Léane Ma Soumise
Un casting spécial. (1)
Un ami commun à Marcel et moi, se prépare à tourner un long métrage. Le scénario fait intervenir des jeunes femmes entre 24 et 28 ans. Sexy et très jolies bien entendu. Il nous a demandé de lui trouver des candidates, pas trop farouches
On a tout de suite compris
et on devrait bien profiter de la situation.
Je pense tout de suite à Léane, qui accepte tout de suite. Elle est belle, élégante et intelligente. Je la sais très attachée à moi et obéissante.
- Un film dhorreur demande-elle ?
- Oui ma belle, avec de vraies comédiennes.
Nous partons tous les trois en auto pour Liège. Léane est simplement vêtue dun chemisier blanc et dune jupette de tissus écossais qui arrive à mi cuisses. A larrière, elle sest allongée en travers de la banquette et sest endormie. En chien de fusil, sa jupe remonte haut et laisse voir ses fesses dégagées complètement par le string quelle a lhabitude de porter. Léane a la particularité davoir un très joli cul que prolongent des cuisses fines. On doit sarrêter pou faire de lessence. A la station service, le pompiste qui nous sert est collé à la vitre arrière et mate à loisir les cuisses et les fesses dénudées de notre amie le temps que dure le remplissage du réservoir. Marcel qui a repéré son manège lui fait un clin dil complice et tout doucement relève un peu plus la mini dévoilant entièrement les jolies fesses de la jeune fille endormie. Derrière la vitre le gars devient tout rouge, il a arrêté de servir pour mater le cul offert à sa vue. Dans son sommeil, Léane se retourne sur le dos, les jambes repliées vers la vitre. Doù il est, le gars doit maintenant voir son minou à peine caché par le petit triangle de tissu du string. Pervers, Marcel prend un genou de la jeune fille endormie et lentement, lécarte et lui ouvre les cuisses exhibant son entre jambes. Le gars dehors a sorti sa bite et sans vergogne se branle devant le spectacle offert. Du coup Marcel qui sent que Léane dort profondément passe une main et écarte le tissu et dévoile le sexe rasé près mais surmonté dun petit triangle de poils blonds que je lui impose de garder et soigner.
A lheure du dîner, on sarrête dans un restau route. Marcel me glisse à loreille quil aimerait bien exhiber la petite au restaurant. Elle si belle ! Je suis daccord.
- Elle est très soumise tu sais. Fait semblant de rien on va la foutre presquà poil sans quelle se rebelle.
On la réveille, cest la nuit, il fait chaud cest lété.
Notre apparition dans la salle du routier ne se fait pas discrètement. Tous les regards se portent sur moi mais surtout sur Léane qui resplendit de beauté. Deux femmes dans cet univers de mecs !
- Je vais aller faire pipi, dit-elle.
- Je taccompagne dit Marcel, ces toilettes dautoroute ne sont pas sûres.
- Oh Merci cest gentil.
- Tu laisseras la porte ouverte, je surveille.
- Daccord dit Léane.
Elle ne sest pas aperçue que Marcel lavait conduite aux toilettes hommes.
Elle entre dans la cabine et laisse le loquet ouvert. Des routiers entrent, ils sont trois et se dirigent vers les urinoirs. Marcel entend que Léane a commencé à pisser et sous prétexte de lui demander si tout va bien, il ouvre la porte. Léane a baissé son string et est assise sur la lunette les cuisses largement ouvertes. On voit parfaitement lurine séchapper de sa vulve quelle tient ouverte avec eux doigts pour ne pas se mouiller les lèvres de son sexe. Elle a la tête baissée et regarde son jet qui sécoule et ne voit pas que Marcel sest écarté de la porte pour laisser voir les trois routiers qui nont encore rien vu, tournant le dos aux cabines. Quand Léane saperçoit dans quelle situation elle est, son premier réflexe est refermer ses cuisses et cacher son ventre. Mais aussitôt, Marcel lui fait signe de faire semblant de rien et de continuer. Docile, elle ouvre ses cuisses un peu plus largement dailleurs et reprends son petit besoin.
Léane fait celle qui ne se rend compte de rien et Marcel met son doigt sur ses lèvres pour signifier aux routiers de ne rien dire. Ils rigolent tous dans leur barbe et matent un max la jeune fille qui se soulage devant eux, les cuisses ouvertes. Quand elle a terminé, elle se lève et toujours le regard baissé, comme une petite fille timide, elle remonte son string. Les types regardent ses longues jambes bientôt recouvertes par la mini. La tête haute mais les joues rouges de honte, Léane rejoint Marcel qui lui prend la main.
- « Tu as un bien joli minou ma belle » dit un des routiers.
Ils regagnent ensembles la salle de restaurant, ravis de ce quils viennent de voir.
Les trois routiers sont assis près e leur table et se marrent en la dévisageant. Elle entend un, le plus vieux dire :
- Alors la petite dame, on a bien pissé ?
Léane rougit et baisse les yeux, elle a honte et les trois hommes éclatent de rire en même temps.
A table, on sassoit sur la banquette face à la salle. Marcel se place sur un des côtés de la table près de Léane. Il ny a pas de nappe si bien que tous dans la salle peuvent voir nos cuisses sous la table.
Je dis à Léane que pour ne pas tâcher son chemisier blanc, il faut mettre une serviette.
- Je vais te la mettre, je lui dis, sournoise.
Comme je lui attache sur le bouton du haut de son chemisier, subrepticement, je détache deux boutons du chemisier. Elle tourne sa tête vers moi pour me faire comprendre quelle est nest pas dupe. Je lui ai ouvert le vêtement presque jusquau nombril. Là encore, Léane docile ne dit rien et je lui souris pour le remercier daccepter cette soumission
De la salle on peut voir une grande partie de ses seins et les voisins narrêtent pas de jeter des clins dil en coin pour mater.
Au milieu du repas, je le vois qui glisse une main sous la table vers les fesses de Léane.
A la fin du repas, au moment de partir, quand Léane se lève, je vois Marcel passer sa main dans le dos de Léane. Je pense, comme elle sans doutes, quil sagit dune petite tape amicale. En vérité habilement, il a accroché le bas de la mini-jupe à sa ceinture. Elle traverse la salle de restaurant les fesses nues. Les deux globes se balancent harmonieusement et de façon très excitante. Les hommes, la plupart des routiers pas très délicats, rigolent devant le ridicule de la situation surtout quils pensent que Léane ne sest aperçue de rien et quelle se ballade au milieu des tables le cul nu au regard de tous.
On regagne la voiture. Léane fatiguée sendort très vite sur le dos à larrière de lauto, ses jambes repliées en chien de fusil. Quand on double un camion, on entrevoit le chauffeur essayer de mater. Marcel est excité, il allume le plafonnier au dessus delle pour mieux la montrer. Cette fois cest sa tête qui est près de la vitre arrière à droite. Doucement pour ne pas la réveiller, Marcel, ce cochon ouvre son chemisier et fait jaillir ses seins en pleine lumière. On double un tas de camions, on roule doucement à leurs côtés pour les laisser mater les seins superbes de Léane.
Il y en a un qui nous fait des appels de phare. On sarrête sur une aire de stationnement. Il se gare derrière nous et deux énormes types arabes sortent de la cabine du camion et sapprochent. Ils se placent contre la vitre et matent de plus près les seins de la jeune fille.
On arrive à Liège au petit matin. On a rendez-vous en fin de matinée. On gagne notre hôtel pour se faire une bonne toilette et se refaire une beauté, surtout pour Léane. Elle shabille sobrement et remet des sous vêtements.
Vers 11h nous partons pour notre rendez-vous
Robert A. nous reçoit dans son bureau très spacieux. Sur le côté, une secrétaire assez âgée dans les 55 ans, obèse, le regard froid derrière de grosses lunettes. Je vois tout de suite quelle intimide la petite Léane, qui baisse les yeux.
Robert est un gros bonhomme, amateurs de femmes jeunes, ce qui les fait sestimer. Il na presque plus de cheveux et frise les 70 ans. Il porte aussi de fines lunettes qui lui donnent un regard lubrique.
Tout de suite ses yeux se portent sur Léane, la détaillent, des pieds à la tête, la déshabillent. Léane intimidée regarde ses chaussures, toute rouge debout devant Robert.
- Tu as quel âge, jeune fille lui demande-t-il .
- 24 ans monsieur.
- Tu as déjà joué la comédie ?
- Non monsieur répond-elle tout doucement.
- Tu vas suivre Martine, ma secrétaire, elle va thabiller pour passer une audition.
- Oui monsieur.
Martine, la grosse secrétaire se lève difficilement de sa chaise et prend Léane par le bras et linvite à la suivre. Elles disparaissent dans une autre pièce. En rigolant, Robert nous dit :
- Elle a vraiment lair docile cette belle jeune fille. Jespère quelle va faire laffaire. Venez, en attendant, on va se rincer lil. Il y a une glace sans tain dans la pièce, on va pouvoir assister à lhabillage de la princesse. Il nous conduit dans une pièce attenante à son bureau.
Des fauteuils sont installés face à une sorte décran qui est en réalité une pièce très éclairée. Celle dans laquelle nous sommes est pratiquement dans le noir. On sinstalle et la porte de la pièce voisine souvre et Léane apparaît suivie de la grosse secrétaire.
Martine sapproche de Léane et on lentend lui demander de se déshabiller quelle va revenir avec des vêtements. Elle quitte la pièce laissant la jeune femme toute seule. On la voit hésiter puis sasseoir sur une chaise près dune table. Quand la secrétaire réapparaît, elle se fâche en lui criant presque quelle navait pas de temps à perdre et quelle devait se déshabiller pour passer les vêtements du personnage du film. Léane se retrouve vite en string et soutien gorge. La femme lui tend une longue tunique noire. De simples bretelles fines sur les épaules, sous les bras deux seuls boutons la ferment, laissant sous les bras une très large échancrure qui descend jusquà la taille. Elle est fendue sur le devant jusquau niveau de son pubis et derrière à la naissance des fesses. Léane est grande et cette tunique lui donne une allure de déesse. On lui donne à chausser des chaussures fines avec des talons assez haut pour allonger encore sa silhouette. On a bien conscience quau moindre mouvement, la tunique va souvrir découvrant ses jambes et même son sexe. Derrière rien ne va cacher ses fesses et sur le côté, le simple mouvement davancer la main découvre sur le côté sa généreuse poitrine. Léane se sent nue habillée de cette manière. La femme lui demande dôter son soutien gorge et même son string qui se voient sous le fin tissu de la robe noire. Les deux hommes à mes côtés remuent sur leurs sièges. Pour enlever ses sous vêtements, Léane doit enlever sa robe et elle nous apparaît nue quelques secondes devant nous. Elle est vraiment très belle. La robe repassée sur ses épaules, la dame lui demande de marcher devant elle et de se tourner lentement. Les deux hommes se régalent du spectacle, la grosse mémé la regarde avec un sourire qui laisse deviner quelle sait quon est derrière la glace en train de mater. Moi je mouille devant cette image de ma protégée exhibée à ces pervers.
Une fois la robe passée sur elle, la secrétaire sapproche et lajuste bien sur le corps de la jeune femme. Ce faisant elle frôle les seins qui aussitôt dressent leurs pointes. Cela fait sourire la grosse matrone qui sempare des tétons par dessus la robe avec la ferme intention de les faire pointer de plus belle. Léane respire plus vite, la vieille a compris la puissance de ce toucher chez elle et elle a bien lintention den profiter et de nous en faire profiter. Elle prends les pointes entre ses doigts, les pince, les fait rouler. Léane ferme ses yeux goûtant apparemment la caresse. Elle ne voit pas la grosse qui sapproche de son visage pour déposer ses lèvres sur les siennes. Sa langue sort de sa bouche et lèche les commissures encore fermées. Elle lui donne des petits coups de langues tout doux puis dun seul coup elle se plaque contre elle et la force à ouvrir sa bouche pour y introduire sa langue. Ce baiser saphique nous excite, et me rend jalouse, derrière la glace, voyeurs invisibles. Léane remue son bassin et frotte son ventre contre celui de la grosse à la recherche dune caresse. La grosse salope se frotte contre elle aussi et descend sa main entre ses cuisses et lui masse maintenant son sexe. Léane pousse de petits gémissements. Elle nest pas lesbienne mais cette grosse et ses mains et sa bouche lui donnent des frissons partout. Cest la perversion qui lexcite, je la connais. Elle sabandonne, incapable de résister à la jouissance qui lenvahit et soudain elle crie en jouissant quand la vieille vient de lui planter son doigt dans le cul et lui branle sa rondelle par dessus le tissu. A bout de souffle, elle se laisse porter jusquà la chaise au milieu de la pièce, les jambes coupées.
Elle se laisse faire également, docile, quand la grosse mémé lui pose un bandeau sur les yeux en disant que cest pour le rôle.
(à suivre)
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