Retour De Cuite

Il arrive totalement ivre. Je ne sais à qu’elle réunion d’agent d’assurance Michel a participé, en
tout cas, les bouteilles lui ont servi pour se torcher. Nous habitons à une trentaine de kilomètres
de chez lui. Jeanine, ma femme voudrait l’empêcher de partir: il risque de faire l’amour avec un
platane. Une bonne sieste lui ferai le plus grand bien. Il refuse, buté sur son intention de
rentrer chez lui. Aux grands mots, les grands remèdes. Jeanine le mettra dans la voiture, elle
prendra le volant et le mènera chez lui. Je suivrais avec notre voiture pour pouvoir revenir.

Michel s’endort presque de suite. Ma femme s’en félicite, au moins il ne cherchera pas à la peloter
comme il fait souvent.

Nous arrivons chez Michel, sa femme Dédé vient à notre rencontre. Un baiser sur les joues, nous
portons ce pauvre Michel à l’intérieur. Les deux femmes insiste pour le mettre dans la chambre.
Elles vont plus loin, elles le déshabillent. Bien sur ma femme regarde le principal: la bite
pendante qui donne une idée de sa grandeur quand il bande.
Dédé et Jeanine échangent leurs impressions.

Parait-il qu’il baise très bien. Dédé donne même des détails:
- Il me la met dans la chatte après m’avoir sucée. J’ aime sa langue sur mon clitoris. J’aime aussi
quand il me la met au cul. Comme j’aime me branler en même temps je jouis toujours beaucoup. En
plus, il aime que je l’encule avec notre gode: il se branle pendant ce temps, ou je le suce, ça
dépend. En tout cas nous ne nous ennuyons pas au lit;
- Arrête, demande ma femme, tu es entrain de m’exciter. Je mouille.
- Moi aussi, qu’est-ce que tu crois.
- Si tu continue je demande à Pierre (c’est moi) de me baiser.
- Il pourrait me baiser aussi ?
- Demandes le lui.
- Pierre peux tu me baiser ?
Je suis surpris de la conversation. Je ne vais pas baiser deux nanas comme ça sur commande.


- Dis moi Jeanine il ne bande pas, ton mari ?
- Si tu vas voir.
Ma femme vient vers moi, prend ma bite dans sa main, la fait sortir de son habitat normal. Bien sur
que je bande.
Dédé s’approche avec un regard vorace. Si elle me touche un peu la bite, elle s’attache surtout à la
prendre dans la bouche. Et que fait ma femme? Rien, sinon de regarder la bite morte de Michel.
Je ne trouve rien à redire à la fellation de Dédé. Elle me suce parfaitement. Jeanine semble
profiter de l’occasion pour s’emparer de la bite de Michel: s’il est ivre, il n’empêche qu’il bande.
Jeanine sait aussi parfaitement sucer. Elle retient surtout que Michel aime se faire mettre par le
cul. Pendant que la bite est dans sa bouche, elle passe une main entre les cuisses pour chercher le
trou du cul. Elle le trouve vite et nous le voyons bien, avec Dédé, elle commence à faire aller et
venir des doigts dans le cul.
J’arrive à faire cesser les succions de Dédé pour la caresser avant d’aller plus loin avec elle. Ce
serait notre première fois. Je suis drôlement surpris quand ma femme demande à Dédé de venir la
sucer. Je ne savais absolument pas qu’elle aimait ce genre de jouissance.

Ma femmes est assise sur le bord du lit, la bite de Michel dans la main, les jambes bien écartées,
montrant à Dédé et à moi sa foufoune. Ce qui m’étonne est que Dédé se prête au jeu: elle se penche
sur l’entre jambe de ma femme, avant de se mettre à genoux, en me présentant ses fesses, sans le
vouloir. Moi, quand je vois une belle paire de fesses je ne résiste pas. Je me fous à poil, avant de
venir vers ce cul offert. Je n’y rentre pas de suite, je l’annonce avant. C’est Jeanine qui répond:
- Vas y mets la lui, elle aime se faire mettre par là.
- Elle te suce bien ?
- Oui, c’est bon, comme avec toi.
- Et la bite de Michel ?
- J’attends un moment pour me la mettre je ne sais où.

Dédé ne dit rien: elle a la bouche pleine de la chatte de ma femme. De plus elle gémit de ma
sodomie. Je suis sur le point de jouir. Heureusement que Michel sort de sa cuite aussi brusquement
qu’il y est entré.
Tout est remis en question: Jeanine lâche la bite bandée, Dédé ne bouffe plus la chatte de ma femme;
et je sors de son cul.
Michel, tenu à l’écart de nos conversations veux sa part. S’il est toujours allongé, il bande comme
un âne. Les femmes sont enfin nues. L’inquiétant est qu’il regarde ma bite avec envie.
- Viens que je te suce.
- Qui moi ?
- Bien sur, Dédé a du te le dire je suis bisexuel et maintenant j’ai envie de te sucer et après tu
m’enculera pendant que je baiserai ta femme.

Celle-ci réagit: la bite de Michel lui plait bien.
- Et Dédé, je la baiserai ?
- Non, répond celle ci: je préfère la langue de ta femme.

Nous sommes dans une drôle de situation: personne n’a jamais rien demandé, ni moi, ni Michel, à
peine ma femme, et nous sommes tous d’accord pour baiser ensemble.
Pourquoi refuser ce qui est agréable.

Jeanine est la première à se mettre dans le rôle de salope qui lui va assez bien il faut le dire.
Elle m’embrasse sur la bouche, rapidement, embrasse longuement Dédé sur la bouche: je vois la main
de Dédé s’attarder sur la chatte. Enfin elle se couche sur Michel, lui écrase la bite en
l’embrassant aussi.
Pour essayer une fellation avec un autre, je m’approche excité à la pensée de mettre ma queue dans
la bouche de Michel. Il prend ma bite dans sa main, me branle un instant: c’est bon. Il sait me
branler comme je le fais. Je veux le masturber à son tour. Il me laisse faire: les deux femmes nous
regardent comme nous les regardons quand elles se branlent mutuellement.
Je constate que quand on dit que seuls les hommes savent bien branler les hommes c’est vrai.
Pareillement entre filles.


Enfin il met ma pine dans sa bouche. Il est parfait pour réussir ce genre de fellation. Si ma femme
me suce royalement, avec lui c’est impérial. Il sait s’arrêter longuement, reprendre quelques
secondes pour s’arrêter. Les filles nous regardent toujours, Ma femme plus que l’autre sans doute
puisque c’est ma queue, la sienne qui est dans la bouche d’un autre homme. J’ai arrêté de le
branler, je ne peux pas faire ces deux choses simultanément. Il cesse pour accomplir son vœux: il
fait venir Jeanine, se met sur elle, arrive à la pénétrer très facilement tellement elle est
excitée. Il commence à la baiser. Quand il atteint un certains niveau il me demande de venir la lui
mettre.
C’est sa propre femme, Dédé qui me guide pour aller dans ce cul masculin. J’entre facilement alors
que je pensais forcer une barricade. Dédé n’est pas isolée, elle s’est assise sur la figure de ma
femme qui lèche sa chatte.
Je donnerai cher pour avoir une photo de cette baise insensée. Une bite dans un con, une autre dans
un cul, une chatte sur la bouche d’une autre femme. Chacun fait ce qu’il faut pour ne pas jouir
trop vite, sauf les filles qui se donnent à fond dans la débauche.
Je sens Michel jouir à travers son cul. Je ne saurai jamais s’il a eu un orgasme à cause de moi ou
de l’ensemble. J’aime à penser que c’est grâce à ma bite dans son cul.
Dédé sait comment faire rebander son mari, c’est logique, elle se met sur lui pour s’empaler sur la
bite bien droite.
Ma Jeanine me veut maintenant. Elle me prend dans la bouche, me passe un doigt sur le cul et me
voila parti dans une belle érection.
Je la couche à coté de Michel, elle pose ses talons sur mes fesses et me voilà en elle facilement,
elle est encore pleine de sperme de Michel. Ce n’est pas gênant. Je vais et viens dans son vagin, je
sors souvent pour entrer à nouveau. Son pubis est à la recherche du mien.
Elle lâche mes reins pour
poser ses mains sur mes fesses et l’une d’elle passe dans la raie des fesses. Ce que je craignais
arrive; elle entre deux doigts directement dans mon anus.
- Tu vois comme c’est bon d’avoir des doigts dans le cul quand on baise.
- Tu as raison, continu.
- Je vais demander à Michel de venir t’enculer.
Le plus fort est qu’elle le fait et que Michel vient sur moi. Son gland est vite sur mon anus. Je
suis encore dans le con de ma femme quand il veut entrer. Heureusement qu’il est mouillé de la
cyprine de Dédé. Il force le passage en me faisant presque hurler. Je me retiens pour faire plaisir
à Jeanine. S’il m’enculait comme il le fait sans la présence de ma bite dans une chatte, je ne
l’accepterai pas. Petit à petit, mon cul se fait à la présence de sa bite. Il va doucement dans ses
vas et vient. Brusquement quand il sent que je suis détendu, il accélère ainsi que Jeanine. Je sens
quand il jouit en moi, je sens aussi mon plaisir monter très haut quand à notre tour, avec ma femme
nous avons nos orgasmes en même temps.
Il est temps de cesser nos amusements.
Jeanine me demande de recommencer souvent à me faire mettre devant elle: elle a beaucoup aimé; je
lui demande la même chose: baiser devant moi une autre fille.

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