Comment Perturber Mon Chéri D'Écrivain
En entrant dans le salon, je te vis penché devant son ordinateur. Ton air concentré me fit deviner que tu étais en pleine écriture. Tu me disais réfléchir depuis quelques jours à la rédaction dune nouvelle.
Aussi je mapprochai et déposai un baiser furtif dans ta nuque avant de filer dans la salle de bain.
Après avoir passé une après midi de courses dans la chaleur et la foule, jappréciai les bienfaits dune douche rafraîchissante.
Malgré le bruit de leau qui ruisselait à flot sur mon corps, jentendais le crépitement des touches du clavier de lordinateur. Linspiration de mon chéri était au rendez-vous. Javais hâte de venir lire le premier jet.
Je pris le temps de me sécher et de parfumer chaque parcelle de ma peau avec la fragrance quil préférait.
Jenfilai une robe aérienne dans les teintes turquoise et brun. Je maquillai mes yeux dun dégradé assorti et posai sur mes lèvres une touche de rouge carmin. Je souris à mon reflet en pensant que javais pour idée de distraire lattention de mon écrivain préféré de sa rédaction.
Quand jouvris la porte, il détourna effectivement ton regard de lécran et un large sourire illumina son visage.
« Je peux venir jeter un il sur tes écrits mon chéri ? »
Et je me penchai au dessus de ton épaule pour découvrir, au bout de quelques lignes, lhéroïne en proie à de doux supplices.
« Huuuuuuum, et si tu les laissais tranquilles un petit moment ces deux là ? Je crois quils ne vont pas sen plaindre !! » Suggérai-je en masseyant à califourchon sur ses genoux, face à lui.
Aussitôt nos bouches sapprochèrent lune de lautre dans une lenteur calculée, jusquà seffleurer, puis nos lèvres se lutinèrent, nos langues se cherchant pour commencer leur danse endiablée.
Je sentais la chaleur de tes mains, que tu faisais glisser sur le tissu léger de ma robe. Les miennes caressaient ton cou et tes épaules, simmisçant dans léchancrure de ton t-shirt.
Je sentais nos curs accélérer leur tempo au fur et à mesure que nos doigts se faisaient conquérants, les tiens frôlant maintenant délicatement la peau de mes cuisses, de mes fesses, remontant insidieusement sur ma taille. Je gémis doucement sous leur reptation et des frissons de volupté menvahirent
Je sentais ton désir se tendre contre le satin de ma culotte et mes gémissements sintensifièrent en même temps que le soyeux tissu shumidifiait voluptueusement.
Quand je commençai à onduler des hanches, nos baisers se firent plus profonds et ardents. Mes mains cajolèrent ton torse, titillèrent au passage tes tétons et atteignirent petit à petit la lisière de ton string noir. Mes doigts agiles semployèrent à dégrafer un à un les pressions du sous-vêtement, libérant ainsi ta queue gorgée denvie.
Je me soulevai légèrement et tu en profitas pour faire courir un doigt sur le doux rempart, insistant un instant sur ma petite perle en feu.
Tu prenais plaisir à attiser la braise en moi par de sensuelles arabesques, jusquau moment où tu me retournas face à l'écran.
"Tu voulais lire, chérie. Alors fais-le."
Et alors que certains mots me faisaient déjà frémir, je sentais dans mes reins ta raideur prometteuse.
Et puis tes mains s'emparèrent de mes seins, libres de soutien-gorge, les soupesant à travers le tissu de la robe. Ta bouche se promenant sur mes épaules, laissait quelquefois darder sa langue humide, que jimaginais déjà ailleurs.
Je savais bien que tu voulais me faire attendre ; à déjà m'étourdir des mots de ton texte. Et moi je me pris au jeu. Je découvris cette Sophie râlant, alors que son amant, alternativement, suçait ses tétins et les faisait rouler entre ses doigts comme de la pâte à modeler.
Toi, tu devais bien lire en même temps que moi, car les tiens frôlèrent mes aréoles jusquà ce que mes framboises sallongent à tendre la soie.
Ta bouche mangeait mon lobe doreille et tes doigts pinçaient tendrement les bouts de mes seins.
Tu te mis à me peloter outrageusement en me susurrant à loreille :
« Tu mouilles autant que ma Sophie ? »
« Comment ça ta Sophie ? » Moffusquai-je en faisant la moue.
Oh coquin ! Je sentis tes deux mains remonter le bas de ma robe sur mes jambes, si lentement et si doucement que la frustration lemporta sur le plaisir jusquau moment où ton médius frotta mon sillon. Je ne pus retenir un petit cri de libération quand tu commenças à me branler.
Oh tu connaissais bien ton livre puisquau même moment, sous mes yeux, ton personnage masculin glissait la main dans le string de cette dévergondée pour lui frotter le clito.
Je compris très vite pourquoi dévergondée métait venu à lesprit ; cétait la hâte à me faire bouffer la craquette par ta langue si agile qui me faisait la jalouser.
Je me surpris à tant de frénésie, mais les phrases couchées sur le papier étaient aussi explicites quexcitantes. Alors, te sachant friand de mots verts et moi désireuse de me faire faire du bien, je laissai aller ma tête en arrière dans ton cou.
« Broute-moi la minouche chéri ! Mets-moi ta langue profond ! »
Tu libéras un de mes seins pour pousser ton portable sur le côté, puis mattrapant par les hanches tu me soulevas et massis au bord de ton bureau. Tu membrassas fougueusement en me murmurant :
« Oui ma poupée, jai faim de toi et je vais te la butiner ta jolie minette !!! »
Tu te postas à genoux devant moi, tes mains reprirent leur ballet sensuel depuis mes mollets, sarrêtant un instant dans le creux de mes genoux, puis remontèrent encore, encore. Les frissons de désirs menvahirent, du coccyx jusquà la nuque.
Tes avant bras retroussant alors ma robe, jécartais, tentatrice, mes cuisses halées, offrant ainsi à ta vue le soyeux de ma culotte. Tu inclinas ta tête pour déposer tes lèvres à lintérieur de mon compas, et marrachas un cri de plaisir en passant prestement ta langue sur le tissu, longeant toute ma faille.
«mmmmmmh !!Ta culotte est toute trempée, mon chaton et jai soif de ton jus !»
Tes mains simmiscèrent tout dabord sous le tissu, palpèrent un instant mes douces collines. Mon envie devenait de plus en plus pressante, je tendis mon ventre vers toi. Mes mains remontèrent de tes épaules pour venir maintenir ton visage contre ma féminité frémissante. Tu résistas juste le temps de faire rouler la fine lingerie sur mes hanches, jusquà la faire voltiger dans la pièce.
Je relevai mes jambes, reculai mon assise pour poser mes pieds sur le bord du meuble.
Tu appliquas alors soudainement tes lèvres sur mon chaton offert. Je poussai un « Oooooooooooooooooh !!!» dextase qui fit s'arquer tout mon corps. Je sentais que ma jouissance était proche mais que tu voulais me faire encore languir un peu, pour la rendre plus intense.
« Regarde ma chérie, comme jaime te lécher » Alors, mes yeux rivés dans les tiens, tu commenças ta divine .
Jétais hypnotisée par la coquine, qui ne faisait que passer tout autour de mon abricot épilé, et qui, quand elle me sentait ne plus my attendre, lapait soudainement mes lèvres intimes dune interminable glissade me tirant une longue plainte. Et tes yeux bruns au milieu de ce visage tendu ! Ils semblaient me jauger avec une telle acuité que je dus en rougir ; alors que ta muqueuse recommençait son supplice. Du bout, elle laissait une trace humide tout autour de ma corolle, avant dencore assaillir de toute sa surface ma fente inondée.
Quand elle voulut me quitter à nouveau, je sus que tu ne me dévorerais pas la figue tant que je ne taurais pas supplié. Et je savais aussi que les mots que jallais prononcer allaient me remuer toute entière parce que lenvie me rendait audacieuse.
« Oh Fabrice, bouffe-moi, je nen peux pluuuuus !!! »
Alors tu te saisis de mes hanches pour que je néchappe pas à ton emprise, et collant tes lèvres sur celles de ma foufoune, tu léchas dabord copieusement mes replis pour déloger mon bouton et le gifler.
Mon ventre se soulevait à chaque fois que tu me fouillais, et jaccueillais chaque brûlante intrusion avec un soupir de contentement.
Tu dus sentir comme je commençais à vibrer, car tes doigts se crispant sur ma croupe et tes yeux se plantant dans les miens, tu accéléras la sucette.
« Viens ma chérie », mencourageas-tu.
Avant de te remettre à lécher opiniâtrement mon clitounet et me cingler à nouveau de tes mots excitants :
« Viens sur ma langue bébé damour ! Donne-moi ton sirop ! Vieeeens ! Ouiiiiii ! »
« Oh Fabriiice ! Ohhhhhhhhhh » criai-je en réponse à ta supplique, alors que je ne pouvais détacher mon regard du spectacle cru qui soffrait à nous : mon ventre tout tremblant libérant sa mouille sur ta bouche accueillante.
Alors me connaissant très bien, tu me soulevas à nouveau pour me déposer doucement sur le canapé dangle, et te précipiter bouche la première sur mon con ruisselant pour reprendre la sucette où tu lavais laissée.
« Ouiiii ! Encore mon trésor, demandai-je ! »
Mmmhhh que cétait bon ! Cette fois, ta langue commença sa course dans ma raie duveteuse, enduisit ma pastille brune de salive, et finit sa course entre mes lèvres intimes. Jadorais ce subtil va-et-vient qui augurait dun aboutissement particulièrement tentateur.
Calée dans les coussins moelleux du divan, je me laissai laper avec délectation. Mais quand tes paumes se pressèrent sur mes rondeurs jumelles, une nouvelle onde de désir menvahit, libérant mes envies secrètes. « Oh oui Fabriiiiiiiiiice, excite bien ma rondelle, sens comme elle vibre pour toi, chéri » Il ne ten fallu pas plus pour venir coller tes lèvres à mon petit pétale brun, ta langue se vrillant audacieusement en son centre. Tes mains me pétrissaient mes lobes, et quand ta bouche abandonnait mon macaron, cétait pour venir enflammer de plus bel mon clito tendu, puis repartait à lassaut de cette porte dérobée qui ne demandait quà être franchie par ton membre.
«Oh !! Mais je sens que tu touvres ma cochonne !! » Me dis-tu en plongeant ton regard dans le mien. « Huuuuuum, je te veux chéri, je te veux partout » et sans quitter le moindre instant tes beaux yeux enfiévrés, je soulevais mon bassin pour revenir au contact de tes baisers si osés, puis je me saisis dune de tes mains et lentrainai malicieusement dans ma vallée.
« Tu veux mon doigt, chaton damour ? »
« Pour commencer mon trésor
. »Te répondis-je effrontément.
Tu te plaças à mes côtés sur le sofa, humecta ton médius et vint lui faire décrire de divines arabesques sur lilleton convoité. Dabord tout en effleurements, puis ceux-ci se firent plus appuyés. Tes autres fripons ne restaient pas inactifs pour autant, et singéniaient à intensifier le flot de mon nectar qui venait ainsi huiler lentrée de mon puits damour.
Et toujours nous fixant intensément, tu maintins un instant ton doigt immobile. Alors javançai fermement mon bassin pour me sentir me dilater sur lui et aspirer ta première phalange. Nos lèvres sécartèrent à lunisson, proférant un « Ooooooh ! » de contentement mutuel.
« Oui ma belle, happe mon doigt »dis-tu en le faisant tourner doucement pour écarter un peu plus mon tunnel
..et je mempalai plus profondément jusquà lengloutir totalement, laissant séchapper un long râle de satisfaction.
« Ton fourreau est tout aussi humide que ta chatte, ma poupée » et tu accélérais sensiblement tes-va et-vient, tout en me branlant de ton pouce. Tu me voyais savourer ton doigtage au-delà de toute espérance, me sentant si fébrile sous ta sublime caresse. Tout mon corps tremblait sous la vague dextase qui sannonçait.
« Cest bon ma chérie !!! Jouiiiiiiis ma beauté
» Et pendant que mon cri retentissait dans toute la pièce, je sentis mes yeux se révulser sous lintensité de ma jouissance. Tout mon corps sarc-bouta et je retombais contre les coussins du sofa en haletant. Mais nous savions tous les deux quune seconde vague déferlerait à la moindre de tes sollicitations. Et ta bite arrogante, tendue et érigée me rendit incendiaire
Je retirai tendrement ton doigt de sa geôle, me retournai, et magenouillai devant toi. Soutenant impudemment ton regard qui me jaugeait dans le miroir suspendu au dessus du canapé, je te lançai sans vergogne:
« Je veux ta queue Fabrice, sodomise moi ! Viens gicler dans mon cul, mon chéri !! » Et décidée à tallumer un maximum, jondulai mon bassin pour frotter ma raie contre ton dard insolent.
A chaque fois que ton bourgeon glissait sur ma bague dilatée, jespérais quil allait sy arrêter et finir par la forcer dune courte poussée. Mais je te reconnus bien là quand faisant fi de mon bassin qui se reculait vers toi pour te signifier mon envie pressante, tu continuais ton manège, passant et repassant pour ménerver plus encore.
Et cest quand mes yeux rencontrèrent de nouveau les tiens dans la glace, que ton glaive descendit un peu plus bas et sengouffra dun coup de reins au fond de mon abricot.
« Annhhhh ! » Fis-je, moitié déçue moitié enchantée par cette possession inattendue.
Et toi, regard sérieux toujours fixé au mien, tu fustigeas ma libido exacerbée en me disant à loreille :
« Ouiiiii petit chaton, je vais saillir ta croupe ! Mais avant, tu vas bien huiler ma trique avec ton jus de fille ! »
Et ton ventre claquant contre mes fesses, tu me fourras quelques longues secondes, le temps que mes sucs lubrifient ton membre et que ma gorge laisse échapper de petits cris.
Enfin, ta main le tenant fermement, ton mandrin se posta à mon entrée frémissante et senlisa du gland, comme avalé par ma petite étoile froncée.
« Oooohhhhh ! » Gloussai-je en ressentant tout le plaisir dû à la friction délicieuse.
Ton immobilité me frustrait et je reculai mes hanches pour tavaler un peu plus, roucoulant à la nouvelle onde qui montait le long de ma colonne vertébrale.
« Tu la veux toute entière, hein mon trésor ? »
Bien sûr que je la voulais de toute sa longueur, à me tarauder longuement et profondément ! Ce contact si serré faisant de la glissade progressive un véritable feu dartifice sensoriel, je le voulais à linfini.
Jengloutis encore un peu de ta raideur, pour le pied que jy prenais, avant de men gaver enfin jusquà la racine dans une longue plainte.
Quand je levai les yeux dans le miroir, tes yeux y étaient à mattendre et je nosai pas dire combien je te voulais, alors que jétais déjà pourtant loin de ma réserve.
Mais toi sacripant, ta langue verte était toujours en verve quand il le fallait. Et cette fois-ci, alors que tu me saisissais à la taille pour me masser la cocarde de ta trique en la ressortant presque, tu ne murmuras pas pour me dire :
« Je vais tenculer longuement mon poussin! Et tous les deux, on va astiquer ton bouton pour que je tentende haleter de plaisir ! »
A ces mots si expressifs, un frisson me parcourut jusquà la nuque alors que tu menfilais à nouveau de toute ta présence, poussant mon ventre contre le dossier du canapé moelleux.
« Maintenant Odile ! Prends-la bien mon amour ! », continuas-tu alors que tes allers-retours étaient plus rapides et que je te gainais aussi savoureusement que tu me forais.
« Branle chérie ! » Me dis-tu alors que tes doigts sétaient saisi des miens pour les amener sur mon minet sirupeux.
Alors à grandes vagues interminables et ondulantes, tu me montas comme une pouliche, une main pelotant chacun de mes tétons, et lautre, les doigts mêlés aux miens, malaxant mon minou pour y triturer mon clito incandescent.
Mon plaisir poignait à nouveau, mais une idée te vint subitement.
« Viens tempaler sur moi mon ange ! Cest toi qui vas mener la danse ! »
Et assis au bord du canapé, tes paumes épousant les rondeurs de mon cul, tu me fis masseoir à cheval sur toi dos tourné. Mes fesses glissèrent sur ton ventre et mon étui resserré engloutit de plus belle ton pieu turgescent.
Ma tête dans le creux de ton épaule, mes lèvres soudées aux tiennes, je fermai les yeux pour savourer intensément cette voluptueuse possession. Pour bien rythmer le balancement de mon bassin, jappuyai mes pieds sur la lourde table basse postée devant nous. Je me soulevai légèrement, dégainant ta queue de son fourreau, sans toutefois la libérer totalement. Puis je labsorber de nouveau jusquà la garde. Ces allers et venues attisaient ardemment ce feu qui me brûlait les entrailles.
Tu susurras soudain à mon oreille « Regarde comme tu es belle ma chérie !! »
Jouvris alors les yeux. Quelle ne fut pas ma surprise en remarquant que tu nous avais malicieusement installés juste en face de la psyché. Ton regard enfiévré sy reflétait « Vois comme tu tenfiles bien ma bite, ma chérie !! »
Le spectacle de nos deux corps imbriqués exacerba violemment mes sens. Mes prunelles demeuraient hypnotisées par la vue de ton chybre qui coulissait avec ampleur dans mon cul offert.
Inconsciemment jaccélérai la cadence de ma chevauchée oubliant toute retenue je te suppliai « oh chériiiiiiiiiiiiiiiiii, pilonne-moi fort
.. » et tes hanches se mirent en branle, saccordant aussitôt aux miennes dans une joute frénétique.
Ta main droite pétrissait mes seins gonflés de désir, pinçant doucement les tétins tendus à lextrême. Lautre farfouillait ma motte béante dun doigt inquisiteur, ou frôlait mon bouton embrasé. Je mêlai alors mes doigts aux tiens pour mettre un terme à mon divin supplice et atteindre enfin léruption érotique.
« Fabrice, viens avec moi
.Fabriiiiiiiiiiiiiiiiiiiice !!!»
« Oh oui ma chérie, serre moi fort dans ton cul mon trésor
encore
.je vais gicler
je vais te crémer le cul
..mmmmmmmh, ouiiiiiiIIIIIIIIIIIIIii !!! Je sentis aussitôt les spasmes de ta queue délivrer le flot de ton foutre chaud. Ma gorge laissa séchapper un nouveau chant de volupté. Tes sourds gémissements attestaient aussi de la violence de ton orgasme.
La tension de nos corps se relâcha et nous restâmes enlacés, essoufflés par lintensité du plaisir atteint. Le miroir renvoyait limage de nos visages radieux. Nos doigts se nouèrent intimement et nos lèvres se cherchèrent immédiatement pour un long baiser de tendresse.
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