Amours Complémentaires

Je suce Nico avec application, depuis déjà plusieurs minutes. Il m’a entrainé dans le cellier dès mon réveil.
- Viens par là mon tit nourson. Viens prendre ton petit déjeuner.
Il s’est appuyé à un buffet et à descendu son short.
Sa queue est ferme, belle, bonne. C’est un délice.
Un délice aussi ce moment d’intimité que je partage avec lui…mon sublime amant.
Toute la maison dort encore. Femme, s, chacun finit sa nuit, tranquillement.
- Tu l’aime ma queue ?
- Hung ! Hung !
- Dis le moi ! Tu l’aime ma queue ?
- Nicoooo ! Je ne peux pas m’occuper de toi et te répondre en même temps !
- Oui, mais moi, j’aime bien ! J’aime quand tu dis que tu m’aime.
- Ho oui, mon amour ! Je t’aime. Et j’adore ta queue.
- Ben, suce-moi alors !
- Haha ! Tu es terrible toi ! Vraiment !
C’est l’homme le plus taquin du monde. Il peut aussi, être doux, tendre ou se transformer en macho implacable, en quelques secondes à peine.
C’est vrais… il n’est pas toujours facile à suivre dans sa façon de voir les choses.
Mais c’est lui et c’est ainsi que je l’aime.
C’est aussi comme cela, que l’aime Line, sa moitié, sa raison d’être.
- Ho ! Excusez-moi !
Elle vient de faire irruption dans le cellier et nous trouve en pleine action.
- Tu rigole, ma chérie ? Viens là ! Viens aider Claude !
Prudente et maman louve, elle verrouille la porte et s’approche de nous.
Elle est magnifique et tellement touchante, avec ses cheveux ébouriffés. Elle porte un de mes tee-shirts, oublié dans leur chambre, lors de ma dernière visite.
Non contente d’être le rayon de soleil de Nico, elle est également ma raison de vivre, ma tendre maitresse.
Lorsque la vie nous le permet, nous nous retrouvons tous les trois, pour quelques jours, un week-end.
Les heures que nous passons ensemble sont enclin à l’amour, la tendresse, la douceur et l’humour.
Notre complicité est sans faille et nous nous aimons tout les trois, comme des fous.


Le triangle amoureux.
Je tends la main à Line et l’invite à me rejoindre aux pieds de l’homme de sa vie. Elle s’agenouille et caresse ma joue tendrement.
Je me noie un instant dans son doux regard.
J’aime son visage et toute la gentillesse qui y transparait.
- Tu as bien dormis ma toute douce ?
- Ho oui, mon Bisounours ! Après une nuit comme celle que nous avons passée, comment ne pas dormir. Les bras de Morphée étaient aussi accueillants que les tiens, je t’assure.
Hier soir, après une soirée de délires musicales et dansants, nous avons fini tout trois dans le lit conjugal, pour une longue nuit d’échanges amoureux.
Je passe ma main derrière sa nuque, l’attire à moi et nos lèvres se rejoignent dans un long baiser.
- Heuuu ! Je ne dérange pas, là ?
Nous sommes pris d’un énorme fou rire et nous sautons sur la verge gonflée et impatiente de Nico.
Chacun de notre coté nous nous occupons de la tige de chair. Nos langues se rejoignent souvent en bout de course et nous échangeons de doux baisers, nos bouches collées au gland luisant de nos salives.
- Hummm ! Vous êtes deux belles petites salopes, mes cailles ! Préparez vous mes amours. Je ne tiendrais plus longtemps !
Effectivement, sous nos lèvres besogneuses nous pouvons ressentir les soubresauts révélateurs de l’approche de l’extase.
Bien décidés à ne pas en perdre une goutte, nos deux bouches, ouvertes, attendent l’éruption de foutre.
Nos langues tendues jouent encore avec le gland, quand la délivrance à enfin lieu.
Un jet puissant vient s’écraser entre nos bouches.
Instantanément, elles se rejoignent pour partager la liqueur chaude de notre homme.
Très vite, nous sommes débordés par la quantité de jus expulsé, pour la plus grande joie de Nico qui s’applique à arroser nos visages, copieusement.
Qu’importe, c’est une raison de plus pour nous, de nous embrasser et nous frotter l’un, l’autre. C’est loin d’être anodin.
Dans cette façon de faire, transpire la douceur du partage et de l’amour.
Nico, ne s’y trompe pas et nous rejoint au sol pour un long baiser à trois.

Les s se lèvent et la maison s’anime.
Toute la matinée, nous nous croisons dans différentes pièces. Nos regards trahissent notre trouble, nos envies.
Des revers de mains s’égarent subrepticement, sur un ventre, un dos, une joue.
Nous nous étreignons devant les s comme de vieux amis, heureux de se retrouver, juste pour sentir le corps, la chaleur de l’autre.
Nous nous jouons de leurs regards et un baiser est posé rapidement dans le creux d’un cou, sur une épaule dénudée.
Ce petit jeu du chat et de la souris, attise nos envies de contacts.

Appuyé à la rambarde de la terrasse, je laisse mon âme vagabonder. Je rêvasse à un hypothétique et impossible couple à trois.
Les avoir à moi, en permanence. Hummm ! Que voilà un doux rêve utopique, chimérique.
- Ca va toi ? Qu’est ce que tu fais ? Ca fait dix minutes que tu es là, seul !
Line s’est glissée derrière moi, sans que je l’entende arriver. Elle se colle tendrement contre mon dos et m’entoure de ses bras, sa joue posée sur mon épaule.
J’essuie rapidement d’un revers de main, une larme qui coule d’un de mes yeux. Ce n’est pas que je sois triste, non ! Peut être un trop plein de bien être ? Oui, ce doit être cela. Peut être quelques questions existentielles, aussi.
Je décroise mes bras et les laissent tomber le long de mon corps pour poser la paume de mes mains sur ses cuisses.
- Rien Line ! Je ne fais rien. Je profite de l’instant.
Le sixième sens féminin fait son œuvre.
- On ne me ment pas à moi. Dis-moi. Dis-moi ce qui te tourmente mon Bisounours.
Elle dépose un tendre baiser dans le creux de mon cou.
- Allons ! J’écoute !
- Je suis bien avec vous, je vous aime, mais…
- Mais quoi ?
- Je me demande si j’ai vraiment ma place ici. Si j’ai le droit de perturber votre foyer ou encore de prendre de la place dans vos cœurs.
Tout ca, parce que je suis incapable de trouver MON propre bonheur. Je suis comme la pie qui s’installe dans le nid des autres. Moi, je me suis installé dans votre cœur et y ai volé une place.
- Oui, mais nous, tu ne nous vole rien ! Nous sommes volontaires ! Attends, bouge pas !
Elle me lâche et disparait dans la maison.
Mais pourquoi lui est je dis toutes ses conneries, moi ? Incapable de trouver mon bonheur, mais incapable aussi de profiter pleinement de celui qu’on m’offre. Je suis vraiment trop con !
- Qu’est ce qui t’arrive tit nourson ? Un coup de calcaire ? Line me dis que ca va pas ? Tu doute ?
- Je suis désolé Nico. Je suis un peu con parfois.
- C’est rien de le dire ! Suis-moi !
Il att mon poignet et me tire vers le bas de la maison, à l’abri des regards indiscrets. Il ne semble pas très content. J’ai l’impression que je vais prendre un méga savon.
Il me plaque contre un mur. Ca, je vais passer un mauvais quart d’heure. C’est sur.
- Tu te demande si tu perturbe notre foyer ? Et bien oui ! Tu le perturbe ! Tu le perturbe en doutant de notre amour pour toi. Tu mériterais que je te vire !
- Ecoute, Nico…
- NON ! Toi, écoute ! Et viens là, imbécile de tit nourson.
Ses grands yeux s’illuminent et sa bouche se pare de son plus beau sourire.
Il prend mon visage à pleine main et m’attire au plus tendre des baisers.
Je ne peux retenir mon émotion et j’éclate en sanglot.
Je le sers fort contre moi et inonde son épaule de mes larmes.
Il me redresse et colle mon crane contre le mur. Il plante son regard dans le mien. Puis, nerveusement, il défait la ceinture de mon pantalon.
- Arrête ca ! Arrête de pleurer comme une femelle, et donne-moi ta queue !
J’essuie mes yeux, mon nez et tente de ravaler mes spasmes de tristesse.
Il est déjà accroupit et délivre ma verge de mon caleçon moulant.
Sa bouche immense, gourmande, engloutit mon sexe tendu. Il suce, titille de sa langue, lèche et gobe mes couilles, mordille mon gland.

Trois minutes de ce traitement et j’explose dans sa bouche, sur sa langue.
Il se relève et m’embrasse pour me faire partager mon nectar encore chaud.
- Ca te dirait d’aller faire un tour ?
- Touuut…tout les deux ?
- Non ! On va embarquer notre petite salope ! Ca te dit ?
- Juste le temps de mettre une carte mémoire neuve dans mon numérique, et je suis à toi !


Elle a passé une petite robe d’été fleurie. Elle est si belle, s’en est émouvant.
- Bon, Fabien ! Je te confie ton frère et ta sœur ! Pas de conneries, on est bien d’accord ?
- Mamannnn ! J’suis plus un bébé quand même ! Allez ! Partez sans crainte !
Nous sautons dans ma voiture, moins gourmande que la BMW de Nico et nous voilà parti.
Line a prit place près de moi et bien sur, ce n’est pas fait pour me déplaire.
Nico s’est installé derrière moi pour avoir une vue dégagée sur sa belle.
Nous roulons depuis une demi-heure, suivant les instructions de Nico.
- Dis-moi, ma chérie ! Tu as mis un string ?
- Rhooo ! Nicoooo !
- Ben quoi ? T’en a un ou pas ?
- Bon ! J’en ai un et je suppose que tu veux que je le retire ?
- Ben ouai !
Line s’amuse de ses choses là. En aucun cas, le fait de ne rien porter, ne la dérange.
Amusée, elle remonte sa robe, aussi haut que possible.
- Hihi ! Regarde la route, toi !
- T’es drôle toi ! Je voudrais t’y voir !
Un œil sur la route, un œil sur les cuisses de Line qui se soulèvent pour aider le dégagement du ridicule bout de textile.
Elle fait gracieusement glisser la chose le long de ses jambes lisses. Elle soulève un à un ses escarpins et libère le string.
Amusée, elle le fait tourner autour de son doigt et me le jette à la figure, en riant.
- Ha ben bravo ! Heureusement que tu ne veux pas que je quitte la route des yeux ! Haha ! Je ne voyais plus rien ! Haha !
Je prends la culotte, en fait une boulle et la porte à mes narines. Je hume profondément les arômes discrets qui s’y trouvent.
- Hummmmm ! Quel parfum exquis !
- Ho, Claude ! Ne sois pas égoïste ! Fais tourner !
Je rigole et lui jette par-dessus mon épaule.
- Dommage, c’est trop propre !
- Je ne vais pas arrêter de me laver pour te faire plaisir, Nico ! Hihi !
- Non, mais quelques heures de plus ou un coup de chaud…Tient ! Tu aurais du passer l’aspirateur avant de partir. Haha !
J’aime le voir plaisanter. Il commence à laisser ses galères passées derrière lui et c’est une bonne chose pour mon petit couple fétiche.
Line aussi change, doucement, mais surement. Elle ne s’en rend pas forcement compte, mais elle progresse à pas feutrés, là ou son homme veut l’amener.
Les prodiges, la magie de l’amour, surement.
Heureusement que je les ais ces deux là. Ils ont mit du soleil et de l’amour dans ma vie qui tournait au drame.
Se rendent t’il compte du bien qu’ils me font, de l’importance qu’ils ont prit à mes yeux, dans ma vie ?
Je regarde Line lisser sa robe sur ses cuisses. Elle est si belle.
- Tu n’as pas chaud ? Tu devrais la remonter un peu ! Hihi !
- Comme ca, mon Trésor ? Hihihi !
Elle va d’un extrême à l’autre et se découvre jusque haut sur le ventre. Ca rend fou son homme.
- Ho putain ! C’que j’aime ma salope, moi. Dommage qu’il n’y ait pas de camion !
- Dis voir, Linette. Ce n’est pas une bretelle de soutien gorge que j’aperçois, là ?
- Ca va ! J’ai compris !
Elle passe ses mains derrière son dos et avec la dextérité qu’ont toutes les femmes, ses bretelles glissent sur ses bras et en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, l’engin est extrait par son décolleté.
Pour la second fois, amusée, elle me jette son sous vêtement à la figure.
- Voilà ! Ca te va mon Trésor ? Hihi !
- Tu veux vraiment qu’on aille au tas, toi ! Haha !
- Tiens, Claude ! Rentre là, à gauche.
Il m’indique un petit chemin de terre qui s’enfonce dans une forêt. Je m’y engage et quelques mètres plus loin, je me range près de quatre autres véhicules déjà stationnés là.
- Il y a toujours du monde ici. C’est un bon coin pour les champignons. Mais c’est aussi un bel endroit pour une ballade. Ca vous tente ?
Nous nous regardons avec Line, et acceptons la proposition.
C’est vrai que c’est un bel endroit.
Line au centre, nous nous tenons par la taille et nous nous enfonçons dans un petit chemin. Nous plaisantons, racontons des conneries et nous éclatons de rire à tout bout de champ.
L’un après l’autre, nous nous prenons en photo, en couple, ou seul. Certaines sont légèrement lubriques et ca nous fait bien marrer. Ce seront de bons souvenirs, c’est sur.
Le rire clair de notre petite femelle adorée, se réfléchit dans la forêt. Surement attirés par cette douce résonnance féminine, j’aperçois à deux reprises, des silhouettes au travers des arbres. Mais je n’en dis rien.
Line s’appuie à un arbre et allume une cigarette.
- Ca fait du bien d’être là avec vous. C’est très agréable. Je vous aime tellement.
- Ben tu sais, pour nous aussi, chérie.
Nico s’approche d’elle et l’embrasse tendrement. Ses mains se promènent sur son corps et je les mitraille en tournant autour d’eux.
Ils sont beaux tout les deux.
Nico devient plus entreprenant et glisse ses mains sur les cuisses de Line. Il les remonte entrainant la robe légère.
- Non, arrête Nico ! On pourrait nous voir !
- Et alors ? Ca ne me dérange en rien !
- Toi, non, mais moi oui !
Nico fait un tour d’horizon du regard.
- Il n’y a personne, Line !
- Ha ! Et le type là-bas, qui nous suit depuis un quart d’heure.
- Ho ! Je ne l’avais pas vu, je te jure !
Elle n’en a vu qu’un et ignore que trois autres paires d’yeux, l’épient en secret. Nico n’avait pas vu le promeneur, j’en suis sur, mais ca ne change en rien son attitude. Ses mains remontent une fois de plus le bas de la robe.
- Nico ! Qu’est ce que je viens de te diiire ! Rhooo !
- On s’en fou de ce type ! Tu peux lui offrir un beau souvenir, tout au plus. Ca t’excite pas de savoir qu’il peut te voir ?
- Je ne sais pas.
Nico retente sa chance, et reçoit un refus de plus.
Il ne dit rien et s’écarte de Line. Il me prend l’appareil photo et me parle doucement pour qu’elle n’entende pas.
- Tu m’as pas dis que vous en aviez parlé, non ?
- Si ! Et je t’assure qu’elle le sens bien ce truc ! Un peu d’appréhension, sans doute.
- Bon, ben tu t’y colle et t’as intérêt à avoir un résultat. Je veux faire de belles photos !
- T’es chié toi, tu sais ca ?
- Oui, mais je suis curieux de voir comment tu vas t’en sortir. Haha !
Je rejoins la belle et l’embrase tendrement.
- Qu’est ce qui t’arrive ? Tu nous aime plus ?
- Pfff ! T’es con ! Il veut me soulever ma robe, mais il y a un type là-bas !
Je caresse ses joues et glisse mes doigts au premier bouton de sa robe. Tout en défaisant le bouton, je lui donne de petits baisers furtifs.
- Tu sais, pour s’exhiber, c’est mieux qu’il y ait quelqu'un pour regarder. Tu ne crois pas, non ?
J’attaque un second bouton, sans cesser mes bisous.
- Qu’est ce qui te gêne ? Tu le connais pas, tu t’en fou.
Troisième bouton.
- Te souviens-tu de ce que tu as dit sur face book, Linette ?
- Heuuuu !
- Bien ! Je vais te rafraichir la mémoire. Tu as écris : Aimer, c'est vouloir le bonheur de l’autre, être content pour lui. Aimer, c'est rendre l'autre heureux, partager rire, sourire, bien-être... et moi, je rajouterais désirs.
- Mais ce n’est pas de moi, Claude !
- Oui, mais tu le pense !
Nico tourne autour de nous et prend des photos l’air de rien.
J’écarte doucement le haut de sa robe et je dévoile sa gorge, jusqu’à la naissance de ses tétons.
De mes pouces, je les dégage et les titille.
- Ne fais pas ca, Claude ! Tu sais que je n’y résiste pas ! Sale traitre !
Comme seule réponse, je les prends entre mes doigts et les fais rouler.
Line ferme les yeux et entrouvre la bouche. Mais je sais que je n’ai pas encore gagné.
Nico profite qu’elle ne regarde pas, pour me faire signe de mettre la gomme.
Je délaisse ses pointes et fais sauter le quatrième bouton.
Elle att mes mains.
- Non Claude ! Non !
Je prends sa poitrine à pleine main.
- Te rappelles-tu sur MSN, un jour ? Tu m’as dis ces mots : Je laisse les choses…
A ma grande surprise, elle reprend avec moi.
- Je laisse les choses murir, sans me poser de questions.
- Oui, c’est bien ca. Et te souviens-tu de ce que tu as rajouté ?
Elle lâche mes poignets et laisse tomber ses bras le long de son corps.
Elle semble comme intimidée et baisse légèrement la tête. Elle est attendrissante. On dirait une .
- Oui, je me souviens. Je crois que j’ai dis : Je prends comme ca vient ?
- Oui, Line, c’est bien ca.
- Ok, je ne me pose pas de questions, mais il ne me touche pas !
- Il ne te touchera pas. Nous sommes là.
- Ok ! Alors je le ferais seule, pour vous.
Elle me donne un long baiser et me pousse gentiment de coté.
Désormais, nous l’encadrons, tels deux gardes, protégeant une divinité.
Et déesse elle l’est dans sa robe ouverte sur ses seins blancs.
Le voyeur approche doucement, ainsi que les trois autres qui surgissent d’arbres tout près.
Line semble paniquée et nous regarde à tour de rôle.
C’est Nico qui trouve les bons mots.
- N’ais pas peur. Laisse toi aller et découvre de nouvelles sensations. Tu ne risque rien, je suis là et Claude aussi. Sois belle, fière et allumeuse. Sois une bonne petite salope.
- Je le ferais pour toi, mon amour. En gage de ma détermination à vouloir te rendre heureux.
J’interviens. Je ne peux pas la laisser dire ca.
- Ne dis pas ca Line. Vois plutôt ceci comme un apprentissage. Tu découvre. Tu apprends. Tu te cherche. Concentre-toi sur ce que tu ressens et oublie-nous. Ne fais pas ca uniquement pour lui ou pour nous.
Les joues un peu rosies, elle affronte le regard des trois hommes.
Ils nous ont entendus et ne s’approchent pas. Ils sont à deux mètres de Line. Ils ont sorti leurs sexes et se masturbent doucement en la contemplant.
Line prend une grande inspiration et porte ses mains à un des trois derniers boutons.
Sa robe s’ouvre jusqu’au dessus de sa toison brune. Elle y glisse une main et se caresse lentement.
Nous la voyons être prises d’un grand frisson.
Elle ne détache pas son regard des quatre membres dressés pour elle.
Elle laisse sa main glisser sur son pubis et telle une star, elle passe l’autre dans ses cheveux, pour les ramener sur son visage.
Elle regarde les hommes par en dessous avec un regard provocateur, et se mord la lèvre inferieur.
Puis, sa main glisse sur son visage. Elle suce son index au passage et descend encore pour caresser ses seins.
C’est du grand spectacle et elle nous bluffe, comme jamais on ne l’aurait imaginé.
J’aperçois Nico de l’autre coté. Il est carrément berné par le jeu de sa « salope ».
Il bande comme un âne et libère son sexe gonflé.
Je fais de même.
Six queues sont maintenant tendues vers la jeune femme, pour la jeune femme. Elle craque. Elle se libère.
Enfin !
Les derniers boutons sautent. La robe grande ouverte, elle s’expose, écarte ses grandes lèvres, titille son clito gonflé.
Elle est transfigurée.
Sa robe vole très rapidement dans un buisson tout proche et ses mains se tendent vers nos sexes.
Un type ne peut plus se retenir et jouit en poussant des sons rauques.
Line semble fascinée par les jets blancs qui s’écrasent à ses pieds.
- Hummm ! Donnez-moi vos queues mes amours !
C’est avec grand plaisir que nous déposons nos tiges dans le creux de ses mains ouvertes.
Elle les referme. Elles sont brulantes, comme prise de fièvre.
Elle regarde toujours les hommes d’un regard provocateur qui semble dire : « Regardez-moi ! Régalez vous de moi ! Mais, je vais vous montrer ce que vous n’aurez jamais ! Car vous ne m’aurez jamais ! »
Elle embrasse Nico, puis moi, goulument, voracement, lubriquement, indécemment.
Les types sont comme des dingues.
Elle se laisse tomber à genoux et prend Nico en bouche. Elle le suce avec passion.
Un autre homme se libère.
- Haaa ! Salopeeee ! T’es trop boooonne ! Hummmmm !
Elle interrompt sa gentille pipe pour regarder l’homme jouir, comme si elle ne voulait rien rater du spectacle. Et d’un coup…
- Rhaaaa ! Baise-moi, chéri ! Baise-moi !
Elle se relève d’un coup, comme une démente. Elle me prend par les bras et me colle contre l’arbre. Puis, elle se penche et me suce à mon tour comme une femme obsédée par le sexe.
Nico, se place derrière elle et la pénètre, sous les regards lubriques des mateurs.
Mais très vite elle délaisse mon pénis pour pouvoir s’exprimer.
- Encule-moi, Nico ! Ouiiii ! Encule moiiii ! Forttttttt ! Hummmmm !
Ce n’est plus la gentille et timide Line de tout à l’heure. C’est une possédée qui me reprend en bouche. Mais quelle belle possédée !
Un type se penche pour mieux voir mon pieu, entrer et sortir d’entre ses lèvres roses. Un autre s’approche de ses fesses et contemple son bel anus qui dévore le chibre de Nico.
Aucun ne cherche à la toucher. Ils sont super correct et c’est dans leurs intérêts.
Un troisième homme jouit, juste sous les yeux de la belle. Elle cesse de me sucer pour admirer le jus blanc s’écraser dans les feuilles.
Nico explose en elle.
- Ho ouiiiii mon amouuuur ! Tu es la meilleuuuuure ! Hummmmm ! Regarde les jouir de toiiiii ! Hooooo ! C’est trop booooon ! Hummmmm !
Il s’extrait du puits interdit et s’essuie grossièrement sur le cul de Line.
Les types accourent pour regarder le miel s’écouler en paquet gras, de l’antre de notre belle.
Elle lève les yeux vers moi. Ils brillent d’un éclat étrange. Je le vois, les émotions se bousculent en elle. Mélange détonnant fait de plaisir et de complaisance… encore un peu.
- Tu la veux ma chatte ? Claude, tu veux bien, me faire jouir encore ?
Elle se relève et s’adosse contre l’arbre.
- Baise-moi, Claude ! Baise-moi, vite !
Je l’enlace et lève une de ses jambes. Je pénètre ma Linette avec un sentiment de fierté.
Oui, je suis fier de ma maitresse, fier de sa volonté de bien faire, sa volonté d’avancer.
Tandis que je la besogne, je vois le dernier homme jouir.
- Regarde Line ! Regarde ca ! C’est pour toi, mon cœur ! Dis moi que ca te plait ! Dis le moi !
- Oui, ca me plait ! Hummm ! Ca m’excite ! Hoooo ! Ouiiiii ! Hummm ! Ils ont jouit pour moi, hein ? Hummm ! Dis le moi ! Ils ont jouit pour moiiiii ! Hooooo ! Ouiiii !
- Ho ouiiii, mon cœur, pour toi, grâce à toiiiii ! Hummmm ! Haaaa !
Nous jouissons ensemble. Elle explose et m’inonde jusqu’aux pieds.
Est-ce la pression qui redescend, mais elle explose de rire, nous entrainant dans un fou rire incroyable.
Les hommes nous remercient et se dispersent dans le bois.

Au retour, nous la laissons tranquille. Elle navigue encore entre plaisir et questions.
Son visage est détendu et parfois elle esquisse un sourire, sans que nous sachions pourquoi.
Nous arrivons et nous avons la surprise de trouver la porte fermée. Nico sort sa clef et nous entrons.
Sur la table, un petit mot.
« Maman. Tonton est venu nous chercher, il nous emmène au parc d’attraction demain. Nous dormons chez lui. Bisous »
Contre toute attente, Line retire sa robe et avec un sourire ravageur s’écrit :
- Bon ! On va baiser ?
Et elle disparait dans la chambre en riant.


Pour toi, ma Linette adorée.
Que cette histoire t’aide à te conduire vers des plaisirs nouveaux.









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