Une Journée Particuliere
Je suis en retard. Foutu réveil matin !
Ce nest pourtant pas le jour. Jai rendez vous dans moins dune heure avec mon nouveau patron. Sa secrétaire ma appelé hier après midi.
- Bonjour madame. Vous avez postulé pour un poste de secrétaire comptable. Si vous êtes toujours intéressée, présentez-vous à huit heures trente à notre siège social.
Intéressée, je le suis, bien évidement. Il serait dommage de ne pas décrocher le job à cause dun retard stupide.
Bien décidée à mettre tout mes atouts à mon avantage, jai choisi ma tenue avec soin
un beau tailleur blanc.
Je ne porte que la veste. Elle me fait un beau décolleté et pour lagrémenter, jai choisi un magnifique soutien gorge à balconnet, orné de dentelle fine.
Cest un ensemble et je porte également son porte jarretelles, lui aussi garni de la même dentelle.
Jhabille mes jambes de bas de soie et passe de beaux escarpins vernis.
Un beau chignon, sobre, une goute de parfum, mes plus belles lunettes et me voici.
Line en mode secrétaire.
Je saute dans ma voiture et fébrile, je roule vers mon destin.
Je me gare face une tour de verre. Je pénètre dans un hall immense et me dirige vers laccueil.
- Bonjour ! Jai rendez vous pour la place de secrétaire comptable. Société Transnicol
- Votre nom, sil vous plait ?
- Bonchair ! Madame Line Bonchair.
- Une seconde, je me renseigne.
Cest une jeune fille de vingt ans. Magnifique brune aux cheveux longs et yeux verts. Elle a un physique de rêve. Son sourire est radieux et sa façon de me regarder me trouble au plus haut point.
Elle me sort hélas de ma rêverie.
- Veuillez vous rendre au quatrième étage. Vous y êtes attendue. Les ascenseurs se trouvent ici, juste à votre droite.
- Merci, charmante Jessica !
Je lui décoche un petit clin dil discret, en tapotant son badge, accroché à sa poitrine. Elle me sourit et reprend son travail.
Mais lorsque jarrive à lascenseur et que je me retourne machinalement, je la surprends à me regarder encore. Gênée, elle détourne la tête rapidement. Ca mamuse.
Je monte et appuis sur le bouton de létage. Sans doute pour calmer mon léger stresse, je frotte la petite plaque argentée, marquée « Schindler ».
La porte souvre et je débouche directement sur un grand comptoir ou est indiqué, une fois de plus « ACCUEIL ».
Une femme à lallure austère, vient vers moi.
Elle doit avoir une quarantaine. Chignon serré, tailleur noir, strict, démarche saccadée comme si elle avait un bâton dans le cul. Pas très belle et pas très engageante cette femme.
- Madame Bonchoir ? Suivez-moi, mademoiselle Barella va vous recevoir.
- Heu non ! Madame Bonchair, pas Bonchoir ! Bonchair ! Heuu, dites moi ? Le PDG est une
PDGère ?
- Oui ! Quelle importance, je vous le demande ?
Houu ! Ce ne sera pas ma copine celle là. Quelle conne !
Barella. Ca me fait penser à ce vieux film de science fiction, Barbarella. Jane Fonda y était sublimement sexy. Ma patronne le sera-t-elle autant ?
Japerçois une porte au fond dun couloir. Sans doute son bureau. Mon cur semballe un peu.
Madame `Ducon` me demande de patienter et entre dans le bureau.
Mince, je nai rien pu voir.
Elle en ressort deux minutes plus tard.
- Asseyez-vous, mademoiselle Barella va vous recevoir dans un instant !
Je prends une revue qui traine là. Je tombe sur une page de lingerie féminine.
Hummm ! Il y a de bien belles choses, jarracherais bien la page, moi !
- Madame Bonchoir ?
- Ho !
Plongée dans mes rêveries, je ne lai pas vu sortir de son bureau. Je sursaute et en fait tomber la revue. Putain ! Celle-ci reste ouverte sur ma page. Je dois être rouge coquelicot
Je panique.
- Houlà ! Je suis désolée ! Je
. Je suis confuse !
Et comme par hasard, la revue glisse deux fois de la pile de magasines, et retombe à terre.
- Ce nest pas grave, laissez ! Je vous en prie madame Bonchoir, entrez ! Entrez !
Jusque là accroupie, je nai vu delle, que ses chaussures talons aiguilles. Je me redresse, remontant son corps tel un alpiniste une montagne, un ascenseur un immeuble.
Elle porte des bas à coutures. Jupe plissée dix centimètres au dessus des genoux, pull mohair à grosses mailles, laissant entrevoir un soutien gorge noir, bien rempli.
- Bonchair, madame ! Cest Bonchair !
Sa beauté mexplose au visage. Dieu quelle est belle.
Cheveux auburn, longs et bouclés, de grands yeux très bleus en amande et savamment maquillés, un petit nez très légèrement retroussé, qui lui donne un air polisson et une magnifique bouche, ornée de lèvres couleur fraise, que je dévorerais bien.
Son parfum est enivrant sans être entêtant. Je suis sur quelle le porte entre les seins. Hummmm !
Allons bon ! Voilà que je fantasme sur ma future patronne.
Elle semble avoir remarqué mon trouble et me fait un petit sourire en coin.
- Très bien madame Bonchair ! Je vous en prie, entrez et installez vous.
Sa voix est douce, chaude, sensuelle. De celle qui apaise, qui calme.
Sauf moi. Je suis tendue comme la corde dun arc.
Je massois sur le bord de lassise dun grand fauteuil en cuir qui trône devant son bureau.
Elle ferme la porte et me rejoint
- Désolée davoir écorché votre nom. Madame Depetasse a du mal noter, sans doute.
Je la regarde, interloquée.
- Oui, oui ! Cest son nom ! Vous pouvez rire, vous verrez, ensuite on sy fait. Hihi ! En attendant cest une excellente collaboratrice. Vous verrez !
- Je ne me permettrais pas de me moquer !
- Bien ! Passons aux choses sérieuses. Vous avez apporté votre CV ?
Je me penche en avant pour ramasser ma pochette en cuir, ou jai rangé soigneusement tout les documents qui peuvent mêtre utile.
Je me rends immédiatement compte que ma veste de tailleur baille tout ce quelle peut, offrant à mademoiselle Barella une vue plongeante sur ma lingerie et le haut de ma poitrine.
Instinctivement, je plaque une main sur ma veste, pour la coller à moi.
Sylviane, cest son prénom, du moins celui quindique sa jolie gourmette, samuse beaucoup de ma gêne.
- Pas bien grave, tout ca ! Nous sommes entre nous ! Entre femmes ! Ne vous en faites pas.
Je me redresse encore rouge de honte et je lui tends le CV.
Elle lit le document en tournant dans la pièce, me laissant tout le loisir de la contempler.
Elle doit frôler la cinquantaine, mais cest une très belle plante, que le temps semble avoir épargné.
Elle revient face à moi et sassoit à moitié sur son bureau.
- Humm ! Cest un bon CV. Je vois que vous êtes célibataire ?
- Heu oui, enfin
non ! Divorcée, mais je vis avec quelqu'un.
- Un homme, je suppose ?
- Je vous demande pardon ?
- Non, rien ! Ca na aucune espèce dintérêt. Tenez, vous pouvez ranger ca.
Elle me redonne mon document et je me penche de nouveau. Sans la voir, je sens son regard dans le décolleté de ma veste.
Lorsque je me redresse, elle est complètement assise sur son bureau. Elle croise les jambes. Placée juste devant elle, je peux voir sa cuisse blanche, au dessus du bas, sous la jupe plissée.
- Je pense que vous pourriez faire laffaire, mais
- Oui ?
- Et bien, jexige de mes collaboratrices, un peu plus que du travail. Jentretiens une relation plus
proche et particulière, avec certaines dentre elles. Mais je pense que vous comprenez et que cela ne vous dérange en rien. Je le sens. Nest ce pas, Line ?
- Heuu ! Je suis désolée, mais jai peur de ne pas comprendre.
Dun coup, son regard sassombrit. Elle semble agacée.
Elle se penche un peu et appuit sur le bouton dun interphone.
- Guislaine ? Veuillez venir dans mon bureau, sil vous plait !
A peine cinq secondes plus tard, madame Desalope, ou je ne sais quoi, entre dans le bureau. Elle porte dans ses bras tout un tas de dossier.
- Posez ca là, Guislaine et approchez !
Elle pose sa pile de dossiers sur une autre pile de dossiers, et sapproche de sa patronne.
- En position, salope !
Jentends lordre comme un claquement de fouet. Je suis abasourdie, sidérée.
Guislaine, semble savoir exactement ce quon lui demande et comme un ballet bien orchestré, retire quatre barrettes de ses cheveux. Une lourde chevelure brune sécroule sur ses épaules. Très artistiquement elle secoue la tête pour leurs permettent de sétaler de façon régulière. Puis, elle déboutonne sa veste, sort le bas de son chemisier de sa jupe et louvre à son tour.
Vêtements ouverts, laissant apparaitre une poitrine opulente de toute beauté, elle remonte à présent sa jupe moulante jusquà la taille. Un porte jarretelles noire encadre un minou touffu mais bien taillé, libre de tout sous vêtement.
Enfin, elle retire ses lunettes. Je dois reconnaitre que ce nest plus la même femme. Elle est
magnifique.
Quasiment nue, ou du moins offerte à nos regards, elle fait un pas de plus et se met à quatre pattes aux pieds de sa patronne.
Je me lève dun bond.
- Désolée ! Je ne pense pas pouvoir faire laffaire !
De sa jambe croisée, elle monte son pied rapidement et vient le placer entre mes jambes. La pointe de son escarpin a disparu sous ma jupe en la relevant un tout petit peu.
Elle se penche très légèrement en arrière, sappuyant sur la paume de ses mains.
- Laissez-moi en juger, Line. Laissez-moi une chance de vous prouver que mon intuition est bonne. Ensuite, libre à vous de partir. Quen pensez-vous ?
Tandis quelle parle, elle frotte doucement les bords de son escarpin sur lintérieur de mes cuisses. Le cuir crisse sur le nylon de mes bas, mélectrisant toute entière.
Je suis comme paralysée.
Son regard est empreint de gentillesse et de douceur. Son sourire est ravageur et coquin.
Cela nempêche en rien, mes jambes de trembler.
Son pied remonte lentement le long de ma cuisse, soulevant de plus en plus ma jupe.
- Vous tremblez, Line. Vous avez peur ?
Aucun son ne sort de ma bouche. Ma respiration saccélère et je sens mon intimité qui
Ho mon dieu ! Dans ma précipitation, je nai pas passé mon string qui avait fini de sécher dans la salle de bain.
Trop tard ! Le bout de sa chaussure effleure ma vulve.
Etrangement, elle ninsiste pas. Elle retire son pied et se lève de son bureau.
- Vous voyez bien, Line ! Nous jouons dans la même cour.
- Ho ! Je ne sais pas si
Elle prend mon visage entre ses mains et dépose un baiser sur mes lèvres. Dieu quelle est douce. Son parfum menivre. Je me sens perdre pied.
- Et bien ? Vous ne savez pas quoi ?
Je suis perdue, comme hypnotisée.
- Hoo ! Embrassez-moi, Sylviane ! Embrassez-moi !
- Cest moi qui donne les ordres ici, trésor ! Remonte ta jupe et assis toi dans le fauteuil.
Le tutoiement soudain me glace, tout autant que sa réponse. Mais je pense avoir été trop loin pour me sauver maintenant.
Je remonte ma jupe sur ma taille, et pose mes fesses sur le bord du cuir glacé.
Elle me pousse et je mécroule dans le fauteuil.
Elle claque des doigts et Guislaine, toujours à quatre pattes, se place devant moi et plonge son visage entre mes cuisses.
- Oui, brave chienne ! Lèche la, bien comme il faut ! Bouffe la chatte de cette salope, pendant quelle soccupe de moi !
Je naime pas trop ce qui se passe, mais je nose pas intervenir. Jai un peu peur, je me lavoue.
Sylviane vient près de moi et soulève sa jupe plissée.
- Tu vois Line, nous sommes trois à vivre notre intimité, libre et naturelle.
Comment lui dire quen ce qui me concerne, cest un impardonnable oubli.
Elle se caresse regardant sa secrétaire me faire monter en pression. Elle savère être très douée et je ne suis pas longue à ne plus pouvoir cacher des signes de plaisirs.
Sylviane lève une jambe et pose son pied sur laccoudoir opposé.
Sa vulve rasée de près se retrouve à dix centimètres de mon visage. Elle est belle et accueillante, même si les grandes lèvres se détendent un peu. Son clito est énorme et tentant.
- Fais moi jouir petite salope et le poste est à toi !
Les effluves féminines parviennent à mes narines et complète létat dexcitation que me procure Guislaine.
Lorsque je croque le fruit mûr et juteux, je suis prise dun magnifique orgasme.
Elle est délicieuse et juteuse à souhait. Je prends un réel plaisir à la sucer. Je titille sont bouton, jusquà lui faire pousser un cri de plaisir.
Un cri, jen pousse un aussi, lorsque Guislaine entreprend de me branler le cul.
Jadore ca.
Sylviane jouit. Elle jouit et parle.
- Hummmm ! Viens travailler avec moiii ! Hoooo ouiiii ! Nous baiserons autant que tu le veux ! Ouiiii ! Tu me plaiiiiis ! Salopeeee ! Haaaaa ! Guislaine nous fera jouir, toute les deuuuuuuux ! Hooooo !
Lécouter mexcite beaucoup, et je jouis une nouvelle fois, très fort, inondant le visage de la pauvre secrétaire.
Mais soudain, le téléphone sonne et tout sarrête. Le travail reprend le dessus. Hélas !
Sylviane redevient une femme daffaire en moins de cinq secondes.
Guislaine se rhabille, refait son chignon et disparait.
Je me lève et après mêtre redonnée une allure normale, jattends que lappel de Sylviane se termine.
Tout en téléphonant, elle me regarde, me détaille. Je suis mal à laise et je dois rougir de nouveau.
Elle raccroche enfin.
- Alors, Line ! Le poste vous intéresse ? Moi, vous me convenez, parfaitement.
- Heuuu ! Je peux vous téléphoner demain ? Jai besoin de réfléchir. Tout ca est si nouveau pour moi.
- Et bien, ne réfléchissez pas trop longtemps, les candidates sont nombreuses. Au revoir madame Bonchoir.
- Bonchair ! Madame Bonchair ! Au revoir madame Barbarella. Heuuuu ! Barella ! Excusez-moi ! Je suis désolée ! Hihi !
Je ne peux mempêcher de rigoler. Sans doute les nerfs qui se relâchent.
Je sors de la tour et marrête à la porte pour prendre une grande bouffée dair frais.
- Madame Bonchair ?
Je cherche qui mappelle. Cest la charmante hôtesse daccueil qui se grille une cigarette.
- Jessica ? Cest la pause ?
- Ho, juste le temps dune clope. Faut déjà que jy retourne.
- Alors, bon courage Jessica.
- Merci, madame Bonchair.
- Line ! Mon prénom cest Line.
- Oui, je sais !
Elle me fait un sourire attendrissant et séloigne en sautillant.
A y regarder de plus près, elle a dix huit ans, plutôt que vingt. Je suis certaine que cest son premier emploi.
Cest une petite poupée, qui semble douce et fragile.
Je mapprête à me laisser happer de nouveau par la ville, quand
- Lineee ! Lineee !
- Jessica ? Quest ce qui ce passe ?
- Je me disais
Je finis à midi. Jaimerai vous inviter à manger chez moi. Je suis toute seule et je mennuie beaucoup. Ca vous tente ? Vous êtes libre ?
- Heuuu ! Cest imprévu, mais pourquoi pas, Jessica ! Cest très gentil en tout cas. Je serais là à midi, promis !
Jai trompé le temps en faisant du lèche-vitrine.
Midi sonne et Jessica me rejoint. Elle a troqué son uniforme dhôtesse pour une jolie robe, fraiche et sexy.
- Jhabite à deux pas ! On y va à pied ? Ok ?
Effectivement, ce nest pas très loin. Elle me conduit jusquà son petit studio. Il lui ressemble. Tout dans les tons pastel. Couleurs douces et tendres comme elle.
Nous dévorons des tagliatelles à la carbonara. Un thé plus tard, nous sommes assises dans son petit canapé.
Si petit, que pour gagner de la place, je passe un bras autour de ses épaules.
Nous discutons de choses et dautre. Elle vient effectivement davoir dix huit ans et elle a eu la chance de trouver ce job, tout de suite.
Elle est adorable.
Tout en parlant et bien machinalement, je lui caresse les cheveux. Jusquau moment où je men aperçois.
- Oups ! Excuse moi, je ne me suis même pas rendu compte. Hihi !
Elle reprend ma main aussitôt et la pose sur sa joue.
- Non, Line ! Continuez, sil vous plait ! Continuez !
Elle embrasse la paume de ma main et la pose sur sa poitrine.
- Je vous choque ?
Ce geste a du lui demander un courage extraordinaire, car elle semble gênée comme personne.
- Non, mais es tu sur de ce que tu veux ?
Elle se vexe et se lève brusquement. Elle se dirige vers la porte dentrée et louvre en grand.
- Et madame Barella ! Vous lui avez demandé si elle était sur ?Vous savez, tout se sait !
Je quitte le canapé et je me dirige vers la porte.
Je regarde la petite qui est très en colère. Elle a une main sur la porte et lautre, le poing fermé sur la hanche. Elle fait la moue.
Je claque la porte et je la colle contre le mur pour lembrasser passionnément.
Elle se débat un moment, puis elle se détend et passe ses bras autour de mon cou.
Je sens son petit corps ferme contre le mien.
- Je suis désolée, Line. Je navais pas le droit de vous parlez comme ca.
- Nen parlons plus. Jai très envie de taimer, Jessica.
Elle rougie et cache son visage en baissant la tête.
- Cest bien ce que tu désires, non ?
- Mais
Je ne lai jamais fait avec une fille. Je ne sais pas pourquoi, jai été comme envoutée par vous.
- Cest plutôt flatteur ma toute douce. Il nest pas trop tard. Tu peux encore faire machine arrière, tu sais.
- Non, restez ! Vous maiderez, dites ?
Elle est touchante. Je la sens tremblante et embarrassée.
- Tu sais, je crois que nous nous aiderons mutuellement . Hihi !
- Un thé ?
Elle file dans son petit coin cuisine pour faire chauffer de leau. Face à lévier, elle remplit la bouilloire.
Je me glisse derrière elle et la ceinture en posant mes deux mains sur son ventre. Je dépose un baiser dans son cou. Elle penche sa tête en arrière pour lappuyer sur mon épaule.
Elle reste bras ballant, sans doute hésitante encore à donner en échange.
Mes mains se promènent sur sa robe, sur son petit corps.
Tandis que lune delles empoigne un de ses fantastiques petits seins, menus et fermes, lautre se glisse sur son antre jambe.
Elle serre les cuisses comme si elle avait envie de faire pipi, avec une cuisse légèrement reportée sur lautre.
- Hihi ! Tu naime pas ma caresse ?
- Ho si, bien sur ! Mais ca me fait tout drôle. Javoue que je suis un peu intimidée.
- Il ne faut pas mon trésor ! Viens là !
Elle se retourne et je la prends dans mes bras. Nous nous enlaçons et nous nous embrassons longuement, très tendrement.
- Je vais te retirer ta robe. Tu veux ?
Je vais doucement, sans geste brusque, tout en douceur pour ne pas leffaroucher. Un à un, lentement, je fais sauter les boutons de sa robe.
Elle nose pas me regarder et baisse les yeux.
- Tu regarde mes seins ?
- Ho non ! Je suis
- Ouvre ma veste Jessica. Nais pas peur.
Ses petites mains tremblent délicieusement.
Je fais glisser sa robe sur ses épaules et la laisse tomber dans son dos.
Ses seins sont si menus quelle na pas besoin de soutien gorge. Elle ne porte quun mignon petit string rose. Elle est frêle mais pas maigre. Sa peau est très belle, soyeuse et douce.
Je laisse mes mains sur ses épaules afin de ne pas la gêner à extirper les boutons de ma veste de leurs illères.
Elle ouvre ma veste et laisse glisser ses doigts jusque sur mon ventre. La délicatesse de son geste me donne un long et agréable frisson.
Je retire ma veste et pour mon plus grand plaisir, elle passe ses bras autour de moi pour dégrafer mon soutien gorge. Je sens ses pointes dures frotter sur la dentelle et je les vois grossir.
Le soutien gorge tombe au sol. Tout doucement, je mécrase contre elle.
Je laisse le temps, à nos peaux, de faire connaissance.
La petite Jessica ferme les yeux et sa bouche sentrouvre pour laisser échapper un souffle de contentement. Jy glisse ma langue, quelle suce avec délectation et finesse.
Mes mains glissent sur le flanc de son corps et passent sous les ficelles du petit string rose.
Doucement, je dévoile son joli minou.
De son coté, elle entreprend de descendre la fermeture éclair de ma jupe, qui ne tarde pas à retrouver mon soutien gorge, au sol.
Sans doute du au trouble quelle ressent, elle ne fait aucune remarque sur le fait que je ne porte rien. Mais la-t-elle seulement remarqué ?
Je sens sa fourrure douce et lisse frotter la mienne.
Je nen peux plus. Je la veux.
Je linvite à sassoir sur le plan de travail de sa cuisine. Ce quelle fait de bonne grâce.
Je finis de lui ôter son string en le faisant glisser lentement le long de ses mollets.
Puis, jécarte ses genoux.
Son entre cuisse mappelle, mattire. Je mapproche de sa grotte. Comprenant ce que je mapprête à faire, elle lève une jambe et pose son pied sur le plan de travail.
Je vois son abricot souvrir délicatement.
Ma bouche est presque au contact. Je tire ma langue, formant une pointe en son bout et je viens titiller un magnifique petit clito, aussi beau que discret.
La petite démarre au quart de tour.
- Ho ! Ho ! Line ! Houu là ! Cest bon ! Ho ! Ho ! Ouii ! Ouii !
La petite salope mouille déjà, abondement.
Sa liqueur est suave, douce comme du miel.
Jintroduis maintenant mon organe et la pénètre un peu.
Elle se cambre, se soulève à laide de ses mains et pousse son minou contre ma bouche.
Elle en veut plus. Beaucoup plus. Alors je menfonce autant que je le peux, tout en faisant frétiller ma langue en elle.
- Hooo Line ! Line ! Ouiii ! Bouffe-moi bien ! Ho ouiii ! Mamannnn ! Hooo ! Cest trop bonnnn !
Je la dévore maintenant sans complaisance. Je veux quelle retire de cette expérience, bien plus que du plaisir. Je veux la rendre accro au genre féminin.
En fait, cette petite me plait tant, que je ne veux pas la voir partir au bras dun beau jeune homme musclé et bronzé.
Non !
Je la veux, pour moi !
Je la fais jouir de ma bouche, deux fois, trois, dix fois.
Son vagin coule comme une fontaine naissante et je my désaltère avec passion.
Jintroduis un doigt, puis deux. Je la ramone doucement, tout en moccupant de son bouton rose avec ma langue et un pouce.
Ses cuisses se mettent à trembler, comme prises de convulsions.
- Shiiiiiiiii ! Shiiiiiiiii ! Hoooo ! Lineeee ! Mouiiii ! Rghaaaaaaaa ! Hummmm !
Jai gagné. Elle lâche tout, comme un barrage qui cède. Elle se libère de tout liquide et inonde mon visage.
Puis, elle se recroqueville sur elle-même. Elle prend ma tête dans ses bras et la serre contre son ventre. Je crois bien quelle pleure.
- Ho Line ! Cétait si bon ! Si
! Ho merci ! Merci mille fois !
Nous nous reposons dans son canapé. Nous restons nues pour discuter et nous découvrir.
Puis, cest elle qui me donnera du plaisir, avec la maladresse de la débutante. Maladresse si attendrissante et touchante.
Je noublierais jamais létincelle de fierté qui illuminait son regard, après mavoir fait jouir.
En fin daprès midi, je suis repartie retrouver mon homme et mes s, avec dans le cur le souvenir dune journée toute particulière.
Pour Line. Mon ange
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