Nuit De Janvier - Chienne
Il est tard, le couvre feu est effectif depuis déjà deux heures, mais je tai demandé de mattendre à ce numéro, dans cette rue près de chez moi, pour des préliminaires sous un froid hivernal.
Nous ne nous sommes pas vus depuis deux mois. Jai voulu te faire une belle surprise, jai pris un malin plaisir à limaginer. Imaginer se dresser ta belle queue, qui nappartient quà moi, une fois que je peux la saisir bien en bouche.
Je tai donné rendez-vous et demandé de mattendre à ce numéro devant la porte, et de ne te retourner sous aucun prétexte, même à mon arrivée. Je ne tai précisé quune chose : ce qui se passera ce soir nimpliquera que nous deux.
Tu viens de menvoyer le texto disant que tu es arrivé. Je tattendais dans une rue perpendiculaire. Je te vois de dos, la rue est déserte. Je viens vers toi à pas lent, me glisse dans le noir, tu restes immobile suivant mes consignes.
Arrivée derrière toi, je me place prêt de ton oreille, mon visage collé à tes cheveux, pour prendre ton emprunte, ton odeur, te demander avec ironie si tu vas bien. Ta réponse est laconique, tu attends, cest très bien. Je déroule de mon cou une écharpe et viens la placer sur tes yeux. Une fois bien attachée, je prends ton visage entre mes mains et te demande si tu me vois. Tu me réponds que non, mais pour men assurer je recule dun pas et adopte une positon obscène en pleine rue pour juger de ta réaction. Zéro. Tu es simplement là, le visage légèrement relevé, attentif pour capter déventuels sons et moi
jai une attitude de vraie salope.
Je prends ta main, et nous commençons à avancer, je sens tes pas hésitants, dautant que tu nas pas lhabitude de perdre le contrôle, de te livrer à ce genre de jeux. Au fond, je ten suis reconnaissante, je veux tapaiser. Je prends les choses avec légèreté, main dans la main nous avançons, et je fais balancer nos bras comme si nous étions s. Tu frôles un rétroviseur de voiture que tu manques de te prendre dans la hanche, tu as eu peur, pour si peu, mais nous rigolons tous deux.
Nous continuons, marchons au hasard des petites rues de ce quartier ancien. Je sens tes pas moins hésitants et ta confiance grandir.
- « Tu sais il y a une petite ruelle devant laquelle je passe presque tous les jours, je ne sais pas combien de fois jai imaginé que tu me prenais là ?
Elle sy prêterait si bien ! Une ruelle pour les petites chienne comme moi qui rêvent de se faire prendre dans la rue
Taimerais me prendre dans la rue ? »
Je parle normalement, jaimerais que tu imagines quun passant puisse mentendre dire cela.
- « Oh oui jaimerais » réponds tu à voix basse.
Nous continuons de marcher, main dans la main.
- « Viens on va sasseoir sur ce banc pour une petite pause. La rue nest pas très passante, mais jespère quon ne va pas de se faire contrôler par les flics.
Franchement je ne pense pas être contaminée, même si jai la sensation dêtre beaucoup plus chaude depuis le début de laprès midi
Je sais que je vais te voir alors... »
Je miaule comme une chatte en chaleur, je me frotte à lui et pose ma main sur son jean.
« Tu pourrais prendre ma température entre mes cuisses comme je ne porte rien sous ma robe. Tu pourrais caresser ma chatte et me dire ce que ten penses ? »
Jattends, et laisse sa main venir à moi, se poser sur ma cuisse pour soulever ma robe jusquà mes mes bas.
- «intéressant
tas pas peur davoir froid ? » dit-il
Il écarte mes cuisses, il me sait ouverte sur ce banc, il remonte sa main, à peine arriver à lentre-jambe, je la retire.
- « Attend ! plus tard. Je ne suis pas sûre dêtre vraiment prête et ya un mec qui vient de passer dans la rue den face ! »
Il na pas lair très inquiété par ce que je lui dis et tente de reprendre son exploration.
« NON !! Tas pas lair de savoir suivre les consignes quon te donne ! Je ne vais rien pouvoir faire de toi si tu ne sais pas obéir !»
Jinsère deux doigts dans sa bouche.
« Tu vois ces doigts ? Tu vas bien les lécher et cest MOI qui vais les introduire dans ma chatte. Si tu es sage je te les ferai goûter... Je veux voir de la mouille ton visage. »
Je le caresse, puis ma main descend rapidement jusquà ma chatte, jinsère mes doigts bien au fond, les fais bouger tout en laissant échapper quelques gémissements, pour quils parviennent à ses oreilles, lui a toujours les yeux bandés.
Il est si beau dans la nuit froide.
Je sors et me caresse pour que ma main soit bien humide et chaude, imprégnée, et doucement je mapproche de son visage, deux doigts vers sa bouche. Il ne voit pas, mais sent ce quil faut faire, et att mes doigts et les lèche docilement. Ma main se perd sur visage, et le fait de le souiller avec ma mouille mexcite beaucoup.
Je lembrasse à nouveau. Il en profite alors pour descendre et saisir mes fesses. Ses doigts sintroduisent rapidement dans mes deux orifices, ce qui me surprend. Moi même je le touche à travers son jean et je sens sa bite bien dure, bien droite.
- « Taimes ça ? », « Tu la veux ? » dit-il
- « oui ...» je soupire. il me connaît. Il sait comment je suis habituellement, comme je sais bien me soumettre, il essaie de retourner la situation. Jen profite encore un instant, cest si bon, il me sent chienne, et ses doigts en moi
pourraient me faire fléchir
mais Il ne faut pas !
Soudainement je retire sa main, me recule, et prends une demi seconde pour réfléchir et retrouver mes esprits. Ce qui me vient en premier, cest le saisir par lécharpe qui pend derrière sa nuque, et serrer fort autour de son cou pour le maintenir, et quil comprenne !
- « Tes content ! Tu fais nimporte quoi ! Tes comme un animal, tu sais pas te tenir !Tu voudrais me baiser en pleine rue sur un banc cest ça! Et si tu donnes envie à un passant ! à quelquun qui nous regarde à sa fenêtre ! Tu crois que tes le seul à vouloir de mon cul ?
- « Non, je ne pense pas »
Silence.
-« Tu vas venir avec moi et me baiser dans cette ruelle .»
Je le prends énergiquement par la main et nous avançons jusquà cette fameuse ruelle, qui est en fait un passage voûté. Je le colle au mur, et je lembrasse vigoureusement.
- « Voilà, nous y sommes, maintenant, fais de moi ta petite chienne, ta petite pute des rues, tu sais comme jaime ta queue de toute façon ! ».
Après avoir fourré sa langue dans ma bouche, il trouve le chemin jusquà ma chatte et enfonce ses doigts en moi, il me soulève presque, comme pour me punir de les avoir si soudainement retirés tout à lheure. Je maccroche à lui comme une moule à son rocher, et il me plaque contre le mur den face.
- « jen peux plus de tes manières, tu mas prise pour ton jouet ! tes contente de toi ! Je vais pas te fesser là, mais quand on sera chez toi, tu vas sentir mes mains sur tes fesses, tu vas bien couiner
tu couines déjà en fait, comme une petite sss
putain, qui veut ma bite »
Je suis à la fois livide et excitée, lécharpe à glisser de ses yeux, nos fronts sont collés lun à lautre. Il lit dans mes yeux la peur de crier trop fort à cause de ses doigts quils sagitent toujours en moi. Je sens toute sa tension, sa colère presque, tout ce que ce jeu à fait monter en lui et qui doit redescendre.
Il sarrête, lèche mon visage, mes lèvres, il place ses mains autour de mon cou mais ne serre pas. Ce nest pas la peine, mon regard lui appartient à cet instant, il y lit ce dont il a besoin, cest tout ce qui importe. Nous sommes toujours collés lun à lautre, dans une lutte entre désir et violence.
Il me retourne, baisse un peu son pantalon, me prend rapidement, enfonce son sexe, il fait froid, nous savons que ce nest pas lidéal pour une bonne baise comme on les aime. Raison de plus pour me punir de lavoir traîner là, de lavoir poussé dans ses retranchements, obligé de me baiser, obliger de me la mettre bien profond. Ca ne dure que quelques minutes, on en profite à fond !
Nous redescendons tous les deux, et nous serrons lun contre lautre, il se rhabille vaguement et allons jusquà chez moi.
On passe une première porte, elle se referme, il fait encore noir dans le couloir et nous nallumons pas la lumière. Sécurité retrouvée, chaleur, nous sommes saisit, et une effusion de tendresse sempare de nous. On a en besoin. Lambiance se réchauffe et je sens sa main jouer de plus en plus avec mes cheveux. Elle finit par sy enrouler complètement, il me tient, je le suis dans le couloir.
Nous savons quà notre arrivée dans mon appartement, je naurai quà me mettre à genoux.
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