Leslie Hd06

Leslie HD06 – Week-end, suite

Le lendemain en me réveillant, Paul dort et il est sur le dos, je le regarde er constate que son sexe au repos est de belle taille, j’ai très envie de le prendre en bouche mais je me retiens, mon œillet même s’il ne me fait plus mal est encore sensible sur le bord.
Je vais prendre une douche et me préparer pour la route, sous la douche en pensant à Paul, je me mets à bander, alors prenant mon sexe en main je me branle, j’arrête juste avant de jouir et m’habille tranquillement.
Paul s’est réveillée et prend ma place dans la salle de bains, me frôlant il ne peut s’empêcher de caresser mes fesses en me disant :
- Mon petit cul à bien dormit ?
Il m’appelle son petit cul, je pense que ce surnom va me rester.
- Oui monstre de ma vie, mais il est encore sensible.
- Qui donc ? Me demande Paul.
- Je parle de mon petit cul, vicieux.
Il entre dans la salle de bains en rigolant, moi de mon côté je m’habille en faisant exprès de ne pas mettre de culotte, un top sans soutif et une robe.

En déjeunant Paul à réserver un hôtel à Montpellier où, m’a-t-il dit, nous serions tranquilles. Puis nous sommes repartis sur la route.
Dans la voiture je me suis mise à penser : « Je pars à Montpellier avec l’oncle de Laure, de vingt ans mon aîné et au membre démesuré, je vais passer le week-end avec lui et il me promet de défoncer mon cul comme jamais il ne l’a été, j’en ai d’ailleurs eue un échantillon hier. Mais il m’a aussi promis de se laisser sodomiser, va-t-il seulement tenir sa promesse et se laisser faire. Je suis folle, folle de le suivre et folle de lui, folle aussi de son sexe dont je ne m’en lasse pas. »
Avec Paul je vais devenir accroc des gros sexes, car en ce moment j’ai envie de le caresser et l’avoir entre mes mains, le voir et le sentir grossir sous mes caresses.
Voilà une heure que nous roulons et tendant la main gauche vers Paul, je caresse son entre-jambes pour sentir son sexe.

J’ai envie de sortir son sexe de son pantalon et le faire bander en attendant mieux, je baisse le zip de sa braguette et passe la main dans son pantalon, ma main touche le sexe nu de Paul, ce cochon n’a pas mis de slip.
Il tend la main vers moi et caresse ma cuisse en me disant :
- Enlèves-ta culotte nous allons nous branler mutuellement pendant que je conduis.
- Pour enlever ma culotte, il faudrait que j’en aie une, dis-je.
Il retrousse ma robe jusqu’en haut de mes cuisses et s’aperçois qu’effectivement je n’ai pas de culotte et que mon sexe dressé est prêt à être branlé.
- Eh bien, dit-il, t’es vraiment une cochonne !
- Dis que ça te déplait et je la remets.
- Non reste comme ça, ainsi tu es toujours disponible.
- Tu sais mon chéri, un mot de toi et je suis prête dans la seconde sui suit.
Il commence à me caresser, pendant que je le branle, puis il me dit :
- La journée commence bien, nous ne sommes pas prêts d’arriver à ce régime-là.
- Mais nous avons tout le temps, lui dis-je, et en plus le sexe n’attend pas.
Nous nous sommes caressés et branlés en regardant le paysage défiler, Paul avait mis de la musique classique et je me sentais bien, auprès de lui j’avais l’impression que rien ne pouvais m’arriver, il émanait de cet homme une puissance incroyable, non pas que sexuelle, mais à tout point de vue.
Nous nous sommes donnés du plaisir sans aller au bout de notre jouissance, un peu avant Millau, je me suis penchée vers le membre de Paul pour le sucer un peu, sous mes caresses il se trémoussait dans tous les sens à la limite de la rupture et de la jouissance, il a pris ma tête pour échapper à cette fellation en disant :
- Arrêtes, tu vas nous faire avoir un accident !
Je me suis redressée pour voir qui s’engageait sur l’aire de repos du pont de Millau. L’aire était déserte, il s’est garé rapidement dans l’endroit le plus reculé et sitôt la voiture arrêtée et le contact coupé, il m’a dit :
- Sort ma chérie et suit-moi !
Il m’a conduit dans un fourré et m’a fait accroupir devant lui et tout en détachant son pantalon, qui tomba sur ses chevilles, il me dit :
- Puisque tu as envie de sucer, suces petit cul !
Le ton était ferme sans être autoritaire, j’avais son sexe gonflé devant les yeux et je n’avais que les lèvres à ouvrir pour le prendre dans ma bouche.

J’en avais tellement envie que je l’ai sucée comme une folle le faisant gémir, mes mains posées sur ses fesses ne sont pas restées inactives, lentement j’ai cherché du bout des doigts son anus. Après l’avoir trouvé je l’ai caressée tout en continuant de le sucer puis alors qu’il me tenait la tête de ses mains pour m’imposer le rythme je lui ai enfoncée un doigt dans le trou, le faisant sursauter et éjaculer au fond de ma gorge.
J’ai laissé mon doigt enfoncé dans son trou pendant que j’avalais sa jouissance et en me relevant je lui ai dit :
- Tu vas voir comme je vais bien t’enculer salopard !
Il m’a regardé en riant et après qu’il se soit rajusté, il voulut partir, c’est à cet instant que relevant ma robe pour lui montrer mon sexe bandé en lui disant :
- Tu n’oublies rien mon chéri !
Il s’est approché et m’a regardée dans les yeux en me disant :
- Tu veux que je te suce.
- Oui et que je jouisse dans ta bouche aussi.
- Et peut-être que j’avale ta jouissance.
- Je n’en demande pas tant, mais si tu le faisais ce serait top.
Paul m’a sucé, et je suis sûre que mon sexe n’était pas le premier qu’il suçait, mais je ne lui ai pas posé la question trop à mon plaisir, j’ai rapidement jouis entre ses lèvres et il a avalé, fière de lui, je me suis sentie heureuse à cet instant.
Nous sommes remontés dans la voiture et nous sommes arrivées à Montpellier deux heures après.

Nous nous arrivés à l’hôtel en fin de matinée, vers onze heures, Paul a été directement ranger sa voiture dans le parking privé sécurisé mis à notre disposition. Puis nous avons regagnés la réception. L’hôtel est incroyable, tout d’abord il s’appelle « La Maison Blanche », ça ne s’invente pas. Ce trois étoiles, situé dans un cadre de verdure et de calme possède un parc verdoyant, incroyablement intime et paisible, le luxe et raffinement sont au rendez-vous.
L’accueil est à la hauteur, Paul est connu et le personnel lui réserve un accueil agréable et chaleureux en lui donnant du « Monsieur Paul ».
Cet hôtel évoque les maisons coloniales de la Louisiane, et possède une piscine dans un superbe parc.
Paul me fait le grand jeu et ne s’est pas foutue de moi, le lieu est idéal pour un séjour en amoureux.
En regagnant notre chambre, Paul me demande ;
- Ça te plait, petit cul ?
- Oh oui, je suis aux anges, mais arrêtes de m’appeler « petit cul » en public, ça me gêne.
- Tu sais, moi ça me fait plaisir, c’est une forme d’intimité qui rend les autres hommes jaloux, car vu comme t’es gaulée ils tirent tous la langue sur ton passage.
- Je n’avais pas vu cela de cette façon, ça me fait plaisir que tu te montres mon mâle, et en plus s’ils soupçonnent que tu as mon petit cul, alors c’est parfait.
- T’es une vraie cochonne, me dit Paul.
- Salope serait plus approprié.
- Enfin, tu vas voir, ici c’est super et en plus la table offre une cuisine traditionnelle très fine, tu vas te régaler.

Nous arrivons dans notre chambre, une merveille, et commençons à nous installer, je me mets nue pour aller prendre une douche et dit à Paul :
- J’en ai pour un instant.
Paul me demande :
- Nous pourrions la prendre ensemble, si tu veux.
- A la seule condition que tu sois sage et que cette douche ne se termine pas en un nouveau plan cul.
Après avoir promis il me rejoint et nous prenons notre douche ensemble, non sans éviter ou provoquer de petits attouchements.
Une fois habillés, nous allons sortir de la chambre quand quelqu’un frappe à la porte, Paul va ouvrir et là ma surprise est grande. Dans l’encadrement de la porte se tient Lou, mon amie transexuelle avec qui je devais passer le week-end.
Nous tombons dans les bras l’une de l’autre, je suis émue et troublée, comment Lou est ici, la réponse à ma question ne tarde pas à venir.
- Je suis coupable, dit Paul, j’ai été touché quand tu n’as pas hésité à te décommander auprès de ton amie pour moi, et j’ai voulue te faire une surprise en l’invitant à diner ce midi avec nous.

- Mais comment…
- Simplement, Laure m’a donnée le numéro de téléphone de Lou, que tu avais laissé traîner sur la table du salon et j’ai appelé Lou pour l’inviter.
- Mais tu sais…
- Oui je sais Lou est comme toi, une transexuelle, et cela ne me pose aucun problème de diner entre deux transexuelles qui d’ailleurs sont très jolies. Je vais faire des jaloux.

A suivre…

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