Mon Gendre 1

Jean est parti pour plusieurs jours et je me sens seule car je ne travaille que dans 4 jours. Sans lui en avoir parlé, je prends la décision de me rendre chez son fils Jonathan, marié à une charmante beur, Lindsey. Honnêtement je dois avouer que j’ai surtout envie de le retrouver, lui qui le jour de l’an m’a tant fait jouir.
Soirée très arrosée et Lindsey a dû aller se coucher, malade en raison de l’alcool, ce qui n’est pas habituel car elle ne boit pas ; le résultat, pour attendre minuit, nous continuons la soirée, Jean, mon homme, Jonathan, mon gendre et moi ; tous les deux assis sur le canapé, tout en discutant, Jean pose sa main sur ma cuisse, faisant ainsi remonter le fin voile ; si cela ne découvre pas grand-chose, il est évident que Jonathan a le regard fixé sur mes cuisses. Mon excitation m’entraine à entrouvrir mes jambes, dévoilant très certainement le haut de mon entre jambes et peut-être plus. Le contact de cette main qui remonte parfois un peu plus haut commence à donner une douce chaleur dans mon ventre, et peut être plus car je n’ai pas de slip, pour faire plaisir à jean, qui aime me savoir en petite coquine.
Quand il se lève pour me faire danser, ce sont des slows, je me love dans ses bras, alors que lui me caresse les fesses, passant même ses mains sous ma robe ; j’essaie maladroitement de le repousser mais rien n’y fait. Au slow suivant, il se retire et me dépose dans les bras de Jonathan, qui ne sachant plus trop quoi faire devant ce qu’il vient de voir, m’enlace, puis petit à petit je sens son chibre tendu s’appuyer sur mon ventre. Une puis deux danses, mon ventre commence à avoir des envies ; je ne me refuse plus à son contact, le laissant se frotter contre moi, comprenant que Jean a des idées dans la tête.
En effet quelques pas, plutôt de surplace plus tard, il vient se coller derrière moi, me faisant sentir à son tour son chibre tendu ; quand ses mains viennent sur ma poitrine, une décharge me traverse corps : je sais que je vais m’offrir à ces deux hommes ; une bouche vient se poser sur mes lèvres : c’est celle de Jonathan et sa langue essaie de se frayer un passage entre mes lèvres qui lentement s’ouvrent, lui laissant la possibilité de fourailler avec la mienne.


Profitant de ce baiser, qui rapidement devient fougueux, Jean fait glisser les bretelles de ma robe qui s’étale à mes pieds, Je suis totalement nue devant eux car je n’avais pas mis non plus de soutien-gorge. Si jean lui reste stoïque, Jonathan par contre lui me découvre, jean me faisant pivoter, lui permettant de lui faire découvrir l’envers de mon corps. Ma chatte est humide mais je ne bronche pas, toute à mes envies qu’ils profitent de moi.
Me prenant par la main, Jean m’allonge sur le canapé, me couvrant le visage d’un foulard et m’écartant les cuisses ,il lui dévoile mon intimité d’où commence à suinter ma cyprine ; si je ne vois plus les deux hommes ,très vite je sens des mains sur mes seins et mon ventre sans savoir à qui elles appartiennent ; deux doigts me dégagent mon petit bouton pour jouer avec lui ,le sortant de son petit capuchon avec pour résultat une première jouissance, douce mais annonciatrice d’un plus grand plaisir ; quand deux doigts s’infiltrent dans ma chatte, sans difficulté tant je suis mouillée, je me cambre avançant ainsi mon ventre à la recherche d’une plus profonde pénétration.
je comprends vite que c’est Jean qui me fouille car il essaie de me fister, ses doigts s’enroulant pour mieux glisser entre les lèvres écartelées ; ma mouille lui favorise le passage et bientôt son poignet franchit le col ; ses doigts viennent jouer dans mon antre , percutant non seulement le fond de ma matrice, mais aussi mon point sensible qu’il trouve à chaque fois ; mes gémissements sont bloqués par un chibre qui vient de s’investir dans ma bouche ; je le gobe, me retire pour lécher ce gland encore inconnu, revêtu de liquide pré séminal ; je sais que ce n’est pas celui de mon homme, mais j’ai envie de le découvrir et retirant le foulard, je fixe Jonathan, avant d’avaler son dard, assez long pour venir frapper le fond de ma gorge. Mon envie est trop grande :
« Je vous veux en moi, baisez-moi, j’ai envie que vous me fassiez jouir »
Ma demande est vite exaucée, car retirant sa main de ma chatte, il m’offre à son gendre
« À toi l’honneur, je te l’offre ; elle en a manifestement très envie ; j’ai envie de l’entendre jouir sous tes assauts »
Se positionnant entre mes jambes maintenues écartées par jean, il frotte son gland contre mon bouton qui depuis longtemps a quitté sa cachette, m’excitant ainsi encore plus ; je me cambre à la recherche de cette tige longue, assez fine, avec un gros gland décalotté.
D’une poussée, il satisfait mes envies ; sa queue s’enfonce totalement dans ma matrice, venant aussitôt en percuter le fond ; sous la rapidité et la force de cette pénétration, ma bouche s’ouvre à la recherche de l’air, car sa saillie m’a coupée le souffle
Alors que jean me triture les tétons , ce qui déclenche à chaque fois un peu plus de plaisir, Jonathan , accroché à mes hanches, me défonce ; sa tige me percute , me défonce ;ses couilles venant frapper contre mon fessier ; c’est un bon baiseur et il ne lui faut pas longtemps pour me faire jouir, tant sa queue me perfore ; soudain elle éclate , violente, sonore , Jean m’embrasse pour en atténuer la puissance :il vient de se vider en moi et ses jets, puissants, nombreux me remplissent la grotte, ce que j’aime particulièrement.
Jean a vite pris la place, me possédant facilement tant ma vulve est dilatée et pleine de semence ; si sa pénétration n’a pas duré longtemps , mon plaisir est quand même au rendez-vous. Lorsque je ne redresse, leurs semences s’écoulent sur mes cuisses les maculant de trainées révélatrices de la quantité de sperme déversée dans ma caverne ; Jonathan me rallonge et sa langue vient me lécher mon minou, lapant leurs semences, me broutant en même temps mon petit clito. Sa langue est vive, puissante entre mes petites lèvres ; si jean me donne son sexe englué à sucer, lui par son cunni, me fait à nouveau jouir, provoquant un jet de cyprine qui lui recouvre le visage.
Finalement les douze coups de minuit étaient largement passés ; nous embrassant, nos langues se mêlant fougueusement, nous sommes montés nous coucher si l’on peut dire sagement. Jean m’a alors avoué que cela faisait longtemps qu’il en avait envie, le coquin.
Je suis resté au lit tard le matin, me remémorant la soirée, me caressant doucement, retrouvant et appréciant ces moments un peu spéciaux, il faut le reconnaitre ; alors que j’allais me lever, la porte s’est ouverte et Jonathan est apparu, à peine vêtu d’un short déjà tendu, m’apportant le café :
« Jean m’a demandé de t’apporter le café et il est parti avec Lindsey cherchez des huitres »
Finalement le café a refroidi car retirant le drap, il a pu découvrir ma main que je n’avais pas retiré de ma chatte et quittant son short, il m’a chevauché, m’embrochant puissament, me pourfendant tout en m’embrassant ; son assaut a vite eu son résultat, pour lui une éjaculation et pour moi une nouvelle jouissance dans ses bras.
Je prenais de plus en plus de plaisir à lui appartenir.
A chaque fois que cela était possible, il m’entourait de ses bras, me faisant sentir la bosse entre ses jambes, profitant de tous les moments, dans m’importe quel endroit et m’importe quelle position et me faire jouir pour s’enfoncer en moi ; ces fécondations un peu sauvages me laissaient longtemps alanguies de plaisir, pour le plus grand bonheur de Jean a qui je racontais toujours les joutes avec son gendre. Parfois avec un peu de réticence en raison de la présence plus ou moins loin de Lindsey, mais toujours avec un grand bonheur, je me suis laissée prendre, selon ses envies, mais surtout avec une grande envie de le retrouver.
Je dois reconnaitre qu’à son départ, un grand vite s’est ressenti dans mon ventre ; je ne l’aimais pas, j’étais simplement devenue accroc à ses pénétrations et Jean le savait

Quelques temps plus tard, il m’ annoncé avoir raconté à sa femme nos relations et qu’après un moment de silence, elle l’a embrassé ; finalement j’ai compris qu’ils étaient eux aussi libertins.
C’est avec le ventre en feu que j’arrivais chez eux.

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