et je souhaite vous les partager.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!