Promenade Sur Les Sentiers De La Côte Basque !
Il y a quelques années de cela, javais tout juste 19 ans, je venais demménager dans une nouvelle ville proche de locéan, loin de ma famille. Célibataire depuis quelques mois, jétais énormément en manque. Jai toujours été une accro du sexe, je lassume depuis le début pleinement.
Cela faisait 1 mois que jétais ici, et je ne connaissais quasiment personnes.
Un week-end, je me suis préparée pour aller faire une ballade sur les sentiers le long de la côte. Mon appareil photo, une bouteille, une serviette et la crème solaire, jétais parée. Vêtue, dun mini short, dun chapeau. Mes longs cheveux bruns attachés, ma poitrine généreuse mise en valeur par un débardeur blanc très moulant, un brin de maquillage, une épilation parfaite et partout
On ne sait jamais.
Je me suis rendue sur un parking proche du départ dun sentier. Jai remarqué quelque chose détrange, beaucoup de couples et dhommes seuls étaient dans les voitures mais je ny prêtais pas trop attention.
Je me suis équipée de mon sac à dos, pris repaire sur la carte et hop en avant. Je trouvais que le paysage était magnifique avec le ciel bleu et la chaleur de la fin du mois de Mai. Cela me rendait toute émoustillée, imaginant une rencontre fortuite et riche en sexe. Je prenais de nombreuses photos, et lors dun point de vue époustouflant, jai demandé à un homme qui marchait lui aussi, sil pouvait me prendre en photo. Il me gratifia dun sourire et me dit :
« Avec plaisir
».
Il prit deux clichés, et me proposa de me mettre de dos, une main sur le front comme si je regardais le paysage, jai trouvé lidée super. Je me suis donc placée les cheveux au vent, la poitrine bombée, le dos cambré pour mettre mes fesses en valeur. Il prit le cliché, me rendit lappareil pour que je vérifie. La photo était tout simplement superbe. Je lai remercié en lui faisant comprendre quil pouvait disposer. Physiquement il était très charismatique, un sourire ravageur, un regard perçant, et un corps de sportif.
Je repris, moi aussi, ma ballade, il nétait qua une dizaine de mettre de moi, je lobservais de temps en temps mais je me concentrais plus sur la vue de locéan.
Je marrêtais toujours quelques minutes pour prendre des photos et en le regardant, javais remarqué que lui aussi sarrêtait et en même temps que moi
Javais compris son ptit jeu je lui plaisais cétait sur !
Je me faisais de plus en plus sensuelle, je rajustais mon débardeur pour faire ressortir encore plus ma poitrine, remontais mon short et jai osée prendre ma bouteille deau pour me mouiller le haut de la poitrine. Leau rendait mon débardeur blanc un peu transparent. La chaleur était réellement écrasante.
Il sortit du sentier, je ne le voyais plus, je me remis en route. Je le cherchais du regard, tout en étant discrète, si il pouvait y avoir aventure sexuelle, je voulais être dominante.
Jai accéléré le pas, car un point culminant me donnait envie de my rendre pour mes photos.
Lhomme était en fait arrêté sur le bord du sentier, assit sur un espace ombragé, et regardait le paysage. Je le regardais mais ne marrêtais pas, il se retourna en mentendant et menvoya un autre joli sourire. Je le lui rendis, et montai vers ma prochaine étape photo.
Arrivée, je me mis à préparer mon matériel, la vue était époustouflante, on voyait à droite la côte Basque et Landaise et à gauche, la côte Basque Espagnole. Splendide !
Jai pris plus dune quarantaine de photos, quand jentendis des pas venir vers moi. Je me retournai et vis lhomme de tout à lheure, se diriger vers le bout du sentier pour admirer la vue, oui, mais laquelle ?!
Nous étions du coup juste à côté lun de lautre. Je me remis à prendre des photos, relevant la tête pour observer les surfeurs, je remarquai quil ne regardait effectivement pas que le paysage. Je pris ma bouteille deau pour boire, en faisant exprès den faire couler sur mon cou et ma poitrine.
Jarrêtai de boire et lhomme se retourna comme sil croyait que je ne lavais pas repéré. Une prédatrice voit tout !
Dans mon corps, je sentais mon sexe shumidifier de plus en plus, javais une terrible envie de me caresser où de me faire fouiller la chatte par nimporte quel homme qui le voudrait.
Dans un calme plat, il osa me demander si je voulais une nouvelle fois quil me photographie. Jai été très étonnée de cette proposition mais jacceptai tout en le remerciant. Je réglai lappareil et le lui tendis, et sûre de moi, je minstallai, droite, une main sur la hanche, la poitrine en avant et jaffichai un large sourire. Il prit deux ou trois clichés et me proposa de changer dangle. A la fin de cette série photos, je revins vers lui quand il me dit :
- « Je connais biens ces sentiers, il y a dautres endroits aussi exceptionnels que celui-ci, si vous voulez, je peux vous y emmèner. »
- « Cest une super idée, merci, cest gentil de votre part. »
Je remballai mon matériel et le suivi sur des sentiers de plus en plus étroits. Il me tendait la main quand il sentait que jen avais besoin, mais pour mieux me coller à lui. Mes seins se frottaient contre son dos et son autre main était très câline avec ma cuisse
Il commençait sérieusement à me plaire, et jallais jouer avec lui, avec ses nerfs, pour quil me saute dessus.
Nous nous arrêtâmes sur un point de vue, où nous ne passions pas à deux côte à côte. Il sest mis de profil, prit ma main et me guida devant lui. Mes fesses étaient collées sur son sexe, mon dos à son torse, et son bras droit me montrait le paysage, javais limpression que locéan et les montagnes se touchaient.
Pour jouer de mon guide, je posais mon matériel au sol, me baissant en avant pour prendre mon appareil, mes fesses toujours au même niveau, mais mon short remontait insolemment vers la naissance de mon cul.
Nous reprîmes la route, je passais cette fois devant, je voulais quil matte mon cul jusqu'à ce quil matt par derrière pour me baiser comme une chienne.
Après une bonne dizaine de minutes à marcher, je proposai de faire une pause, dans un endroit un peu abrité du soleil par plusieurs arbustes. Je lui proposai à boire, il avait déjà ce quil fallait. Nous buvons, mais, avec cette chaleur, je me mouille le visage, les épaules, le haut de la poitrine, quand je sentis sa présence derrière moi. Je me suis retournée, il me demanda si je voulais de laide.
Je neu pas le temps de répondre, il versa leau de sa bouteille sur mes seins. Ca me fit énormément de bien mais ça mexcita encore plus. Ma poitrine, ornée par un soutien-gorge blanc, était maintenant bien visible. Si je navais pas eu de haut cela aurait été pareil. Mes tétons devinrent tout durs. Je navais quune envie, quil se jette sur moi. Il était comme bloqué sur mes seins, il essayait tant bien que mal de dire quelques choses mais son excitation était si forte quil ne sortait que des bribes de phrases
Je lai détendu en riant. Il me fixa dans les yeux, prit mon visage entre ses mains et membrassa comme une bête. Sa langue tournait et retournait dans ma bouche, il me mangeait littéralement la bouche. Mon string devint très humide assez rapidement. Là où nous étions, on pouvait facilement voir si quelquun arrivait mais on ne pouvait pas nous voir.
Toujours en membrassant il enleva mon haut, baissa mon short, je fis de même pour son tee-shirt et son bermuda. Nous étions à demi-nus, mais vu la chaleur, cela faisait énormément de bien. Il ne cessa de me complimenter, sur mes seins, mes fesses, sur mon corps qui le faisait bander comme un taureau. Il me pétrissait, comme sil tâtait de la marchandise, ses mains parcouraient tout mon corps.
Il me souleva pour mallonger au sol, prit position au dessus de moi. Il enleva le peu de vêtement quil me restait sur la peau. Sa bouche et sa langue parcouraient lentement mon corps, il commença par ma bouche, puis descendit dans mon cou, sur mes épaules, puis passa plusieurs minutes sur chacun de mes seins, les tétons fièrement tendus vers le ciel. Il continua son épopée vers mon ventre, puis sur mes hanches et descendit franchement sur mon puits damour. Sa langue fouillait ma chatte dans tous les angles, je perdis le contrôle. Il prit lascension pour mon intérieur, inondé de ma liqueur, il me suça et me lécha avec délectation. Je sentais une chaleur menvahir, plus chaude encore que celle que le soleil pouvait refléter sur nous. Mon clitoris eut droit, lui aussi, à un traitement de faveur, il ne mit pas longtemps à me faire jouir dans un cri que je nai même pas cherché à . Cétait tout simplement un délice.
Je voulais me relever pour lui offrir une fellation digne du cunnilingus quil venait de moffrir mais il me repoussa au sol. Il navait pas fini. Il entra deux doigts dans ma chatte, prit place sur mon point G déjà gonflé et très sensible. Il entama un va et vient, tout dabord doux et lent puis plus mes soupirs devenaient intenses et plus il accéléra. Il entra un troisième doigt, reprit ses va et vient qui me rendaient folle, et dans un cri de jouissance, je recouvris son bras et ses cuisses de ma cyprine, sortit en plusieurs jets puissants. Il afficha un large sourire, comme sil venait de remporter une victoire. Mon corps tremblait dans tout son ensemble.
Je me suis rassise entrepris de lui caresser son sexe à travers son caleçon, il était encore en forme, il était de belle taille, son gland dépassait. Cette bite voulait que je moccupe delle cest sûr. Je lui baissai son caleçon, sa bite vint se présenter à lentrée de ma bouche. Je voulus le faire languir un peu, je lui léchai dabord le gland avec le bout de ma langue, puis je descendis le long de sa belle verge et vint lui lécher les bourses. Mon jeu marchait très bien, ses soupirs rauques en disaient long sur son plaisir mais surtout sur son envie que je saisisse son bâton de chair. Je remontai vers son gland, lentourai de mes lèvres et glissai lentement le long de cette grosse tige qui me remplit totalement la bouche. Jai commencé, toujours aussi lentement mes va et vient, pour quil savoure chaque centimètre de ma bouche sur sa queue. Jaccélérais ma montée et ma descente, je le suçais avec vigueur, il posa sa main sur ma tête, agrippa mes cheveux et au point de son non retour il enfonça encore plus loin sa bite dans ma gorge et lâcha plusieurs longs jets, cétait chaud et sucré. Il se retira doucement et je pris soin de garder la moindre goutte de sperme dans ma bouche.
Nous nous sommes allongés lun contre lautre, entrelacés, nous nous sommes embrassés longuement, ses mains se baladaient sur mon corps mais surtout autour de ma poitrine. Son sexe ne mit pas longtemps à se remettre, mes caresses y étaient peut-être pour quelque chose
Il se jeta sur moi, membrassa et vint mettre son pieu à lentrée de ma chatte encore trempée. Il neut aucune difficulté pour me pénétrer. Je sentais bien sa bite en moi, je le lui dis.
Il ma baisée comme une bête enragée, ses coups de reins avaient pour effets de me faire crier de plaisir, je prenais littéralement mon pied, il savait y faire. Sa bite me remplissait, mon point G était stimulé à son maximum et je nai pas tardé à jouir une nouvelle fois. Il sortit et me positionna en levrette (jadore). Il entra sans ménagement et me besogna, la force de ses coups de reins ma faite glissée au sol. Il me chevaucha, me claqua les fesses, me traita de chienne, de délurée, de salope, de petite cochonne etc
Je répondis par des affirmations, cest vrai jétais et je suis tout ça. Je lui suppliai de bien me défoncer, de me baiser comme une salope. Nous étions en totale excitation, nous ne faisions même plus attention si on nous regardait ou pas, si des gens venaient dans notre direction. Le temps venait de sarrêter pour nous.
Au bout de 20 minutes de ce traitement, il jouit sur mes seins.
Nous nous sommes débarbouillés avec leau de ma bouteille et nous nous sommes rhabillés. Nous étions crevés et voulions regagner nos voitures respectives. Nous repartîmes ensembles, cest là que jai appris quil sappelait Charles, quil avait 38 ans, divorcé depuis 6 mois, et quil vivait dans la région depuis plus de 20 ans. Il ne pensait pas en venant ici, trouver une jeune femme aussi gourmande et aussi bandante, ceux sont ses propres dires. Je lui dis que moi aussi, jétais ravie de cette escapade photo, et de lavoir rencontré. Il ma fait passer un superbe après-midi.
Nous sommes arrivés sur le parking, au moment de nous dire au revoir, il membrassa langoureusement. Il me demanda si je voulais quon se revoie, il prit son portefeuille et me donna sa carte en me disant que je pouvais lappeler quand je voulais pour une aventure coquine ou juste pour discuter.
Je pris la carte, lui fit un smack et partis en direction de ma voiture. Je me suis dis que jamais je ne pourrais lui donner rendez-vous juste pour discuter. Il baise trop bien pour juste vouloir parler !
Je lui ai envoyé un texto le soir même avec une photo de moi en train de menfiler un gode. Il ma répondu :
« Jarrive ?
»
La suite sera dans une autre histoire, très prochainement
.
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