Anaïs

Anaïs
- Entrez ! fis-je, dès que j’entendis le « toc, toc » étonné car personne ne frappait s’il voulais entrer.
- Excusez-moi… Vous… Vous êtes Monsieur V…
- Oui, oui ! Entrez donc !
J’étais soufflé, ébahi, stupéfait, par cette apparition. Petite brune, que dis-je… Ses cheveux longs et bouclés, lui tombant largement sur les épaules et noir comme du charbon, mettait son visage fin en valeur. Ses grands yeux verts, son petit nez droit, ses lèvres légèrement pulpeuses, son regard un peu angoissé, la faisait paraître très jeune, presque adolescente.
Malgré son angoisse, elle me regardait droit dans les yeux, sans baisser son regard et un léger sourire apparu sur son divin visage. Je tombai amoureux immédiatement.
Malgré mes 50 ans bientôt, mon regard détailla rapidement le reste de son corps et je pu constater, une poitrine généreuse sans être excessive, un ventre plat, visible car, son chemisier noué dessus et son jeans taille basse et moulant, laissaient voir une bande de peau et son nombril.
Elle était encore à deux mètres de mon bureau et je vis ses jambes courtes terminées par des chaussures fines et avec un talon d’au moins huit centimètres.
- Ass… Asseyez-vous ! Dis-je d’une voix légèrement tremblante de désir.
- Merci, monsieur… Je suis la nouvelle employée et on m’a dit de me présenter à vous !
- Vous… Vous… avez bien fait !
Je me penchai sur l’interphone et appeler une employée.
- Mademoiselle Nathalie…. Pouvez-vous venir, s’il vous plait?
Dix secondes plus tard, Nathalie entra et regarda la nouvelle collègue avec une pointe de jalousie dans le regard.
Il me faut reconnaître que Nathalie est mon employée préférée que, depuis ma nomination comme chef de ce service, je la drague comme un fou mais, sans aucun autre effet que, des sourires prometteurs et une envie folle de la violer à chacun de ses sourires.
Il faut aussi vous dire que, je suis chef de service à mon étage et que j’ai dix employées sous mes ordres, quand je dis : « sous mes ordres » c’est beaucoup dire car, je suis incapable de commander ces jeunes femmes.

En fait, je m’entends bien avec toutes celles-ci et je me fais marcher sur les pieds comme ce n’est pas possible.
Les arrivées en retard, les dossiers incomplets, les demandes de congés abusifs, Les moqueries envers mon manque total d’autorité, sont des faits bien réels. Lorsque les dossiers sont incomplet, je les complète moi-même, les retards, ne sont jamais mentionnés et quand, je donne trop de congé et qu’il manque du personnel, je fais le boulot, moi-même et ne dis rien à mes supérieurs.
Mon département marche comme cela depuis ma nomination et comme tout ce passe bien au niveau du rendement, j’ai même reçu une prime cette année.
Mais revenons à Nathalie et à ma nouvelle employée. J’explique aux deux jeunes femmes, que Nathalie aidera la nouvelle et qu’ici, tout le monde forme une petite famille tranquille, qu’il n’y a jamais eu de problème que, d’ailleurs, je suis là pour aider chacune d’entre-elles.
Je vois Nathalie, sourire à la fin de mon petit laïus de bienvenue et regardez la nouvelle en lui faisant un clin d’œil.
- Vous… Vous avez déjà rempli tous les documents ? Mademoiselle… A… Anaïs ? demandais-je.
- Oui ! Monsieur, à l’accueil, ils m’ont même remis ma carte pour la cantine !
- Très bien ! Je vous laisse entre les mains de Mademoiselle Nathalie et bonne chance chez nous !
Je vis Nathalie me lancer un regard noir en me voyant dévorer des yeux cette petite Anaïs. Dès qu’elles furent sortie, je me penchai sur mon pc et trouvai la fiche de la nouvelle.
20 Ans, d’origine Nord Africaine (bizarre, de porter un nom Européen pour une Magrébine), diplôme de comptabilité, pas marié, pas d’ bien sûr, de plus, habitant près d’ici et visiblement c’est son premier emploi, son CV étant vide de côté.
La photo accompagnant son dossier me laissait rêveur. Je laissai sa fiche ouverte sur mon pc et me diriger vers la salle de mes employées.
Un brou-hourra de pie bavarde et une agglomération d’employée autour de la nouvelle me fit voir le vide immense des autres bureaux.

Personne ne changea à mon entrée seules quelques têtes se levèrent pour constater mon entré.
J’allai directement à la corbeille de dossier fini et m’emparai de la pile. Je retournai à mon bureau en jetant un regard d’envie de toutes ses filles autours de la nouvelles.
Les brides de phrases que, je pus déchiffrer dans ce brou-hourra me firent comprendre que, mes employées mettaient en avant ma soumission et mon manque total d’autorité.
Juste avant de rentrer dans mon bureau, je regardai vers les filles et croisai le regard d’Anaïs. Un regard de braise, de feu, un regard qui me fit baissez les yeux immédiatement. Je rentrai dans mon bureau, un peu honteux d’une telle soumission envers mes employées.
Assis, je regardai la photo d’Anaïs avec envie et l’esprit complètement déboussolé. C’est aussi à ce moment que, je pensai : « Ah ! Si j’étais avec une fille pareille, je ferais tout pour elle, je serais son esclave, son jouet, sa chose »
Je me damnerais pour un baiser d’elle. Je me ferais couper, les couilles si, elle me le demandait. Bref, vous pouvez imaginer dans quel esprit j’étais.
12h30 arriva, sans que, je me rende compte de l’heure et ce fut Nathalie qui ouvrit ma porte, toujours sans frapper.
- Tu descends avec nous ou tu manges dans ton bureau.
- Je… Je descends, Mademoiselle Nathalie !
- Ok ! On t’attend !
Je pus distinguer qu’Anaïs se tenait derrière Nathalie et me regardait avec une certaine incrédulité.
Je pris ma veste et descendis entre Nathalie et Anaïs. Je sentais le regard sur ma nuque de la nouvelle et brusquement, je l’entendis crier et tombai sur moi dans le dos. Heureusement que je me tenais à la rampe car, elle m’aurait entraîné dans sa chute. Anaïs s’accrocha à ma taille et mes bras, S’enroulèrent autour de sa taille, lorsqu’elle bascula sur mon côté droit. Je la redressai et ma main effleura son sein droit.
- Oh ! Excu… Excusez-moi, mademoiselle Anaïs ! Dis-je en retirant prestement ma main.

- C’est… Ce n’est pas grave, monsieur !
- Tu peux l’appeler Gérard ! Ici il n’y a pas de « monsieur » dis Nathalie en me regardant de façon autoritaire.
- Ou… Oui… Oui c’est cela… Pas de « Monsieur » entre nous ! Dis-je en baissant les yeux.
Mon bras entourait toujours la taille d’Anaïs, ce qui, provoqua une remarque excédée de Nathalie.
- Tu peux la lâcher, maintenant, elle ne va pas s’envoler.
- Heu !... Oui… Excusez-moi !
Anaïs, me regarda avec stupeur et une certaine incrédulité, due probablement au ton autoritaire de Nathalie.
Le repas se passa entre des dizaines d’employées venant de tous les étages et je fus coincé sur un banc entre Nathalie et la nouvelle. En face de nous, se tenait d’autres employées de mon étage.
Soudain une main se posa sur ma cuisse et Nathalie se pencha à mon oreille et me chuchota :
- Elle te fait bander, la nouvelle ! Hein ?
- Je…
- Avoue !
- Non… Je…
- Menteur !
Sa main effleura ma braguette gonflé, il est vrai, mais pas à cause de la nouvelle assise de mon autre côté, mais bien de la main de Nathalie posée sure ma cuisse.
C’était la première fois qu’un pareil geste, provenait de Nathalie. Elle retira la main de ma braguette, se pencha derrière mon dos, appelant Anaïs et lui disant :
- Ce salaud, il bande pour toi !
Je me sentis rougir et baissai encore plus la tête.
- Tu… Tu crois ? Répondit Anaïs penchée elle aussi dans mon dos.
- Tu n’as qu’à sentir toi-même !
- T’es folle ou quoi !
- Sens-le ! Je te dis ! Tu ne risque rien ! Il est trop couillon, pour faire quoi que ce sois !
La main de Nathalie passa par-dessus mes cuisses et revint vers ma braguette en tenant la main d’Anaïs, qu’elle posa de force sur ma braguette.
Se penchant à nouveau dans mon dos, Nathalie me fit, cette fois mordre la poussière en disant :
- Tu sais, ma belle ! Il ne bande pas très souvent à son âge, le pauvre et je suis certaine qu’il à une petite bite.

- T’es complètement louf ! Dit Anaïs en essayant de retirer sa main que, tenait fortement pressé sur mon entre-jambe.
- Mais non ! Il aime ça ! Se faire humilier ! ça le fait encore plus bander.
Une pression plus forte sur ma braguette me fit lever la tête pour voir Elodie Assise en face de moi sourire à pleine dent. Légèrement penchée vers l’arrière, je compris que, c’est son pied qui poussait sur la main d’Anaïs.
« Ma parole ! Qu’es-ce qui leur prend aujourd’hui » Pensais-je. Jamais depuis deux ans que j’avais été nommé, elle n’avait fait de pareils gestes envers moi. Seul, les moqueries et sous- entendus verbaux, sur mon manque d’autorité et mes prouesse sexuelles défaillantes étaient de mise mais, cette fois le geste rejoignait les paroles.
La poussée d’Elodie et la petite main d’Anaïs eurent raison de moi et c’est en me redressant sur ma chaise que, j’éjaculai dans mon caleçon.
Anaïs dut parfaitement sentir les contractions de mon sexe éjaculant car, elle sut retirer sa main brusquement. Le pied d’Elodie se trouva sur ma braguette directement fis un massage de haut en bas me faisant me vider les couilles complètement.
- Eh Bien ! Gérard ! Comme éjaculateur précoce, tu te pose un peu là ! Non ?
- Je… Je m’excuse ! Honteux et reprenant ma respiration.
- Je vous… Je vous demande pardon… Mon…. Monsieur ! Dit Anaïs en me regardant !
- Pas de « Monsieur » je t’ai dit Anaïs ! cria Nathalie.
- Mais…
- Ecoute, c’est comme cela chez nous ! C’est une lopette soumise et il aime cela !
- C’est…. C’est vrai… Mons… heu !... Gé… Gérard ?
- Ou… Oui ! Soufflais-je en baissant la tête presque dans mon assiette.
Elodie avait enfin retiré son pied et je pouvais sentir mon sperme s’écouler lentement jusqu’ mes couilles. Je pouvais sentir le regard, légèrement méprisant, de mes employées autour de la table.
- Je… Je peux quitter la table ? Demandais-je à Nathalie.
- Bien sûr ! Et profite pour te laver un peu car, tu sens le fauve !
- Je… Je m’excuse Mademoiselle Nathalie.
Je quittai la table, honteux et persuadai que, toute la cantine savait ce qui venait de se passer. Je me dirigeai vers les toilettes et m’enfermai dans un des WC.
J’essuyai mon slip comme, je pus avec le papier puis décidai de l’enlevai totalement. J’avais trop peur pour l’odeur.
Je jetai mon slip dans le WC en espérant qu’il soit absorbé avec l’eau de la chasse. Heureusement, il disparu.
De retour à mon bureau, je n’osai plus sortir avant la fin de journée et c’est lorsque je fus certain que toutes les employées furent parties, que j’osai sortir de mon bureau.
A mon plus grand étonnement Anaïs était toujours derrière son bureau et penché sur son pc.
- Vous… Vous n’êtes pas encore partie ? Demandais-je bêtement !
- Je… Non ! Dit-elle levant brusquement la tête et rougissant de na m’avoir entendu venir.
- Laissez donc ! Je terminerai le travaille si vous le voulez, Mademoiselle Anaïs !
- Heu..
Elle me regarda bien en face et me demanda si tout ce que les filles avait dit sur moi était vrai. Je baissai la tête et souffla doucement un « oui » à peine audible.
- Tout est vrai ?
- Je… Crois qu’elles ont un peu exagérées, mais dans l’ensemble c’est vrai, je suis incapable de vous commandez mais comme le travail est toujours fait, je n’ai aucun ennui avec la direction.
- Mais Mons… Monsieur… Enfin… je … veux dire Géra… Gérard, pourquoi vous ne réagissez pas ?
- Je ne veux pas d’ennuis avec mes employées et puis, je dois vous avouer que j’aime ça !
- D’après elle vous obéissez à toutes leurs demandes ! C’est vrai ?
- Heu… Oui !
- … J’en reste sur le cul ! Un chef qui se fait commander par ses employées ! Je n’aurais jamais cru cela sans le voir ! Dit-elle pour elle-même mais, parlant tout haut.
- Je vous prie de faire comme les autres mademoiselle Anaïs mais cela doit absolument rester entre nous. N’en parlez à personne d’autre de l’entreprise. Je vous en supplie !
- Ok ! Pas de problème de ce côté-là !
- Merci, Mademoiselle Anaïs. Demandez-moi ce que vous voulez ! Vous êtes tellement belle que, je vous obéirai sans discuter.
Elle me regarda comme un extra terrestre et son incrédulité fut tellement flagrante, que je pris sur moi de m’agenouiller à côte d’elle et baissai la tête.
- Faites de moi votre chose, Mademoiselle Anaïs !
- Vous… Vous me gêné ! Levez-vous !
- Comme vous voulez mais sachez que, je suis prêt à tout pour vous.
- Comme vous… tu… Vous y aller ! Qu’attendez-vous de moi ? Je suis là que d’un jour et en plus c’est mon premier emploi. J’ai difficile à vous suivre ! Et votre femme ?
- Je suis veuf depuis 5 ans et je voudrais trouver une jeune femme comme vous qui saura me prendre et me faire obéir à tous ses désirs !
- On va arrêter là car vous me mettez mal à l’aise !
- Excusez-moi Mademoiselle Anaïs, je ne vous importunerez plus.
Je quittai le bureau, en me retournant une dernière fois, vers ma nouvelle employée et vis son regard intense sur moi.
La semaine passa sans aucun autre incident sauf qu’Anaïs avait bien compris le principe des autres employées pour m’humilier et me commander. Ce fut le vendredi qu’un petit incident survint me confirmant qu’Anaïs c’était bien intégrer au groupe. Vers 11h00, elle entra dans mon bureau sans frapper et demanda sur un ton autoritaire.
- Gérard ! Veux-tu nous apporter un café pour Nathalie et moi ? Avec deux sucre et du lait pour moi !
- Heu… Oui mademoiselle Anaïs ! Tout de suite !
Je vis une fois de plus le regard d’Anaïs incrédule et entendis parfaitement Nathalie dans son dos :
- Tu vois, je te l’avais dit. Commande et il obéi !
Je passai devant les filles et descendis à la machine à café. Je remontai avec les deux cafés et les déposai au bureau respectif des deux filles.
- Attend ! Dis Anaïs lorsque, je déposai son café. Puis, prenant un air confidentiel me chuchota, ce midi tu m’emmènes chez toi au lieu d’aller à la cantine ! Ok ? Mais discrètement. Tu m’attends au parking !
- Bien Mademoiselle Anaïs, vos désirs sont des ordres ! lui répondis-je tout bas.
- C’est bientôt fini vos messe basses ! Cria Nathalie.
- Heu… Excusez-moi ! Mademoiselle Nathalie mais, je ne voulais pas vous dérangez, ni vos collègues.
Elle me fusilla du regard et se leva puis se dirigea vers le bureau d’Anaïs.
- Pas de secret ici ! Il est à moi !
- Mais… Mais tu n’as jamais rien fait avec !
- Et alors ! C’est ça qu’il aime ! De toute façon avec sa petite bite…
- Qu’es-ce que tu en sais ?
- T’as trouvé qu’il avait une grosse bite la semaine passé à la cantine ?
- Heu…
Je perdis le reste de la conversation en entrant dans mon bureau. Le seul espoir que j’avais, c’est qu’Anaïs, m’avait donné rendez-vous ! « Pourvu qu’elle ne change pas d’avis » Pensais-je.
À 12h20, je quittai précipitamment mon bureau, sous le regard interrogatif de Nathalie et descendis immédiatement au parking. Je quittai l’ascenseur non sans avoir appuyé sur le bouton du rez-de-chaussée. Au cas où Nathalie prenait l’autre ascenseur.
Je me glissai dans ma voiture et me fit tout petit. Un quart d’heure plus tard, je vis arriver Anaïs cherchant probablement ma voiture.
Voyant qu’elle était bien seule, je fis un cours appel de phare et je vis un sourire apparaître sur son visage. Elle couru vers la voiture et s’engouffra dedans.
- Ben mon cochon ! Un 4x4 ! Tu te paies du luxe !
- Mer… Merci d’être venue, malgré ce que vous a dit Mademoiselle Nathalie !
- Celle-là… Je peux de moins en moins la sentir ! Avec son air de commandant.
- Je… Je vous emmène… Chez…Chez moi ?
- Oui, oui ! Roule papy !
Le trajet dura moins de vingt minutes et nous arrivâmes devant ma maison.
- C’est là que tu habites ?
- Ben… Oui !
- Putain ! La classe ! Fais-moi visiter !
On entra, elle fit le tour des pièces en sifflant à chaque fois et resta anormalement longtemps dans les chambres.
- Ok ! j’ai vu ! Maintenant, je te propose ceci. Je me mets en ménage avec toi mais avec plusieurs conditions.
Je tombai à genoux, buvant ses paroles et le cœur rempli d’espoir, remerciant en moi-même, les dieux qui m’accordait cela. Je regardai Anaïs avec une telle intensité amoureuse qu’elle détourna son regard.
- Voilà mes conditions. Premièrement personne ne doit être au courant au bureau, deuxièmement, je veux rester libre de mes faits et gestes. Jamais de questions, jamais d’explications à donner, Pour le sexe, c’est moi qui décide, quant, où et comment.
- Tout ce que vous voulez Princesse Anaïs. Je me plierai à toutes vos exigences.
- C’est bien car, je ne reviendrai jamais sur ces trois conditions et si par malheur tu désobéis, ce sera fini, je pars et notre petit contrat s’arrête immédiatement.
- Je suis à vos ordres Princesse Anaïs ! Dis-je en me baissant et embrassant ses chaussures. Faites de moi votre chose, votre esclave. Tout ce qui est ici est à vous.
- C’est bon ! Ok ! relève-toi. Je viendrai dans la semaine avec mes affaires. Tu as intérêt à me faire de la place dans la chambre.
- Oui, ma Princesse.
- Arrête ! Je ne veux pas que tu m’appelle ainsi car, tu pourrais nous trahir au bureau.
- Compris !... Mademoiselle Anaïs !
- Ok ! ça c’est bien !
Elle regarda encore le salon et la cuisine et me félicita pour la propreté de la maison ayant appris que je n’avais pas de femme de ménage.
Ce fut une semaine de rêve, en tout point sauf au lit où elle me refusait toute pénétration. Je pouvais la lécher, la caresser, lui faire des bisous partout mais, pas de baiser, pas de pénétration. Je la faisait jouir avec ma langue ou mes doigts, et elle me masturbait au-dessus de son torse et me faisait lécher mon sperme pour la nettoyer. Ensuite on restait étendu l’un à côté de l’autre et après de longues minutes de relaxation, elle m’envoyait dormir dans l’autre chambre.
Au boulot elle se comportait tout à fait normalement et me commandait et m’humiliait ni plus, ni moins que les autres employées. Nathalie avait cessé son attitude jalouse et recommençait à me provoquer à chaque occasion.
- Alors, petit zizi ! Toujours envie de la nouvelle ?
- Heu… Non Mademoiselle Nathalie !
- Quoi ? Tu ne bande plus pour elle ?
- Heu… C’est vous… Que… Je désire, Mademoiselle Nathalie !
- Hum ! On verra ! Peut-être un jour ! Qui sait ! Avec une bonne dose de viagra ! Puis elle éclata de rire.
- Laissez-moi vous embrasser ! Mademoiselle Nathalie. C’est mon plus grand souhait !
- Ecoutez-le ! … Peut-être,… Si tu le demande à genoux !
Sans aucune gêne, je me levai et me mit à genoux devant ses pieds. Elle pouvait lire dans mon regard une envie et en même temps une soumissions totale.
- J’aime bien quand tu es comme ça ! A genoux devant ta maîtresse ! Puisque t’es là… Embrasse mes pieds.
Un fois de plus Nathalie dépassait les paroles et je me pressai d’embrasser ses pieds ou plutôt, ses chaussures.
Nathalie sorti un pied de sa chaussure et le présenta contre ma bouche. Je m’empressai de la lécher et de l’embrasser comme un fou.
- Masturbe-toi ! Dit-elle brusquement !
- Comm… Quoi ! Ici ?
- Met ta main dans ton froc et masturbe-toi !
J’obtempérai et me voilà à genoux, une main masturbant mon sexe et l’autre prenant un pied de Nathalie et le léchant de plus belle.
La monté de ma jouissance fut violente et c’est au moment où j’éjaculai dans mon pantalon qu’Anaïs entra dans le bureau.
Je fermai les yeux et entendit, dans un brouillard de plaisir, Nathalie dire à Anaïs,
- Regard-le se branler rien quand léchant mes pieds.
- …
- Essaye-toi aussi !
- Je… Non…
- Fait-lui lécher sa main alors !
- Non !
- Petite conasse ! s’écria Nathalie vers Anaïs
Nathalie retira son pied de ma langue et sorti du bureau en claquant la porte. Anaïs haussa les épaules et sorti aussi.
Je me relevai, la main gluante de sperme car il faut vous dire que si c’est vrai que, j’ai un sexe tout à fait moyen, que depuis toujours, je suis un éjaculateur précoce, néanmoins, j’ai une quantité phénoménale de sperme. C’est souvent six à sept jets bien dru et quelques jets sans puissance à chaque jouissance.
J’essuyai ma main comme je pus et me dirigeai vers les toilettes. Une fois de plus je du abandonné mon slip dans le WC.
Lorsque, je revins des toilettes, Anaïs et Nathalie s’engueulaient. Je devais passer près d’eux pour atteindre mon bureau et j’entendis clairement, Anaïs dire :
- Si, tu l’oblige encore, à pourrir son slip, je te casse ta sale tronche !
- Connasse ! T’es même pas cap !
- N’oublie jamais, que, je suis une… arabe ! Tu as intérêt, à partir d’aujourd’hui, de regarder dans ton dos. Espèce de salope !
- Tu ne me fais pas peur !
- On verra ! Lança Anaïs avec un regard meurtrier.
J’atteignis mon bureau et juste avant d’ouvrir, un classeur vint s’écrasé sur le mur à droite de ma porte. J’entrai rapidement dans mon bureau et refermai la porte avec une certaine angoisse.
- Où cela va-t-il finir ? Me demandais-je tout haut !
Je n’entendis plus rien pendant deux minutes et ma porte s’ouvrit brutalement.
- Tu vis avec cette connasse ? Cria Nathalie hors d’elle.
- Heu… Heu !... No… Non ! Bien sur ! Mademoiselle Nathalie !
- Salaud ! De menteur ! Tu vas me le payer !
Nathalie, fit les quatre pas qui, l’a séparait de mon bureau et d’un geste rageur balaya avec son bras, l’entièreté de mes affaires, papier et ordinateur. Le bruit et les cris de Nathalie alerta les autres filles et un aggloméra d’employée se matérialisa à la porte de mon bureau.
Anaïs, apparu soudain derrière Nathalie, lui fit une prise de judo et Nathalie se retrouva à genoux devant mon bureau dévasté.
- Tu as intérêt de tout remettre à sa place ou je te casse le bras ! Siffla Anaïs dans l’oreille de Nathalie.
- Aie ! Arêêêête ! Tu me fais mal ! Cria Nathalie les larmes aux yeux.
- Tu as trois minutes pour tout remettre et demander pardon à Gérard…. T’as Compris, Salope !
- Aaaaaaaah ! Mon dieu ! Arêêêête ! Tu vas me casser le bras !
Anaïs, tenait le bras de Nathalie dans le dos et lui remontait aussi haut que, lui permettais l’articulation. Tout en tenant le bras de Nathalie, Anaïs se retourna vers les autres filles et cria :
- Toutes à vos bureaux et la dernière ferme la porte !
Son ton de commandant fit disparaître les autres employées et ma porte se referma. Un calme apparent se fit dans mon bureau et le silence fut troublé par les hoquets de douleur venant de Nathalie !
- Arête ! S’il te plait ! J’ai trop mal ! supplia Nathalie.
- Ta gueule ! Salope ! Tu vas m’obéir maintenant ! Siffla Anaïs visiblement hors d’elle !
- Tout ce que tu veux ! Mais relâche mon bras ! S’il te plait !
- S’il te plait… Qui ?
- S’il te plaît… heu… Anaïs !
- S’il te plait Maîtresse ! Dit Anaïs en tirant encore sur le bras de Nathalie.
Cette dernière cria et bafouilla la phrase demandée par Anaïs. Nathalie les yeux plein de larme me regarda suppliante de l’aider.
Moi, je m’étais rassis sur mon fauteuil et regardai touts cette scène avec angoisse et stupéfaction. Jamais je n’aurais cru Anaïs capable d’une telle violence.
- Je vais te lâcher le bras mais, tu as intérêt à faire ce que je te dis ! Tu as compris ?
- Heu… Aie !... Heu !... Oui… Ana… Heu !... Mai…. Maitresse !
- Tu vas t’excusez, du bordel que, tu viens de faire !
Putain ! Anaïs venait tout simplement de soumettre Nathalie. La grande gueule de notre service, celle qui dominait tous les autres filles et moi en particulier. Elle était là, devant moi, à genoux, les larmes plein les yeux et balbutiants des excuses vers Anaïs et… Moi !
- Je… Je… M’excuse… Gé… Gérard !
Alors qu’Anaïs se tenait derrière Nathalie, lui tenant toujours le bras replier dans son dos, parvint à lui donner une gifle avec le dos de sa main gauche. Le claquement que ,fit le dos de la main d’Anaïs sur la joue de Nathalie me fis sursauter et j’eu mal pour Nathalie.
- Monsieur Gérard ! Tu l’appelleras : … Monsieur Gérard !
- Je… Je… M’ex… M’excuse…. Mon….Monsieur Gé… Gérard !
Anaïs, tordis encore un peu le bras de Nathalie et lui ordonna d’ouvrir son chemisier, d’ôter son soutien gorge et me le tendre.
- Prend-le ! Gérard !
- Heu… Mais….
- Prend-le et masturbe-toi dedans pendant que cette salope remette ton bureau en ordre.
- Je… Mais… vous… Non !
Anaïs me regarda avec une telle intensité que, je compris immédiatement que si, je ne lui obéissais pas maintenant, je pouvais faire une croix sur elle.
Nathalie, complètement dompter, fit ce que lui avait demandé Anaïs. Alors, je sorti mon sexe encore mou et entama une masturbation.
J’avais toute les peines du monde pour bander et Anaïs voyant ma difficulté s’en pris à Nathalie.
- Va lui sucer la bite ! Salope ! Et fait le bander !
- N…No…Non ! S’il vous plait Mai…Maitresse !
La deuxième gifle claqua plus fort que la première et Nathalie tomba sur le côté. Porta sa main à la joue meurtrie et se mit à sangloter comme un .
Elle se remit immédiatement à genoux, lorsqu’elle vit Anaïs lever à nouveau la main. Nathalie s’approcha de moi et ouvrit sa bouche devant mon sexe.
- Suce-le Salope mais, ne le fait pas jouir !
- Heu… Oui, Maîtresse ! Dit Nathalie en retirant mon sexe de sa bouche.
- Alors ! Salope ! Tu trouve qu’il a un si petit sexe ?
Nathalie, fit signe « non » de sa tête tout en me suçant comme une pro. Mon érection fut vite au maximum et je sentis le sperme monté. Je reculai précipitamment, mis le soutien-gorge de Nathalie sous mon sexe et me fis jouir dedans.
Dès que, j’eu fini d’engluer le soutien de Nathalie, Anaïs lui ordonna de le remettre et de la garder jusqu’au soir.
- À partir de maintenant, tu seras mon esclave personnel et celui de Gérard ! J’ai fait quelques photos avec mon portable et si tu ne m’obéis pas, ton mari va te voir en train de sucer ton chef !
- Oh ! Non ! Pas ça ! S’il te plait Anaïs !
- Clac ! Une nouvelle gifle la fit du nez !
- Maitresse ! Tu dois m’appeler « Maîtresse ! »
- Oui !...Snif ! … oui ! Maîtresse ! pleurnicha Nathalie en regardant Anaïs, avec terreur cette fois.
Nathalie se rhabilla et son soutien humide de mon sperme abondant, fit immédiatement des auréoles sur son chemisier.
- Tu vois Gérard ! Cette salope ! Il suffit d’être un peu plus dur avec et elle te mange dans la main !
- Vous… Vous avez raison ! Mademoiselle Anaïs !
Nathalie, tête baissé, des sanglots dans la gorge, remis de l’ordre dans mon bureau. Brusquement, alors que Nathalie cru avoir terminée, Anaïs, lui attrapa les cheveux, la força à se mettre à genoux et poussa sa tête jusqu’au sol.
- Lèche-moi, les chaussures ! Salope !
Je fus saisi et étonné de voir Nathalie faire cela sans aucune rébellion. Anaïs tendis un pied et après quelques minutes, tendit l’autre.
- Donne-moi ta culotte ! Et Vite !
Nathalie leva son visage vers Anaïs en la suppliant mais, lorsqu’Anaïs leva lentement sa main droite, Elle se tortilla, ouvrit et descendit son jeans et un string noir. Elle était quasi nue devant moi.
- Tu te sens encore capable de jouir ? Me demanda Anaïs me voyant à nouveau raide.
- Oh ! Heu !... Oui ! Mademoiselle Anaïs.
- Remplit-lui son string ! On va se marrer !
Nathalie, toujours à genoux, me tendis son string et se lâcha, en pleurant comme une gosse. Je me mis à me masturber comme un dingue ca, de voir Nathalie dans cet état, m’excitais au plus haut point.
Une petite minute me fis éjaculer une quantité incroyable de sperme, alors qu’un quart d’heure plus tôt, je lui avais déjà rempli son soutien.
Le string, déborda assez vite et un ordre d’Anaïs accentua mon plaisir.
- Lèche ! Salope ! Lèche ce qui tombe sur le sol !
Nathalie, hésita une demi-seconde et se baissa vers le sol. Ma main et le string déborda rapidement et plusieurs gouttes tombèrent sur les cheveux de Nathalie.
- Remet ton string et lèche la main de Gérard !
Incroyable, Nathalie n’hésitait même plus et fis tout ce que lui demanda Anaïs. J’avais vu aussi Anaïs reprendre des photos de Nathalie lorsqu’elle léchait le sol et ma main ensuite.
- Retourne à ton bureau et remet-toi au travail.
Dès que Nathalie fut sortie, Anaïs sembla se calmer et me regarda avec joie.
- Alors ça t’a plus, il me semble ?
- Oh ! Oui ! Princesse !
- Gérard ! Ne m’appelle pas comme ça au bureau !
- Heu !... Pardon !... Heu !... Mademoiselle Anaïs.
- J’espère que, tu as compris que Nathalie est ton esclave aussi ?
- Je… je ne… Je ne pourrai… Pas ! Mademoiselle Anaïs.
- Mais, si ! Ne t’en fait pas ! Je t’y aiderai !
- Je… Heu ! … Merci, Mademoiselle Anaïs.
Anaïs, sorti de mon bureau en m’envoyant un baiser avec sa main et le reste de la journée se passa sans aucun autre incident.
Je n’osai pas sortir de mon bureau de peur de croiser Nathalie et c’est vers 16h00 que l’on frappa à la porte de mon bureau.
- En… Entrez ! Fis-je toujours aussi étonné lorsque cela arrivait.
La porte s’ouvrit lentement et Nathalie entra, tête baissée. Son chemisier encore entaché de mon sperme et même son jeans laissait voir une large tâche d’humidité.
- Je viens,… Je viens voir…. Si… Vous n’avez…Plus besoin…. de… de… de… mes…mes services ! Monsieur Gérard !
- Heu ! Non !... Non ! Mademoiselle Nathalie ! Je vous remercie !
- Salope ! Tu l’appelle « Salope » lorsqu’on est entre nous ! Cria Anaïs qui venait d’apparaître derrière Nathalie.
- Heu !... Heu !... Je…
- T’en fait pas ! Tu apprendras ! me dit Anaïs !
- Je… Commença Nathalie.
- Ta gueule salope ! Ici c’est moi qui cause ! Tu as compris ?
- Oui… Maitresse !
- Rentre chez toi et n’oublie pas notre petit rendez-vous ce soir !
- Mais… je vais avoir difficile pour… Trouver une excuse pour mon mari !
- Pas mon problème ! C’est ça ou les photos ! C’est comme tu préfère !
- Heu !... Non !... Non !... Je serai là !
- Tant mieux pour toi !
Nathalie s’en alla et Anaïs et moi rentrâmes chez nous. Pendant tout le trajet on n’échangea aucun mot et lorsque, je fus rentré et commençai le souper. Anaïs se changea. S’habilla de façon sexy comme, lorsqu’on sortait en boîte. Vint se blottir comme une chatte contre moi.
- Ce soir, tu vas assister à la soumission totale de cette pute !
- Mais, qu’es-ce que, tu vas lui faire ?
- Ne t’inquiète pas ! Tu va savourer !
Après avoir soupé, en tête à tête, Anaïs, alla à son ordinateur portable et enregistra les photos de Nathalie prisent au bureau.
Brusquement la sonnette retentis et Anaïs se leva précipitamment, pour ouvrir avant moi. Trois hommes d’origines Maghrébines firent leur entré, tout sourire. Anaïs, les embrassa chacun et puis, se tournant vers moi :
- Je te présente mes cousins du Bled ! Hamed, Moussa et Abdel !
- Heu !... Je… Enchanté ! Fis-je étonné.
- Voici mon soumis ! Dis Anaïs en me montrant du doigt.
- Salut ! Mais, où est la salope que, tu avais promis ? Dit un des cousins sans vraiment me regarder. Les deux autres m’ignorèrent allègrement.
- Un peu de patience, les hommes !
Je compris alors, ce qui allait se passer, ce soir et je me mis à bander comme un cerf. Les trois hommes s’installèrent et dix minutes plus tard, la sonnette retentit à nouveau.
- Va ouvrir ! M’ordonna Anaïs.
J’ouvris et vis avec stupéfaction, Nathalie, à genoux, les mains sur la tête et le regard suppliant.
- Fait entrer la pute ! Cria Anaïs.
Je vis avec stupéfaction, Nathalie avancer à genoux vers la voix qui venait du salon. Je refermai la porte et suivit Nathalie qui s’arrêta brusquement en découvrant les trois hommes, leur sexe en main regardant les photos sur l’ordinateur d’Anaïs.
- Oh ! Non ! Cria-t-elle.
Fin du chapitre.

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