Bertie

Depuis ce matin j’ai envie de jouir. Je me suis branlée, j’ai joui, pas comme j’aurai voulu. Heureusement que ma cousine Bertie est en vacance à la maison. Elle me l’a dit hier, elle a de gros besoins sexuels: elle n’est pas nymphomane, enfin pas tout à fait. Sa vie de résume en deux mots: BAISER TOUJOURS. J’ai envie d’aller lui demander de me branler, pourquoi pas, si elle aime baiser et jouir, je peux le lui rendre. Seulement voilà, je n’ose pas lui demander une chose pareille. S’il y avait un garçon à l’horizon, je pourrait trouver une bite.
Tant pis je reste avec mes envies dans le bas ventre qui se crispe. Nous devons aller faire des courses en ville. En voiture je lui dit mes besoins. Elle en rirais presque. J’espère trouver quelqu’un, un homme petit ou grand, je m’en fous: du moment qu’il a de quoi baiser je suis preneuse. Bertie se moque de moi. Si je veux elle peut me faire jouir comme avec un homme: elle a un godemiché dont elle se sert souvent pour passer les moment de vide.
Pour appuyer ses propos, elle pose une main sur mon genou au point que je saute une vitesse de surprise. Elle me caresse la cuisse en montant toujours plus haut. Elle exacerbe mes nerfs: j’ai encore plus besoin de jouir. Elle ne s’arrête pas, elle monte toujours lentement: je mouille comme rarement. C’est bien la première fois qu’un fille me fait cet effet.
Elle sait ne pas aller trop loin. Quand nous arrivons chez moi, elle n’est pas arrivée à mon string. Nous rangeons les courses dans le frigo. Ce n’est qu’ensuite qu’elle me met directement une main sur les fesses. Enfin elle se décide à agir.
La suite est une première pour moi, pour elle non, je suis sa cinquième amante, elle sait comment faire avec les filles. Elle s’approche de moi, m’embrasse sur la bouche, sa langue vient vite à la rencontre de la mienne. C’est bon de se faire embrasser par une autre. Elle en profite pour défaire le nœud qui tenait mon bustier. Je me trouve torse nu, mes seins qui enflent de désir.

Bertie trouve la ceinture du jean, la défait, ouvre la fermeture et fait descendre et le jean et le string.
Elle me fait tourner sur moi-même:
- Tu es drôlement sexy, j’ai envie de toi.
- Qu’est ce que te va me faire ?
- Tout ce que je ferai sera pour notre plaisir à toutes les deux.
Du coup j’attend tout et n’importe quoi du moment qu’elle me fasse jouir. Un temps d’attente pendant qu’elle se déshabille. Elle vient enfin contre moi, nos seins se touchent et se caressent, nos pubis rasés participent à la fête. Ses mains me caressent le dos, le griffent même un peu. Je ne lui tiens que les épaules: une main repart vers mes fesses, je sens bien son doigt qui passe entre elles at va se ficher sur mon anus. Il y a longtemps que je n’ai pas eu quelque chose à cet endroit, et pourtant j’aime y avoir une bonne bite. Elle rentre une phalange, j’ouvre mon cul. Elle fait aller et venir son doigt dans mon ventre. Que c’est bon d’avoir ce doigt dans cet endroit sensible (j’ai une pensée pour les filles qui refuse de se faire sodomiser, les pauvres qui ratent là un bon moyen d’orgasmes inoubliables).
Finalement je me laisse faire, c’est elle qui m’ a proposée de me donner du plaisir.
Sa bouche oublie la mienne pour embrasser mes seins. Elle les tête comme un bébé, elle tire sur les pointes. Je sens mes seins durcir quand elle me mordille. Je n’avais pas encore connu le paradis: elle s’accroupit, sa bouche vient sur ma chatte, sa lange cherche un peu le clitoris; Elle l’aspire pour qu’il aille dans sa bouche: c’est sa langue qui le lèche maintenant: si elle continue je vais jouir en tombant dans les pommes. Elle cesse pour changer: nous devons nous aimer ensemble.
Nous allons nous coucher dans sa chambre: toujours nues, maintenant nous nous caressons sans cesse.
Son plus loin à elle, c’est nous mettre en tête bèche, en 69 pur être précis. J’aime cette position en ayant une bite dans la bouche, mais là, pouah, un chatte pleine de mouille……Elle se met sur moi, son sexe est à toucher ma bouche, la sienne est déjà dans ma chatte. Sa langue s’insinue partout, surtout dans mon puits. Elle y ait pas mal de dégâts: je ne sais comment elle a fait, elle a trouvé mon point sensible, je pars en peu de minutes. Elle n’arrête pas une seule seconde. Je jouis me semble-t-il d’un seul long orgasme.
Je me décide à la lécher, je commence sans trop de réalisme à passer ma langue: j’arrive à la faire jouir.
C’est simple nous baisons presque toute le journée, jusqu’au retour de mes parents.
La nuit est courte avec nos embrassades et nos masturbations. Nous sommes totalement vidées. Demain nous recommencerons.