Son Amant.

Un grand hopital.
Le soir.

Une ville dans la ville, des rues, des voitures, des parcs et des gens.


Ils ont l'air stressés pour certains, résignés pour d'autre ... nous sommes dans un hôpital.
Je ne détonne pas dans cette environnent, mon air mal à l'aise doit se voir à 100M.

Impatient, fébrile ... inquiet.

Je la regarde à cote de moi, à mon bras. Elle a l'air à sa place comme un diamant dans un carré de patates. Ses pieds ne touchent plus terre tandis qu'elle me guide avec difficulté dans ce dédale de rues.

Elle retrouve enfin le bâtiment de logements qu'elle cherchait, et après un "on y va ?" enjoué elle me pousse à l'intérieur.

Je vais enfin le rencontrer ! Je ne connais de lui que les traces qu'il a laissé sur son corps alangui les jours précédents, je ne connais de lui que ses trous lubrifiés, ouverts et satisfaits ... par lui.

la rencontre du mari et de l'amant.

Au fur et à mesure qu'elle me guide dans ce long escaliers, en chaloupant ses hanches, je me demande un peu si j'aurais le courage de mes prétentions.

Plutôt que d'avoir peur de cet homme, j'ai préféré le rencontrer.

Un couloir ... son excitation est palpable, et mes efforts pour avoir l'air impassible, vains.

Elle frappe, au son de son poing sur la porte je me surprends à chercher des yeux les douches collectives, celle la même où je sais qu'il l'a enculée, plusieurs fois, debout, les jambes croisées.

La porte s'ouvre.

Le temps ce fige. J'ai comme l'impression de ne pas être le seul à redouter ce moment. Il n'a pas l'air méchant, mais il a l'air vicieux.
Bien qu'il ne soit pas à mon goût, je comprend tout à fait pourquoi elle l'a choisi lui pour sa première expérience sans moi.

Il nous invite à rentrer, en lui lançant un regard de mâle hypnotisé.
Elle en joue, son cul se balançant comme une invite.



Elle s'assoit, langoureuse, sur le petit lit.

Le Lit, celui avec le miroir au dessus, celui sur lequel elle s'est abandonnée à cet homme, celui qui a peuplé mes fantasmes pendant de longues semaines.

Ne voyant pas quoi faire d'autre, je m'assois à côté d'elle et survole la pièce du regard.

Je cherche les attaches et les poulies, je cherche où peut bien être rangé cette collection de godes qu'elle dit impressionnante.

Les minutes passent.

Un joint
Un verre
Un joint
...

Je fixe sur le vivarium à côté du lit. Une vipère calme attend. Je l'imite.
La ressemblance entre ce reptile et l'homme qui est assis de l'autre côté me frappe.
Voila qui a dut l'excitée, ce coté glabre, lisse.

Elle reste silencieuse, dans l'attente.
Je peux lire dans ces yeux la question : "Comment va tourné la soirée ?"

Tout s'accélère quand il nous propose une ligne de coke que nous déclinons trop poliment.
Lui se poudre le nez, puis ces yeux s'illuminent.

Il l'approche avec encore un peu de poudre blanche sur le doigt.
Elle refuse, mais il lui explique que ce n'est pas sur les muqueuses de son nez qu'il veut placer ce minuscule reste de poudre blanche.

À ce moment, les règles de la soirée apparaissent, naturellement, car avant de le laisser faire, avant de s'abandonner à ses idée perverses elle me lance un regard d'approbation.

Elle, si libre, se positionne. Elle choisit la soumission à ces actes à lui, à mon esprit à moi.
D'un sourire j'acquiesce et accepte tacitement le rôle du voyeur.

Il n'attendait que ça.
Il lui ouvre son pantalon, fébrile, en me déclarant qu'elle est irrésistible.
Je vois dans ses yeux qu'elle le rend fou dans le sens le plus pure du terme.

Enfin il arrive à poser sa main sur sa chatte. Je n'ai pas besoin de la toucher pour savoir qu'elle dégouline.

il commence à la masturbé. La cocaïne prétexte aux attouchements.

Mon esprit est ravi de cette perversité.

Gêné par le pantalon, il la déshabille.
Tout en continuant de faire aller et venir ces doigts dans cette chatte détrempée il s'exhibe à nous.
Il nous montre que son pantalon est ajouré sur les fesses, révélant un cul superbe scindé par un string.

Son coté gay me percute et réveil le mien. mon esprit pervers est pleinement éveillé malgré l'alcool et la drogue.

Elle ne résiste pas longtemps et ouvre son pantalon pour sucer une bitte magnifique, au gland très proéminent.

Tandis que sa bouche s'active et qu'il se débarrasse de ces dernier habit, elle tâte mon sexe au garde à vous.
Tout en continuant de me repaître de la vision de ma femme se transformant en salope, je me déshabille.

Les positions vont changer rapidement, s'enchaînant dans une chorégraphie parfaite.

Elle suce tout près de moi, en caressant ma bitte.
Tellement près que j'hésite presque à l'aider, elle.

Mais je préfère regarder.

Il n'en peut plus.
Bien que le plaisir qu'elle lui procure semble plus que violent, je comprend ce qu'il veut.

il la fait mettre à 4 pattes sur le lit.

Ainsi tournée vers moi et après un regard trouble de salope soumise, elle m'embouche pendant que derrière elle il sort la fameuse valise de gode.

Je le vois en prendre un gros.
Pour bien la préparer il la doigte, partout.

Je peux sans regarder savoir où ses doigts s'enfoncent.
Bien qu'étouffé par ma queue ces râles varient. Aiguë pour la chatte, grave pour le cul.

Il la branle, la gode.
Elle me suce.
Je regarde.

N'y tenant plus il se prépare à la prendre, elle se redresse un peu pour faciliter la pénétration, tout en s'accrochant à moi.

Il s'enfonce, fermement.
Son râle très grave, tout près de mon oreille, ne laisse aucun doute, il vient de l'enculer de toute sa longueur.

Je la repousse, lui orientant le tête vers ma queue.

Satisfaite de se faire défoncer le cul et la bouche, elle est aux anges.
Le miroir me donne une vue globale de la scène.

je lui enlève les mains de ma bitte, je veux qu'elle se baise la bouche sur moi. obéissante je la sens me rentrer de plus en plus loin dans sa gorge.

Je passe ma mains sous son corps, entre ses seins perlés de sueur, sur son ventre contracté par le plaisir.
J'atteins sa chatte.
Son trou béant et vide me coule sur les doigts.

Comme pour bien vérifier que c'est bien dans son cul qu'elle l'accueille, je rentre 2 doigts dans sa chatte dilatée puis remonte à l'orée de son anus dilaté, pour bien sentir cette bitte qui lui imprime son mouvement de succion.

Son visage se déforme quand il accélère le rythme. Dans un dernier mouvement et un râle il se vide dans son cul.
Et il se retire, la laissant pantelante, mais encore active sur ma queue.

Le voyant quitter le lit, je laisse mes pulsions bestiales m'envahir.
Je la repousse sans tendresse, en lui susurrant un "ne bouge pas" qui n'appelle pas la discussion.

Me prenant au mot, elle ne me suis que du coin de l'oeil.

Je passe derrière, ses trous sont dilatés, rouges, suintants.
C'est une salope, une vide couille.

Je l'att violemment par les hanches. Ma bitte trouve tout seul un de ses trous, j'y rentre facilement.
C'est son cul qui m'accueille.

Mais je veux que cette salope nous différencie sur l'instant.
Je me retire, la vu d'ici dans le miroir est merveilleuse, je la voie qui me regarde alors que je guide ma queue dans sa chatte.

Je me sens comme fou. Son jus dégoulinant sur mes couilles, je ne suis plus qu'un être tendu vers son propre plaisir.
Mes geste deviennent désordonnés tandis que j'ânonne des "petite pute" et des "salopes" à voix basse.
Elle continue à me regarder, dans la glace, le visage déformé par le plaisir tandis qu'enfin mon sperme se répend dans sa chatte.

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