Naîve
Dix neuf ans, pas moche, bien foutue, mais tellement naïve que jen ai honte.
Il est beau. Un vrai prince charmant avec le sourire qui va avec. Beau parleur, je bois ses paroles et bien sur je crois tout ce quil me dit.
- Chérie, je suis désolé, mais je dois travailler toute la nuit.
- Hoo ! Mon pauvre chéri ! Bon courage !
- Chérie, je dois partir huit jours en formation.
- Hoo ! Mon pauvre chéri, jespère que je ne te manquerais pas de trop ! Moi, je vais me morfondre !
- Chérie, je suis de garde ce soir.
- Bon ! Jirais seule au cinéma.
Pauvre idiote que je suis.
Cest son oncle Fernand qui, hier, ma ouvert les yeux.
- Mais cesse de croire ce petit con de Michel ! Il te mène en bateau ! Ce nest pas parce que cest mon neveu que ce nest pas une petite ordure ! Ca fait combien de temps que tu fréquente ce crétin ? Hein ? Deux ? Trois ans ? Et bien je vais surement te faire de la peine, mais ca fait trois ans que tu es cocue et recocue ma jolie ! Des preuves ? Tu veux des preuves ? Ok ! Ou est-il en ce moment ? Au boulot ? En déplacement ? Mon cul oui ! Viens avec moi !
Il ma agrippé par lavant bras et ma poussé dans sa voiture.
Sans un mot, nous avons roulé une heure, avant de nous arrêter devant une boite de nuit.
LA MAIN DOUCE
- Cest une boite échangiste. Cest MA boite échangiste. Et oui ! Qui na pas ses petits secrets de nos jours ?
Je naurais jamais imaginé loncle Fernand, patron de boite coquine. Ca ma fait tout drôle.
Cest un type simple, de soixante sept ans. Veuf, il vit dans un petit studio sans prétention. Pour moi, cétait un homme simple, retraité, sans histoire et très gentil. Je nai jamais cherché à en savoir plus.
Je laime beaucoup et ca me suffit.
Ho bien sur, jai souvent remarqué quil me reluquait parfois de façon étrange, surtout lorsque je porte des jupes un peu courtes. Mais tout ceci nest pas bien grave.
- Salut Ben ! Michel est là ?
Larmoire à glace qui se dressait devant la porte, lui répondit de sa voix grave.
- Oui patron ! Ca fait déjà deux bonnes heures. Il boit comme un trou, jespère quil ne fera pas de scandale comme la dernière fois.
- Tinquiète pas, sil en fait tu le fou dehors et tu linterdit de séjour. Ok ?
- Bien patron.
Tandis quoncle Fernand poussait la porte de la boite, mes jambes se sont mises à trembler et je ne pouvais plus bouger.
- Alors, Virginie ! Tu viens ?
- Heu
non ! Cest inutile ! Ce nest pas mon Michel ! Il nest pas là, il est au bureau !
- Hummm ! Cesse de ménerver, et ramène tes fesses ici et plus vite que ca !
Il ma fait sursauter. Jusquici je ne lavais jamais vu énervé.
Les larmes aux yeux, je lai rejoint et nous sommes entrés.
Apres un petit couloir, juste éclairé par des néons mauves, nous avons débouchés sur une espèce de balcon qui surplombait une grande pièce à léclairage tamisé, trois mètres plus bas.
Cétait comme un grand salon géant, très moderne, orné de banquettes en similicuir rouge, dun petit bar et de tables basses éparpillées un peut partout.
Des couples et des hommes seuls déambulaient, plus ou moins habillés, sembrassant, dansant, se câlinant ou forniquant un peu partout. Bref ! Cétait une grande partouze géante et apparemment sans tabou.
- Là ! Regarde !
Du doigt, il mindiqua un fauteuil dans la pénombre dun recoin de la salle.
Michel, nu, y était confortablement installé. Une femme mure dune cinquantaine dannées, également nue, était assise sur ses genoux et lui dévorait la bouche. Il faisait courir ses mains sur ce corps marqué par la vie et les accouchements, et semblait en retirer un plaisir énorme, au vu de son dard dressé entre les cuisses de la dame.
Jai senti mon cur se serrer et des larmes gonfler sous mes paupières.
Je suis sortie de la boite en courant et je me suis refugiée dans la voiture doncle Fernand, effondrée par ce que je venais de voir.
- Je ne pouvais plus le laisser se foutre de toi, comme ca. Je suis désolé de tavoir fait de la peine, mais cétait un mal nécessaire. Je taime beaucoup Virginie. Je veux te protéger des requins qui pourraient profiter de ta gentillesse et entre autre de ce salop de Michel.
Il me prit dans ses bras et jai pleuré sur son épaule pendant au moins une heure. Il caressait mes cheveux, cherchait à apaiser ma peine en me donnant de petits bisous.
- Chuttt. Calme-toi. Ca va aller ma jolie. Ca va aller.
- Vous pouvez mhéberger quelques jours ? Aidez-moi à récupérer mes affaires chez lui. Vous voulez bien ?
Jai jeté un dernier coup dil à lappartement de Michel et jai déposé mon double de clefs sur la table basse, près dun petit mot griffonné à la hâte.
« Je sais tout. Tu ne cesse de me mentir. Je suis très déçue. Je ne veux plus te revoir. Ne me cherche pas. Virginie. »
Mes parents nous ont quittés dans un accident de voiture, il y a tout juste un an.
Je nai plus de famille. Alors, lorsque Michel ma présenté son oncle, je me suis prise daffection pour ce vieux bonhomme et cest comme ci cétait mon véritable tonton.
Je nai plus que lui. Mon oncle Fernand.
Cest un brave homme, plein dattention. Il cuisine comme un dieu et je dois faire attention pour ne pas devenir énorme comme une baleine. Il ma fait de la place dans son placard ainsi que dans la salle de bain. Et pour finir, malgré mes protestations énergiques, je monopolise son lit.
- Je nai pas dheure. Je vais te réveiller sans arrêt. Tu seras mieux. Tu sais, mon canapé et moi on se connait bien et on saime beaucoup.
Cest ainsi que je me retrouve vivant avec mon tonton dadoption, dans ce tout petit appartement.
Encore étudiante, je nai pas trop le choix.
Le dimanche, jai droit à mon petit déjeuner au lit. Il tapote à ma porte et vient déposer un plateau bien garni sur mes jambes. Il sassied sur le lit et il me regarde manger.
Cest un moment privilégié.
Nous sommes début juillet. Enfin des vacances.
Fernand ma proposé de moffrir un séjour au bord de la mer.
- Tu es toute pâlichonne. Je te verrais bien avec une peau bronzée comme du pain dépice. Tu serais à croquer !
Jai refusé. Pas question de profiter de sa bonté.
- Alors, pour compenser, ce sera un plateau tout les matins !
Et il tient parole.
Chaque matin mes croissants, mon chocolat et mon jus doranges me sont servit au lit.
Il est heureux que je sois là. Ca se voit. Et ce matin, je ne sais pas pourquoi, jai ressenti le besoin de lui dire.
- Oui, bien sur ! Tu sais depuis le décès de mon épouse, je ne reçois pas grand monde. En plus un peu de jeunesse dans ma vie, ne peut pas me nuire. Non ?
- Tant que je ne vous dérange pas
Mais pour vous remercier, je suis prête à vous rendre nimporte quel service. Surtout nhésitez pas à me demander. Jai tellement envie de vous faire plaisir. Je le peux, non ?
Il prend mon plateau et le dépose sur une chaise toute proche.
Machinalement, je remonte un peu le drap sur mon ventre. Pur reflexe.
Il plonge ses yeux clairs dans les miens et pose le plat de sa main, là, juste ou je viens de relaisser tomber le drap.
Sa main chauffe mon ventre. Ce geste, pourtant amical venant dun vieux monsieur, me trouble énormément.
- Bien sur que tu peux me faire plaisir. Ce nest pas bien compliqué, tu sais ?
Il se lève, ramasse le plateau et disparait dans le couloir.
Quest ce quil a voulu dire par « tu peux me faire plaisir. Ce nest pas bien compliqué » ?
Je sens encore la chaleur de sa main. Mince ! Je suis vraiment troublée.
Bon, allez ! Ca suffit comme ca ! Je suis parano ou quoi ? Je crois que jai besoin de prendre lair.
Bizarrement, le lendemain matin, je redoute son arrivé. Comme pour me protéger, je fais semblant de dormir.
- Virginie, tu dors ? Il est dix heures ma puce !
Il ninsiste pas, pose le plateau et sort de la chambre.
Je suis rassurée. Rassurée, mais pourtant, jaurais aimé quil tente un truc. Je ne sais pas, moi ? Quil me touche, me secoue gentiment, quil effleure ma joue ou quil
Mais je ne vais pas bien du tout moi ! Je suis dingue ou quoi ?
Le lendemain matin, rien. Je ne vois rien venir. Pas de bruit provenant de la cuisine, pas de musique. Le silence total dans lappartement.
Quest ce qui se passe ?
Inquiète, je me lève et me dirige vers le salon
- Tonton Fernand ? Vous êtes là ?
Il est couché dans son canapé, mais réveillé. Inquiète, je me penche et pose ma main sur son front.
- Ca ne va pas ? Vous êtes malade ?
- Non ma puce, ca va ! Je réfléchissais juste.
- Ben oui, mais jattendais mon déjeuner, moi ! Hihi !
Je lui fais un gros bisou et il me promet de me lapporter demain.
Je vais à la salle de bain pour me laver les dents. Lorsque je me rince la bouche, jécarte mes cheveux pour ne pas les mouiller et je me penche pour prendre leau au robinet.
Machinalement, je me regarde dans la glace.
Je porte une petite combinaison noire, pour la nuit. Elle na rien de spéciale, sinon ses bretelles fines. Mais je viens de voir quelque chose dans le miroir.
Si je me penche, elle baille et je vois mes seins dans leurs totalités. Pas très grave, me direz-vous, sauf si
Quand je parlais à mon oncle tout à lheure, jétais penchée au dessus de lui. Je comprends mieux pourquoi il sest mit à rougir dun coup. Cest malin !
Le lendemain matin, comme promit, il mapporte mon plateau. Nous discutons tandis que je mange.
Une fois que jai eu fini, il retire le plateau et réitère son geste de lavant-veille.
Seulement, cette fois, je nai pas eu le temps de relever le drap et sa main se pose directement sur ma nuisette.
Ca me provoque un long frisson le long de la colonne vertébrale et il me semble que mes cheveux se dressent sur ma tête.
- Bon ! Je te laisse te lever.
Il se penche et me donne un baiser sur le front, mais, sans retirer sa main. Je sens son pouce me caresser furtivement. Puis, juste avant de se relever, il plonge de nouveau son regard dans le mien. Il appuit légèrement sa main et masse deux ou trois fois mon ventre doucement.
Je ne suis plus si sur que ce geste soit juste amical. Peut être devrais je lui en parler, aborder le sujet ?
Mais si je me trompe, je risque de le gêner et de passer pour une fille tordue desprit.
Tordue, je le suis surement, pour mettre en uvre un plan pour en avoir le cur net.
Il fait très chaud et jai installé un ventilateur dans ma chambre.
Je dors au dessus des draps et je porte une toute petite nuisette, très légère et très décolletée.
En ne portant pas de culotte, jai bien limpression den faire trop, mais tant pis ! Jai besoin de savoir.
Cest là que le ventilo rentre en action. Il est placé dans un coin de ma chambre et pivote doucement. A chaque fois que son souffle vient caresser mon corps, ma nuisette se soulève et dévoile mon cul, nu.
Voilà ! Mon plan est prêt. Reste plus quà faire semblant de dormir, en espérant quil ne remarquera pas ma respiration, plus rapide.
Lorsque jentends gratter à la porte, mon cur semballe.
Puis, elle souvre.
- Valérie ! Ton petit déjeuner est prêt ! Tu dors ?
Ne pas bouger, ne pas trembler.
Une fois, deux fois, trois fois, que je sens ma nuisette se soulever par le souffle de lhélice.
Rien, pas un bruit, mais je sais quil est encore là.
Putain ! De le savoir en train de me mater, commence sérieusement à mexciter.
Bravo Valérie ! Ce nest pas très sérieux tout ca !
Je décide de bouger un peu. De chien de fusil, je me tourne presque sur le dos.
Merde ! Lair soufflé sengouffre sous la nuisette et la remonte sur mon ventre.
Ben là, au moins, il a tout le loisir de mater mon minou rasé.
Soudain, je lentends marcher. Il va dans le fond de la chambre et éteint le ventilo. Puis, les pas reviennent vers le lit. Je sens son parfum plus présent. Je suis sur quil est penché sur moi.
- Valérie ? Tu dors ?
Comme seule réponse, je mallonge complètement sur le dos, offerte.
Je me rends bien compte que je joue avec le feu, mais cest une ardeur intérieure et inconnue qui me contrôle.
Je sais que je mouille. Je suis sur quil le voit.
Pour preuve, ce doigt qui effleure ma fente, sans doute pour recueillir un peu de mon nectar.
Je nen peux plus et je ne sais pas quoi faire. Ouvrir les yeux ? Le tirer à moi ? Lui demander de me baiser, là, tout de suite, comme une chienne ?
Mais je nai pas le loisir de choisir. La porte de ma chambre se referme.
Jenrage.
Mon envie de ses mains sur mon corps samplifie de jour en jour. Je veux sentir sa peau contre la mienne, son sexe dans mon ventre, sa sève me souiller.
Je me sens devenir folle. Folle de cet homme. Folle de désir pour lui. Je le veux.
Cest vendredi soir et comme tout les vendredis il a invité quatre amis pour jouer au poker.
Ils sont installés autour de la table et les cartes sabattent depuis plus dune heure déjà.
Moi, je regarde la télévision et les alimente en bière et chips.
Alors que je nettoie quelques assiettes à la cuisine, je capte une conversation.
- Dis dont, Fernand ! Elle est bonne la petite !
- Arrête tes conneries René ! Elle a dix neuf ans ! Tu ne vas pas te taper une gamine, non ? Elle pourrait être ta petite fille !
- Ben, jsuis désolé, mais elle me dirait oui, je ne dirais pas non ! Haha !
Cest donc ca ? Cest mon âge qui le freine ?
Je comprends alors que si je le veux, je dois le mettre devant le fait accompli.
Je file dans ma chambre et je me change. Je mets une nuisette en satin, largement décolletée et très courte. Je passe mon peignoir, sans le fermer et je reviens dans la salle. Là, je vais masseoir directement sur les genoux dAlbert.
- Bon ! Qui cest qui gagne ? Je vais me coucher. Le gagnant aura le droit de me border. Hihi !
Oncle Fernand me lance un regard réprobateur. Dautant plus que cest son ami Gérard qui gagne.
Cest un type de lâge de mon oncle. Il nest vraiment pas beau et
con. Il est arrogant et prétentieux. Il connait tout et a tout vécu.
Je pensais que cétait mon oncle qui gagnait, comme toujours. Sinon, je naurais jamais lancé lidée.
En tout cas, ca amuse bien les hommes.
- Bravo Gégé ! Cest toi qui borde la petite !
- Ouai ! Chante-lui une berceuse ! Haha !
- Lui dis pas ca, il va lui chanter une chanson paillarde ! Héhéhé !
- Hé ! Cest border, pas peloter ! Haha ! Vieux pervers !
Gérard se lève, fier, et me suit dans ma chambre.
Je nai pas de culotte et malgré mes précautions, lorsque je me glisse dans mes draps, le type sen aperçoit.
Tandis que jentends mon oncle dire au revoir à ses amis, Gégé sexcite tout seul.
- Tas bien fait de mchoisir. Jsuis de loin le mieux monté de tous ces cons. Tu vas voir, jvais tfaire du bien, moi !
Le connard se penche sur moi et pose une de ses mains sur mes seins et essaye de membrasser.
Je détourne le visage et tente de retirer sa main. Mais lhomme est fort.
- Non ! Arrêtez ! Laissez-moi ! Je nveux pas ! Non !
Soudain, la porte de ma chambre souvre et loncle Fernand se jette sur son ami.
- Quest ce que tu fous, Gégé ! Tes fou ou quoi ? Dégage ! Sors de chez moi !
Il le jette dehors et revient dans ma chambre. Il sassoit sur mon lit et passe sa main dans mes cheveux.
- Ca va Valérie ? Il ne ta pas fait de mal ?
Je prends sa main et la pose sur mon ventre. Je le guide pour quil le masse un instant, puis, je la glisse sous les draps, entre mes cuisses.
- Heuu, Val
? Quest ce que tu fais ?
- Allons tonton ! Ne me dites pas que vous nen avez pas envie ! En tout cas, moi, si !
Il pousse un long soupir en fermant les yeux et ses doigts glissent sur mon abricot détrempé.
- Ho Valérie ! Il y a si longtemps que
Hummmm ! Comme elle est chaude, douce !
- Venez ! Venez près de moi.
Oncle Fernand retire ses chaussures et son maillot et vient se glisser sous les draps, tout contre moi. Sans doute a-t-il gardé son pantalon par pudeur.
Son torse, bien que légèrement fripé, a encore les restes dune musculature qui autrefois devait affoler les femmes.
Il glisse une jambe entre les miennes et, contre ma cuisse, je sens une bosse dans son pantalon.
Humm ! Tonton est encore vert !
Il a glissé sa main sous ma nuisette et caresse mes seins avec gourmandise.
Ses yeux, dans les miens, me renvoient toute lémotion qui est en lui.
Il est attendrissant.
Je glisse une main dans ses cheveux.
- Embrassez-moi, tonton ! Embrassez-moi !
Ses lèvres se posent délicatement sur les miennes. Sa bouche samuse, les mordant lune après lautre. Puis, juste avant den prendre possession, sa langue glisse sur mes lèvres avec une douceur infinie, puis senfonce à la recherche de la mienne.
Jamais je nai reçu si tendre baiser.
Je létreins et emprisonne sa jambe des miennes.
Mon plaisir et mon envie sont au paroxysme. Là ou lon commence à faire des choses inavouables ensuite.
Jondule mon bassin et me frotte, telle une chienne en chaleur, à son pantalon de velours.
Lui aussi profite de cet instant. Ses caresses, ses baisers sont moins doux, plus virils, et il pousse les plaintes significatives du plaisir masculin.
- Hummm ! Ouiiii ! Ho ouiii ! Hummmm !
Dun coup de rein, je le couche sur le dos et lenfourche.
Ma nuisette traverse la chambre et je moccupe de la braguette du pantalon de tonton.
Tandis quil est tout à ses caresses, jextrais dun slip kangourou, une magnifique verge, aussi droite et aussi fière que celle dun ado.
A genoux au dessus de celle-ci, je lutilise pour me caresser les grandes lèvres et la frotte à mon clito près à exploser.
Puis, lentement et très progressivement, je me laisse posséder par la tige de chair.
Je chevauche mon oncle, ondulant du bassin de plus en plus fort.
Il broie ma poitrine, palpe mes fesses, dévore ma bouche. Ses violents coups de reins me provoquent de grosses décharges lorsque son gland entre en contact avec mon utérus.
Cest moi qui jouis la première.
- Hoooo ouiiiii ! Tontooon ! Ne tarrête pas ! Hummmm ! Oui, encoreee ! Ouiiii comme caaa ! Hooooo ! Hummmmouiiiiii !
- Humm Vallll ! Tiens ma belle ! Hummm ! Prends ca et ca ! Taime ca te faire baiser, hein ! Salope ! Hummmmm !
- Ho ouiiii ! Cest boooon ! Cest bon de sentir une grosse bite ! Ouiiii ! Jaime caaa ! Hummmm !
- Haaa salope ! Tu me fais jouiiiir ! Hummmmm ! Hargggggg !
Je sens mon ventre être éclaboussé de son miel chaud.
- Haaaa ! Ouiiii ! Jouiiiiiis, ouiiii ! Je
. Je viens aussiiiii ! Hummmmm ! Ouiiii !
Je reste de longue minute, écroulée, ramassée sur lui, son pénis encore en moi, comme pour retarder le moment ou tout sarrête.
Puis, je me laisse glisser de coté.
-Vous restez ? Vous restez dormir avec moi ?
Mais il ne répond pas. Il se lève et sort de ma chambre, nu, ses affaires dans les bras
sans un mot, sans doute un peu honteux, ou surprit par mon attitude.
Je me masturbe un bon moment encore, profitant de son foutre en moi. Jaime le bruit de ma chatte souillée, de son odeur aussi. Plusieurs fois, je porte mes doigts à ma bouche. Plusieurs fois, je les lèche.
Puis, progressivement, le sommeil me ratt et je mendors, mes doigts encore en moi.
Le lendemain matin, mon oncle mapporte mon petit déjeuner comme si rien ne cétait passé. Je dirais même quil est très guilleret.
Je massois dans le lit pour recevoir le plateau.
Je suis toujours nue et mes seins ne sont pas cachés. Il ne semble même pas y prêter attention. Pour un peu, ca me vexerais.
Puis une fois fini, il ramasse mon plateau et sort de la pièce.
Peut être na-t-il pas envi de reparler de ce qui cest passé et de ne changer en rien notre façon de vivre lun avec lautre.
La journée se passe bien et le soir même il reçoit ses amis pour un poker. A ma grande surprise, Gérard est là.
Plusieurs fois dans la soirée, je lai surpris à me dévorer des yeux. A un moment ou ses amis avaient les yeux plongés dans leurs jeux, il a fait frétiller sa langue avec un regard lubrique.
Mest venu alors lenvie insensée dexciter ce type. Je voulais le rendre fou, alors quil ne pouvait me toucher.
Je suis allée prendre une douche et comme lautre fois, je suis revenue en peignoir, mais cette fois fermé, car nue dessous. Mes cheveux mouillés coulaient encore et je me suis sentie sexy devant le regard médusés des joueurs.
Debout derrière Gégé, je secoue ma tête pour léclabousser.
- Désolée, les gars ! Mais ce soir, personne ne me bordera !
Ils rient et sesclaffent de mécontentement, sauf Gégé. Puis, surpris, ils restent bouches ouvertes lorsque je massois sur les cuisses de mon oncle. Il est dailleurs le premier étonné de ma conduite mais ne dit rien.
Je suis bien installée. Bien calée, de coté, mes pieds ne touchent plus terre. Jai passé un bras autour de son cou et posé ma tête dans le creux de son épaule.
Je me fais chatte.
Il na pas dautre choix que de passer son bras autour de ma taille, pour pouvoir tenir ses cartes.
Ses amis restent médusés. Quand à lui, la surprise passée, il semble plutôt fier.
La partie reprend et mon oncle commence à gagner. A gagner beaucoup.
- Pffff ! Cest la poulette qui te porte chance ou quoi ?
- Je ne savais pas quon pouvait venir avec ses portes bonheurs ! Haha !
Plus ils le charrient, plus il gagne. Cest amusant.
Lambiance est au beau fixe, jusquau moment ou le gros con de Gégé ouvre la bouche.
- Putain ! Si tu baisais aussi bien que tu joue, la gamine serait large comme un garage à bites ! Haha !
Je dois retenir mon oncle pour quil ne lui vole pas dans les plumes. Mais, un autre se charge de tout.
André, le plus jeune, peut être cinquante ans, jette ses cartes et balance une baigne à Gégé.
Il tombe au sol comme une grosse merde.
- Lève-toi espèce de sale type ! Excuse-toi ! Valérie nest pas ta copine de comptoir connard ! Tu pourrais être respectueux !
Il se lève en se tenant la mâchoire et sapproche de moi. Il se penche un peu et
- Tas senti que jen avais une grosse. Hein chérie ? Tas eu peur que je tencule ?
Cette fois, ils se lèvent tous et foutent une correction à Gégé.
Jignore comment, mais il se retrouve attaché à un radiateur et bâillonné.
Nous sommes tous debout. La table a été poussée, les verres renversés, les cartes éparpillées.
- Voilà ! Il a fini de tinsulter. A toi de choisir sa punition. Tes désirs seront des ordres !
Encore un peu ébranlée, je commence à nettoyer les dégâts
- Le punir ne mapportera rien. Je suis plutôt peace and love. Mais quest ce que je peux faire pour vous remercier ?
Un peu surprise par le silence qua provoqué ma phrase, je me retourne.
Les hommes sont toujours debout et me regardent de la tête aux pieds.
Un long frisson me parcourt.
Je regarde mon oncle, interrogative. Il sest rassit. Il me regarde, me sourit et lève les mains dune manière qui voudrait dire : « Daprès toi ? ».
Jai peur de comprendre, mais quand mon regard croise celui dAndré, je nai plus de doute.
Il aimerait que je paie de mon corps, cest limpide.
Je prends les deux bouts de ma ceinture et je les tends aux deux hommes qui encadrent André.
Ils les tirent doucement. Le nud se défait. Lorsquils lâchent ma ceinture, mon peignoir souvre dévoilant mon corps nu aux cinq hommes.
Gégé hurle derrière son bâillon. Sans comprendre ce quil dit, je sais très bien quil déverse toutes les injures quil connait.
André, visiblement très ému, sapproche de moi et fait glisser le peignoir sur mes épaules. Il tombe au sol et me voilà prête à rendre hommage à mon preux chevalier.
Je me mets à genoux et défait sa braguette. A la bosse qui déforme déjà son pantalon, je sais que ma bouche sera dun grand réconfort.
Son gland turgescent mapparait enfin et lorsquil glisse entre mes lèvres, André pousse un long soupir de satisfaction.
Mon oncle est resté assit. Les deux autres hommes se régalent du spectacle en se masturbant. Gégé, lui, continu de vociférer. Je me relève avant quil ne jouisse.
Je regarde mon oncle, interrogative une fois de plus. Il comprend, capte mon hésitation. Alors dun léger signe de tête, il me dit « oui ».
Je pose mes fesses sur le bord de la table et jécarte les jambes. Je porte une main à mon antre et je me masturbe en regardant les trois hommes, qui en font tout autant.
Puis mon chevalier André sapproche et me couche sur la table. Il pose mes chevilles sur ses épaules, puis place son gland face à ma grotte détrempée.
Un coup de rein plus tard, linvasion de mon ventre est une réalité.
Les deux mains sur mes seins, il le pilonne sans complaisance. Et je le vois à son regard, cest avec regret quil explose, trop tôt, en longs jets bouillant dans celui-ci.
Mes chevilles passent dAndré à Gustave. Grand type, sec et barbu.
Son membre est plus court mais plus large aussi.
Lorsquil plonge dans le jus de son ami, il ne peut sempêcher de jubiler.
- Ho putain ! Cque cest bon ! Cque tes belle fillette ! Hummmm ! Ho ouiiiii ! Cest trop bonnnn !
Il senfonce lentement en moi et me baise gentiment, jusquà sa délivrance.
Je trouve ces instants divins, emplis de respect et daffection. Jai déjà jouis plusieurs fois, lorsque mes chevilles découvrent le confort des épaules de René.
Certes ce nest pas le plus beau avec ses cent cinquante kilos, mais cest certainement le plus gentil et le mieux monté.
Intimidé il sexcuse.
- Je suis désolé, mais vous êtes si belle ! Je vous désire tant !
- Chuttttt ! Viens ! Viens vite ! Prends-moi, maintenant !
Si bien membré quil repousse les semences des deux autres, aussi loin quil le peut, provocants des sons pas forcement doux à loreille, mais qui reflètent bien létat intérieur de mon vagin.
Je moffre deux beaux orgasmes avant que mon utérus soit copieusement arrosé, une fois de plus.
Je me redresse, essoufflée, en sueur. Mes jambes sont molles et tremblent un peu.
Je souris à mon oncle. Il me le rend.
Mais les trois hommes semblent ne pas vouloir en rester là.
Ils me retournent et me plient sur la table, les bras bien haut pour que je magrippe à lautre extrémité de la table.
Du foutre est prélevé de ma chatte, pour graisser ma pastille brune. Ils y crachent, aussi.
Qui donc a récupéré si vite quil veuille me sodomiser.
Je ne peux le voir, mais la queue qui glisse entre mes hémisphères est dure comme de lacier. Puis, le gland se positionne et par petites poussées, progressivement, le dard pénètre mes chairs. Je respire, me détends pour faciliter le passage, pour limiter la douleur, puis soudain !
Les couilles viennent violement frapper mon vagin déjà endolori par les précédentes pénétrations. Le membre cest enfoncé aussi loin quil le pouvait, me provoquant une douleur comparable à un déchirement.
Puis ma sodomie commence, longue, puissante, violente. Le type enserre ma nuque de sa poigne dhomme, mempêchant ainsi de me débattre ou de me dégager. Le bord de la table frappe le haut de mes cuisses à chaque coup de buttoir.
Je ne suis pas bien, fatiguée, mais jai promis de les récompenser, alors je résiste.
Enfin, le mouvement ralenti et je sens le monstre palpiter en moi. Il va cracher son venin. Mais soudain, cest une furie qui se déchaine en moi. Je suis en enfer. Des claques sur mes fesses rajoutent à la douleur.
- Jte lavais pas dis que jtenculerai ? Hummmmm ! Salope ! Hachhhhh ! Jtavais pas menti ! Elle est grosse ! Hein ? Ho, putaiiin ! Tu mfais jouir ! Jvais remplir ton cul de morue ! Tiennnnnns ! Prends ca ! Et ca ! Hargggggg !
La voix de Gégé résonne à mes oreilles comme un claquement de fouet.
Je parviens à tourner la tête. Les trois hommes le regardent r de mon cul, sans bouger. Mon oncle, lui, préfère ne pas regarder du tout. Je ne comprends rien.
Il se vide longuement et me libère sans manquer de massener une dernière claque puissante sur les fesses.
Mes jambes ne me tiennent plus, je mécroule au sol comme un vieux chiffon sale.
Ils se détournent tous de moi et je les vois prendre congé de mon oncle Fernand.
Gégé : - Hummm ! Merci ! Jai bien aimé son cul ! Il est bien serré !
André : - Si tu as dautre nièce de ce genre, fais nous signe !
René : - Putain ! Jaurais préféré passer le premier, mais elle était meilleure que lautre.
Gustave : - Cest une bonne salope ! Garde là celle la ! Allez salut et merci !
Je suis médusée et je baigne non seulement dans le foutre froid, mais également dans lincompréhension la plus totale. Vexée, les larmes aux yeux, je me relève péniblement et réenfile mon peignoir.
Je mécroule sur une chaise et interroge mon oncle.
- Je ne comprends rien ! Il faut mexpliquer là ! Cest quoi ca ?
- Il est tard. Je vais me coucher. Je texpliquerais tout demain matin.
Il sort de la salle, me laissant plantée là, seule et sans explication.
Je prends une douche qui normalement se voudrait réparatrice et je me couche, angoissée.
Jai bien du mal à mendormir, mais finalement le sommeil memporte jusquau petit matin.
- Valérie ? Réveille-toi, il est midi déjà ! Je tai laissé dormir. Jai bien fais, non ?
Je fais un bond dans mon lit.
Il est là, près de mon lit, lair de rien, son plateau dans les mains. Il affiche un grand sourire, comme si rien ne cétait passé.
Je massois pour lui permettre de poser le plateau. Je nai aucun risque de lui dévoiler quoi que ce soit aujourdhui. Jai enfilé un pyjama.
- Vous allez mexpliquer, enfin !
- Je suis navré de ce qui est arrivé, Valérie.
- Je ne compte pas me contenter de ca !
- Bon, et bien voilà ! Nous nous retrouvons souvent pour jouer aux cartes, et, une fois par mois, on se cotise pour soffrir une pute. Nous inventons des scenarios pour rigoler. Tu sais, Gégé na pas été vraiment frappé.
- Heuu ! Moi, jai vraiment été enculée, tonton !
- Je suis désolé ! Cest vrais quau début il a déconné, mais les autres se sont prit au jeu et
.voilà !
- Vous auriez pu intervenir, non ?
- Oui, certainement, mais quand je tai vu tendre les bouts de ta ceinture
de plus avec ce qui cétait passé entre nous
jai pensé que
- Que jétais une pute ?
- Non, je nai pas dis ca, Valérie. Juste que tu aimais le sexe, au-delà de mes espérances. Je suis profondément désolé et je te demande pardon.
Je reste seule un long, très long moment au lit.
Je repense à cette soirée, à ce qui cest passé. Mon oncle Fernand a raison. Mon comportement ne pouvait que prêter à confusion.
Je me sens curieusement troublée. Je plonge une main dans le pantalon de mon pyjama.
Je suis une véritable fontaine.
Le souvenir de ce qui sest passé, mexcite étrangement.
Je rejoins mon oncle dans la salle. Il est écroulé dans le canapé, la tête enfoncée dans les épaules, triste.
- Ne faite pas cette tête là ! Je vous propose de tourner la page.
- Humm ! Tu prends ca bien à la légère tout à coup !
- Et bien en fait
Je massois à califourchon sur ses jambes et je déboutonne ma veste de pyjama.
-
je dois me rendre à lévidence, tonton. Ca ma plu.
Je prends mes deux seins dans mes mains et les écrase lun contre lautre. Il nen faudra pas plus pour déclencher une partie de jambes en lair de deux heures.
Depuis deux jours, tonton dort dans mon lit et nos nuits sont courtes.
Mais ce matin
- Jai réfléchi ! Ce soir tu viens avec moi à « La main douce » !
- Ho ! Vous croyez ?
- Ne me dis pas que tu es contre une petite soirée ? Maintenant je connais ton potentiel. Tu as ta place là-bas. Tu vas les rendre fou !
- Je ne suis pas sur du tout que ce soit ma place.
- Ce nest pas ton avis que je te demande, mais de me faire confiance.
Il maccompagne dans la chambre et choisi lui-même ce que je dois porter.
Je ne suis pas trop daccord sur son choix, mais je ne dis rien.
Je passe le kilt rouge et un tee-shirt moulant tout aussi voyant, quil a jeté sur le lit.
- Enfile ces cuissardes, sans rien dautre. Pas de bas, pas de string, pas de soutif. Tu nas pas besoin de tout ca, je tassure.
La route jusquà la boite, ma sembler très rapide.
Cest le cur battant, les jambes flageolantes que je suis mon oncle dans le corridor mauve.
Arrivés devant lescalier qui permet datteindre la salle un peu plus bas, il me prend la main.
- Je ne suis pas sur dêtre prête pour ce genres de choses.
- Si tu nessaye pas, tu ne le sauras jamais. Arrête tes illages et suis-moi !
Je descends prudemment pour ne pas tomber du haut de mes douze centimètres de talons.
Il me conduit à une petite table ronde. Contre le mur un petit canapé rouge, deux place et de lautre coté un pouf, tout aussi rouge. Nous nous installons dans le canapé.
- Considère les gens qui tentourent comme étant tes amis. Ils sont tous là pour la même raison. Il ny a pas de crainte à avoir. Je vais te chercher une coupe de champagne. En attendant, imprègne-toi de lendroit et de son ambiance. Tu es ici chez toi !
Il nest pas parti depuis une minute, quune ravissante jeune femme rousse, vient se poser près de moi.
- Bonsoir ! Vous permettez ? Je mappelle Sophie. Je ne vous importune pas jespère ?
- Heuu ! Je suis avec mon oncle, il va revenir.
- Humm ! Un oncle et sa nièce ? Mais qui est donc ce polisson ?
- Il est là-bas, au bar.
- Qui ? Lui ? Monsieur Fernand ? Tu es Virginie ?
- Il vous a parlé de moi ?
- Evidement ! Il ne parle que de toi et de ta beauté. Je dois dire quil avait raison. Il ta enfin décidé à venir nous rejoindre ?
- Je nai pas eu trop le choix, mais je suis venue observer dans un premier temps.
Elle sest collée à moi et a passé un bras autour de mes épaules.
Elle porte une robe noire très transparente. Je peux distinguer un string et un porte-jarretelle. Ses longues jambes gainées de bas de soie à coutures et une paire descarpin vernis finissent de lhabiller.
- Tu es vraiment charmante. Tu me plais beaucoup, petit ange.
Elle se rapproche de plus en plus. Je suis certaine quelle va essayée de membrasser. Je ne suis pas très à laise, mais heureusement, mon oncle revient.
- Ha ! Et bien je vois que vous avez fait connaissance ! Cest très bien ca !
- Je suis désolée, mon oncle, mais je voudrais rentrer.
- Tu nes quune petite idiote ! Rentre si tu veux ! Finalement, je me suis trompé sur ton compte. Tu ne vaux rien ! Pas étonnant que Michel est été voir ailleurs !
Il tourne les talons et se dirige vers un petit groupe qui sagite autour dune fille.
Cest comme une gifle. Ses paroles me blessent terriblement.
Puisque cest comme ca, je vais lui prouver quil se trompe sur mon compte.
Je me retourne vers Sophie, prends son visage dans mes mains et je lembrasse à pleine bouche, fougueusement.
La jeune femme, évidement ravie, menlace et commence à me caresser.
Sa main glisse rapidement sous mon kilt et ses longs doigts prennent rapidement dassaut mon antre humide.
Je glisse la fermeture éclair dans son dos et fais glisser sa robe sur ses épaules. Je découvre ses seins magnifiques. Ses pointes sont déjà dressées, semblant attendre mes caresses.
Elle délaisse un instant mon minou, pour me débarrasser de mon tee-shirt.
Nos seins entrent en contact et je jouis une première fois.
- Hummm ! Tu semble sensible ! Jaime ca ! Retire ta jupe.
Je me retrouve nue la première. Je sens des regards sur moi, même sans les voir vraiment.
Bizarrement, je nen suis pas gênée, mais très excitée.
Jaide Sophie à quitter sa robe à son tour, sans lâcher ses lèvres.
Doucement, elle mallonge sur le canapé et se couche sur moi. Elle est dune douceur extrême et dune tendresse immense.
Ses doigts courent dans ma chevelure, ségarent sur mon visage, visitent ma bouche et réclament ma langue.
Mes mains caressent son dos, ses fesses dune extrême fermeté.
Je me sens bien.
Sa toison fournie caresse mon coquillage lisse et me provoque une multitude de mini jouissances.
Les yeux fermés, je me concentre sur tout ce que je ressens. Cest le bonheur total.
Puis sa bouche quitte la mienne et commence un long périple qui commence par une glissade dans mon cou.
Puis, elle sattarde un long moment sur mes seins et plus particulièrement sur mes tétons, quelle fait rouler entre ses lèvres, avant de les aspirer et les titiller de sa langue.
La longue descente continu, jusquà mon ventre. Celui-ci se rétracte à chacun de ses baisers, me provoquant de longs frissons.
Puis enfin, après avoir franchi le mont de venus, sa bouche plonge entre mes cuisses.
Cest une explosion instantanée, un feu dartifice, une expérience incomparable. Le contact de sa langue sur mon clito gonflé, me fait perdre tout mes moyens. Je jouis si fort que je me relâche totalement, expulsant un jet puissant sur son visage.
Je suis prise de honte et je dois être rouge coquelicot.
Mais elle ne semble pas gênée du tout et continue à fouiller ma chatte détrempée, de sa langue agile et experte.
Lorsquelle revient titiller mon bouton rose et que je linonde de nouveau, jouvre les yeux, pour mexcuser.
La surprise est grande.
Quatre hommes, nus, se masturbent frénétiquement en nous regardant.
Sophie, elle, semble aux anges. Elle exulte tout en me dévorant
- Hummm ! Ho ouiii ! Donne-moi tout ! Donne-moi ton jus ! Hummmm ! Tu es fantastique ! Humm ! Encoreeee !
Jignore encore ce qui marrive, cest la première fois. Il me semble bien avoir lu un article sur les femmes fontaine, mais jétais loin dimaginer que je pouvais en être une. Ca me fait vraiment bizarre.
Et ces hommes qui tendent leurs mains, pour me caresser.
Il me semble perdre pied. Je suis sur un navire qui tangue, prêt à se retourner.
Entre deux fortes jouissances très arrosées, un bref instant, japerçois oncle Fernand, au bar, avec un homme. Il me regarde.
La petite idiote qui ne vaut rien, est en train de lui donner une leçon. Cette simple pensée me fait jouir de nouveau.
Un jet de foutre atteint mon visage et mon cou.
Avide de sexe, je récupère dun doigt, tout ce quil est possible de récupérer, et je le porte immédiatement à ma bouche.
Puis, Sophie sécarte et séloigne, me laissant aux mains des hommes.
Lun deux, se couche sur moi et me pénètre dun coup, tandis quun autre dépose son gland sur ma bouche, que je mempresse de faire glisser entre mes lèvres.
Je ne suis plus moi-même. Je joue le « lâcher prise » et on pourrait bien faire ce que lon veut de moi.
Finalement, cest bien ce qui se passe un peu.
Je suis prise plusieurs fois, dans tout les sens, dans tous mes orifices.
Je suis un peu bousculée, par un groupe dhomme de plus en plus important.
La fatigue me gagne et il semble que ca se voit, car les mâles calment le jeu et se finissent sur mon corps et mon visage en de nombreuses giclées chaudes et grasses.
Dans un ultime sursaut denvie de plaisir, je caresse mon corps et mes joues, étalant la crème blanchâtre, jusquà la rendre plus collante encore, plus grumeleuse.
Je crois bien que je massoupie sur le canapé, éclaboussé de ma mouille qui na cessé de gicler.
Finalement, tout pourrait très bien se terminer si, dans mon demi-sommeil, je nentendais pas une conversation des plus déroutante.
- Voilà, Michel ! Je ten ai fait une bonne pute. Elle est complètement sous lemprise du sexe. Si tu ty prends bien, tu en feras ce que tu veux.
- Merci tonton, cest trop cool ! Et elle ne sest doutée de rien ? Même chez toi avec le plan poker ?
- Bien trop naïve pour ca ! Haha ! Allez, viens. Il reste à trouver comment la faire revenir dans tes filets.
Naïve ? Vous avez dit naïve ?
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