Ma Voisine D'En Haut
J'ai réussi à trouver un job l'an dernier pas dans ma branche. Un boulot quand même : tant mieux pour moi. Je démarche les gens chez eux pour leur fourguer des assurances . Ça me rapporte assez de « brouzoufs » pour vivre assez bien. Je revient chez moi assez souvent, moins qu'au paravent. Avant de partir je fréquentais une femme dans la quarantaine : je lui rendais de menus services, surtout depuis la mort de son mari. Elle était gentille avec moi, me donnait des bricoles sans valeur qui pour elle représentait beaucoup.
J'étais sage à peu près avant mon départ, les visites dans la journée de personnes seules m'ont petit à petit entraînées vers des plaisirs que je ne regrette pas du tout : je les cherche même.
Combien de contrat j'ai fait signés après une ou deux heures déshabillée auprès d'un homme ou dune femme. Hé oui, je me suis lancée, pour gagner plus dans des amours pas tous à fait recommandés. Le plus fort est que j'ai pris goût à ses amours illicites, pendant les moments où le ou la conjointe n'était pas là. Il m'arrive souvent de retourner pour faire « signer un avenant » aux personnes particulièrement réceptives à mes arguments.
J'invite souvent des conquêtes dans des restaurants où on loue également des chambres ;
Je me souvient de cette première fois où avec un couple en parlant j'ai pu avoir un contrat en or : j'y ai gagné et le mari et la femme, en plus de la commission ; Ce couple était très partant pour faire la sieste avec moi ; Dans la chambre, à ma surprise c'est madame qui m'a embrassée la première. Le mari nous laissait faire ce que nous voulions. Son seul soucis était de nous regarder nous aimer en ayant sa queue dans la main : il ne nous a pas touché ne seule fois ; Par contre je navais aucun complexe avec sa femme : belle poitrine, hanches un peu larges et un pubis à faire tomber un anachorète. Je me souviens de ce premier baiser : à la fois écurant et excitant parce que trop mouillé de salive.
Sans dire mot, nous nous sommes embrasées, serrées, caressées et pelotées. Je me souviens que ma chatte était tellement humide que le « jus » coulait entre mes cuisses. Quand j'ai passé ma main sur la chatte, je trouvais également un animal encore plus mouillé.
Nous avons sauté plein d'étapes pour nous mettre presque de suite en 69. Nous ne nous connaissions à peine un heure avant : nous connaissions les endroits les plus intimes du corps de l'autre. Nous ne formions qu'un seul corps relié par nos langues et nos doigts dans le cul de l'autre. Je pense n'avoir pas cessé de jouir pendant toute la durée de notre « conversation », que sa langue était à la fois dure et douce sur ma chatte ou mon vagin. La dernière fois que nous nous sommes lécher,, j'étais sur le dos, elle dessus. Quand elle est partie, je suis restée sur le dos pendant plusieurs minutes totalement vidée.
Nous nous sommes revues souvent quand je passais dans son coin. Nous ne parlions pas politique, nous en faisions à notre façon. Je pensais souvent à cette femme qui je crois était la seule à se donner à moi totalement, surtout avec l'accord de son mari qui pourtant, d'après ce qu'elle me disait la baisait souvent et bien, surtout dans le cul.
Bref je pensais souvent à ma voisine du dessus. et oubliais d'aller la voir jusqu'au jour où je me suis décidée enfin.
Je pensais la trouver revêtue comme à ma dernière visite en noir et en grand deuil. Surprise, quand je la revois elle est presque comme moi. Avec sa robe courte à fleurs, ses chaussures montantes, ses bas et surtout son air dégagé.
Vous avez sacrément changé.
C'est vrai je me suis remise du chagrin.
Pour tout ?
Justement c'est le tout qui commençait à peser.
Vous êtes en forme, si nous sortions ce soir ?
Pourquoi faire, je t'invite ici, chez moi.
Chiche !!!
Le chiche était de trop, elle me fait entrer dans son séjour, rien ou presque n'a changé sinon la photos du mari qui a disparu.
Elle me sert un verre de Madère, ne prend rien et me demande de raconter ma vie. Je résume sans mappesantir sur ma vie sexuelle.
Tu parle de ton travail, pas de tes distractions, tu n'as pas de copain ?
Si j'en ai un.............
Un quoi ?
Disons que j'ai des attaches un peu partout.
Te couches avec celui qui te plaît.
En gros
.......oui.
Tu as raison d'en profiter, fait attention quand même.
A quoi, avoir un , pas possible avec une autre fille.
Je me suis vendue , j'ai dit que j'aimais les filles, pourtant j'aime aussi avoir une bite dans le ventre.
Ainsi tu aimes les filles ?
Oui, même si de temps en temps je couche avec un garçon.
Tu m'intéresse beaucoup. Avant quand j'étais jeune j'avais une copine avec qui nous nous amusions à nous faire du bien. C'était très agréable. Si je te provoque tu me saute dessus.
Pas si vous le demandez.
Elle ne demande rien, je vois dans ses yeux comme un désir s'allumer. Elle me détaille la poitrine, les jambes et les pieds ; Elle me fait envie ; elle tient bien son âge. Pourquoi pas après tout. Il doit y avoir longtemps qu'elle n'a pas du jouir avec un ou une étranger (e).
Tu sais je me masturbe souvent. Je rêve qu'un jeune femme me fait l'amour.
Elle commence à m'exciter : je vais commettre l'irréparable. Tant pis, elle l'aura cherché. Je vais vers elle qui se lève aussi. Nous nous embrassons sur la bouche. La vache elle embrasse bien. Je caresse ses chevaux, elle caresse les miens avec un goût prononcé pour la nuque. Elle me tient la tête simplement.
Je ne pensais jamais qu'elle eut tant d'expérience, à mon avis elle a fait plus que s'amuser avec une amie ; Elle prend mes seins pour les caresser avant que j'ai pu lui en faire autant. Elle pose ses mains derrière mon dos, pour les descendre rapidement sur les fesses. Elle n'arrête pas, le bas arrière de ma robe se trouve vite relevé, ses mains caressent mes deux globes, avant qu'une seule passe en biais entre mes deux suspensions arrières.
Je voudrais bien la caresser à mon tour, elle ne me laisse pas faire : c'est elle la dominante. Elle me met nue, je suis obligée de faire un tour sur moi même pour qu'elle me voit en entier. Elle me stoppe quand je suis avec le dos contre elle ; elle vise mes seins. Je suis serrée contre son dos, elle a mes seins dans ses mains en corolle, ses pouces faisant des caresses adroites sur les tétons.
J'ai encore besoin de jouir, tant pis, je pose ma main sur la chatte. Je vais me branler, elle m'arrête :
Ne sois pas pressée tu va encore jouir, passe une mains derrière toi, tu pourra attr mon sexe.
Baises moi vite.
Tu veux que nous fassions un 69 ?
Ce que tu veux, fais moi jouir.
Je ne pensais jamais qu'elle soit si dévergondée., si dévoyée. Je la laisse faire, elle sait exactement ce qui est jouissif. Ces doigts sont d'or sur tout mon corps. Partout où elle touche je sens son passage longtemps.
Enfin nous baisons. Elle m'a emmenée dans la chambre : je peux la voir nue, sa poitrine tient bien ses fesses sont peut-être un peu grosses. Elle se couche sur le lit, les jambes pendantes pour me donner sa fente.
Lèches moi bien partout, n'oublies pas que j'ai un cul.
Tu la veux dans ton con ?
Oui, je la veux dans mon con comme tu dis avec insolence.
Et en plus elle veut que je sois polie. Pourtant j'aime dire des gros mots quand je baise.
Elle se couche normalement sur le lit, je vais sur elle pour faire un 69. Cette fois ses lèvres sont sur selle de mon sexe. Elle m'embrasse comme sur la bouche, sauf que je n'ai pas de langue pour y répondre. Je ne sais qu'une seule chose, elle me donne du plaisir comme j'en ai eu rarement.
Je dois lui en donné à entendre ses gémissements et ses commentaires de femme comblée : Oui, Oui, Encore, suces moi, mets moi des doigts dans le con.
Je la comble comme elle a fait tout à l'heure ; nous nous aimons presque toute la nuit. Nous nous réveillons encore un 69. C'est facile de commencer la journée avec une bonne odeur de cyprine dans le nez. Un moyen comme un autre de recommencer aussitôt ce que nous faisons.
Je reviens souvent la voir par « politesse ».J'en ressort très fatiguée.
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