Premiers Émois

Bonjour,
L’histoire que je voudrai vous raconter remonte à mon adolescence, alors que je venais d’avoir tout juste seize ans.
J’avais été pubère peu après mes douze ans et maman m’avait seulement dit que c’était normal et que dorénavant, cela allait être comme ça tous les mois. C’est une amie qui m’a mise au courant de ce qu’étaient les règles et à quoi cela servait. De même m’a-t-elle expliqué comment étaient faits les garçons et ce qui, chez eux, sortait de leur zizi, lorsqu’on le caressait. Elle avait un frère un peu plus âgé et me disait qu’elle l’avait déjà fait juter. Information pas très bien comprise et que je n’avais, bien évidemment pas l’occasion de vérifier personnellement, puisque ma mère m’interdisait de voir des garçons.
La seule chose qui m’arrivait, en dehors des périodes inconfortables des règles, depuis que je devenais jeune fille, comme disait ma tante, c’était des sensations un peu bizarres lorsque je me lavais. Je sentais les tétons de mes petits seins se dresser et mon minou me donnait d’agréables sensations de chatouilles. Oh, je ne dirai pas que j’étais excitée, pas encore à cette époque, mais je ressentais inconsciemment des choses, jusque là inconnues de mon corps et qui me troublaient bizarrement.
Si ma mère entrait tout naturellement dans la salle de bains ou dans ma chambre, en revanche, papa me demandait depuis ce moment fatidique de mes premières règles, s’il pouvait entrer. Évidemment, je répondais toujours oui, même si je me trouvais nue, et j’étais alors surprise de le voir détourner son regard. Pourquoi ne regardait-il plus sa petite fille comme avant ? Au début, je croyais qu’à cause de la transformation de mon corps, il ne m’aimait plus. Et pourtant, pensais-je, je deviens comme maman, et elle, il l’aime ! Bref, je vivais une période de doutes et de difficultés affectives.
C’est donc à seize ans, comme je le disais au début de mon récit, que les choses ont changé, que mes doutes affectifs se sont dissipés, que mes premiers plaisirs sont apparus.

Papa venait d’avoir un accident et devait être alité pour plusieurs semaines. Une infirmière venait chaque jour pour les soins et maman avait fort à faire à s’occuper de lui. Aussi fut-il décidé de m’envoyer passer les vacances d’été en province, chez une cousine de Maman. Cousine Lise, un peu plus âgée que maman, était mariée, mais avec son mari, cousin Gaston, ils n’avaient pas d’. Aussi acceptèrent-ils avec empressement, pour soulager maman, de me recevoir pour mes vacances. Il avait été convenu qu’un ami commun, qui descendait en vacances avec sa femme et ses deux fils, me laisserait en chemin et que cousin Gaston et cousine Lise me remonteraient ensuite pour venir voir mes parents. J’avoue bien volontiers que j’accueillais la nouvelle avec quelque plaisir, étant donné qu’à la maison, l’ambiance n’était pas réellement au beau fixe. Bien sûr, c’était dommage pour mon père, mais je croyais sincèrement que c’était une juste punition qui lui était infligée, puisqu’il ne m’aimait plus comme avant. Quant à maman, elle m’agaçait avec ses surveillances continuelles, ses remontrances lorsque je rentrai de l’école avec quelques minutes de retard, ses suspicions de me croire continuellement en compagnie des frères de mes copines. Je n’avais pas le droit de côtoyer celle-ci qui avait un grand frère un peu trop dissipé, pas non plus celle-là qui était toujours fourrée avec une bande de garçons. Bref, ce départ en vacances chez cousine Lise et cousin Gaston tombait on ne pouvait mieux.
A mon arrivée chez cousine Lise et cousin Gaston, je fus reçue avec empressement, embrassée avec effusion, montrant manifestement une réelle joie de m’accueillir. Lorsque les amis eurent repris la route, cousine Lise me mena à ma chambre pour m’aider à ranger mes affaires. Cousin Gaston me fit l’honneur de son jardin, dont il était fier. Jardinier municipal, il entretenait le sien aussi bien qu’un parc communal, et je le trouvais vraiment très joli.
Puis ce fut le repas du soir. J’aidai cousine Lise à mettre la table et je mangeai de bon appétit, ma grande cousine ayant eut soin de préparer ce que j’aimai.

Le repas terminé, cousine Lise me montra la salle de bains, où je fis un brin de toilette, nullement gênée de sa présence. Ensuite je revêtis, en guise de chemise de nuit, un de mes vieux tee shirt favoris. J’adorais ce tee shirt à l’effigie de Minie, un peu rapiécé et qui ne m’arrivait plus tout à fait sous les fesses. A la maison, maman refusait bien sûr que je me promène ainsi vêtue, mais, en insistant un peu, j’avais quand même le droit de le porter pour dormir. Cousine Lise, sans faire aucunement allusion à mon court vêtement, me dit que si je voulais, je pouvais aller rejoindre cousin Gaston, pour regarder la télévision, tandis qu’elle ferait sa toilette.
J’allais donc à la salle à manger, vêtue simplement de mon tee shirt, sous lequel je ne portais évidemment rien. Cousin Gaston était assis à la table et regardait la télévision. Lorsque je me suis approchée, il passa un bras autour de ma taille, et m’attira contre lui. Prenant son geste pour une invitation, je me suis glissée sur ses genoux. Cousin Gaston posa sa main sur ma cuisse et la laissa là, sans bouger. Je ne me suis nullement offusquée de ce geste, que j’ai pris pour un simple geste affectif.
Cousine Lise avait terminé sa toilette et nous rejoignant, s’est assise de l’autre côté de la table, vêtue d’une chemise de nuit qui lui arrivait tout juste au dessus du genou.
J’ai senti la main de cousin Gaston caresser doucement ma cuisse. Pas entièrement, juste quelques centimètres. Là encore, je ne voyais dans son geste qu’une preuve d’affection, sans penser à rien de mal, même lorsque sa main a commencé à étendre un peu plus sa caresse. Lentement, sa main s’est mise à faire des geste plus larges. J’appréciais sa caresse simplement, dirai-je, parce qu’elle comblait mon manque affectif. Si bien que je n’ai rien dis lorsque, à un moment, sa main remonta suffisamment sur le haut de ma cuisse pour effleurer mon sexe. Bientôt, j’ai senti que sa caresse se faisait moins ample, restant plus sur le haut de ma cuisse et ses doigts frôlant plus souvent mes poils, ma fente.
J’en ai ressenti une sensation jusque là inconnue mais agréable et je n’ai pas bougé. Lorsque cousin Gaston a senti mon clitoris se durcir et sortir de sa cachette, il a sans doute compris, tandis que je ne faisais rien pour fuir sa caresse, que je ne me dérobais pas à son geste. Il a alors laissé un doigt titiller mon bourgeon. Cela me procurait une sensation à la fois étrange et agréable. Cousin Gaston a continué ainsi, tant que nous avons regardé le programme de télévision, laissant sa main caresser ma cuisse et ses doigts effleurer délicatement mon bouton. Le programme de télé terminé, cousine Lise a éteint le poste et nous sommes allés nous coucher.
Le lendemain soir, le même scénario s’est produit. Après ma toilette, je suis allée me blottir sur les genoux de cousin Gaston qui a recommencer, comme la veille, à caresser ma cuisse, laissant sa main remonter doucement jusqu’à ce ses doigts atteignent mon sexe et titillent à nouveau mon bourgeon durci.
La chose a duré toutes les vacances d’été et je dois reconnaître que j’y ai pris goût.
En ce qui me concernait, je dois dire que, dans mon ignorance de la sexualité, j’avais pris ce geste pour un jeu bien innocent, compte tenu de ce que j’ai surpris quelques jours plus tard.
Lorsque j’étais au jardin, avec cousine Lise ou quand je l’aidais au ménage et que je la voyais accroupie, j’avais remarqué que le plus souvent, elle ne portait pas de culotte. Surprise la première fois que je constatais le fait, j’avais fini par ne pas y porter vraiment attention. Mais à deux reprises, j’ai surpris, heureusement sans qu’ils ne me voient, cousin Gaston glisser sa main sous la blouse de ma grande cousine. Loin de se fâcher, celle-ci lui disait en riant : « As-tu finis, grand coquin ? » Ce à quoi il répondait, riant également : « Je fais juste un coucou à ma petite fleur préférée. » Et cousine Lise lui faisait alors un bisou, sans faire mine se dégager de la main qui était remontée très haut sous sa blouse.
Innocemment, je croyais qu’effectivement cousin Gaston considérait la nénette de cousine Lise comme une fleur et caressait son bourgeon comme il le faisait délicatement avec les fleurs de son jardin.
De ce que j’avais surpris, j’imaginais que, lorsqu’il me caressait le soir sous la table, il devait sans doute se dire que j’avais, moi aussi, une petite fleur qui s’épanouissait.
Je n’ai pas eu d’autre expérience sexuelle avant mes fiançailles quelques huit années plus tard, qui bien sûr, n’avait rien à voir avec ces premiers plaisirs, dont je garde encore un souvenir nostalgique…
En espérant que mon histoire vous aura fait rêvé.

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