En Ballade Avec Ma Bru
Après lavoir posée chez ses parents, je me paye les 3 jours de boulot et réunions et arrive le jeudi soir tard pour récupérer Nathalie chez eux. Comme il est tard, on me propose gentiment de dormir là. Ma foi. Petit coup de fil chez moi et cest ok.
Au cours de la soirée, je me souviens de cette journée ou nous avons fait connaissance de la « belle-famille ». Lui, quelconque (non, sérieux, quelconque
) et Elle, assez mignonne pour avoir donné naissance à la belle salope que je saute allègrement
mais timide
et réservée
la journée commencée au barbecue avait fini en boite entre « beaux-parents », les jeunes nous ayant faussé compagnie.
Et je me souviens de ce slow, arrivant en fin de soirée. Je dansais avec Lydie, et javais pas mal bu (on avait tous bu
). Lumière presquabsente, javais osé lui faire sentir mon envie et la raideur de mon sexe. Au fur et à mesure, je la serrai plus fort et mes propos étaient de plus en plus hardis, elle nosait me repousser, javais bien vu que je ne lui déplaisais pas mais elle résistait à lenvie que je sentais poindre en elle. Un jeu pour moi, que je nimaginais pas gagner
Ma bouche qui sapproche de la sienne dans un moment ou nous étions un peu plus cachés encore et sa bouche qui souvre, scellant ma victoire
A peine une esquisse de ma part contre cette bouche abandonnée et je redeviens le joli-papa parfait
Un mot pour justifier le retour aux « normes »
Et le mari soulagé de me voir lui rendre son épouse modèle.
Et là
je suis sous leur toit
Alors je fantasme
Je parviens à échanger quelques mots en aparté avec ma petite garce adorée :
-tu ne peux pas tabsenter une heure avec ton père ? aller voir les grand-parents par exemple ?
- ah ah !!! tu veux essayer avec maman ? mais maman est une sainte ! mon pauvre ! tu veux prendre un bide ? ok ! je te donne loccasion ! mais tu me promets de tout me dire !!!
-promis, juré !!!
Nathalie embobine son papounet et après le repas, les voila partis pour un bon moment
A moi de jouer
Je rejoins Lydie dans la cuisine, elle fait la vaisselle contre lévier
Je suis contre elle, la bloquant contre le meuble, et lui murmurant que le temps fut long avant de la retrouver enfin
-Mais arrête, nous somme mariés
-Jai bien vu ton envie ce soir là
-mais nos s vont
- se marier ? et alors ? Et puis nous regretterons toute notre vie sinon.
Tout en susurrant des mots doux, mes petits baisers dans son cou se font tendre, ma queue (celle là, jamais discrète !!) lui prouve létendue de mon désir
Il faut dire que la frèle étoffe ne cache pas grand-chose des formes parfaites de Lydie. Elle na pas un gramme de graisse, elle a une allure de jeune fille et je suis sur quen ballade avec sa pourtant superbe fille, les hommes doivent regarder les deux culs en se retournant !!!
Son silence me laisse augurer dune fin heureuse, mes mains sont sur ses seins, caressent et jaugent leur forme, sa tête rejetée en arrière, ma bouche peut profiter de son cou, mes mains sont passées sous la robe, ses têtons sont sous mes doigts, sa chair est chaude, souple, Lydie est parfaite. Mes mains glissent en bas de sa robe, la remontent jusquà la taille, je suis à genoux, derrière elle, elle na pas bougé, mes mains caressent lintérieur de ses cuisses, elle retient la robe et je peux descendre le string à ses pieds. Puis écarte fermement les deux gambettes
Et ma langue plonger vers ce trésor dévoilé.
Lydie pousse un cri rauque et fait saillir sa croupe, je peux me régaler de sa cyprine, la femme modèle ondule, fléchit de temps à autre les genoux, souvrant ainsi davantage à mes caresses osées. Jai le plaisir de voir une femme se lacher de plus en plus pour finir en apothéose dans un cri de bonheur
Je me relève, la saisis dans mes bras, elle me regarde, tendre et confiante
abandonnée. Je lemmène dans sa chambre, je veux la prendre dans le lit conjugal ! Ma bouche est à nouveau en elle, ses jambes souvrent tout grand, appelant ma langue à la faire jouir encore et encore
Et je ne lui compte pas mon énergie, elle est transportée dans un torrent de plaisir
La queue que je finis par lui présenter est avalée avec voracité, elle veut me rendre le bonheur que je lui ai donné, me suce, me pompe, me lèche
je sens sourdre les prémices dun plaisir que je veux réserver à sa chatte
-doucement ma belle, je veux te prendre maintenant
là.
-oui, viens, prends moi, sur ce lit ou je ne jouis jamais, je me rappellerai toujours de ce moment
Je lenfile dun coup, je la prends sauvagement, elle me serre contre elle, magrippe de ses jambes enlacées
Mes coups de boutoir la transperce longuement, elle jouit encore et toujours, et je viens dans un fracas de clapotis lui donner ma liqueur en jets brulants.
Je voudrais la posséder encore, prendre son petit derrière aussi, mais ce soir, ce serait folie
on sembrasse passionnément, on refait le lit en aérant
on se douche
et chacun va se coucher sagement.
Je ne bouge pas un il au retour de papa et sa fillette
Le lendemain matin, des au-revoir très amicaux, et jembarque Nathalie
A sa question je ne réponds que par le petit morceau de tissu imprégné de si charmantes effluves que jai emmené avec moi
le string de sa mère encore plein de notre amour est là, entre ses mains
-salaud ! tu as osé baiser ma mère ? et moi ? tu as pensé à moi ?!!! je te hais !!!
-dis voir, cest bien toi qui a emmené ton père ?
-oh ça va !!
Jai droit à quelques dizaines de minutes de silence renfrogné
et puis
-cétait mieux quavec moi ?
-ma chérie !! bien sur que non ! je vais te montrer, on sarrête ?
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!